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Pen Farthing et le sauvetage des animaux de la zone de guerre à Kaboul

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L’histoire vraie et palpitante de l’évacuation controversée de 171 chats et chiens de Kaboul, orchestrée par l’ancien membre de la Royal Marine britannique Pen Farthing, redevenu civil, révèle des moments de courage, de danger et de controverse politique.

Fondation de Nowzad

Pen Farthing a fondé l’association caritative Nowzad (également nom du refuge) à Kaboul en 2007 pour secourir les chiens errants, militaires et victimes de la guerre. Son engagement envers ces animaux et son personnel afghan s’est transformé en une mission de sauvetage lors de la chute de Kaboul en août 2021.

L’opération Ark

En août 2021, lors de la chute de Kaboul, Farthing a organisé l’évacuation de son équipe afghane, de leurs familles et des animaux du refuge de Nowzad. Le vol d’évacuation a été entravé par des problèmes administratifs et des désaccords avec le ministère britannique de la Défense.

Le gouvernement britannique a accordé des visas aux employés et à leurs familles, mais l’autorisation d’évacuer les animaux a été retardée de 4 jours (25 août). Finalement, le 27 août, avec l’aide des forces armées britanniques, Farthing a quitté l’Afghanistan avec ses animaux à bord d’un jet privé.

Cependant, des controverses ont éclaté concernant l’implication de Farthing dans l’évacuation. Le secrétaire britannique à la Défense l’a accusé d’entraver les efforts d’évacuation des ressortissants britanniques et des alliés afghans.

Dans son livre « Operation Ark », Farthing relate en détail les événements tumultueux entourant le sauvetage des animaux, révélant les défis, les sacrifices et les actes de bravoure qui ont caractérisé cette opération humanitaire.

Le périple vers l’aéroport de Kaboul a été parsemé d’obstacles et de dangers, notamment des barrages talibans et un attentat suicide évité de justesse. Les animaux et le personnel ont été confrontés à des situations périlleuses tout au long du voyage.

Lanceur d’alerte

En décembre 2021, un lanceur d’alerte a affirmé que le Premier ministre Boris Johnson avait autorisé l’évacuation des animaux et du personnel de Nowzad, ce que Johnson a nié. Cependant, des preuves ultérieures ont indiqué son implication, alimentant les accusations de mensonge de la part de ses détracteurs, bien que le gouvernement ait rejeté ces allégations.

Débâcle politique et critique

Le gouvernement britannique, en proie à des scandales et à des échecs politiques, a été critiqué pour sa gestion désastreuse de l’évacuation de l’Afghanistan. Farthing est devenu un bouc émissaire dans un climat de colère et de frustration face à la situation.

La compassion des Américains

Des soldats américains ont apporté leur aide lors du sauvetage, offrant un soutien crucial et même utilisant un camion de pompiers pour rafraîchir les animaux surchauffés. Leur intervention a été un moment de soulagement et de gratitude dans l’urgence.

Politique étrangère

Le récit de Farthing soulève des questions sur la politique étrangère et les priorités des gouvernements en période de crise. L’opération Ark a mis en lumière les tensions entre la protection des animaux et la responsabilité envers les êtres humains dans les situations d’urgence.

Un acte d’humanité

Malgré les critiques et les obstacles, l’opération Ark a sauvé des vies, humaines et animales. L’histoire de Farthing est un témoignage poignant de compassion, de détermination et de solidarité dans les moments les plus sombres.

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Premier cimetière public pour animaux en Espagne

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Ouverture d’El Parque : Depuis le 26 juin 2024, Malaga abrite « El Parque », le premier cimetière public pour animaux de compagnie en Espagne. Cet espace vise à améliorer le bien-être psychologique des propriétaires en offrant un soutien adapté lors de la perte de leurs compagnons.

Objectifs et sensibilité sociale

Le maire de Malaga, Francisco de la Torre, a souligné que ce projet comble un vide dans le respect et le soin des animaux. Contrairement aux quatre cimetières privés existants en Espagne, « El Parque » est un espace public. Il prévoit d’accueillir plusieurs milliers d’utilisateurs par an, étant donné que Malaga et sa province comptent plus de 350 000 animaux de compagnie, parmi eux, environ 114 000 se trouvent dans la capitale de la province.

Installations et services

Occupant environ 100’000 mètres carrés dans le cimetière San Gabriel de Malaga, « El Parque » représente un investissement de plus d’un million d’euros. Construit selon des critères de durabilité et d’efficacité énergétique, le cimetière offre plusieurs services et installations :

  • Zone de réception
  • Bureau administratif
  • Crématorium
  • Salle d’adieu
  • Espace vert pour dépôt des cendres
  • Espace funéraire
  • Transfert d’animaux morts
  • Célébration d’événements d’adieu
  • Location de niches (10 à 30 ans)
  • Columbariums
  • Désenregistrement des animaux de compagnie

Tarification

Les tarifs pour les services varient en fonction du type de service et du poids de l’animal :

  • Crémation collective : 43 euros pour les animaux pesant moins de 30 kg, 64 euros pour ceux pesant plus.
  • Crémation individuelle : entre 180 et 202 euros pour les animaux de moins de 30 kg, selon l’urne choisie.
  • Enterrements : entre 260 euros (sans entretien) et 480 euros (avec entretien) pour une durée de 10 ans, jusqu’à environ 1 040 euros pour 30 ans avec entretien.

