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Donner un nom à son chien en 2025 : Les règles et idées

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Vous prévoyez d’accueillir un nouveau compagnon en 2025 et cherchez un nom original pour votre chien ? Si votre chien est de race, vous devrez peut-être suivre une règle bien précise : choisir un nom commençant par la lettre « A ».

Pourquoi choisir un nom selon une lettre ?

Pour les chiens de race, le choix du prénom n’est pas laissé au hasard. Depuis 1926, le Livre des Origines Françaises (LOF) impose un système alphabétique pour faciliter la gestion des pedigrees. Chaque année correspond à une lettre : ainsi, en 2025, tous les chiens enregistrés au LOF devront porter un nom débutant par « A ».

Cette règle permet de mieux suivre la généalogie des animaux. Toutefois, après l’adoption, les propriétaires peuvent choisir un nom d’usage différent, plus personnel, tout en conservant le nom officiel pour les documents administratifs de l’animal.

Comment choisir un nom adapté ?

Pensez à :

  • La simplicité : un nom court et facile à prononcer facilite l’éducation de votre chien.
  • L’originalité : sortez des classiques pour éviter la confusion avec d’autres animaux.
  • Le caractère de votre chien : son tempérament ou son apparence peut inspirer des idées uniques.

Voici quelques suggestions pour 2025 :

  • Pour un mâle : Atlas, Apache, Arlo, Aston.
  • Pour une femelle : Alaska, Aloha, Arya, Ambre.

Les lettres des années à venir

Pour les curieux ou les futurs adoptants, voici les lettres attribuées pour les prochaines années:

  • 2025 : A
  • 2026 : B
  • 2027 : C
  • 2028 : D

Qu’il soit de race ou non, le choix du nom de votre chien reflète avant tout votre créativité et le lien unique qui vous unit. Faites de ce moment un plaisir partagé !

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Des chiens dressés pour stopper un insecte tueur

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Un parasite qui menace les animaux et le commerce : Depuis plusieurs mois, le Mexique fait face à une invasion inquiétante d’un insecte appelé lucilie bouchère. Cette mouche pond ses œufs sur la peau des animaux vivants. Une fois écloses, les larves – aussi appelées vers à vis – pénètrent sous la peau, causant des infections douloureuses, parfois mortelles.

Ce parasite s’attaque surtout aux bovins, ce qui a poussé les États-Unis à fermer leur frontière aux importations de bétail mexicain à plusieurs reprises. Ce blocage a un fort impact économique, car de nombreux éleveurs dépendent de ce commerce. Pour faire face à cette situation, le gouvernement mexicain a lancé un plan de lutte, dont une partie repose sur un allié inattendu : le chien.

Des chiens formés pour flairer les parasites

Le centre Ceacan, situé près de Mexico, a été créé spécialement pour former des chiens à détecter l’odeur de la lucilie bouchère. Ces chiens, pour la plupart sauvés de refuges, suivent une formation intensive de trois mois. L’objectif est qu’ils puissent repérer rapidement les animaux infectés ou les produits agricoles contaminés.

Les chiens choisis ne sont pas les plus sages : au contraire, on recherche ceux qui ont de l’énergie à revendre, aiment jouer, et sont très gourmands. Ce tempérament curieux et joueur est parfait pour apprendre à reconnaître des odeurs très spécifiques, comme celle de la lucilie bouchère.

Un entraînement proche de la réalité

Les séances de dressage se déroulent dans des conditions semblables à celles que les chiens vivront sur le terrain. Par exemple, Havana, une chienne croisée berger, s’exerce sur une maquette de vache dans une serre chauffée. Elle apprend ainsi à travailler dans la chaleur du Chiapas, région du sud du Mexique où l’infestation est la plus forte.

Les chiens doivent aussi être sociables, obéissants et calmes, car ils travaillent au contact de nombreuses personnes et d’animaux. Tous ne supportent pas l’odeur forte de la lucilie bouchère, l’insecte à abattre. Ceux qui y parviennent sont précieux pour le programme.

Un travail important mais encore limité

Actuellement, seulement six chiens spécialisés sont actifs dans l’État du Chiapas. C’est peu face à l’ampleur du problème : près de 50 cas de myiase (l’infection causée par les larves de l’insecte) sont détectés chaque jour dans le pays. Le gouvernement espère donc former davantage de chiens dans les mois à venir.

Ces chiens peuvent travailler jusqu’à 8 à 10 ans, selon leur forme physique et mentale. Après cela, ils prendront une retraite bien méritée.

Les chiens, héros discrets de la santé animale

Grâce à leur odorat exceptionnel, ces chiens deviennent de véritables acteurs de la lutte contre un parasite dévastateur. Ils protègent la santé des animaux, soutiennent les éleveurs, et jouent un rôle important dans le maintien du commerce agricole. Une preuve de plus que les chiens sont bien plus que des compagnons : ce sont aussi des sauveurs silencieux.

