Société
UK: The Range accueille les chiens dans ses magasins
Bonne nouvelle pour les propriétaires de chiens ! La chaîne britannique The Range vient d’annoncer que ses 200 magasins au Royaume-Uni acceptent désormais les chiens. The Range Home & Gardens PLC est un détaillant multicanal vendant des produits dans les catégories maison, jardin et loisirs. Fondée à Plymouth par Chris Dawson, l’entreprise a partagé cette décision sur Facebook. Cet accueil des animaux de compagnie tombe à pic, car un événement dédié aux animaux se déroule actuellement en magasin, offrant des promotions sur les produits pour chiens.
Les conditions pour l’entrée des chiens
Malgré cette ouverture, quelques règles doivent être respectées. Les chiens doivent être tenus en laisse à tout moment lorsqu’ils sont à l’intérieur des magasins. De plus, seuls les chiens bien élevés sont autorisés, afin de garantir une expérience agréable pour tous les clients. Les propriétaires sont responsables du comportement de leurs animaux et doivent s’assurer que ceux-ci ne perturbent pas les autres visiteurs. En cas de besoin, ils doivent également ramasser les déjections de leur chien.
Ces conditions de The Range visent à équilibrer l’accueil des chiens avec le confort de tous les acheteurs.
Réactions des clients
L’initiative a été largement saluée par les clients. Elles ont exprimé leur joie de pourvoir faire du shopping avec leur petit chien ; s’ils sont petits ils sont souvent placés dans une poussette pour éviter de déranger les autres clients. D’autres clients propriétaires de chiens ont aussi apprécié cette décision, notant que, selon eux, les chiens se comportent souvent mieux que certaines personnes ou enfants.
Accessibilité et préoccupations
Cependant, certains clients de The Range ont exprimé des inquiétudes. Certains ont souligné que l’amélioration de l’accessibilité pour les personnes en fauteuil roulant devrait être une priorité. Ils ont noté que les allées étroites et les articles empilés rendent difficile la circulation en fauteuil roulant. Il a été également attiré l’attention sur l’importance de créer un environnement plus accessible pour les utilisateurs de fauteuil roulant, notamment pour ceux avec des chiens d’assistance.
Les craintes dissipées
Certains craignaient que l’autorisation des chiens ne transforme les magasins en terrains de jeu pour chiens. Maisie Burwood a rassuré les clients, expliquant qu’il est peu probable de croiser plus de deux chiens en même temps dans un grand magasin, comme cela est déjà observé dans d’autres enseignes acceptant les chiens.
En somme, cette nouvelle politique de The Range est bien accueillie, mais des efforts supplémentaires en matière d’accessibilité sont demandés par certains clients.
Société
Pokadot Frenchie: Nouvelle race de chien controversée de Dr. ADN
Un éleveur sans scrupules crée un chien « de créateur » : Un homme se faisant appeler « Dr. ADN », de son vrai nom Gary Hemming, a suscité une vague d’indignation après avoir annoncé la création d’une nouvelle race de chiens « de créateur » (Pokadot Frenchie). Hemming, âgé de 41 ans et originaire d’Édimbourg, en Écosse, prétend avoir combiné l’ADN d’un dalmatien et d’un bouledogue français pour concevoir une nouvelle race qu’il appelle le « Pokadot Frenchie ». Il espère vendre ces chiens génétiquement modifiés à travers le monde.
Cependant, Hemming n’a ni licence ni qualifications vétérinaires. Cette initiative a provoqué une forte réaction des experts en santé animale, qui accusent l’éleveur de mettre en péril la santé et le bien-être de ces chiots.
Des pratiques dénoncées par les vétérinaires
L’Association vétérinaire britannique, par la voix de sa présidente, le Dr Elizabeth Mullineaux, s’est exprimée contre ce type d’élevage. Selon elle, les éleveurs comme Hemming cherchent à répondre à la demande croissante de races à la mode, souvent au détriment de la santé des animaux. Les chiots issus de ce type de pratiques souffrent fréquemment de graves problèmes de santé, en particulier ceux qui sont élevés pour avoir des traits physiques extrêmes comme des visages aplatis ou des rides excessives.
Ces pratiques sont également liées à des services non réglementés comme les cliniques de fertilité canine, qui se multiplient au Royaume-Uni. Hemming, quant à lui, s’est vanté sur les réseaux sociaux de ses créations, partageant des photos d’un chiot nommé « M. Pokadot », décrit comme le « premier et unique pokadot en velours bigrope au monde ».
Des accusations graves et une enquête en cours
La BBC a mené une enquête sur les pratiques d’Hemming en janvier 2023, révélant que l’éleveur avait déjà créé des chiots génétiquement modifiés, surnommés « chiots Frankenstein ». Il avait notamment élevé des bouledogues français sans poils, issus de croisements entre bouledogues américains et anglais. Ces chiots étaient ensuite vendus sur les réseaux sociaux, suscitant des inquiétudes quant à leur santé future.
Hemming a également été condamné pour d’autres délits par le passé, dont des accusations de vol et d’agression domestique. Cette nouvelle controverse autour de son élevage de chiens a relancé le débat sur la réglementation des pratiques d’élevage en Écosse.
