Une hausse inquiétante des incidents : Avec une augmentation de 17 % des attaques de chiens en Nouvelle-Zélande, en particulier à Auckland, les experts demandent au gouvernement de mettre à jour ses recommandations en matière de sécurité des chiens. En un an, 2846 incidents ont été recensés, ce qui pousse les autorités à s’interroger sur la pertinence des conseils actuels, notamment ceux adressés aux enfants.

Des conseils dépassés pour les enfants

Jo Clough, fondatrice de Dog Safe Workplace, critique certains conseils du programme officiel. Par exemple, l’idée que les enfants devraient s’approcher d’un chien inconnu et toucher son menton ou sa poitrine est jugée risquée. Selon elle, 80 % des morsures touchent le visage ou la tête des enfants, et ce conseil pourrait donc les exposer davantage.

Elle se montre également sceptique face au conseil selon lequel les enfants devraient tendre la main pour que le chien puisse la renifler. Clough rappelle que les chiens ont un sens de l’odorat très développé, capable de détecter une personne bien avant qu’elle ne soit proche. Elle avertit que le geste de tendre la main peut être brusque, ce qui pourrait effrayer le chien et provoquer une réaction défensive.

L’importance de bien comprendre le langage canin

Avec le nombre croissant de propriétaires de chiens, il devient crucial d’améliorer l’éducation des enfants et des adultes sur le comportement à adopter face à un chien. Jo Clough insiste sur la nécessité d’enseigner aux enfants quelques règles simples en cas de rencontre avec un chien inconnu : rester immobile, ne pas faire de gestes brusques, et placer quelque chose entre eux et le chien si possible. Elle met également l’accent sur l’importance d’apprendre à reconnaître le langage corporel des chiens pour éviter des situations à risque.

Un programme de prévention bien établi

Bien que Jo Clough soutienne l’initiative d’améliorer les conseils de sécurité, elle s’interroge sur la nécessité de recréer un programme de sensibilisation alors que Dog Safe Workplace dispose déjà d’un programme bien établi. En collaboration avec des experts et en recueillant les avis d’enseignants et de parents, son programme a été mis en place dans les écoles après avoir été examiné par l’Université de Massey. Cependant, la pandémie de COVID-19 a suspendu ces initiatives, et l’objectif est désormais de relancer l’enseignement de ces programmes de sécurité pour que les enfants, les parents et les enseignants soient mieux préparés.

L’évolution des pratiques et des connaissances est essentielle pour garantir la sécurité des enfants et le bien-être des chiens. L’éducation, soutenue par des conseils actualisés, pourrait réduire significativement les risques d’incidents, tout en permettant aux enfants de mieux interagir avec les chiens en toute sécurité.

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La taxe sur les chiens : un impôt bien ancré : En Allemagne, la taxe sur les chiens est un impôt ancien, perçu annuellement auprès des propriétaires d’animaux. Cet impôt, bien qu’il puisse paraître dépassé, n’a cessé de croître en termes de recettes. En 2023, les municipalités allemandes ont collecté environ 421 millions d’euros grâce à cette taxe, soit une augmentation de 41 % sur les dix dernières années. Chaque commune fixe ses propres tarifs, et ces derniers varient beaucoup d’une ville à l’autre. Par exemple, à Berlin, un premier chien coûte 120 € par an, et tout chien supplémentaire coûte 180 €. Dans des villes comme Stuttgart, certains propriétaires paient jusqu’à 612 € par an pour les races dites « dangereuses », telles que le Bull Terrier.

Malgré son coût élevé, la taxe sur les chiens n’est pratiquement jamais remise en question en Allemagne, alors qu’elle pourrait sembler superflue ailleurs.

Les coûts élevés des chiens en Allemagne

La taxe n’est qu’un des coûts associés à la possession d’un chien en Allemagne. Le prix des aliments pour animaux, par exemple, a augmenté de 17 % en 2023. De plus, les frais vétérinaires ont récemment bondi après une révision des tarifs en 2022. Ainsi, en plus de cette taxe annuelle, les propriétaires doivent également faire face à des dépenses de plus en plus importantes pour assurer le bien-être de leurs animaux.

À titre d’exemple, dans la ville de Blaustein, située dans le sud-ouest de l’Allemagne, la taxe sur les chiens a été augmentée de 60 % cette année. Elle est ainsi passée de 90 € à 144 € pour le premier chien et à 288 € pour chaque chien supplémentaire. Cette décision a suscité une réaction inhabituelle : environ 100 personnes ont manifesté pour exprimer leur mécontentement. Parmi eux, Anja Hagenlocher, propriétaire d’un chien de sauvetage, a déclaré que c’était la première manifestation à laquelle elle participait, jugeant injuste que les propriétaires de chiens soient sollicités pour combler le déficit municipal. Cependant, la protestation est restée sans effet : le conseil municipal a maintenu sa décision d’augmenter la taxe.

Un impôt pour le bien-être animal ?