Espace digne et légal

« El Parque » se veut un lieu de repos digne et légal pour les animaux décédés. Le maire a exprimé le souhait d’offrir la meilleure attention aux familles pendant ce moment difficile de séparation.

Plus qu’un lieu de mémoire

Ce cimetière ambitionne également de promouvoir l’adoption responsable des animaux et la conservation de la nature. Il proposera diverses activités culturelles et éducatives telles que des ateliers, des conférences et des expositions.

« El Parque » est ainsi présenté comme un lieu novateur qui répond non seulement aux besoins émotionnels des propriétaires, mais qui encourage également une relation respectueuse et durable avec les animaux et l’environnement.


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Politics

Poutine et la diplomatie des chiens : une stratégie bien rodée

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Des cadeaux canins révélateurs : Le président russe Vladimir Poutine reçoit régulièrement des chiens en cadeau de dirigeants étrangers. Récemment, Kim Jong Un a rejoint cette pratique en offrant à Poutine une paire de chiens Pungsan lors de son voyage à Pyongyang. Cette diplomatie du chien rappelle la « diplomatie du panda » chinoise, où les pandas sont utilisés pour symboliser des relations amicales entre pays.

Un symbole de proximité

Le don des chiens Pungsan par Kim Jong Un symbolise le rapprochement entre la Corée du Nord et la Russie. Cette race locale est connue pour sa loyauté et son agressivité en cas d’attaque, un choix peut-être significatif compte tenu des relations politiques tendues.

Ce geste montre une image de deux dirigeants qui aiment les animaux et sont heureux de renforcer leurs liens, malgré leurs réputations de dictateurs. A cela près que Kim Jon Un interdit les animaux de compagnie dans les foyers de son pays, saur si ces derniers son destinés à être mangés : une sorte de garde-manger. Deux chiens offerts sont deux de sauvé. Putin aura les moyens pour maintenir les deux chiens ; à savoir que Poutine aurait amassé une énorme fortune personnelle d’environ 200 milliards de dollars.

Les chiens de Poutine : une longue histoire

Poutine n’est pas étranger à recevoir des animaux en cadeau. En 2012, il a reçu un Akita nommé Yume de la part du Japon, et en 2017, le président turkmène Gurbanguly Berdimuhamedow lui a offert un chiot pour son anniversaire. D’autres dirigeants, comme ceux de la Serbie et du Kirghizistan, ont également offert des chiens à Poutine, renforçant ainsi cette tradition.

Une utilisation stratégique des animaux

Poutine utilise ses chiens non seulement pour montrer son amour des animaux, mais aussi pour des stratégies de relations publiques. Il a été vu jouant avec ses chiens dans des contextes qui renforcent son image de leader fort et viril. Par exemple, en 2007, lors d’une rencontre avec la chancelière allemande Angela Merkel, Poutine a amené son labrador Konni, sachant que Merkel avait une phobie des chiens, probablement pour tenter de l’intimider.

Les chiens dans la politique

Poutine utilise ses chiens pour diverses raisons, de l’intimidation politique à l’amélioration de son image publique. Il a déclaré que son chien Konni lui donnait de bons conseils lorsqu’il était de mauvaise humeur, soulignant une image de leader proche de la nature et des animaux. Cependant, son utilisation des chiens peut également être vue comme une manière de démontrer son pouvoir et de manipuler ses adversaires.

Une diplomatie à double tranchant

Les récents cadeaux de Kim Jong Un surviennent après que la Corée du Nord a fourni des munitions à la Russie, soulignant une alliance militaire croissante. Cette relation soulève des inquiétudes quant à l’influence et aux intentions de ces deux pays. Les chiens Pungsan, décrits comme agressifs et loyaux, symbolisent peut-être une alliance prête à défendre ses intérêts par tous les moyens nécessaires.

En bref

Les chiens de Poutine jouent un rôle significatif dans sa diplomatie et son image publique. Ils sont utilisés pour montrer des relations amicales avec d’autres dirigeants tout en renforçant une image de puissance et de contrôle. Cette stratégie, bien que souvent perçue comme sympathique, cache des intentions politiques et des manipulations subtiles. Les chiens, dans ce contexte, deviennent des outils de pouvoir et d’influence sur la scène internationale.


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Actualité

Le candidat aux élections du parlement britannique est coupable de cruauté envers un chien

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Garry Sutherland, candidat réformiste britannique, a été reconnu coupable de cruauté envers un animal. Le tribunal de première instance de Weymouth l’a condamné pour avoir donné un coup de pied à un chien, causant des souffrances inutiles à un animal protégé. L’incident s’est produit le 24 juillet 2022 dans le village de Chideock, dans l’ouest du Dorset.