Vers un renforcement de la réglementation
Face à cette situation, le gouvernement écossais a pris des mesures pour mieux encadrer l’élevage de chiens. En août, les autorités ont annoncé la mise en place de nouvelles lois visant à réguler les services de fertilité canine et à interdire les éleveurs sans licence. Cette décision fait suite à une campagne nationale menée par des vétérinaires et des associations de protection animale, dénonçant les risques posés par ces éleveurs non réglementés.
Le cas de Gary Hemming a mis en lumière l’importance de réglementer strictement l’élevage de chiens pour éviter la souffrance des animaux et garantir leur bien-être.
Société
Premier menu de friandises pour chiens à bord des trains
Transport for Wales (TfW) innove en lançant le tout premier menu de friandises pour chiens au Royaume-Uni. Cette initiative vise à rendre les voyages en train plus agréables pour les propriétaires de chiens et leurs compagnons à quatre pattes.
Une offre inédite pour les chiens
Grâce à un partenariat avec Dewkes Snack For Dogs, une entreprise locale basée au sud du Pays de Galles, TfW propose désormais des collations spécialement conçues pour les chiens à bord de certains trains. Ce menu de friandises naturelles et de haute qualité est disponible sur les itinéraires phares, tels que ceux reliant Swansea à Manchester et Cardiff à Holyhead.
Adapter les voyages aux chiens
Avec de nombreuses régions du Pays de Galles accessibles en train, cette nouvelle offre répond à une demande croissante de voyages adaptés aux chiens. En effet, les propriétaires peuvent désormais voyager sereinement avec leurs animaux, tout en leur offrant des friandises spécialement conçues pour eux. Ces collations Dewkes conviennent aux chiens de toutes tailles, qu’il s’agisse d’un petit terrier ou d’une race plus grande.
Les friandises pour chiens sont faites à partir d’ingrédients naturels et emballées dans des matériaux recyclables, respectant ainsi l’engagement de TfW en faveur de la durabilité. Cela permet non seulement de satisfaire les chiens, mais aussi de soutenir une approche respectueuse de l’environnement.
Une initiative bénéfique pour tous
Piers Croft, directeur de bord de TfW, souligne que cette initiative permet de rendre le voyage plus confortable pour toute la famille, y compris les chiens. Pour James Bygate, directeur général de Dewkes, ce partenariat est une étape importante dans le développement de voyages adaptés aux chiens, tout en restant fidèle à la mission de Dewkes de fournir des collations saines et nutritives.
De plus, cette collaboration entre TfW et Dewkes soutient une entreprise locale reconnue. Dewkes a d’ailleurs remporté le Farm Shop & Deli Award 2024, soulignant son engagement en matière de qualité et de durabilité. A savoir que les Farm Shop & Deli Retailer Awards récompensent les magasins d’alimentation et de boissons indépendants les plus remarquables du Royaume-Uni.
Une commande simplifiée
Les friandises pour chiens peuvent être commandées facilement à bord des trains grâce à un code QR disponible sur chaque siège. Une fois le code scanné, un membre du personnel de TfW apporte les friandises directement à la place du passager. Cette démarche simplifie l’expérience des voyageurs tout en garantissant le confort de leurs compagnons à quatre pattes.
Voyager avec son chien devient plus agréable
Avec l’essor du tourisme adapté aux chiens, TfW répond à un besoin réel des propriétaires d’animaux. Voyager en train au Pays de Galles n’a jamais été aussi plaisant, aussi bien pour les humains que pour leurs chiens. Pour plus d’informations sur les itinéraires adaptés et les services proposés, les voyageurs peuvent consulter le planificateur de voyage de TfW.
Cette nouvelle offre de friandises pour chiens renforce l’idée que les voyages en train peuvent être une expérience agréable pour tous, tout en soutenant des entreprises locales engagées dans la durabilité et la qualité.
Editoriaux et Opinions
Les chiens et les animaux : plus proches de nous qu’on ne le pense
Les découvertes récentes montrent que les animaux, en particulier les chiens, possèdent des capacités qui ressemblent à celles des humains. Ces révélations suggèrent que nous sous-estimons souvent leur intelligence et leurs émotions.
Des chiens qui se souviennent
Une étude récente a montré que les chiens peuvent se souvenir du nom de leurs jouets, même après plusieurs années. Ce type de mémoire, semblable à celle des humains, remet en question l’idée que l’acquisition du langage est unique à notre espèce. Les chiens, tout comme nous, sont capables de mémoriser des mots et des objets pendant de longues périodes, prouvant qu’ils ne réagissent pas simplement aux stimuli immédiats.
Les chevaux planifient à l’avance
De manière similaire, une autre étude a révélé que les chevaux peuvent planifier à l’avance. Cela va à l’encontre de l’idée selon laquelle ces animaux ne font que réagir aux situations présentes. Leur capacité à anticiper et à développer des stratégies montre une forme d’intelligence qui, autrefois, n’était attribuée qu’aux humains.