Certaines voix, notamment celles de journalistes ou de propriétaires de chiens, défendent cette taxe en avançant qu’elle favoriserait le bien-être animal. Selon eux, des coûts élevés décourageraient les adoptions impulsives, réduisant ainsi le risque d’abandon ou de négligence envers les chiens. Cependant, cette opinion reste controversée. De plus, cet argument ne convainc pas certains propriétaires qui estiment que si l’on taxe les chiens, il serait logique d’instaurer des taxes similaires pour d’autres animaux de compagnie comme les chats, qui peuvent également avoir des impacts environnementaux, par exemple en chassant les oiseaux.

Pourquoi seulement les chiens ?

Le fait que seuls les chiens soient concernés par cette taxe soulève des questions d’équité. Certaines villes allemandes ont envisagé d’étendre la taxe à d’autres animaux, notamment les chats. À Leipzig, un conseiller municipal a proposé une taxe pour compenser les dégâts causés par les chats sur les populations d’oiseaux locales. Cependant, cette proposition a rapidement été rejetée. En effet, il serait difficile d’imposer une taxe sur les chats, car ces animaux se promènent librement, rendant leur surveillance et leur identification compliquées. Les autorités ont conclu qu’il est presque impossible de contrôler la détention d’animaux comme les oiseaux ou les reptiles, contrairement aux chiens qui, en Allemagne, doivent porter une médaille d’identification.

La propreté des espaces publics

Un autre argument avancé en faveur de la taxe est la contribution des chiens à la saleté des espaces publics, notamment en raison de leurs déjections. Les autorités locales utilisent donc cet argument pour justifier la nécessité d’un nettoyage plus fréquent et l’entretien de poubelles spécifiques. Cependant, en réalité, les revenus de la taxe ne sont pas réservés au nettoyage des parcs et trottoirs, mais alimentent le budget général des municipalités. Par conséquent, bien que cet impôt contribue effectivement aux finances locales, il ne sert pas directement à l’entretien des espaces pour animaux.

Une taxe ancienne devenue une habitude

L’acceptation de cette taxe par les Allemands peut s’expliquer par son ancienneté. Introduite en Prusse en 1810 comme une « taxe de luxe », elle a depuis longtemps fait partie de la vie quotidienne. L’idée initiale était que quiconque pouvait se permettre de nourrir un chien pouvait également payer des impôts. Cette taxe, adoptée dans d’autres États germanophones, a subsisté malgré l’abandon progressif de la taxe sur les chiens dans plusieurs pays européens. La France, par exemple, l’a supprimée en 1979, suivie de la Suède en 1995. Ils ont été suivis par la Belgique, l’Espagne, l’Italie, la Grèce et d’autres. Aujourd’hui, parmi les pays européens, seuls l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse continuent de taxer les chiens.

Une taxe largement respectée

Le respect de la taxe en Allemagne s’explique aussi par les mesures strictes de contrôle mises en place. Les chiens doivent en permanence porter une médaille avec leur numéro d’identification. Cette obligation permet aux autorités de facilement repérer les propriétaires qui ne se sont pas acquittés de la taxe, et les amendes en cas d’infraction peuvent atteindre 10 000 €. Ce système décourage les tentatives de fraude et encourage le paiement régulier de la taxe.

Les propriétaires de chiens acceptent-ils cette taxe ?

La taxe sur les chiens semble être acceptée par la majorité des Allemands. Les protestations, comme celles de Blaustein, restent isolées et ne provoquent pas de mouvement de contestation généralisé. Les propriétaires semblent considérer cet impôt comme une contrepartie normale pour posséder un chien, d’autant plus que cette taxe est perçue comme une contribution aux finances publiques locales, même si elle n’est pas spécifiquement affectée aux besoins des chiens.

Une taxe ancrée dans le système fiscal allemand

Cette taxe est tellement intégrée au système fiscal allemand que la question de son abolition est rarement soulevée dans le débat public. La tradition de taxation des chiens est si ancienne qu’elle est vue comme une simple formalité, un peu comme une taxe foncière. Par ailleurs, bien que le coût de la vie ait fortement augmenté ces dernières années, cette taxe n’a pas encore été sérieusement remise en cause. En d’autres termes, elle est perçue comme une partie intégrante de la relation entre l’État et les propriétaires de chiens.

Conclusion : un impôt destiné à rester

La taxe sur les chiens en Allemagne, malgré son caractère unique en Europe, semble être là pour durer. Elle représente une source de revenus importante pour les municipalités, et son ancienneté ainsi que les mesures de contrôle strictes assurent son respect par la population. Bien que son utilité et sa légitimité puissent être questionnées, la taxe sur les chiens est bien acceptée par les Allemands et peu de citoyens envisagent sérieusement de la contester. La présence de cette taxe témoigne d’une approche pragmatique de la fiscalité allemande, où même les impôts perçus comme désuets ailleurs sont maintenus s’ils restent efficaces et acceptés par la population.