Condamnation et sanctions

En août 2023, Sutherland a été condamné à une amende de 2 000 livres et interdit de posséder des animaux pendant deux ans. En plus de cette amende, il doit effectuer 200 heures de travail non rémunéré au cours des 12 prochains mois. Lors de son procès, Sutherland a plaidé non coupable en novembre 2022, mais a finalement été reconnu coupable.

Réactions et justifications

Un porte-parole de Reform UK a confirmé que Sutherland avait donné un coup de pied au chien, mais a justifié son acte en disant qu’il essayait d’empêcher le chien d’attaquer des personnes. Sutherland lui-même a réagi sur les réseaux sociaux, affirmant qu’il avait agi pour protéger une famille d’une attaque de chien. Sur X (anciennement Twitter), il a écrit : « Un titre plus précis serait ‘un ancien démineur sauve une famille d’une attaque de chien’. Mais nous ne devons pas laisser la vérité entraver la campagne électorale. Hein ? »

Réactions en Ligne

La condamnation de Sutherland a suscité de nombreuses réactions en ligne. Des publications sur sa condamnation sont devenues virales, atteignant des dizaines de milliers de vues. Un compte nommé « Brexit Buster » a publié : « On dirait que Garry Sutherland, un agresseur de chiens reconnu coupable et candidat potentiel au parlement de Reform UK Ltd, s’est mis à l’abri après la révélation de son récent procès et de sa condamnation. Des amendes et des frais totalisant près de 2 000 livres, interdit de garder un chien, 200 heures de travaux d’intérêt général »

Contexte et Implications Politiques

Sutherland est candidat pour le parti réformiste britannique dans la circonscription d’Exmouth et Exeter Est. Sa condamnation a mis en lumière son passé et ses prises de position controversées. Le Mirror a découvert qu’il s’était rendu à Londres pour entendre l’ancien député conservateur Andrew Bridgen lier les décès excessifs aux vaccinations contre le COVID-19. Son compte de campagne a également retweeté des messages sceptiques à l’égard des vaccins.

Sutherland s’est précédemment décrit comme un « mari, père et patriote, qui a servi en tant qu’officier de déminage dans l’armée britannique », selon l’Exmouth Journal. Sa condamnation et les réactions qui ont suivi risquent de peser sur sa campagne électorale et sur sa réputation publique. Qui est prêt à parier qu’il ne sera pas élu, dû à cet acte abjecte ?

Le parti politique du candidat

Le leader du parti « Reform UK » est Nigel Farage. Nigel Farage est un homme politique de la droite souverainiste, classé à l’extrême droite. C’est un réformiste.

Farage est un grand opposant à l’Union européenne pour son pays et initiateur du Parti du Brexit. En 2019, craignant un recul sur la question, il fonde donc le Parti du Brexit, qui arrive en tête des élections européennes. Il accepte ensuite de ne pas présenter de candidats de son parti aux élections générales anticipées britanniques face aux députés sortants du Parti conservateur, dont la victoire permet finalement le Brexit.

Le 24 juin 2016, au lendemain de la tenue du référendum, à l’issue duquel les Britanniques expriment leur choix de quitter l’Union européenne (« Brexit »), il parle de « jour de l’indépendance » britannique, déclare qu’il s’agit d’« une victoire pour les gens ordinaires, pour les gens bons, pour les gens honnêtes » et réclame un « gouvernement Brexit » pour le Royaume-Uni.

Au début de l’année 2021, au lendemain du retrait officiel du Royaume-Uni de l’UE, le Parti du Brexit devient Reform UK. Nigel Farage annonce le 3 juin 2024 sa participation aux élections anticipées au Royaume-Uni sous la bannière de Reform UK « en pleine ascension dans les sondages ». Elections qui auront lieu le 4 juillet 2024, l’élection à la chambre des communes (chambre basse) et la désignation du Premier ministre britannique.

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Charles Leclerc et les crottes de Léo

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Charles Leclerc, pilote de la Scuderia Ferrari, âgé de 26 ans et est monégasque, a connu un week-end mouvementé au Grand Prix d’Imola (soit le Grand Prix automobile d’Émilie-Romagne) dû notamment à Léo. Malgré sa troisième place sur le podium, il a été confronté à un problème inattendu : son chiot Léo a semé des crottes de chien dans le paddock.

Leclerc et Léo : un duo surprenant Dimanche, Leclerc a terminé derrière Max Verstappen et Lando Norris, respectivement premier et deuxième de la course. Cependant, l’incident qui a marqué son week-end n’était pas sur la piste, mais dans les garages de l’équipe. Léo, son adorable chiot, a laissé ses « marques » dans le paddock, causant une situation embarrassante pour le pilote.