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Les chiens, nouveaux membres de la famille

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Quand nos compagnons à quatre pattes prennent la place des enfants : Une nouvelle place pour les animaux : Depuis quelques années, la relation entre les humains et leurs chiens a profondément changé: Aujourd’hui, beaucoup de personnes considèrent leur chien comme un membre à part entière de la famille, parfois même comme un enfant. Ce phénomène touche de nombreux pays, notamment en Europe, aux États-Unis et en Amérique latine.

Cette évolution est liée à plusieurs changements dans la société : baisse du taux de natalité, augmentation des foyers d’une seule personne, coût élevé d’un enfant ou encore recherche de lien affectif stable. Dans ce contexte, les chiens deviennent des « enfants de substitution », une tendance que les chercheurs appellent désormais les « enfants-chiens ».

Un lien affectif fort et rassurant

Avoir un chien répond à un besoin émotionnel : celui de donner de l’amour, de prendre soin d’un autre être vivant, et de recevoir une affection sans condition. Contrairement aux humains, les chiens ne jugent pas, restent fidèles et s’adaptent facilement au quotidien de leur maître.

C’est ce qu’explique Isabella, 31 ans, qui préfère s’occuper de sa chienne plutôt que d’avoir un enfant : « Elle m’accompagne dans les moments difficiles, elle m’apaise. Un enfant, c’est pour la vie, un engagement plus lourd. » Ce type de témoignage est de plus en plus fréquent, surtout dans les grandes villes, où la vie est chère et stressante.

Une tendance mondiale en pleine croissance

Les chiffres confirment ce changement : en Espagne, il y avait en 2023 plus de chiens que d’enfants de moins de 14 ans. Dans l’Union européenne, les naissances ont diminué de plus d’un million en dix ans, tandis que le nombre de chiens a triplé. Aux États-Unis, on dénombre plus de 90 millions de chiens. Dans certaines villes d’Amérique latine, près de 60 % des foyers ont un chien.

Ce phénomène est aussi soutenu par une industrie florissante, qui propose des produits et services toujours plus nombreux : aliments de qualité, soins vétérinaires, accessoires, crèches pour chiens, spas et même assurances santé. Rien n’est trop beau pour nos compagnons.

Vers une nouvelle définition de la famille

Les chercheurs parlent désormais de « familles multi-espèces ». Le chien y occupe une place centrale, au même titre qu’un enfant. Cela a même un impact sur la loi : dans certains pays, des juges reconnaissent le droit de garde d’un animal lors d’un divorce, et la justice considère parfois les chiens comme membres officiels de la famille.

Cependant, les experts rappellent qu’il faut rester vigilants. Aimer son chien est une chose, le traiter comme un humain en est une autre. Il est essentiel de ne pas oublier que les chiens, bien qu’attachants et proches de nous, restent des animaux avec des besoins spécifiques.

Un besoin d’amour, mais aussi de limites

En conclusion, l’attachement grandissant aux chiens révèle notre besoin de lien, d’affection et de stabilité dans un monde de plus en plus incertain. Cette évolution positive doit s’accompagner de respect pour l’animal, sans lui imposer des rôles qui ne sont pas les siens. Aimons-les pour ce qu’ils sont : des compagnons fidèles, et non des enfants de remplacement.

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Chiens et chats plus nombreux que les enfants au Japon

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Un phénomène qui dure depuis plus de 20 ans : Depuis 2003, il y a plus de chiens et de chats que d’enfants de moins de 15 ans au Japon. Ce constat, qui pourrait sembler anodin, cache en réalité un changement profond de la société japonaise. En 2024, on compte environ 15,9 millions d’animaux de compagnie, contre seulement 13,7 millions d’enfants. Cette tendance se confirme d’année en année et reflète de grandes mutations culturelles, économiques et sociales.

Le Japon est confronté à un vieillissement de la population, un faible taux de natalité et une baisse du nombre de naissances depuis des décennies. Malgré les efforts du gouvernement pour encourager les naissances (aides financières, congés parentaux…), les jeunes Japonais choisissent de moins en moins d’avoir des enfants. En parallèle, les animaux de compagnie prennent une place toujours plus importante dans les foyers.

Pourquoi les Japonais préfèrent-ils un chien ou un chat ?