Ainsi, les propriétaires de chiens allemands continuent de payer cette taxe, en acceptant les coûts qui l’accompagnent, et en considérant que posséder un chien implique des responsabilités, y compris fiscales.

Ratan Tata, icône de l’industrie indienne et philanthrope respecté, est décédé le 9 octobre 2024 à l’âge de 86 ans, laissant un héritage financier estimé à plus de 10 000 crores de roupies (1,2 milliard d’euros) ainsi qu’une histoire de compassion, d’humilité et de générosité. Son testament reflète son attachement à ses proches, ses employés fidèles et son amour pour les animaux, en particulier pour son chien Tito.

Soins dédiés à Tito, son chien bien-aimé

Tito, son berger allemand adopté il y a environ six ans, occupe une place spéciale dans le testament de Ratan Tata. Soucieux de garantir un avenir serein à son compagnon, Tata a prévu des « soins illimités » pour Tito, qui continuera d’être pris en charge par Rajan Shaw, le cuisinier de Tata, ayant veillé sur le chien depuis son adoption. Cette attention spéciale pour Tito, rare dans les pratiques indiennes, montre l’attachement profond que Tata portait aux animaux et son désir de leur offrir une vie de qualité.

Des provisions pour ses proches et son personnel fidèle

Outre son chien, Ratan Tata a réservé une part importante de son héritage à sa famille. Son frère, Jimmy Tata, et ses demi-sœurs, Shireen et Deanna Jejeebhoy, figurent parmi les bénéficiaires de son testament. Les fidèles membres de son personnel domestique, comme son cuisinier Rajan Shaw et son majordome Subbiah, qui ont servi Tata pendant des décennies, se voient également allouer des ressources dans le testament.

Sa volonté, rendue publique environ deux semaines après sa mort, comprend également des dispositions spécifiques pour son majordome, Subbiah, avec qui il a partagé un lien étroit pendant plus de trois décennies. Selon le Times of India, Tata a inclus des actifs pour son assistant exécutif, Shantanu Naidu, qui a renoncé à sa participation dans l’entreprise de compagnie de Tata

La Ratan Tata Endowment Foundation, principal héritier de sa fortune

Une grande partie de la fortune de Ratan Tata sera transférée à la Ratan Tata Endowment Foundation (RTEF), une fondation de bienfaisance créée en 2022 pour continuer ses œuvres sociales et philanthropiques. En plus de ses parts dans Tata Sons et d’autres entreprises du groupe Tata, la fondation recevra des investissements notables dans des entreprises comme Tata Digital. Cette fondation perpétuera la tradition philanthropique de Tata, avec des projets visant à améliorer les conditions sociales et économiques des plus démunis.

Un soutien à son collaborateur de confiance, Shantanu Naidu

Shantanu Naidu, l’assistant personnel et proche confident de Tata, bénéficiera aussi de cet héritage. Ratan Tata avait déjà renoncé à sa participation dans Goodfellows, la startup de Naidu dédiée au soutien des personnes âgées, et a annulé un prêt pris par Naidu pour ses études. Ce geste montre l’estime et la confiance que Tata avait envers son jeune collaborateur, avec qui il partageait l’amour des animaux et le désir d’aider la société.

Son précieux patrimoine en attente de décision

Parmi les actifs de Tata figurent également un bungalow de plage à Alibaug, une résidence sur la route Juhu Tara à Mumbai, ainsi qu’une collection impressionnante de voitures de luxe, dont 20 à 30 véhicules conservés dans sa résidence de Colaba et au Taj Wellington Mews. Ces biens pourraient être mis aux enchères ou exposés pour honorer son héritage, mais leur sort reste à définir.

Un héritage célébré et en attente de validation

Le testament de Ratan Tata est actuellement en attente d’homologation auprès de la Haute Cour de Bombay. Ce processus juridique devrait valider officiellement ses dernières volontés et permettre de distribuer ses biens conformément à ses souhaits.

En incluant son chien Tito et ses collaborateurs proches dans son testament, Tata a laissé bien plus qu’une fortune : il a légué un modèle d’humanité et de générosité qui continuera de marquer l’esprit de ses héritiers et de la société indienne.

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Un soutien fiscal proposé pour les propriétaires d’animaux : En France, les débats autour de la fiscalité des animaux de compagnie sont vifs. Dernièrement, Aymeric Caron, député engagé pour la cause animale, a proposé un crédit d’impôt pour les propriétaires de chiens et de chats. Selon lui, cette mesure pourrait alléger les dépenses liées à la possession d’un animal, qui peuvent être élevées, surtout avec l’inflation. Caron propose un crédit de 30 € par mois et par animal, soit 360 € par an, destiné à aider les familles les moins aisées à couvrir les frais de nourriture et de soins. Ce crédit serait soumis à un plafond de revenus et à un nombre limité d’animaux par foyer.