Carlos Sainz documente la scène Le coéquipier de Leclerc, le pilote espagnol Carlos Sainz, a partagé l’incident sur Instagram, montrant Charles pris au dépourvu sans sac plastique pour nettoyer après son chien. On voit Leclerc réprimander gentiment Léo en disant : « Pas au milieu du paddock, Léo, pas au milieu du paddock. »

L’équipe Ferrari à la rescousse Un membre dévoué de l’équipe Ferrari est intervenu pour nettoyer les dégâts avec des gobelets en papier. Sainz, dégoûté par la scène, n’a pu s’empêcher de rire. Leclerc, reconnaissant, a tenté d’aider mais a finalement laissé son collègue s’occuper de la tâche ingrate.

Léo, la nouvelle star du paddock Introduit au monde de la F1 en avril, Léo est déjà devenu une petite célébrité avec son propre laissez-passer pour le paddock. Toutefois, après cet incident, la question se pose : Léo pourra-t-il encore fréquenter le paddock librement ?

Malgré cette mésaventure, Charles Leclerc a pu compter sur le soutien de son équipe et des fans, montrant que même les stars de la F1 doivent parfois faire face à des situations très terre-à-terre.

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En Colombie, un chien sauve Vera Carvajal, un leader social

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En Colombie, la violence ne faiblit pas, mais parfois l’héroïsme se manifeste de manière inattendue; Jaime Yesid Vera Carvajal, un jeune leader social de Barrancabermeja, a récemment survécu à une attaque de tueur à gages grâce à son chien fidèle.

Une nuit ordinaire, une attaque imminente

Le samedi 18 mai 2024, Jaime Yesid Vera Carvajal se trouvait dans la rue du quartier María Eugenía, lisant tranquillement un livre. Soudain, deux hommes en moto l’ont attaqué. L’un d’eux a sauté de la moto, brandissant une arme à feu et menaçant Vera Carvajal. Heureusement, son chien, présent à ses côtés, a aboyé bruyamment, alertant Vera Carvajal du danger imminent.

Fuite et poursuite

Réagissant rapidement, Vera Carvajal s’est enfui, poursuivi par le tueur à gages. Son chien, montrant une loyauté indéfectible, a suivi son maître, aboyant sans relâche. La poursuite s’est étendue sur plusieurs pâtés de maisons, mais grâce à la présence de son chien, Vera Carvajal a réussi à échapper à ses assaillants et à sauver sa vie.

https://twitter.com/JaimeYesidVera1/status/1792000771568832928/video/1

Réactions et témoignages

L’incident a été capturé par une caméra de sécurité, montrant le moment où le criminel est descendu de la moto. Sur ses réseaux sociaux, Vera Carvajal a remercié Dieu et son chien pour sa survie, tout en appelant à une meilleure protection des leaders sociaux. Il a exhorté l’Unité de Protection (UNP) à prendre des mesures pour assurer sa sécurité.

Les réactions à son message ont été immédiates et soutenues. Beaucoup ont exprimé leur soulagement et leur soutien, soulignant la nécessité de garanties pour les leaders sociaux dans les territoires. Plusieurs messages ont condamné le paramilitarisme et ont appelé à des actions concrètes pour protéger les jeunes leaders engagés dans des transformations sociales.

Contexte et enquête

Les premières investigations suggèrent que l’attaque n’était pas une tentative de vol, mais un acte prémédité en réponse au travail social de Vera Carvajal dans la région pétrolière de Barrancabermeja. Quelques heures avant l’attaque, Vera Carvajal avait été nommé par le président Gustavo Petro comme délégué au conseil d’administration de l’Institut universitaire de La Paz, un rôle impliquant des initiatives pour renforcer la démocratie universitaire et promouvoir la paix dans la région de Magdalena Medio.

Un acte de courage et de loyauté

Cet incident met en lumière non seulement les dangers auxquels sont confrontés les leaders sociaux en Colombie, mais aussi le rôle crucial que peuvent jouer les animaux de compagnie dans la protection et le soutien de leurs propriétaires. Le chien de Vera Carvajal, par son acte de courage, a non seulement sauvé son maître mais a également mis en évidence l’importance de la vigilance et de la protection communautaire.

La loyauté et le courage de ce chien rappellent que même dans les moments les plus sombres, il existe des sources inattendues de lumière et de survie. Les autorités continuent d’enquêter pour traduire en justice les responsables de cette attaque, tandis que la communauté exprime sa solidarité et son soutien à Vera Carvajal.

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Personnalités et Stars

Noem et les tribus: polémiques et interdictions

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La gouverneure du Dakota du Sud, Kristi Noem, est au cœur de plusieurs controverses, mêlant tensions avec les tribus amérindiennes de son État et des révélations choquantes sur son passé.

Interdiction d’accès à 20 % de l’État

Kristi Noem est désormais bannie de près de 20 % du territoire de son État. Cette interdiction concerne les terres des tribus Yankton Sioux, Sisseton-Wahpeton Oyate, Oglala, Rosebud, Cheyenne River et Standing Rock Sioux. Les mesures ont été prises après ses déclarations controversées liant les chefs tribaux aux cartels de la drogue.