Le jeu chez les animaux : plus qu’un simple plaisir
Même chez des insectes comme les bourdons, des comportements inattendus apparaissent. Par exemple, des chercheurs ont observé des bourdons jouant avec des petites balles en bois, sans lien apparent avec la survie ou la reproduction. Ce comportement semble indiquer une simple recherche de plaisir, un trait souvent associé à l’intelligence humaine.
La science remet en question les frontières Humain-Animal
Pendant longtemps, les scientifiques ont mis en garde contre l’anthropomorphisme, c’est-à-dire le fait d’attribuer des caractéristiques humaines aux animaux. Toutefois, les preuves s’accumulent en faveur d’une similarité bien plus grande entre les humains et les animaux. Les guêpes peuvent reconnaître des visages, les dauphins s’appellent par leur nom, et les cochons utilisent des outils. Les pinsons zèbres rêvent, les perroquets utilisent Zoom et parfois les écrevisses deviennent anxieuses. Les chimpanzés, quant à eux, vivent dans des cultures complexes, un peu comme la nôtre, avec des tendances mode. Dans un cas enregistré, une femelle chimpanzé de haut rang a commencé à porter de l’herbe dans ses oreilles . En une semaine, toutes les femelles chimpanzés faisaient de même.
Ces découvertes bouleversent la perception traditionnelle des animaux comme des êtres simplement réactifs.
Darwin : un précurseur de ces Idées
Charles Darwin avait déjà, à son époque, exprimé l’idée que les animaux possèdent une certaine conscience. Il se demandait si un vieux chien ne pourrait pas repenser à ses anciens plaisirs de chasse, tout comme un humain se remémore des souvenirs. Cependant, après Darwin, de nombreux scientifiques ont rejeté ces théories, exigeant des preuves concrètes avant d’accepter une telle idée.
L’anthropodénialisme : un biais à surmonter
Le primatologue Frans de Waal a inventé le terme « anthropodénialisme » pour désigner le refus de reconnaître des traits humains chez les animaux. Ce biais nous empêche de voir les similitudes entre nos émotions, nos capacités cognitives et celles des animaux. Pourtant, la reconnaissance de ces similitudes pourrait changer la manière dont nous les traitons, notamment en termes de bien-être animal.
Empathie sélective et hiérarchie de la gentillesse
Historiquement, les chiens et les chats, en raison de leur proximité avec l’humain, bénéficient de notre empathie. Cependant, les autres animaux, notamment ceux de ferme, ne reçoivent pas toujours la même considération. Alors que nous condamnons les expériences cruelles sur les chiens, les conditions de vie des cochons et des vaches dans les fermes intensives restent largement ignorées.
Conclusion : les animaux sont comme nous
Les preuves montrent que les animaux, y compris nos compagnons comme les chiens, partagent avec nous des émotions, des souvenirs et une capacité à jouer et à planifier. Reconnaître cette ressemblance pourrait non seulement changer notre manière de les voir, mais aussi améliorer leur traitement. Les animaux ne sont pas si différents de nous, et ils méritent notre empathie, au-delà des espèces avec lesquelles nous avons un lien affectif direct.
Source: cet article découle d’une publication du Guardian du 7 septembre 2024 de Martha Gill.
Société
Les chiens au cœur de la société sud-coréenne
En Corée du Sud, les chiens prennent une place grandissante dans la vie des jeunes adultes, au point de devenir une alternative à la parentalité. Les ventes de poussettes pour chiens explosent, surpassant même celles des poussettes pour bébés. Ce phénomène soulève des débats passionnés et reflète les changements profonds dans la société sud-coréenne, marquée par un taux de natalité en chute libre.
Une société où les chiens remplacent les bébés
Les jeunes femmes préfèrent consacrer leur argent et leur temps à leurs chiens et ne souhaitent ni se marier ni avoir d’enfants. Cette attitude, de plus en plus répandue chez les jeunes Sud-Coréens, alimente une tendance où les chiens occupent une place centrale dans leur quotidien. Beaucoup promènent désormais leurs animaux de compagnie en poussette, un comportement qui devient si courant que les ventes de ces poussettes pour chiens ont dépassé celles pour bébés.
La Corée du Sud, qui affiche le taux de natalité le plus bas au monde avec 0,72 enfant par femme, voit cette situation avec inquiétude. Les autorités et les médias locaux s’interrogent sur cette transformation sociale. Les poussettes pour chiens sont devenues un symbole de ce changement, omniprésentes dans les parcs et les rues. Elles sont si courantes que des émissions télévisées en font des sujets de débat, comme le reportage intitulé « Suis-je le seul à être agacé par cela ? ».
La crise démographique inquiète les autorités
La chute du taux de natalité est perçue comme une « urgence démographique » par le gouvernement sud-coréen. Le président Yoon Suk Yeol, qui possède lui-même une dizaine de chiens et chats, a appelé à des actions pour résoudre cette crise. Il voit dans cette tendance une menace pour l’avenir du pays, craignant une « crise existentielle » si la situation ne s’améliore pas.