Réduire la TVA sur les produits et soins pour animaux

Une autre idée du député est de réduire la TVA sur les produits animaliers, comme la nourriture et les soins vétérinaires. Actuellement, la TVA appliquée à ces produits rend leur coût élevé pour certains foyers. En réduisant le taux à 5,5 %, Caron espère rendre les soins et la nourriture pour animaux plus abordables, en particulier pour les familles à revenu modeste. Cette proposition a déjà été évoquée en 2018 par Sophie Joissains, alors sénatrice, sans suite à l’époque. Caron souhaite que cette réduction de TVA couvre également les consultations vétérinaires, afin de faciliter l’accès aux soins pour les animaux de compagnie.

Une taxe sur les chiens ? Juste une rumeur

Parallèlement, une rumeur circule sur la possible instauration d’une taxe sur les chiens et chats pour 2025. Certains craignent qu’une telle taxe serve à renflouer les caisses de l’État. Cette rumeur, amplifiée par des personnalités médiatiques et politiques, affirme que chaque foyer pourrait payer jusqu’à 100 € par animal, mais le ministère des Finances a officiellement démenti cette information. Selon les autorités, il s’agit d’une fausse nouvelle sans aucun projet concret en cours à Bercy. La France avait autrefois une taxe sur les chiens, mais elle a été supprimée en 1970.

La cause animale, au-delà des partis politiques

Aymeric Caron, bien que souvent associé à l’extrême gauche, défend cette initiative comme une cause universelle, au-delà des clivages politiques. Selon lui, le bien-être animal mérite l’attention de tous les élus, indépendamment de leur affiliation. Si la proposition est adoptée, elle pourrait alléger le fardeau financier des familles qui doivent souvent choisir entre nourrir leurs animaux ou subvenir à leurs propres besoins. Caron espère ainsi offrir un soutien concret à ces foyers, en réduisant les abandons d’animaux dus à des contraintes économiques.

Une mesure qui pourrait soulager les familles

En résumé, les propositions d’Aymeric Caron visent à aider les propriétaires d’animaux de compagnie par deux mesures principales : un crédit d’impôt de 30 € par mois pour alléger leurs charges et une réduction de la TVA sur les produits et soins animaliers. Ces idées, bien que discutées et parfois controversées, traduisent un véritable souci du bien-être animal et de l’équilibre financier des ménages. La cause animale devient ici un sujet de société, dans un contexte où la population d’animaux de compagnie est en forte augmentation en France.

En conclusion, les discussions autour de la fiscalité des animaux de compagnie reflètent les préoccupations actuelles pour le bien-être animal, l’aide aux familles et l’accès aux soins pour tous.

Un geste héroïque pendant l’ouragan Milton : La police routière de Floride a récemment reçu un prix spécial de l’association PETA pour avoir sauvé un chien abandonné lors de l’ouragan Milton. Le chien, attaché à une clôture le long de l’autoroute I-75, près de Tampa, se tenait dans une eau montante jusqu’à son ventre. Alors que la tempête se rapprochait dangereusement, un agent de la Florida Highway Patrol a découvert l’animal effrayé et l’a réconforté en lui disant : « Tout va bien, mon pote » et « Je ne te blâme pas. »

Sauvé juste à temps

Trooper a ensuite été transporté en toute sécurité à Tallahassee, où il a trouvé refuge en famille d’accueil. La Humane Society a précisé que le chien n’avait pas de puce électronique et n’a pas pu être réuni avec un éventuel propriétaire. Grâce à l’intervention rapide des autorités, il est maintenant entre de bonnes mains.

Une nouvelle chance pour Trooper

Les images de la caméra corporelle montrent le policier s’approchant du chien sous la pluie battante, essayant de le calmer malgré ses aboiements nerveux. Le chien était visiblement stressé par les conditions et l’abandon. « Tout va bien, mon pote », a répété le policier pour l’apaiser, avant que le chien soit pris en charge par la coordinatrice canine de la Leon County Humane Society.

Un sauvetage qui fait le tour du monde

La vidéo du sauvetage est rapidement devenue virale sur les réseaux sociaux, touchant des milliers de personnes. L’agent a libéré le chien et l’a emmené chez un vétérinaire, qui a confirmé que l’animal était en bonne santé. Le chien n’avait pas de puce électronique, et les autorités n’ont pas réussi à retrouver le ou les responsables de son abandon. Ceux-ci pourraient toutefois faire face à des accusations de cruauté aggravée envers les animaux.

Une reconnaissance bien méritée

En remerciement de ce sauvetage héroïque, PETA a décerné à la Florida Highway Patrol de Tampa un « Prix du service de police compatissant ». Colleen O’Brien, vice-présidente de PETA, a salué l’intervention rapide de l’agent et espère que cela inspirera d’autres personnes à aider les animaux en détresse. Selon PETA, de nombreux animaux, dont des chiens, sont malheureusement abandonnés lors de catastrophes naturelles, comme l’ouragan Milton.