Relations tendues avec les tribus

Les relations entre Noem et les tribus amérindiennes étaient déjà tendues avant son mandat, notamment après son soutien à la législation anti-manifestation lors des protestations contre le Dakota Access Pipeline en 2016. Les conflits ont été exacerbés par les points de contrôle COVID-19 mis en place par les tribus, que Noem avait critiqués.

Propos controversés et répercussions

En mars, Noem a accusé publiquement certains chefs tribaux de profiter des cartels de la drogue. Elle a affirmé recevoir des appels à l’aide de résidents de Pine Ridge, craignant pour leur sécurité. Ces commentaires ont été vivement critiqués par les dirigeants tribaux, exacerbant les tensions existantes.

Scandale du chien

La gouverneure a récemment admis dans son livre avoir abattu son chien de chasse, Cricket, parce qu’il était impossible à dresser et trop agressif. Cette révélation a suscité une vague d’indignation, notamment de la part des défenseurs des animaux, ajoutant à la liste des polémiques entourant Noem.

Impact politique

Ces controverses affectent ses ambitions politiques, notamment sa candidature potentielle comme colistière de Donald Trump. Bien que Trump ait exprimé son soutien, les scandales entourant Noem, y compris ses fréquents voyages dentaires à Houston aux frais de l’État et une anecdote douteuse sur une rencontre avec Kim Jong Un, nuisent à son image publique.

En bref

Entre les accusations d’inaction face aux cartels de la drogue et la gestion controversée de son chien, Kristi Noem navigue dans une mer de controverses qui impacte non seulement sa gouvernance mais aussi ses aspirations politiques futures.

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Politics

Le chien « Matapacos » et Boric : symbole de controverse

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La figure emblématique du chien « Negro Matapacos » continue de susciter des débats et des critiques autour du président chilien Gabriel Boric. La récente publication d’une photo montrant Boric avec un autocollant de ce chien sur son ordinateur a ravivé les discussions passionnées sur son passé militant et son positionnement actuel.

Contexte et symbolique du chien « Matapacos »

Le chien « Negro Matapacos » est devenu un symbole puissant de la lutte sociale au Chili, particulièrement pendant les manifestations de 2019. Ce chien noir, souvent représenté avec un foulard rouge, incarne la résistance et la solidarité face aux injustices. Utilisé par les manifestants comme un symbole de rébellion, son image a traversé les frontières, faisant de lui une icône de la contestation sociale.

La controverse actuelle

La polémique a été relancée par la diffusion d’une photo de Gabriel Boric travaillant avec un autocollant du chien « Matapacos » sur son ordinateur. Cet autocollant rappelle l’implication de Boric dans les mouvements sociaux avant son accession à la présidence. Pour certains opposants, cette image démontre une incohérence entre son passé militant et ses déclarations actuelles.

Critiques de l’opposition

Le sénateur indépendant Karim Bianchi a été particulièrement virulent dans ses critiques. Il a accusé Boric de malhonnêteté et d’incohérence, déclarant au média T13 : « Je dis au Président de ne pas être jaune ou de ne pas avoir de comportement menteur par rapport à ce que j’ai vu à un moment donné. » Bianchi a souligné que Boric avait nié ses liens avec le symbole du chien « Matapacos », malgré des preuves de son engagement passé.

Selon Bianchi, le président doit admettre ses erreurs ou expliquer son changement de position, mais ne jamais mentir au public. Il a insisté sur la nécessité pour Boric de reconnaître son passé et d’être transparent sur ses convictions et ses actions.

Soutien du parti au pouvoir

Malgré les critiques, Boric a reçu le soutien de son parti et de certains alliés politiques. Lautaro Carmona, président du Parti communiste (PC), a défendu le président en affirmant qu’il n’y avait « aucun crime à transformer une amulette en quelque chose de massif et de plusieurs millions de dollars. » Carmona a précisé que l’utilisation de ce symbole pendant les manifestations sociales n’était pas problématique en soi.

Le député de la Convergence Sociale, Gonzalo Winter, a également soutenu Boric en critiquant les factions de l’opposition qui cherchent uniquement à « offenser le Président de la République. » Winter a souligné que ces critiques ne contribuent pas à résoudre les problèmes actuels du pays, tels que la lutte contre le crime organisé.

Impact sur les réseaux sociaux et la popularité

Les critiques de Boric à l’égard de la figure du « Perro Matapacos » ont eu un effet notable sur sa popularité et sa présence sur les réseaux sociaux. Selon une étude d’Ananda Consultores, le compte Instagram du président a perdu 1 233 abonnés après la relance de la polémique. De plus, jusqu’à présent en 2024, les réactions aux contenus publiés ont considérablement diminué par rapport à la même période en 2023.

L’étude révèle une réduction de 27,4 % de la croissance absolue des nouveaux abonnés sur X (ex-Twitter), Facebook et Instagram. Entre janvier et mai 2023, Boric avait gagné 101 639 nouveaux abonnés, mais ce chiffre est tombé à 73 833 au cours de la même période en 2024. Les likes, commentaires et partages ont également diminué de 26,1 %, passant de 8 619 004 réactions en 2023 à 6 370 265 en 2024, malgré une augmentation de la génération de contenus.