Le ministre du Travail, Kim Moon-soo, n’hésite pas à pointer du doigt les jeunes pour leur préférence envers les animaux de compagnie. Selon lui, ils investissent dans leurs chiens plutôt que dans des relations humaines et la parentalité. Toutefois, beaucoup de jeunes, comme Kim Bora, une webdesigner de 32 ans, estiment que les conditions de vie en Corée du Sud ne sont pas propices à élever des enfants. Elle préfère s’occuper de son bichon frisé, Salgu, dans sa poussette adaptée, équipée de gadgets modernes comme une compresse chauffante pour l’hiver.
Les poussettes pour chiens
Alors que la population d’enfants diminue, celle des chiens augmente rapidement. En 2023, le nombre de chiens enregistrés en Corée du Sud a atteint des records. Les poussettes pour chiens, devenues indispensables pour beaucoup, se vendent par milliers. Airbuggy, une entreprise qui fabriquait à l’origine des poussettes pour bébés, s’est tournée vers ce marché en pleine expansion. Leur modèle phare, surnommé la « Mercedes-Benz » des poussettes pour chiens, coûte plus de 1 000 dollars et se vend très bien.
Les chiens, souvent de petite taille et en bonne santé, sont transportés dans ces poussettes partout : dans les centres commerciaux, les cafés, les parcs, et même lors de sorties en famille. Ce changement n’est pas sans provoquer des réactions.
Conclusion
Le succès des poussettes pour chiens en Corée du Sud révèle une transformation sociétale profonde. Les jeunes générations, confrontées à des pressions économiques et sociales, choisissent de consacrer leur énergie et leurs ressources à leurs animaux plutôt qu’à la parentalité. Ce phénomène, bien qu’il suscite des débats et des critiques, illustre le rôle grandissant des chiens dans la vie des Sud-Coréens. Alors que le pays s’efforce de relever le défi de sa crise démographique, cette tendance montre combien les priorités et les valeurs évoluent dans une société en pleine mutation.
Société
L’Ukraine déploie des chiens robots pour soutenir son armée
Des robots pour des missions à haut risque: L’Ukraine s’apprête à utiliser une nouvelle arme dans sa lutte contre l’invasion russe : des chiens robots. Ces machines agiles et discrètes sont destinées à accomplir des missions dangereuses sur le front, notamment la détection de mines ou l’inspection des tranchées ennemies. Conçus pour suivre les commandes d’une télécommande, ces chiens robots peuvent également transporter des munitions ou des médicaments vers les zones de combat les plus difficiles d’accès.
Une technologie avancée pour sauver des vies
Lors d’une récente démonstration en Ukraine, dont le lieu exact a été gardé secret pour des raisons de sécurité, un modèle de chien robot, le BAD One, a montré ses capacités en se levant, en courant et en sautant selon les ordres d’un opérateur. Ce robot, dérivé d’un modèle commercial, existe aussi dans une version plus avancée, le BAD Two, dont les détails restent confidentiels pour préserver la sécurité des opérations.
Ces robots ne sont pas simplement des gadgets technologiques. Selon Yuri, un opérateur travaillant pour une entreprise britannique spécialisée dans les solutions militaires, ces chiens robots sont conçus pour protéger les soldats en réduisant leur exposition aux dangers sur le terrain. « Nous avons des soldats hautement qualifiés envoyés en reconnaissance, mais ils sont constamment en danger. Les chiens robots permettent de limiter ces risques et d’améliorer l’efficacité opérationnelle », a-t-il expliqué.
Un allié précieux pour une armée en difficulté
L’armée ukrainienne, confrontée à une guerre qui dure depuis plus de deux ans et demi, voit en ces chiens robots un allié potentiel pour compenser le manque de troupes. Capables de réaliser des tâches variées, ces robots pourraient bien devenir essentiels dans la stratégie ukrainienne pour résister à l’invasion russe.
Avec une autonomie de deux à trois heures, les chiens robots sont prêts à intervenir dans les missions les plus périlleuses, réduisant ainsi le risque pour les soldats humains et augmentant les chances de succès des opérations. En somme, ces derniers ne sont pas seulement des outils, mais des sauveurs potentiels sur le champ de bataille.
Société
Les résidences canines en Andalousie
Un besoin croissant de résidences pour chiens: En Andalousie, la demande pour des résidences canines (guarderia canina) est en hausse, surtout pendant les mois d’été. De nombreuses familles, lorsqu’elles partent en vacances, doivent trouver un endroit sûr et confortable pour leur chien. Les chenils et pensions pour chiens deviennent alors la solution idéale. Avec environ 200 résidences canines réparties dans la région, les familles ont désormais plus d’options pour s’assurer que leurs animaux de compagnie sont bien soignés pendant leur absence.
Des services adaptés aux besoins des chiens
Les résidences canines en Andalousie offrent divers services pour répondre aux besoins des chiens. Les familles choisissent souvent des options basiques, telles qu’un enclos avec une cabane, pour un coût moyen de 14 euros par jour. Cependant, certains propriétaires cherchent des services plus personnalisés, comme la réception de photos et vidéos quotidiennes de leur animal via WhatsApp. Cela permet aux familles de rester connectées avec leur chien et de s’assurer qu’il est bien traité.