L’impact des catastrophes naturelles sur les animaux

PETA rappelle que lors de tempêtes comme celle-ci, de nombreux chiens sont laissés à eux-mêmes, souvent attachés, incapables de se protéger des eaux montantes ou des vents violents. Dans des tempêtes précédentes, des équipes de sauvetage de PETA ont découvert des chiens bloqués dans des caisses à moitié submergées, luttant pour survivre. Ces situations montrent l’importance de ne jamais abandonner un animal dans une zone à risque et de toujours les inclure dans les plans d’évacuation.

Un message de compassion

Pour marquer cette récompense, PETA a offert à la police de Tampa un certificat encadré et des chocolats végétaliens, symbole de reconnaissance pour leur gentillesse. L’association rappelle également que les animaux sont des êtres vivants qui méritent respect et protection. PETA encourage à travers ce geste à faire preuve d’empathie envers tous les animaux et propose même des kits d’empathie pour sensibiliser davantage le public.

Ce sauvetage montre à quel point il est essentiel de ne pas négliger nos compagnons à quatre pattes en cas de danger, et de toujours veiller à leur bien-être, peu importe les circonstances.

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L’affaire « Justice pour Phoenix » : un chien sauvé et son agresseur condamné : Un homme du Texas, Michael Villanueva, 28 ans, a été condamné à 20 ans de prison pour avoir brûlé et torturé un chien, un acte de cruauté qui a choqué la communauté de Nixon. Ce chien, rebaptisé « Phoenix » après son sauvetage, a survécu à des blessures graves grâce aux soins dévoués d’un refuge pour animaux.

L’attaque brutale contre Phoenix

L’incident s’est produit en février 2024. Villanueva a aspergé Phoenix, un petit chien, d’essence avant de lui mettre le feu. Le pauvre animal, initialement nommé « Cutie », a subi de terribles brûlures en essayant de s’échapper de l’incendie. Il a été retrouvé sur une route par un citoyen inquiet. Phoenix a été pris en charge par le refuge Passion for Paws, puis transféré à 4 Little Paws Rescue pour des soins intensifs. Grâce à des dons généreux de la communauté, plus de 112 000 dollars ont été collectés pour couvrir ses traitements médicaux, y compris des greffes de peau et des chirurgies.

Une communauté unie pour la justice

Lors du procès, Villanueva a plaidé coupable de cruauté envers les animaux, ainsi que d’autres accusations sans rapport. Il a été condamné à la peine maximale de 20 ans de prison. Phoenix, bien qu’absente de la salle d’audience, a été soutenue par de nombreux partisans qui se sont rassemblés autour d’elle à l’extérieur. La directrice de 4 Little Paws Rescue, Ashley Book, a exprimé sa profonde émotion lors de la lecture du verdict, se souvenant du long chemin parcouru depuis le sauvetage de Phoenix.

Un nouveau départ pour Phoenix

Malgré ses souffrances, Phoenix s’est bien rétablie et a retrouvé une grande partie de sa fourrure. Elle a été adoptée par Ashley Book, qui continue de veiller sur elle. L’argent restant des dons sera utilisé pour aider d’autres animaux en détresse, montrant ainsi que, même dans les moments les plus sombres, la solidarité et la compassion peuvent triompher.

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Des voitures qui partagent leur nom avec des races de chiens : Les chiens sont depuis longtemps les meilleurs amis de l’homme, que ce soit pour leur compagnie ou leurs compétences dans diverses tâches comme la thérapie ou les missions de sauvetage. Mais saviez-vous que certaines voitures portent des noms de races de chiens ? Voici cinq modèles qui illustrent cette curieuse coïncidence entre le monde automobile et nos fidèles compagnons à quatre pattes.

Chevrolet Cavalier

La Chevrolet Cavalier est une voiture populaire lancée en 1981 et produite jusqu’en 2005. Elle était disponible en versions berline, coupé et même en décapotable. Ce modèle, avec son moteur 2.2, a marqué le marché par sa polyvalence.

Côté chiens, la race Cavalier King Charles Spaniel est originaire d’Angleterre. Ce chien de petite taille, pesant entre 5 et 8 kilogrammes, est connu pour son caractère doux et affectueux. Avec une espérance de vie pouvant aller jusqu’à 15 ans, ce chien est un excellent compagnon pour les familles.

Hillman Husky

Le Hillman Husky, lancé en 1960, était une version à deux portes de la berline Minx. Cette voiture familiale mesurait près de 4 mètres de long et offrait une capacité de coffre d’environ 400 litres, avec des moteurs allant de 1,2 à 1,5 litre.

En ce qui concerne le monde canin, le Husky Sibérien est un chien originaire de Russie. Avec sa silhouette élégante et son caractère joueur, il est un compagnon idéal pour les longues promenades. Le Husky est connu pour sa force et sa résistance, avec une espérance de vie de 10 à 12 ans.

Aston Martin Bulldog

L’Aston Martin Bulldog, un concept des années 1970, est une voiture au design avant-gardiste avec un moteur V8 de 5,3 litres développant environ 600 ch. Ce modèle pouvait atteindre une vitesse maximale impressionnante de 300 km/h.