Implications politiques

Cette controverse autour de l’autocollant du chien « Matapacos » reflète les divisions profondes au sein de la société chilienne. Elle soulève des questions sur l’authenticité et la transparence des leaders politiques, ainsi que sur l’utilisation de symboles populaires dans le discours politique.

En bref

Le chien « Matapacos » demeure un symbole puissant de la résistance sociale au Chili. Sa réapparition dans le débat politique montre combien les symboles peuvent influencer les perceptions publiques et les relations de pouvoir. Pour le président Boric, cette polémique représente un défi à sa crédibilité et à sa capacité à naviguer entre son passé militant et son rôle actuel de chef d’État. La gestion de cette controverse et ses répercussions sur sa popularité illustrent les complexités et les tensions inhérentes à la politique moderne au Chili.

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Entertainment

Houtong, le village des chats errants à Taïwan

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Houtong, une petite ville située à 40 kilomètres de Taipei, au Nord de Taïwan, est devenue célèbre pour ses habitants très particuliers : les chats errants. Autrefois un centre minier prospère, cette localité a subi une transformation remarquable pour devenir un refuge pour les félins, attirant des touristes du monde entier.

Une renaissance inattendue

À l’époque de l’exploitation minière, Houtong abritait environ 6 000 personnes. Cependant, avec la fermeture des mines dans les années 1990, la population a chuté à moins de 100 habitants. La ville semblait condamnée à l’oubli jusqu’à ce qu’un photographe taïwanais, en 2008, mette en lumière les chats errants de Houtong à travers des photos devenues virales sur les réseaux sociaux. Ces images ont attiré l’attention des amoureux des félins et ont transformé la ville en une destination touristique unique.

Une communauté dévouée aux chats

Aujourd’hui, Houtong compte environ 200 chats errants, plus nombreux que les habitants humains. Ces chats vivent librement dans les rues et sont pris en charge par une communauté composée de résidents locaux et de bénévoles dévoués. Une commission de bénévoles et de vétérinaires veille à leur bien-être, s’assurant qu’ils sont bien nourris, soignés et protégés.

Les touristes qui visitent Houtong sont tenus de suivre des règles strictes pour garantir la sécurité et le confort des chats. Il est recommandé de ne pas les déranger excessivement, de ne pas les poursuivre et de maintenir une bonne hygiène des mains avant de les toucher.

Un lien étroit entre les chats et l’économie locale

La transformation de Houtong n’est pas seulement sociale, mais aussi économique. Le tourisme félin a revitalisé l’économie locale avec des commerces, des cafés et des restaurants adoptant le thème du chat pour attirer les visiteurs. Les week-ends, la ville est particulièrement animée, avec des touristes venus du monde entier pour voir les célèbres chats de Houtong.

Défis et perspectives

Malgré le succès de cette transformation, Houtong fait face à des défis. La popularité croissante a entraîné des problèmes comme l’abandon d’animaux de compagnie et le vol de chats. Cependant, la communauté reste vigilante pour protéger ses habitants à quatre pattes. Des initiatives sont également en place pour encourager une adoption responsable et prévenir la maltraitance des animaux.

Un exemple inspirant

Houtong est un exemple inspirant de la manière dont une communauté peut se réinventer en se concentrant sur le bien-être animal. Ce modèle pourrait être appliqué dans d’autres régions du monde confrontées à des crises similaires. La ville montre qu’avec de la compassion et de la créativité, même les endroits les plus touchés par le déclin industriel peuvent trouver une nouvelle vie.

En bref

Houtong, le village des chats de Taïwan, est bien plus qu’une simple attraction touristique. C’est un témoignage vivant de la résilience et de la capacité des communautés à se réinventer. Les chats de Houtong, avec leur présence charmante, ont réussi à transformer une ville déclinante en un lieu vibrant et plein d’espoir, démontrant l’impact positif que les animaux peuvent avoir sur la société humaine.

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Personnalités et Stars

La favorite au poste de vice-présidente de Trump, Kristi Noem, avoue avoir tué sans regret un chien

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La récente confession de Kristi Noem dans son nouveau livre fait grand bruit ; la gouverneure du Dakota du Sud, souvent évoquée comme possible colistière de Trump, a avoué avoir tué un chien de chasse et une chèvre. Cette révélation a suscité une réaction de répulsion généralisée, y compris parmi les conservateurs. La nouvelle a perturbé la course à la vice-présidence de Donald Trump, le candidat républicain présumé à la présidentielle, dont Noem est un ardent partisan.

Des figures conservatrices éminentes ont exprimé leur horreur devant cet acte. Alyssa Farah Griffin, ancienne membre du personnel de Trump, a souligné l’importance de la formation des chiens et condamné l’acte de Noem.

Même des voix démocrates se sont jointes au concert de critiques, soulignant l’importance de traiter les animaux avec compassion.