Plusieurs raisons expliquent cette préférence grandissante pour les animaux de compagnie, en particulier dans les grandes villes comme Tokyo ou Osaka :

  • Le coût de la vie est très élevé : élever un enfant coûte cher, surtout en logement, éducation, santé et garde. Un chien ou un chat coûte aussi de l’argent, mais reste plus abordable.
  • La pression au travail est intense : les horaires sont longs et la culture professionnelle laisse peu de place à la vie familiale. Beaucoup de couples ne trouvent pas le temps ou l’énergie pour élever un enfant.
  • Les rôles traditionnels restent forts : pour de nombreuses femmes, avoir un enfant signifie souvent mettre leur carrière entre parenthèses. Beaucoup préfèrent alors ne pas devenir mères.
  • La solitude en ville est courante : dans un environnement urbain individualiste, les animaux apportent compagnie, affection et réconfort, sans les engagements lourds liés à un enfant.
  • Un mode de vie plus libre : certains choisissent de vivre seuls ou sans enfants, mais veulent tout de même s’attacher à un être vivant. Le chien ou le chat devient alors une présence stable et aimante.

Un marché en plein essor pour les animaux

Cette tendance s’accompagne d’un véritable boom économique autour des chiens et des chats. Le marché des animaux de compagnie au Japon représente environ 12 milliards de dollars par an. De plus en plus de foyers investissent dans :

  • des aliments haut de gamme ou bio,
  • des soins vétérinaires sophistiqués,
  • des vêtements et accessoires personnalisés,
  • des poussettes pour chiens,
  • des funérailles pour animaux.

Ces dépenses égalent parfois celles faites pour un jeune enfant. Cela montre à quel point les animaux sont aujourd’hui considérés comme des membres à part entière de la famille.

Des conséquences sur la société japonaise

Le fait que les animaux soient plus nombreux que les enfants souligne les problèmes démographiques du Japon. Avec une population vieillissante et une natalité en baisse, le pays est confronté à :

  • une pénurie de main-d’œuvre,
  • une pression sur les retraites et les soins aux personnes âgées,
  • un ralentissement économique à long terme.

Même si les politiques de soutien à la natalité existent, elles ne suffisent pas. Le Japon semble entrer dans une nouvelle ère, où les modèles familiaux changent. Avoir un chien ou un chat devient une manière d’exprimer le besoin d’amour, de lien et de responsabilité, sans passer par la parentalité traditionnelle.

Une redéfinition de la famille

Aujourd’hui, au Japon, le foyer ne se limite plus à un couple avec enfants. De plus en plus de personnes vivent seules ou en couple avec un animal, qu’elles considèrent comme un vrai compagnon de vie. Ce phénomène pourrait bien annoncer ce qui attend d’autres pays développés, confrontés aux mêmes défis : comment concilier vie moderne, individualisme et besoin d’attachement ?

Les chiens et les chats, en apportant affection et stabilité, deviennent ainsi des piliers de la vie quotidienne pour de nombreux Japonais.

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Des chiens et des chats sur Tinder pour être adoptés

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Tinder: Les refuges débordés après la pandémie : Depuis la crise du Covid-19, de nombreuses personnes ont adopté des chiens ou des chats pour combler le manque de contact et de réconfort. Ces animaux ont souvent été accueillis avec enthousiasme dans les foyers. Cependant, à mesure que la vie normale a repris – avec le retour au travail, aux voyages ou aux sorties – certains propriétaires ont malheureusement abandonné leur compagnon à quatre pattes.

En Allemagne, notamment à Munich, cette situation est devenue critique. Chaque été, le nombre d’abandons augmente fortement, et les refuges atteignent leur capacité maximale. Certains animaux sont retrouvés seuls sur des aires d’autoroute, dans des parkings ou encore dans des gares, laissés là par des familles partant en vacances.

Une appli inspirée de Tinder pour relancer l’adoption

Pour faire face à cette urgence et tenter de vider les refuges, une idée innovante est née à Munich : utiliser le concept de Tinder, célèbre application de rencontres, pour aider à l’adoption de chiens et de chats. Ce projet original s’appelle “The Purrfect Match”, un jeu de mots sur “purr” (le ronronnement du chat en anglais) et “perfect match” (rencontre parfaite).

Le principe est simple : les animaux du refuge se présentent à travers une photo professionnelle et une courte description, comme sur une appli de rencontre. L’utilisateur peut “liker” le profil d’un chien ou d’un chat en glissant vers la droite. Si le match est fait, un chatbot prend le relais pour poser quelques questions pratiques, comme : “Avez-vous déjà eu un animal ?”, “Avez-vous un jardin ?”, ou “Êtes-vous souvent chez vous ?”.

Une adoption réfléchie et bien accompagnée

Cette démarche ne se limite pas à un simple clic. Après les échanges virtuels, une rencontre en vrai est organisée au refuge, en présence d’un soigneur. L’équipe s’assure que l’animal et l’adoptant sont vraiment compatibles. Le but est de créer une relation sincère et durable, pour éviter tout nouvel abandon.