Le Bulldog anglais, tout comme cette voiture, est un symbole fort. Célèbre dans les dessins animés et dans la culture populaire, ce chien à la carrure trapue et aux rides caractéristiques est connu pour son tempérament calme. Avec des soins appropriés, il peut vivre jusqu’à 12 ans.

Ferrari Berlinetta Boxer

La Ferrari Berlinetta Boxer, produite entre 1973 et 1984, est une icône de la marque italienne. Avec son moteur V8 de 4,4 litres, elle offrait des performances impressionnantes pour l’époque, allant de 0 à 100 km/h en seulement 5,4 secondes.

Du côté des chiens, le Boxer est une race allemande, énergique et active. Il est souvent utilisé dans des missions de sauvetage grâce à son intelligence et à son agilité. Ce chien peut peser jusqu’à 32 kilos et vivre jusqu’à 14 ans.

Peugeot Boxer

Enfin, la Peugeot Boxer est un véhicule utilitaire bien connu, très utilisé pour le transport de marchandises et dans le secteur des services. C’est un véhicule robuste, fiable et pratique.

De même, le chien Boxer est connu pour sa robustesse et son énergie. Il est très apprécié dans les familles pour son caractère affectueux et protecteur. Tout comme la voiture, ce chien est polyvalent et plein de ressources, ce qui en fait un excellent compagnon pour de nombreuses situations.

En bref

Ces cinq voitures, avec des noms similaires à des races de chiens, montrent que la connexion entre les voitures et les chiens n’est peut-être pas une simple coïncidence. Que ce soit dans le monde automobile ou animal, ces noms évoquent des qualités similaires : robustesse, fiabilité et loyauté.

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Une certification historique pour le Mexique : En 2019, le Mexique est devenu le premier pays à être certifié par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme exempt de rage humaine transmise par les chiens. Ce succès repose sur des décennies de travail et de campagnes de vaccination. Aujourd’hui, le pays se rapproche d’une nouvelle étape, avec une certification visant l’éradication de la rage canine liée au variant antigénique AV1.

Un programme de vaccination efficace

Depuis 2006, aucun cas de rage humaine transmise par les chiens n’a été enregistré au Mexique. Cette réussite est le fruit d’un programme régulier de vaccination des animaux domestiques, principalement les chiens et les chats. L’approche adoptée par le Mexique, appelée Una Salud (« Une Santé »), relie la santé humaine, animale et environnementale. Cela signifie que le ministère de la Santé est également responsable de la vaccination des animaux, démontrant l’importance d’une approche globale pour éradiquer des maladies comme la rage.

La nécessité de l’information et de la prévention

Outre la vaccination, l’un des principaux défis reste la diffusion d’informations. Il est essentiel que la population soit consciente que d’autres animaux, comme les chauves-souris ou les ratons laveurs, peuvent également transmettre la rage. Ricardo Cortés Alcalá, directeur du Centre national des programmes préventifs et de contrôle des maladies (Cenaprece), a souligné que l’information peut sauver des vies. Il est crucial que toute personne mordue ou griffée par un animal potentiellement porteur du virus de la rage se rende rapidement dans une unité de santé pour recevoir des soins adéquats.

Une lutte mondiale contre la rage

La rage reste une menace dans plus de 150 pays à travers le monde, causant environ 60 000 décès par an, dont 40% concernent des enfants. La majorité des cas se produisent en Asie et en Afrique. Cependant, grâce à des efforts mondiaux, l’OMS et l’Organisation panaméricaine de la Santé (OPS) ont fixé pour objectif d’éradiquer la rage transmise par les chiens dans la région des Amériques d’ici 2030. Le Mexique a déjà accompli une part importante de ce travail et sert de modèle pour d’autres pays.

Un engagement continu pour le bien-être animal

En plus de la vaccination, des spécialistes du Mexique, comme Laura Arvizu Tovar, présidente de la Fédération des vétérinaires du Mexique, continuent de promouvoir des initiatives pour assurer la santé animale. Des programmes de sensibilisation et de prévention permettent d’informer la population et de maintenir les efforts visant à réduire la transmission de la rage. Le Mexique, grâce à ses efforts de prévention et de vaccination, reste à l’avant-garde de la lutte contre cette maladie et montre la voie à d’autres nations pour éliminer la rage humaine transmise par les chiens.

Le problème des urines de chien : Dans les grandes villes, les flaques d’urine de chien peuvent sembler être de simples désagréments à éviter sur les trottoirs. Toutefois, elles représentent une menace sérieuse pour la végétation urbaine. Des pancartes comme « Pas de pipi ici » ou « Zone sans animaux » sont de plus en plus courantes dans les rues de New York. Ces panneaux rappellent que l’urine de chien peut tuer les plantes, y compris les arbres.