Déclarations controversées

Dans son livre, Noem décrit avec détail ses frustrations envers Cricket, le chien de chasse qu’elle a tué. Elle a déclaré que le chien de 14 mois nommé Cricket, un braque à poils durs, était « impossible à dresser » et « sans valeur » comme chien de chasse.

Ce récit macabre a choqué de nombreux lecteurs et a relancé le débat sur le traitement des animaux.

Noem a emmené Cricket dans une gravière et lui à bout portant a-t-elle écrit. Après avoir tué Cricket, Elle « s’est rendu compte qu’un autre travail désagréable devait être fait » et elle a pointé son arme sur l’une des chèvres de la famille, qui, selon elle, était « méchante », sentait « fétide, musquée, rance » et « adorait chasser » ses enfants.
La républicaine de 52 ans a détaillé l’assassinat dans son dernier livre comme preuve qu’elle est prête à faire des choses « difficiles, salissantes et laides » lorsque cela est nécessaire.

Réactions politiques et médiatiques

La révélation de Noem a eu un impact sur la course à la vice-présidence, où elle est souvent mentionnée comme candidate potentielle. Des figures politiques et médiatiques ont exprimé leur consternation face à cette histoire, soulignant l’impact potentiel sur la carrière politique de Noem.

A la l’annonce de la nouvelle, Hillary Clinton a trollé la gouverneure du Dakota du Sud et avait tweeté « Ne votez pas pour quelqu’un à qui vous ne feriez pas confiance avec votre chien ».

Les groupes de défense des animaux ont réagi avec indignation, condamnant l’acte de Noem comme cruel et inexcusable. Ils ont souligné l’importance de l’éducation et de la compassion envers les animaux, critiquant la décision de Noem de tuer Cricket plutôt que de chercher des solutions alternatives.

Réponse de Kristi Noem

Face aux critiques, Noem a tenté de justifier son acte en invoquant les réalités de la vie à la ferme. Cependant, ses explications n’ont pas convaincu de nombreux observateurs, qui estiment que tuer un animal de compagnie sans essayer d’abord de le dresser ou de lui trouver un nouveau foyer est inacceptable.

Réactions publiques

Des personnalités connues ont également exprimé leur indignation, condamnant l’acte de Noem comme délibérément cruel. Des campagnes publicitaires ont même été lancées pour sensibiliser au traitement des animaux par les politiciens et inciter à la compassion envers les animaux.

En bref

L’affaire Noem met en lumière les questions éthiques entourant le traitement des animaux par les politiciens. Alors que Noem, qui a tué de sang-froid en tirant au visage du chien, tente de minimiser les réactions négatives, la condamnation de son acte semble être unanime, tant du côté conservateur que démocrate.

Enfin, des personnalités célèbres ont ajouté leur voix à la condamnation de Noem, soulignant que la cruauté envers les animaux ne devrait pas être tolérée, quelle que soit l’affiliation politique. Mark Hamill, Martina Navratilova et d’autres ont exprimé leur désapprobation, renforçant ainsi le sentiment général de répulsion face à cet acte cruel.

Même la fille du regretté sénateur républicain John McCain (Arizona) a critiqué Noem après les révélations dans le Guardian.

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Personnalités et Stars

Le premier ministre français Attal est neo-propriétaire de chien

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Le Premier ministre français Gabriel Attal devient propriétaire de chien Gabriel Attal, Premier ministre français, partage un moment personnel à l’Assemblée nationale : son chien Volta, un cadeau de famille.

La scène a déclenché une controverse après qu’il a partagé une photo de son chien lors des débats sur la motion de censure, suscitant des réactions vives de l’opposition. Dans une récente interview au Parisien, Gabriel Attal explique les détails de cet événement, mettant en avant le caractère spontané de la situation. La séquence dans l’hémicycle a été interprétée comme une tentative de Gabriel Attal pour détendre l’atmosphère tendue liée à la motion de censure. Il explique avoir reçu une photo de sa chienne envoyée par ses sœurs pendant la séance parlementaire et avoir spontanément voulu partager ce moment avec ses collègues ministres. Malgré les tentatives de Gabriel Attal pour minimiser l’incident, des membres de l’opposition, dont Boris Vallaud, ont exprimé leur mécontentement.

Le geste du Premier ministre a été qualifié de « lunaire » par le député socialiste Inaki Echaniz. Dans une tentative de répondre aux critiques, Gabriel Attal a partagé une photo de son chiot sur les réseaux sociaux ce dimanche après-midi. Il a ajouté en légende : « Elle devait rester mon jardin secret… Une photo de mon écran de téléphone cette semaine en a décidé autrement ». Cette démarche vise à montrer son amour pour les animaux et son engagement en faveur du bien-être animal.

Gabriel Attal explique que cette photo, immortalisée le 5 février, était celle de sa nouvelle chienne chow-chow, Volta, offerte par sa famille à l’occasion de sa nomination en tant que Premier ministre. « On est sûr que c’est le moment pour toi ! », lui a dit sa famille. « Au fond, j’en étais sûr aussi, il fallait juste y aller ». C’est ainsi que Gabriel Attal s’est retrouvé avec une petite chienne nommée Volta, année des « V » en France oblige.