Le refuge met l’accent sur les animaux les plus oubliés, ceux qui attendent depuis longtemps une famille. Grâce à leur profil mis en valeur, ils attirent plus facilement l’attention des visiteurs. Par exemple, Saskia, une chatte européenne calme et discrète, ou Harkos, un chien protecteur et joueur, ont désormais plus de chances de trouver un nouveau foyer.

Une idée à développer dans d’autres pays

L’application a été lancée officiellement le 8 août, lors de la journée internationale des chats. Le succès a été immédiat. Cette méthode moderne permet de toucher surtout les jeunes générations, plus habituées à utiliser leur téléphone pour faire des choix importants dans leur vie.

Comme l’explique Johannes Kokorsch, le directeur artistique de l’agence à l’origine du projet Tinder:

“Beaucoup de gens trouvent l’amour grâce aux applis. Alors pourquoi ne pas aider aussi les animaux à trouver leur famille idéale ?”

Une technologie au service du bien-être animal

Chaque année, environ 70 000 animaux sont abandonnés en Allemagne, principalement pendant l’été. Ce projet montre qu’il est possible d’utiliser des outils numériques pour une cause utile et pleine d’humanité.

“The Purrfect Match” n’est pas seulement une campagne de communication originale : c’est un vrai pont entre le monde moderne et les besoins simples d’un animal qui cherche juste un foyer aimant. Une belle manière de rappeler qu’un clic peut parfois changer une vie… ou deux.

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Jupiter Dog Beach : la plage préférée des chiens

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Une plage qui fait l’unanimité : Située en Floride, Jupiter Dog Beach vient d’être élue meilleure plage pour chiens aux États-Unis pour la deuxième année consécutive, selon le classement 2025 de USA Today. Cette plage longue de 4 kilomètres, ouverte aux chiens depuis 1989, est un lieu de détente où maîtres et toutous peuvent jouer librement sur le sable. Elle avait déjà été remarquée en 2016, en se hissant à la dixième place. Grâce à ses installations adaptées, son ambiance conviviale et son respect des animaux, elle est désormais une référence.

Un lieu pensé pour les chiens

À Jupiter Dog Beach, les chiens peuvent courir sans laisse sur le sable, ce qui en fait un endroit rare et précieux. Cependant, la ville de Jupiter précise que seuls les chiens calmes, sociables et bien dressés sont les bienvenus. Pour des raisons de sécurité, ils doivent être tenus en laisse lorsqu’ils circulent du parking jusqu’à la plage, et ils ne sont pas autorisés dans certaines zones surveillées.

Cette organisation garantit que la plage reste agréable pour tous, tout en offrant une grande liberté aux chiens de jouer, nager ou simplement se détendre.

Une communauté impliquée

L’association locale Friends of Jupiter Beach, à but non lucratif, s’investit depuis des années pour préserver la plage. Elle met à disposition des sacs pour ramasser les déjections et sensibilise les visiteurs à l’entretien des lieux. Grâce à ces efforts, l’endroit reste propre et accueillant, été après été.

Du plaisir… mais aussi de la prudence

La ville rappelle aussi que les chiens peuvent souffrir de la chaleur comme les humains. Il est donc conseillé d’apporter de l’eau fraîche, de la crème solaire spéciale animaux et de prévoir un coin d’ombre pour éviter les coups de soleil ou les insolations.

Le rendez-vous estival idéal

Que vous soyez habitant de la région ou de passage en vacances, Jupiter Dog Beach est un endroit parfait pour passer du temps de qualité avec votre chien. Jeux, baignades, rencontres entre animaux et ambiance joyeuse font de cette plage un véritable paradis canin. Une belle preuve que, parfois, les meilleurs souvenirs se construisent avec des pattes mouillées et des queues qui remuent.

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Des dents de chien sur les porte-bébés d’autrefois

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Dents de chien: Une découverte surprise sur un chantier moderne : En Allemagne, lors de travaux pour installer une ligne électrique, des archéologues ont fait une découverte étonnante. À proximité du village de Krauschwitz, à l’est du pays, ils ont trouvé des tombes vieilles de 4 500 ans. Ces sépultures appartiennent à une ancienne société du Néolithique, connue sous le nom de culture de la céramique cordée. Ce qui a particulièrement retenu l’attention des chercheurs, ce sont des objets rares liés à des femmes et leurs enfants.

Cette découverte s’est produite dans le cadre du projet SüdOstLink, une ligne électrique souterraine de 170 km. Les fouilles ont mis en évidence plusieurs tombes, mais certaines se distinguent par la présence de sacs décorés avec des dents de chien, un fait unique et chargé de sens.