Mesures de protection contre la chaleur
Les étés andalous sont particulièrement chauds, ce qui peut poser des risques pour la santé des chiens. Les résidences canines ont mis en place plusieurs mesures pour protéger les animaux des coups de chaleur. Par exemple, les chenils sont construits avec des matériaux isolants et des pulvérisateurs créent un microclimat frais à l’intérieur des enclos. Le personnel prend également soin de promener les chiens tôt le matin et tard le soir, lorsque les températures sont plus supportables.
Vers une professionnalisation du secteur
Le secteur des résidences canines en Andalousie s’oriente de plus en plus vers la professionnalisation. Des efforts sont faits pour lutter contre les pratiques non professionnelles, telles que les « garderies pirates » ou les abandons déguisés. La loi sur la protection des animaux a notamment permis de mieux encadrer ces pratiques en proposant les chiens abandonnés à l’adoption, plutôt que de laisser les résidences en assumer la responsabilité.
Des emplacements stratégiques pour les résidences canines
La plupart des résidences canines en Andalousie sont situées à proximité des zones touristiques et des côtes, où la demande est la plus forte. Elles sont souvent placées en périphérie des villes, en raison des restrictions légales qui interdisent leur implantation dans les centres urbains. Cela permet aux familles de déposer leur chien dans un lieu sûr avant de partir en vacances.
En conclusion, les résidences canines en Andalousie jouent un rôle crucial en répondant aux besoins des familles pendant les vacances. Avec une offre croissante de services et une attention particulière portée à la protection des animaux, ces établissements continuent de se développer pour assurer le bien-être des chiens tout au long de l’année.
Société
Refus d’euthanasie: droits et débats
Contexte et Décision de la Cour : La Cour suprême du Massachusetts a récemment statué sur un cas complexe de cruauté envers les animaux, un refus d’euthanasie. La décision concerne MaryAnn Russo, une propriétaire de chien accusée de cruauté pour avoir refusé d’euthanasier son cocker spaniel âgé et malade, Tipper.
Détails de l’affaire
En décembre 2020, Russo a emmené Tipper, un chien de 14 ans, à l’hôpital pour animaux VCA South Shore. Les vétérinaires ont diagnostiqué une grosse masse nécrotique et ont recommandé une intervention chirurgicale, mais Russo a refusé le traitement. Quelques semaines plus tard, Tipper est revenu à l’hôpital dans un état encore plus grave, souffrant de douleurs importantes et couvert de plaies. Les vétérinaires ont alors recommandé l’euthanasie, mais Russo a de nouveau refusé, affirmant qu’elle consulterait un autre vétérinaire.
Réactions et enquête
Les autorités, sceptiques, ont signalé le cas à la police spéciale et à l’Animal Rescue League (ARL). Le sergent Paul Parlon a tenté de contacter Russo sans succès. Finalement, lors d’une visite à domicile, Parlon a trouvé Tipper dans un état critique. Malgré les supplications de la mère de Russo pour ne pas inclure ces observations dans le rapport, les autorités ont saisi Tipper et ont procédé à son euthanasie.
Arguments juridiques
Russo a été accusée de cruauté envers les animaux. La loi du Massachusetts stipule que pour établir cette infraction, il faut prouver que l’accusé a « volontairement » soumis l’animal à des souffrances inutiles. La cour a déterminé que Russo n’avait pas intentionnellement fait souffrir Tipper. Ses actions, bien que moralement discutables, ne répondaient pas aux critères légaux de cruauté envers les animaux.
Débat moral et juridique
La décision a suscité un débat sur les obligations des propriétaires d’animaux en fin de vie. Certains vétérinaires et défenseurs des droits des animaux soutiennent que les propriétaires doivent fournir des soins appropriés, y compris l’euthanasie si nécessaire pour soulager la souffrance. D’autres estiment que les propriétaires ont le droit de refuser l’euthanasie pour des raisons morales, soulignant les implications financières et émotionnelles.
Conséquences et perspectives
La décision de la Cour suprême du Massachusetts n’établit pas une obligation légale d’euthanasier les animaux en phase terminale. Cela pourrait inciter les propriétaires d’animaux à éviter les soins vétérinaires par peur de poursuites. Le débat reste ouvert, et d’autres États pourraient être amenés à se prononcer sur des cas similaires.
En bref
La décision de la Cour suprême du Massachusetts souligne la complexité des décisions de fin de vie pour les animaux de compagnie. Bien que Russo n’ait pas été reconnue coupable de cruauté envers les animaux, le cas met en lumière les défis juridiques et moraux entourant la question de l’euthanasie des animaux en fin de vie.
Société
Louer un Chien au Japon : Une Expérience Unique
Une Idée Innovante: Au Japon, la possibilité de louer un chien pour une heure ou plus est une idée innovante et géniale pour les amoureux des animaux. Cette initiative permet non seulement aux touristes de profiter de la compagnie d’un chien pendant leur séjour, mais aussi de libérer les chiens des refuges, améliorant ainsi leur bien-être.
Une Activité Unique pour les Touristes
Visiter une nouvelle ville comme Tokyo peut parfois sembler répétitif avec les mêmes activités touristiques : restaurants, musées, balades. La location de chiens offre une alternative rafraîchissante. Imaginez explorer Tokyo avec un Golden Retriever amical à vos côtés. Non seulement cela rend la visite plus agréable, mais cela aide également les chiens en leur offrant de l’exercice et de la compagnie.