Comment l’urine de chien affecte les plantes

L’urine de chien contient de l’urée, riche en azote. En petites quantités, l’azote est bénéfique pour les plantes, mais en excès, il devient toxique. Une étude de 2022 a montré que dans des zones boisées fréquentées par des chiens, chaque hectare recevait jusqu’à 11 kilogrammes d’azote par an à cause de l’urine. Ce niveau d’azote perturbe non seulement les plantes, mais aussi l’ensemble de l’écosystème local.

De plus, l’urine de chien est acide et peut affaiblir l’écorce des arbres. Cela les rend plus vulnérables aux maladies et aux infections. Les arbres jeunes et nouvellement plantés sont particulièrement à risque, et peuvent mourir à cause de l’exposition répétée à l’urine de chien.

Les effets du sel dans l’urine de chien

L’urine de chien contient aussi des niveaux élevés de sel. Lorsque les chiens urinent au pied des arbres, le sol devient trop salé, perturbant le flux osmotique dont les plantes ont besoin pour absorber l’eau et les nutriments. Cela peut conduire à la déshydratation des arbres, même ceux sélectionnés pour leur résistance au sel, comme c’est le cas pour certains arbres de rue à New York.

Mesures prises et suggestions

Les mesures pour protéger les plantes et les arbres des urines de chien sont variées. Les villes installent parfois des barrières autour des arbres et des panneaux demandant aux propriétaires de chiens de ne pas laisser leurs animaux uriner sur les plantes. Cependant, ces mesures ne sont pas toujours efficaces, et les chiens continuent souvent à uriner sur les arbres et les plantes.

Pour mieux gérer ce problème, il serait utile d’avoir des zones désignées pour les besoins des chiens. Par exemple, des fausses bouches d’incendie ou des endroits spécifiques sur les trottoirs pourraient être aménagés pour que les chiens puissent uriner sans nuire à la végétation. Les propriétaires de chiens pourraient aussi être formés à guider leurs animaux vers ces zones.

Conclusion

Les chiens et leurs propriétaires peuvent contribuer à protéger les plantes urbaines en respectant certaines règles et en utilisant des zones désignées pour les besoins de leurs animaux. Les villes devraient également mettre en place des infrastructures adaptées pour répondre aux besoins des chiens sans compromettre la santé des plantes et des arbres. Cela nécessiterait une coopération entre les propriétaires de chiens, les autorités municipales et les citoyens pour créer un environnement urbain harmonieux et durable. Bref le problème d’urine ne sera pas résolu d’ici peu.

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Des allégations infondées et choquantes : Kamala Harris, vice-présidente des États-Unis, a vivement réagi aux propos de Donald Trump accusant les immigrants haïtiens de Springfield, dans l’Ohio, de voler et manger les chiens et chats des habitants. Ces accusations, sans fondement, ont choqué et suscité l’indignation, notamment lors d’une discussion récente avec des membres de l’Association nationale des journalistes noirs. Harris a qualifié ces allégations de honteuses, affirmant que son « cœur se brise » pour les familles touchées par ces mensonges.

L’utilisation de stéréotypes racistes anciens

Harris a également souligné que ces déclarations de Trump ne sont pas nouvelles. Elle les a liées à une longue histoire de stéréotypes racistes utilisés par l’ancien président, rappelant notamment sa diffusion de théories du complot sur la naissance du président Barack Obama. Harris a affirmé que Trump utilise des « clichés vieux comme le monde » pour attiser la peur et la division.

Trump avait déjà été accusé de propagande raciste dans le passé, notamment avec l’affaire des Central Park Five, où il avait réclamé la peine de mort pour cinq jeunes hommes noirs et latinos accusés à tort d’une agression. Harris a pointé du doigt ce type de comportement, qu’elle considère comme un schéma répétitif de la part de Trump, visant à diaboliser les communautés racisées.

Les conséquences graves pour la communauté

Au-delà des mots, Harris a exprimé sa tristesse face aux répercussions que ces fausses accusations ont eues sur la ville de Springfield. Des enfants ont dû vivre dans la peur après des menaces à la bombe, créant un climat d’insécurité. Pour Harris, ces allégations sont non seulement fausses, mais elles ont aussi des conséquences réelles et nocives pour les communautés visées.

Appel à tourner la page

Harris a terminé en soulignant que de plus en plus d’Américains, quelle que soit leur origine, commencent à voir clair dans les tactiques de division de Trump. Elle a appelé le pays à « tourner la page » sur ces discours de haine, soulignant qu’ils sont épuisants et qu’il est temps de rejeter les vieilles idées racistes qui continuent d’empoisonner la société américaine.

Un événement pour tous les amoureux des chiens : Le 12 octobre prochain, l’hippodrome de Down Royal, en Irlande du Nord, accueillera pour la première fois un festival entièrement dédié aux chiens, intitulé Dog Royal. Ce nouvel événement, sponsorisé par la marque de nourriture pour animaux Naturo, promet d’offrir une journée inoubliable pour les passionnés de chiens, leurs familles, et bien sûr, leurs compagnons à quatre pattes. Ce festival marque un tournant pour Down Royal, qui étend son champ d’activités au-delà des courses de chevaux pour devenir un lieu de rencontre pour la communauté des propriétaires de chiens en Irlande du Nord.