Des sacs en cuir décorés avec des dents de chien

Parmi les objets trouvés, les archéologues ont retrouvé des sacs en cuir, aujourd’hui décomposés, mais encore décorés de dents de chien percées. Ces dents, soigneusement alignées comme des écailles de poisson, formaient un motif esthétique. Chaque sac pouvait contenir jusqu’à 350 dents, provenant de petits chiens proches du braque de Münster actuel.

Ces sacs mesuraient environ 30 x 20 cm et semblaient portés en bandoulière. Ils n’étaient pas simplement décoratifs : ils servaient aussi de porte-bébés. Leur fabrication très minutieuse montre qu’ils appartenaient à des femmes importantes dans leur communauté.

Des objets à la fois pratiques et symboliques

Les chercheurs ont parfois trouvé des ossements de bébés à l’intérieur ou près de ces sacs. Dans un cas, une femme enceinte avait été enterrée avec son sac, ce qui montre que ces objets étaient très personnels, non transmis d’une personne à une autre.

Certains nourrissons étaient enveloppés dans des écharpes contenant elles aussi des dents de chien, notamment des molaires. Les archéologues pensent que cela pouvait servir à protéger les bébés, un peu comme un porte-bonheur. Cela montre que le chien avait une place spéciale dans la vie des familles, bien au-delà de sa fonction de compagnon.

Un hommage aux morts et à la vie familiale

En plus de ces tombes, des structures funéraires encore plus anciennes ont été découvertes, datant d’environ 4000 av. J.-C. Cela prouve que cette zone était utilisée depuis très longtemps pour honorer les défunts.

Les fouilles vont continuer jusqu’à la fin du mois de juillet avec une équipe de 20 personnes. Tous les objets seront ensuite étudiés et probablement exposés dans des musées. Cette découverte nous rappelle à quel point les chiens faisaient partie intégrante de la vie des humains, y compris dans les moments les plus intimes, comme la maternité et la mort.

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Un chien prédit Chelsea vainqueur de la finale

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Un chien devin devenu une star : Alors que la finale de la Coupe du monde des clubs 2025 entre Chelsea et le PSG approche, un chien mystérieux surnommé Oracle Whiskers fait le buzz. Ce chien est devenu célèbre sur TikTok pour ses étonnantes prédictions lors de plusieurs matchs du tournoi. Le principe est simple : on place devant lui deux bols de croquettes, chacun portant le nom d’une des équipes. Celui qu’il choisit en premier est censé représenter le vainqueur du match.

Dans une vidéo devenue virale, on voit Oracle Whiskers hésiter quelques secondes avant de choisir le bol marqué « Chelsea ». Une fois encore, ce petit rituel amusant a captivé les internautes, mêlant humour, amour des animaux et passion pour le football.

Un PSG en grande forme

Le Paris Saint-Germain est arrivé en finale avec un parcours impressionnant. Après une victoire écrasante en Ligue des champions contre l’Inter Milan (5-0), le club parisien a confirmé son niveau en écrasant l’Atlético Madrid 4-0 pour démarrer la Coupe du monde des clubs. Seul accroc : une courte défaite 1-0 contre Botafogo en phase de groupes. Mais les Parisiens ont ensuite enchaîné les victoires sans encaisser de but, notamment contre le Bayern Munich, puis un 4-0 contre le Real Madrid en demi-finale.

Ce parcours presque parfait faisait du PSG un favori naturel pour la finale. Pourtant, Oracle Whiskers n’a pas choisi les Parisiens…

Chelsea, l’équipe surprise

Chelsea n’était pas annoncé comme favori au début du tournoi. Mais sous la direction d’Enzo Maresca, les Anglais ont montré beaucoup de solidarité, d’intelligence de jeu et d’envie. Après une défaite contre Flamengo en phase de groupes, ils ont rebondi avec force. Ils ont battu Benfica, Palmeiras et Fluminense, se hissant en finale avec sérieux et constance.

Ce parcours a permis aux « Blues » de gagner le respect de tous les observateurs, même si leur route semblait moins compliquée que celle du PSG.

Entre football et animaux, un moment unique

L’enthousiasme autour d’Oracle Whiskers prouve que les animaux peuvent aussi avoir leur place dans les grands événements sportifs. Ce chien, devenu un petit phénomène, a conquis le cœur des fans de foot et des amoureux des chiens. Que sa prédiction soit exacte ou non, il a offert un moment léger, drôle et attendrissant, qui a ajouté une touche originale à cette grande finale.

Dimanche 13 juillet, le verdict tombera. En attendant, Oracle Whiskers a déjà gagné la finale de la tendresse.

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Australie : Voyager avec son chat en avion, c’est possible !