Adoption et Familles d’Accueil
Ce service présente un avantage supplémentaire : si vous tombez amoureux d’un chien, vous pouvez l’adopter ou devenir famille d’accueil. Cela permet aux visiteurs de découvrir les chiens dans un environnement relaxant et agréable, loin de l’atmosphère souvent stressante des refuges.
Un Problème de Surpopulation dans les Refuges
Les refuges pour animaux, souvent surpeuplés, n’ont pas toujours les ressources pour offrir suffisamment d’exercice aux chiens. Une enquête de 2022 du Los Angeles Times a révélé que les chiens dans certains refuges de Los Angeles peuvent passer des semaines sans être promenés. Ce manque d’exercice est déchirant et souligne l’importance de l’adoption et de services comme les cafés pour chiens.
Pourquoi Louer un Chien ?
Beaucoup rêvent de promener un chien lorsqu’ils voyagent à l’étranger, mais les démarches pour emmener son propre chien peuvent être complexes. La location de chiens permet de contourner ces contraintes. Cela convient également à ceux qui ne peuvent pas avoir de chien à cause des règles de leur logement ou des allergies familiales. La location permet de tester la compatibilité entre un chien et un potentiel propriétaire avant une adoption.
Les Différents Types de Location
- Location pour une Promenade : Louer un chien pour quelques heures ou une demi-journée afin de se promener dans la ville ou le parc. Ce service inclut souvent un kit de marche avec collier, laisse, sac à crottes, eau et collations.
- Location Longue Durée : Louer un chien pour plusieurs jours ou même un mois, permettant de vivre avec le chien et de mieux comprendre les responsabilités que cela implique.
Coût et Formalités
Les tarifs varient généralement de 500 à 1 000 yens par heure, 2 000 à 5 000 yens par jour, et 20 000 à 30 000 yens pour un mois. Certaines boutiques permettent même d’acheter le chien après la période de location. Il est souvent nécessaire de réserver à l’avance, de présenter une pièce d’identité et de déposer une caution.
Les Meilleurs Endroits à Tokyo
- Wanpaku Land : Offre une variété de chiens, des petits aux grands, et propose des tarifs pour des promenades allant d’une heure à un mois.
- Dog Heart à Yoyogi Hachiman : Permet de passer du temps avec des chiens dans la boutique ou de les promener dans le parc Yoyogi. Les tarifs commencent à 3 600 yens pour une heure.
- Poco, i-Dogs, Petite Famille : D’autres boutiques offrant des services similaires avec diverses options de location et des types de chiens différents.
Conclusion
Louer un chien au Japon est une excellente manière d’enrichir votre séjour tout en aidant les chiens des refuges. C’est une solution innovante qui bénéficie à la fois aux animaux et aux humains, créant des moments de bonheur partagés et promouvant l’adoption.
Société
Jennifer Aniston et son engagement pour les chiens
Une passion débordante pour les chiens : Jennifer Aniston, célèbre actrice de 55 ans, montre un amour profond pour ses chiens, considérés comme sa famille. Elle a toujours été dévouée à ses compagnons à quatre pattes, partageant souvent des photos de ses trois chiens sur son Instagram, suivi par près de 45 millions d’abonnés. Jennifer ne se contente pas de les aimer, elle s’implique activement dans leur bien-être et leur adoption.
https://www.instagram.com/reel/C6zSdE4v8hJ
De maman de chiens à auteur pour enfants
Récemment, Jennifer a élargi son engagement en écrivant des livres pour enfants inspirés de ses chiens. Le premier livre de sa série, Clydeo Takes a Bite Out of Life, sortira le 1er octobre. Ce livre, basé sur son schnauzer Clyde, est le début d’une aventure littéraire où elle espère inspirer les enfants et les amoureux des chiens.
Engagement dans le sauvetage des chiens
Jennifer ne se limite pas à écrire sur les chiens. Elle est activement impliquée dans le sauvetage des chiens abandonnés. Elle ne donne pas seulement de l’argent aux refuges, mais elle consacre aussi son temps et accueille des chiens en attente d’adoption. Cette implication lui a valu le prix « I’ll Be There for You Adoption Advocacy Award » de PETA pour son dévouement à la promotion de l’adoption des animaux sans abri.
Une vie organisée autour de ses chiens
La vie de Jennifer tourne entièrement autour de ses chiens. Lorsqu’elle doit s’absenter pour des raisons professionnelles, elle engage du personnel spécialement dédié à la prise en charge de ses animaux. Son dévouement est tel qu’il n’est pas rare de voir cinq ou six chiens courir dans sa maison, en plus de ses trois chiens permanents : Clyde, une pitbull blanche nommée Sophie, et un labrador blanc appelé Lord Chesterfield.
Projets futurs et héritage canin
Jennifer prévoit de nombreux projets liés aux chiens. En plus de ses livres pour enfants, elle envisage de transformer ces histoires en films d’animation ou séries télévisées. Elle souhaite également écrire un livre de cuisine « co-écrit » avec Clydeo, ainsi que des livres éducatifs pour jeunes enfants. Elle est motivée par le désir de partager la joie que ses chiens lui apportent avec le monde entier.