« Elle a une énergie débordante. Elle porte ainsi très bien son nom, Volta, en hommage à l’inventeur de la pile électrique. »

Le Premier ministre suit l’exemple du président de la république qui, en plus d’être déjà le maitre de Némo, adopté en 2017, vient d’accueillir Jules et Jeanne, deux lévriers tazi, une race de chiens kazakhs offerts au chef de l’État lors de son voyage officiel au Kazakhstan en novembre dernier en novembre dernier, cadeau de Kassym-Jomart Tokaïev.

L’interview accordée au Parisien met en lumière l’influence de la famille dans cette décision d’adopter un chien. Convaincu par ses proches, Gabriel Attal a finalement accueilli Volta le week-end suivant sa nomination à Matignon. La polémique a été commentée par Boris Vallaud sur France 3, qualifiant la réponse du Premier ministre de « un peu cabot » et soulignant le contraste entre l’attitude légère et les sujets sérieux abordés pendant les débats parlementaires.


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Politics

Biscuits pour chien dans la politique indienne

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Une polémique a éclaté lorsque le chef du parti politique BJP, Amit Malviya, a partagé une vidéo accusant Rahul Gandhi d’avoir offert des biscuits pour chien à un employé du Congrès lors de la Bharat Jodo Nyay Yatra (Marche pour l’unité et la justice en Inde). Cette accusation a été renforcée par le ministre en chef de l’Assam et leader du BJP, Himanta Biswa Sarma, dénonçant les mauvais traitements présumés infligés à ses partisans.

La vidéo partagée par le Congrès montrait Rahul Gandhi offrant des biscuits à un chien, mais ne montrait pas clairement s’il avait donné le biscuit rejeté à un employé du parti, comme l’affirmait le BJP. Amit Malviya a insisté sur le fait que Rahul Gandhi avait manipulé le biscuit pour le donner ensuite à l’employé, alimentant ainsi la controverse.

En réponse, Himanta Biswa Sarma a accusé Rahul Gandhi de maltraiter ses partisans, soulignant un précédent épisode où lui-même et d’autres dirigeants du Congrès auraient été invités à partager des biscuits provenant de la même assiette que le chien de compagnie de Rahul Gandhi, Pidi.

La polémique s’est intensifiée sur les réseaux sociaux, avec des partisans des deux camps s’affrontant sur l’intention réelle derrière l’incident. Himanta Biswa Sarma a fermement rejeté l’idée d’accepter les biscuits, affirmant sa fierté en tant qu’Assamais et Indien.

La situation reflète les tensions politiques en cours entre le BJP et le Congrès, alimentées par des événements anodins qui sont souvent exagérés pour des gains politiques. Cette controverse souligne les rivalités politiques intenses qui persistent dans le paysage politique indien.

https://timesofindia.indiatimes.com/videos/toi-original/what-have-dogs-done-to-bjp-rahul-gandhi-responds-to-attack-over-viral-biscuit-video/videoshow/107467282.cms


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Politics

Hawaï : Adopte un chien lors de tes vacances

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Hawaï est réputée pour ses paysages magnifiques, ses plages dorées et sa végétation luxuriante. Mais au-delà de ses attractions naturelles, l’archipel offre également une opportunité unique pour les touristes de découvrir ses trésors cachés en compagnie de chiens abandonnés à adopter.

L’initiative de la Kauaʻi Humane Society permet aux voyageurs de fusionner aventure et bienveillance en emmenant avec eux un compagnon canin lors de leurs excursions à Hawaï. Ce projet novateur, dédié à la mémoire du jeune bénévole Jian Mehta, vise à favoriser l’adoption des chiens tout en offrant une expérience enrichissante aux visiteurs.

Le processus est simple : les touristes intéressés s’inscrivent sur le site de l’association et se rendent au refuge à la date convenue. Là, ils sont jumelés à un chien en fonction de leurs préférences et des activités prévues pour la journée. Munis d’un sac à dos rempli de fournitures essentielles et accompagnés d’un compagnon arborant un harnais avec l’inscription « adopte-moi », ils sont prêts à partir à l’aventure.

Les bénévoles de l’association guident les participants vers des destinations pittoresques et des sites d’intérêt, facilitant ainsi leur expérience. Bien que les chiens doivent être tenus en laisse pour des raisons de sécurité, la plupart des endroits visités accueillent chaleureusement nos amis à quatre pattes.

Pour les touristes tombant amoureux de leur compagnon de voyage, l’organisation facilite le processus d’adoption. Cependant, l’objectif principal de l’initiative est de donner aux chiens une pause bien méritée de la vie en refuge et de les familiariser avec le monde extérieur.

Explorer Hawaï avec un chien abandonné à adopter offre une expérience unique, alliant découverte, bien-être animal et générosité. C’est une manière inspirante de découvrir les trésors cachés de l’archipel tout en offrant une seconde chance à nos amis à quatre pattes.


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Actualité