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Un voyage unique pour un chat pas comme les autres : Ali, une Australienne expatriée, a réussi à faire voyager son chat Léopold en cabine de l’avion depuis Melbourne jusqu’en Europe. Alors que la plupart des animaux doivent encore être transportés en soute, elle a découvert une règle méconnue lui permettant de voyager avec son chat à ses côtés. Ce périple, bien que coûteux (près de 10 000 dollars), s’est révélé pour elle essentiel : « Je ne pouvais pas le laisser en soute », explique-t-elle.

Grâce à la compagnie aérienne Etihad, qui autorise les animaux en cabine au départ de Melbourne, elle a pris l’avion jusqu’à Paris, avant de continuer par train et voiture jusqu’à Londres.

Une organisation minutieuse et beaucoup de persévérance

Ali a dû faire face à de nombreuses informations contradictoires. Même des agences spécialisées dans le transport d’animaux pensaient que ce type de voyage était impossible. Mais après avoir appelé l’aéroport et rencontré un personnel accueillant, elle a confirmé que voyager avec un chat en cabine était bien autorisé.

Elle a tout organisé elle-même : réservation de billets, vérification des règles, papiers de transport et passeport européen pour animaux. Elle a ensuite utilisé une société spécialisée pour transférer son chat de France au Royaume-Uni, où l’entrée d’animaux est très encadrée.

Un vol sans stress pour le chat

Contre toute attente, le vol s’est très bien passé. Léopold, confortablement installé dans sa cage, a été calme durant le voyage. L’équipage d’Etihad s’est montré attentif et bienveillant, allant jusqu’à lui proposer une rangée de sièges vide pour plus de confort. À Abu Dhabi et en France, les transitions ont été simples, sans obstacle particulier.

Une tendance en évolution

D’autres voyageurs partagent la même expérience. Une autre Australienne, Sharon, a voyagé avec son chien Digby jusqu’en Corée du Sud grâce à Korean Air, qui permet aussi aux chiens en cabine. Elle a pu choisir un siège spécial “chien” en classe affaires et n’a rencontré aucun souci majeur.

De plus, Virgin Australia a récemment annoncé vouloir autoriser les chiens et chats en cabine sur ses vols intérieurs, bien qu’aucune date officielle n’ait été annoncée.

Ce qu’il faut savoir avant de partir

Les règles varient selon les compagnies aériennes. Par exemple, Etihad n’autorise les animaux à quitter l’Australie qu’au départ de Melbourne, et non de Sydney. Le chat ou chien doit peser moins de 8 kg (avec sa cage), être âgé d’au moins 16 semaines, et le coût du voyage en cabine peut atteindre 2 300 dollars US. Des documents de santé et de voyage doivent être envoyés avant le départ, et certaines races de chiens ne sont pas acceptées.

Une expérience inspirante pour les amoureux des animaux

Voyager avec un chat ou un chien en avion est encore rare, mais de plus en plus faisable avec les bonnes informations et un peu de préparation. L’histoire d’Ali prouve qu’avec de la détermination, il est possible de voyager avec son compagnon à quatre pattes dans des conditions sûres et humaines, sans devoir les reléguer en soute.

Une belle nouvelle pour les propriétaires d’animaux qui ne veulent plus être séparés de leurs fidèles compagnons !

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Protéger les chats à Singapour

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Une augmentation inquiétante des violences envers les chats : À Singapour, les cas de maltraitance envers les chats ont atteint un niveau record en 2024, avec 961 signalements, soit le chiffre le plus élevé enregistré depuis 12 ans. Ces données ont été partagées par la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA). Ces actes vont de la négligence à la cruauté volontaire, comme le cas choquant d’un homme ayant jeté plusieurs chats du haut d’immeubles, condamné à la prison ferme.

Une réponse ferme du gouvernement

Face à cette situation alarmante, le ministre de l’Intérieur singapourien, K. Shanmugam, a rappelé l’engagement du gouvernement à ne pas tolérer la cruauté envers les animaux. Selon lui, il faut cibler les personnes cruelles volontairement, celles qui s’en prennent aux animaux comme si c’était un jeu ou un passe-temps.

Il a aussi insisté sur la nécessité de faire la différence entre des erreurs involontaires et de véritables actes de cruauté. Pour lui, l’éducation du public à la possession responsable d’animaux est tout aussi importante que la punition des coupables.

Des lois renforcées pour protéger les animaux

Aujourd’hui, une personne reconnue coupable de cruauté envers un animal à Singapour risque jusqu’à 18 mois de prison et une amende de 15 000 dollars singapouriens. En cas de récidive, la peine peut monter jusqu’à 3 ans de prison et 30 000 dollars d’amende. Le gouvernement envisage même de renforcer encore la législation, en étendant les pouvoirs des autorités pour mieux lutter contre les abus.