L’impact émotionnel des chiens
Les chiens ont joué un rôle crucial dans la vie de Jennifer, notamment son défunt chien Norman, qui l’a aidée à surmonter son divorce avec Brad Pitt en 2005. Elle garde un souvenir de lui avec un tatouage de son nom sur son pied et un carillon gravé à son nom chez elle. Son attachement profond à ses chiens actuels reflète son engagement à leur offrir une vie pleine de joie et de confort.
En bref
Jennifer Aniston a réussi à transformer son amour pour les chiens en un engagement profond et visible, tant dans sa vie personnelle que professionnelle. Son dévouement aux chiens, sa participation active aux sauvetages et ses projets créatifs montrent une passion authentique et durable. Elle est un modèle d’inspiration pour tous les amoureux des animaux, prouvant que l’amour et la dévotion peuvent vraiment faire une différence.
Société
Les porte-clés en forme de chat : un risque à l’aéroport
Des objets mignons, mais dangereux : La Transportation Security Administration (TSA) alerte les voyageurs sur la présence croissante d’armes dissimulées sous forme de porte-clés appelés « yeux de chat ». Ces petits objets, bien que mignons et souvent attachés à des porte-clés, peuvent être utilisés comme des armes. Fabriqués en métal ou en plastique dur, ils ressemblent à des poings américains, mais avec un design inspiré d’un visage de chat. Leur popularité tient à leur apparence inoffensive, ce qui les rend difficiles à identifier pour les voyageurs peu méfiants.
Les contrôles de sécurité ralentis
Ces « yeux de chat » causent de nombreux problèmes lors des contrôles de sécurité dans les aéroports. Bart R. Johnson, directeur de la sécurité fédérale de la TSA pour plusieurs aéroports du nord de l’État de New York, a exprimé sa frustration face à la fréquence à laquelle ces objets sont trouvés dans les bagages à main. Chaque fois qu’un « œil de chat » est détecté, les agents de la TSA doivent mettre le passager à part, fouiller son sac, et lui proposer plusieurs options : retourner l’objet à son véhicule, le confier à un compagnon qui ne voyage pas, le mettre dans un bagage en soute, ou le remettre à la TSA pour destruction. Cette procédure, bien qu’importante pour la sécurité, provoque des retards et perturbe les autres passagers.
Une apparence trompeuse
L’aspect mignon et pratique des porte-clés en forme de chat trompe de nombreux voyageurs, qui oublient souvent qu’ils transportent un objet potentiellement dangereux. En insérant leurs doigts dans les « yeux » du chat et en utilisant les « oreilles » pointues, les porteurs peuvent transformer ce simple porte-clés en une arme capable de poignarder ou de creuser. Même si leur usage principal est l’autodéfense, ils ne sont pas autorisés dans les avions, car ils sont classés comme armes.
Prévenir les désagréments
Pour éviter les désagréments lors de votre prochain voyage, il est essentiel de vérifier vos porte-clés avant de vous rendre à l’aéroport. La TSA rappelle que même les objets les plus mignons peuvent être interdits en cabine. Prenez le temps de retirer ces « yeux de chat » de vos bagages à main pour garantir un passage fluide aux contrôles de sécurité et un voyage sans souci. En restant vigilant, vous contribuerez à accélérer le processus pour vous-même et pour les autres voyageurs.
Société
La consommation de viande de chien
Une pratique ancienne mais de plus en plus choquante: La consommation de viande de chien, bien que difficile à concevoir pour beaucoup aujourd’hui, est une pratique ancienne qui a traversé les siècles. Dans diverses cultures et régions du monde, les chiens ont été considérés comme une source de nourriture, surtout en période de crise. Par exemple, en France, durant la guerre de 1870, les pénuries alimentaires ont contraint certains à consommer de la viande de chien pour survivre. Bien que cette pratique ait rapidement disparu après la famine, elle n’a jamais été formellement interdite par la loi. En effet, le code rural français permet encore, sous certaines conditions d’hygiène, la consommation de cette viande.
La législation suisse : entre interdiction et tolérance
En Suisse, la situation légale est quelque peu ambiguë. Si la vente de viande de chien est strictement interdite, sa consommation à titre privé reste autorisée. Ce paradoxe législatif reflète la complexité des régulations européennes concernant la consommation de viande de chien. Bien que cette pratique soit rare et fortement désapprouvée socialement, elle persiste dans certaines traditions familiales, notamment en milieu rural. Cependant, la société suisse, à l’image d’autres pays européens, tend de plus en plus à rejeter cette coutume.
Pourquoi ne mangeons-nous pas de chien en Occident?
L’idée de manger du chien choque profondément dans de nombreuses cultures. Historiquement, les humains ont consommé divers types d’animaux, y compris des carnivores, mais les mammifères carnivores comme les chiens ou les chats sont absents de nos assiettes. Cette absence est largement due à des tabous culturels et à des règles religieuses. Nous consommons pourtant des carnivores marins comme le thon ou le saumon sans problème. Ce choix alimentaire reflète une construction sociale où les chiens sont davantage vus comme des compagnons fidèles que comme une source de nourriture.