Une journée pleine d’activités pour tous

Lors du Dog Royal, au cours de la journée, les visiteurs pourront profiter d’un programme d’activités varié, conçu pour plaire à tous les participants, qu’ils soient amateurs ou experts en matière de chiens. Des conférences animées par des spécialistes seront organisées sur des sujets comme l’obéissance, l’agilité et le travail olfactif. Les sessions sur la nutrition canine, le massage et l’enrichissement offriront des conseils pratiques pour améliorer le bien-être de votre chien au quotidien.

Conseils gratuits et évaluations de santé

En plus des animations et des ateliers, des experts en santé animale seront présents tout au long de la journée. Ils proposeront des évaluations gratuites de la santé des chiens et fourniront des recommandations personnalisées. C’est l’occasion parfaite pour les propriétaires de chiens d’obtenir des informations précieuses et d’échanger avec des professionnels.

Une expérience unique pour Down Royal

Avec le Dog Royal, Down Royal ouvre un nouveau chapitre de son histoire en s’adressant directement aux propriétaires de chiens. Ce festival, qui met en avant les chiens et leur bien-être, promet de devenir un rendez-vous incontournable pour la communauté canine d’Irlande du Nord. Que vous soyez passionné de concours ou simplement à la recherche de conseils pour améliorer la qualité de vie de votre animal, cet événement a quelque chose à offrir à chacun.

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Dans cette affaire troublante, David Owen, un chauffeur de camion de 41 ans de Caerphilly, a été impliqué dans des activités en ligne abominables, touchant à la fois des enfants et des animaux, notamment des chiens. Dans cet article, du 28 mai 2024 dans Wales Online, nous nous concentrons sur les aspects liés aux abus sur les chiens et la nécessité de renforcer la vigilance et la protection animale.

Début de l’enquête

• Descente de la police
  Le 20 décembre 2022, la police a effectué une descente au domicile de David Owen à 5 h 02 du matin, suite à des informations concernant ses activités en ligne suspectes. À leur arrivée, Owen a admis posséder des images de bestialité impliquant des chevaux, mais a nié toute implication avec des enfants.
• Saisie des preuves
  Lors de la perquisition, la police a saisi l’iPhone de Owen, contenant des preuves accablantes : 24 images indécentes d’enfants de catégorie A, 19 de catégorie B, 35 de catégorie C, et 43 images non photographiques interdites. En plus de cela, 383 images pornographiques extrêmes impliquant des abus sur des animaux, notamment des chiens, ont été découvertes.

Détails des abus sur les chiens

• Nature des images
  Parmi les images retrouvées, certaines montraient des actes de bestialité particulièrement cruels. Une image montrait une personne pratiquant une fellation sur un chien, soulignant la gravité et le sadisme des abus commis.
• Impact sur les animaux
  Les abus infligés aux chiens, tout comme ceux infligés aux enfants, causent des souffrances physiques et psychologiques profondes. Ces actes barbares mettent en lumière l’importance cruciale de protéger les animaux contre la maltraitance.

Le procès de David Owen

• Accusations et plaidoyer
  David Owen a été accusé de multiples chefs d’accusation, incluant la possession et la diffusion d’images indécentes et extrêmes. Lors de son procès à la Cour de Cardiff, il a plaidé coupable et a reconnu la gravité de ses actes.
• Défense et réaction du juge
  L’avocat de Owen, Ben Walters, a tenté de minimiser les actions de son client, affirmant qu’il cherchait initialement du réconfort sur Internet. Cependant, le juge Carl Harrison a rejeté ces arguments, soulignant la détresse et la douleur infligées aux victimes, qu’elles soient humaines ou animales.
• Verdict et peine
  David Owen a été condamné à deux ans et deux mois de prison, dont il purgera la moitié en détention. En outre, il sera soumis à une ordonnance de prévention des atteintes sexuelles pendant dix ans et devra informer la police de son adresse et de tout changement. Une surtaxe de 228 livres sterling pour les services aux victimes a également été imposée.

Importance de la vigilance et de la protection

• Rôle des Autorités
  Cette affaire démontre l’importance du rôle des autorités dans la surveillance et l’intervention contre les abus en ligne. La coopération internationale et l’utilisation de technologies avancées sont essentielles pour identifier et poursuivre les individus impliqués dans de telles activités.
• Responsabilité des propriétaires d’animaux
  Les propriétaires d’animaux doivent être vigilants et protéger leurs compagnons contre toute forme d’abus. La sensibilisation et l’éducation sur la maltraitance animale sont cruciales pour prévenir ces actes cruels.

Soutien aux victimes

Il est essentiel de rappeler que les animaux, tout comme les humains, méritent protection et soutien. Les organisations de protection animale jouent un rôle vital dans la réhabilitation des animaux victimes de maltraitance.

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