Le rôle complexe des troubles mentaux

Certains cas de maltraitance envers les chats sont liés à des troubles psychologiques. Mais le ministre a été clair : la maladie mentale ne doit pas servir d’excuse pour justifier des actes violents. Si une personne représente une menace pour les animaux, elle doit être isolée ou soignée, selon l’avis des professionnels de santé mentale.

Une société en pleine prise de conscience

Malgré ces mesures, seuls 6 % des cas signalés entre 2019 et 2024 ont été confirmés par les autorités, faute de preuves suffisantes. Cela montre l’importance d’un meilleur signalement des faits, mais aussi d’un changement global dans les comportements. Protéger les chats, comme tous les animaux, passe par plus de respect, de vigilance et d’éducation.

Singapour montre l’exemple avec une approche mêlant loi, prévention et compassion, un modèle qui pourrait inspirer d’autres pays.

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Les premiers chats, sacrifiés avant d’être aimés

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Premiers chats: Une relation homme-chat pas si tendre au départ : Aujourd’hui, les chats sont considérés comme des compagnons fidèles, affectueux et souvent rois dans nos maisons. Mais selon une nouvelle étude scientifique, leur tout premier rôle auprès des humains était bien plus sombre. Contrairement à ce que l’on pensait jusqu’ici, la domestication des chats ne serait pas apparue au Néolithique pour chasser les rongeurs dans les villages agricoles. En réalité, les premières relations entre hommes et chats semblent avoir été motivées par des raisons religieuses… et violentes.

Les chats, offrandes sacrées dans l’Égypte ancienne

Selon les chercheurs, le lien étroit entre les humains et les chats aurait commencé en Égypte vers le premier millénaire avant J.-C. Les chats y étaient associés à la déesse Bastet, protectrice du foyer, de la fertilité et des femmes. D’abord représentée avec une tête de lionne, elle a été ensuite représentée avec une tête de chat, au moment même où la pratique du sacrifice de chats se développait.

Des millions de chats ont été élevés, tués puis momifiés comme offrandes religieuses. C’est à cette époque que les traits calmes et dociles des chats ont commencé à être sélectionnés, non pas pour vivre avec les humains… mais pour être plus faciles à manipuler pour les rituels.

Une domestication tardive, liée au sacré

C’est seulement après cette période de culte intensif que les qualités pratiques du chat, comme sa capacité à chasser les nuisibles, ont été reconnues dans la vie quotidienne. Les statues de Bastet ont souvent été retrouvées dans des zones agricoles, ce qui montre que les Égyptiens ont aussi vu les chats comme des alliés contre les rongeurs dans les cultures.

Ce mélange entre statut divin et utilité pratique aurait ensuite conduit à une domestication progressive, plus douce, où les chats ont fini par s’installer durablement dans les foyers humains.

Une fin encore plus dérangeante au XIXe siècle

Et comme si cela ne suffisait pas, l’étude ajoute un détail choquant : des preuves suggèrent que, bien des siècles plus tard, les Anglais à l’époque victorienne auraient utilisé certains de ces chats momifiés… comme engrais agricole. Cela montre à quel point l’histoire des chats est loin d’être linéaire et parfois injuste pour ces animaux devenus aujourd’hui si populaires.

Le chat, compagnon respecté… après bien des épreuves

Au final, les chats que nous aimons tant aujourd’hui ont traversé des siècles d’exploitation, de sacrifices rituels à des usages surprenants. Ce n’est qu’avec le temps que leur place est devenue celle de l’animal de compagnie adoré que l’on connaît. Cette histoire peu connue nous rappelle que la relation entre les humains et les animaux a beaucoup évolué, et qu’il est important de continuer à les protéger et les respecter.

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Le chat Manx, félin sans queue et plein d’histoire

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Une origine ancienne, entre histoire et mythes : Le chat Manx, connu pour ne pas avoir de queue ou en avoir une très courte, est une race ancienne originaire de l’île de Man, une petite île entre l’Angleterre et l’Irlande. On retrouve les premières mentions de ces chats vers le début du XVIIIe siècle. Bien que l’on ne sache pas exactement comment ils sont arrivés sur l’île, les Vikings auraient joué un rôle important. Grands amateurs de chats, ils les offraient comme cadeaux et les utilisaient sur leurs navires.

Certains pensent que les chats des forêts norvégiennes, aimés des Vikings, sont les ancêtres des Manx. Ces deux races partagent des caractéristiques étonnantes : pattes arrière plus longues, double pelage, goût pour l’eau, et tempérament généralement calme.

Pourquoi les chats Manx n’ont-ils pas de queue ?