Les tabous alimentaires et la proximité émotionnelle
Le tabou de la consommation de viande de chien est profondément ancré dans nos sociétés modernes. Selon Lamys Hachem, archéozoologue à l’INRAP, bien que les mammifères carnivores soient comestibles, leur consommation reste un sujet tabou, probablement en raison du rôle symbolique que ces animaux occupent. Le sociologue Claude Fischler explique que nous évitons de manger ce qui nous semble « dégoûtant » ou émotionnellement proche. Manger un chien, souvent perçu comme un membre de la famille, est donc inacceptable pour beaucoup, tout comme manger un animal trop éloigné de notre culture, comme les insectes.
L’évolution des mentalités en Asie et en Europe
En Asie, la consommation de viande de chien est plus répandue, mais elle fait face à une opposition croissante. En Corée du Sud, par exemple, la plus grande boucherie canine a fermé ses portes en 2017, sous la pression sociale et gouvernementale. En Chine, le festival de Yulin, où des centaines de chiens sont abattus chaque jour pour leur viande, est de plus en plus critiqué, y compris par la population chinoise elle-même. En 2020, la Chine a exclu les chiens de la liste des animaux comestibles, un signe de l’évolution des mentalités.
En mars 2024, la Corée du Nord a annoncé l’interdiction draconienne de garder les chiens comme animaux de compagnie, sauf pour les élever en vue de les consommer ou d’utiliser leur fourrure. Cette décision, prise par le régime de Pyongyang, vise à éliminer une pratique jugée incompatible avec l’idéologie socialiste.
En Europe, la consommation de viande de chien a également existé, mais elle a disparu progressivement avec l’amélioration des conditions de vie. Les dernières boucheries canines ont fermé leurs portes au début du 20e siècle. En Suisse, bien que cette pratique soit encore légale dans un cadre privé, elle est de plus en plus marginalisée.
Vers un respect croissant des animaux
Aujourd’hui, la consommation de viande de chien est en déclin dans le monde entier, y compris en Suisse. Ce recul est le reflet d’un attachement croissant des sociétés modernes à leurs animaux de compagnie et d’une prise de conscience éthique. Les chiens, reconnus comme des êtres vivants sensibles, bénéficient d’une protection juridique renforcée dans de nombreux pays. Cette tendance mondiale vers un plus grand respect des animaux est un signe des temps, où l’empathie et la reconnaissance du bien-être animal occupent une place de plus en plus centrale dans nos sociétés.
Société
Co-élever un chien après une séparation
Adoption et séparation : Il y a six ans, Liberty, originaire du Yorkshire, et son partenaire de l’époque ont décidé d’adopter un chien ensemble; Ils ont choisi Blue, un husky de Poméranie, qui avait eu un début de vie difficile en Irlande en raison d’une légère surocclusion. Malgré cela, Blue a trouvé un foyer aimant en Angleterre, où elle vit désormais sa meilleure vie avec des promenades, des sorties à la plage et des soirées cinéma confortables.
Une séparation amicale
Deux ans après l’adoption de Blue, le couple a décidé de se séparer. Bien que la séparation se soit faite à l’amiable, la question du bien-être de Bleu s’est rapidement posée. Le lien entre un chien et son maître étant souvent très fort, ils ont décidé de continuer à co-élever Blue, en partageant la garde de manière équitable.
L’importance du lien maître-chien
Une étude publiée dans la revue PLoS One a montré que la relation entre un chien et son maître est similaire à celle entre un parent et son enfant. La présence du maître procure une base sécurisante pour le chien, facilitant son interaction avec l’environnement. Les expériences menées ont révélé que les chiens travaillaient moins pour obtenir de la nourriture en l’absence de leur maître, et pratiquement pas du tout en présence d’un étranger.
Organisation de la garde partagée
Depuis deux ans, Blue partage son temps entre les deux foyers de ses maîtres. Liberty, qui travaille par équipes, explique qu’ils échangent Bleu tous les quatre jours. Cela permet à Bleu de passer du temps avec chacun de ses maîtres, assurant ainsi une présence constante et des câlins réguliers.
Bénéfices et défis de la co-éducation
La présence de Blue a aidé Liberty à maintenir une relation amicale avec son ex-partenaire. Ils s’entraident pour s’occuper de Bleu lors des vacances ou des horaires de travail chargés. Cette coopération a permis de créer une dynamique positive où le bien-être de Bleu est toujours priorisé.
Partage d’expérience sur TikTok
Liberty utilise TikTok sous le pseudonyme « apinchoflib » pour partager leur expérience de co-éducation de Bleu. Malgré les sceptiques, elle montre qu’avec de la coopération et une bonne entente, il est possible de co-élever un chien après une séparation. Elle espère ainsi inspirer d’autres personnes dans des situations similaires à trouver des solutions pour le bien-être de leurs animaux.
En somme, la co-éducation de Blue par Liberty et son ex-partenaire montre qu’il est possible de continuer à s’occuper ensemble d’un animal, même après une séparation, pour le bien-être de ce dernier.
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