L’absence de queue chez ces chats est liée à un phénomène génétique appelé « effet fondateur ». Sur une île comme celle de Man, le mélange génétique est limité, et des traits inhabituels comme une queue raccourcie peuvent devenir communs avec le temps. Ce changement s’est stabilisé au fil des générations, donnant naissance à une race unique : le Manx, ou « stubbin » en langue mannoise.

Des chats de ferme très utiles

Pendant longtemps, les chats Manx étaient très appréciés dans les fermes. Excellents chasseurs, ils étaient gardés pour lutter contre les rongeurs. Même en liberté, des colonies sauvages existaient, comme celle des écuries du tramway de Douglas dans les années 1950. Ces chats étaient parfois vus en train d’attaquer des oiseaux marins comme les goélands, grâce à leurs puissantes pattes arrière qui leur permettent de faire de grands sauts.

Des croyances étonnantes et une reconnaissance royale

Les marins avaient une croyance intéressante : un chat pouvait provoquer une tempête à cause de la magie cachée dans sa queue. Les chats Manx, sans queue, étaient donc considérés comme porte-bonheur en mer ! En 1963, un chat Manx tigré a même été offert à la reine mère lors de sa visite à l’île. Il est devenu le chat officiel du yacht royal Britannia, sous le nom de Schickrys.

Une race précieuse mais fragile

Malgré leur popularité, les chats Manx ne sont pas sans problèmes. L’absence de queue peut entraîner des troubles de la colonne vertébrale, appelés syndrome de Manx. Cela peut provoquer des difficultés de propreté, des problèmes intestinaux, voire une paralysie partielle. Les familles adoptant un chat Manx doivent être conscientes de ces risques et prévoir des soins vétérinaires réguliers.

En 2024, la MSPCA (société protectrice des animaux locale) a relogé 20 chats Manx, un chiffre identique à l’année précédente. Preuve que, malgré leurs particularités, ces chats sans queue continuent de fasciner et de trouver des foyers aimants.

Un chat unique à connaître et protéger

Le chat Manx est bien plus qu’un simple chat sans queue. Il porte en lui une histoire riche, des croyances anciennes, une utilité reconnue, mais aussi des défis de santé. Connaître ses origines et ses besoins, c’est mieux comprendre l’animal et mieux le protéger. Que vous soyez amoureux des chats ou simple curieux, le Manx reste un symbole attachant de la relation entre les humains et les félins.

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Les héritiers de Félix le chat réclament justice

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Un personnage culte oublié de ses créateurs : Félix le chat, petit félin noir et blanc au large sourire et au sac magique, est une star du dessin animé depuis plus d’un siècle. Créé en 1919 par plusieurs artistes, dont Patrick Sullivan, Félix est devenu un des premiers grands héros du dessin animé bien avant Mickey Mouse. Avec ses aventures pleines d’humour et de fantaisie, il a marqué des générations d’enfants et inspiré des produits dérivés dans le monde entier, notamment au Japon où il est devenu culte.

Des héritiers écartés des revenus

Mais derrière le sourire de Félix se cache une bataille juridique familiale. Trois descendants de Patrick Sullivan, l’un des co-créateurs, affirment aujourd’hui avoir été écartés pendant des décennies de la gestion des droits du célèbre chat. Selon eux, Donald Oriolo, fils d’un autre dessinateur lié à Félix, aurait pris le contrôle de la franchise sans les informer. Résultat : les héritiers estiment avoir perdu plus de 100 millions de dollars en droits et revenus issus des licences, des partenariats et de la vente de la marque à DreamWorks en 2014.

Un malentendu ou une vraie dissimulation ?

De son côté, l’avocat d’Oriolo affirme qu’il s’agissait d’un malentendu, assurant que tous les actionnaires avaient été rachetés depuis longtemps et qu’on ignorait l’existence des héritiers Sullivan. Il promet cependant d’ouvrir un dialogue pour trouver une solution équitable. Les héritiers, eux, maintiennent que les preuves montreront qu’Oriolo connaissait leur droit de propriété et qu’il a délibérément ignoré leurs intérêts.

Une leçon pour les créateurs et leurs familles

Cette affaire met en lumière une réalité parfois négligée : même les œuvres les plus connues peuvent donner lieu à des conflits de succession ou de propriété. Pour les familles de créateurs comme celles de Patrick Sullivan, il est important de faire respecter les droits et la mémoire de leurs proches.

Et les chiens ou chats dans tout ça ?

Félix n’est pas qu’un personnage de fiction : il montre à quel point les chats et les chiens, dans la culture populaire, peuvent marquer l’imaginaire collectif. Ils deviennent des symboles, des marques et parfois même de véritables trésors économiques. Cette histoire nous rappelle que, derrière ces animaux adorés, il y a aussi des créateurs — et parfois des familles qui se battent pour garder leur juste place dans l’héritage.

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