Le chien testé positif et le propriétaire sanctionné : Un propriétaire de chien de Derry a reçu une amende de 1 500 euros après qu’un de ses lévriers a été testé positif au Viagra lors d’une course au Lifford Greyhound Stadium en janvier 2024. Ce test a soulevé des inquiétudes auprès de Greyhound Racing Ireland (GRI), qui supervise les courses de lévriers en Irlande.

Le Viagra ajouté à la liste des substances interdites

Le sildénafil, le principe actif du Viagra, a été détecté chez le chien de deux ans, après une course le 5 janvier. Le Viagra est bien connu pour traiter l’impuissance chez les hommes, mais il est aussi utilisé pour augmenter la pression artérielle et le rythme cardiaque des lévriers, afin d’améliorer leur performance pendant les courses.

Cette substance a été ajoutée à la liste des produits interdits par le Bord na gCon (le Conseil des lévriers irlandais) suite à des soupçons sur son utilisation dans les courses. En augmentant les capacités physiques du chien, certains entraîneurs espéraient obtenir un avantage injuste.

Sanctions disciplinaires pour le propriétaire

Le cas du Viagra a été examiné par le Comité de contrôle des courses de la GRI, qui a organisé une audience disciplinaire. Bien que le propriétaire du chien n’ait pas assisté à l’audience, l’amende initiale de 2 000 euros a été réduite à 1 500 euros, étant donné qu’il s’agissait de sa première infraction.

En plus de l’amende, le comité a décidé que tout lévrier appartenant ou entraîné par ce propriétaire serait soumis à des tests supplémentaires pendant un an. Le prix en argent gagné lors de cette course a également été confisqué, bien que le chien n’ait pas remporté la première place.

Une mesure pour garantir l’intégrité des courses

Depuis la réouverture du stade de Lifford en 2023, des milliers de tests ont été effectués pour vérifier que les chiens ne sont pas dopés, montrant ainsi l’engagement du GRI à maintenir l’intégrité des courses de lévriers en Irlande.

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Une séparation et un conflit autour du chien : Un jugement inédit pour la garde d’un chien en Espagne a récemment condamné un homme à payer 600 euros à son ex-compagne pour l’avoir empêchée de voir leur chien, un husky sibérien de quatre ans, pendant dix mois. Le couple avait initialement convenu d’une garde partagée de l’animal, mais après la rupture, l’homme a décidé de garder le chien pour lui, laissant son ex-partenaire sans contact avec l’animal. Ce geste a conduit à une bataille juridique qui a débouché sur une décision pionnière dans la justice espagnole.

Une compensation pour dommages moraux

Le juge Carmen Martínez, du Tribunal de première instance de Madrid, a reconnu que le fait de priver la femme de son chien avait causé des dommages moraux. Par conséquent, elle a ordonné à l’homme de verser une compensation de 600 euros. En plus de cela, un système de garde alternée a été mis en place, où les deux ex-partenaires partageront la garde du chien tous les 15 jours, une pratique similaire à celle de la garde conjointe pour les enfants.

L’avocate de la femme, Lola García, a souligné l’importance de ce jugement, qui marque une évolution vers la reconnaissance du lien émotionnel entre les humains et leurs animaux. Selon elle, ce type de décision pourrait dissuader d’autres personnes d’utiliser les animaux comme moyen de pression lors des séparations.

La loi sur le bien-être animal

Ce jugement s’inscrit dans le cadre de la Loi sur le Bien-être Animal, adoptée en Espagne en décembre 2021. Cette loi reconnaît les animaux de compagnie comme des êtres sensibles, et non plus comme de simples biens matériels. Elle permet également d’établir des gardes partagées pour les animaux en cas de divorce ou de séparation, une avancée importante dans la protection des droits des animaux.

Vers une famille « multi-espèces »

Avec cette législation, l’Espagne rejoint d’autres pays européens dans la reconnaissance des droits des animaux. Désormais, en cas de séparation, un juge peut décider de la garde d’un animal en fonction de son bien-être. Ce jugement pionnier montre que les animaux sont de plus en plus considérés comme des membres à part entière des familles, une avancée notable vers un traitement plus respectueux de nos compagnons à quatre pattes.

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Des chiens déguisés en pandas : Un zoo en Chine a récemment été vivement critiqué après avoir admis qu’il avait peint des chiens de race Chow Chow pour les faire ressembler à des pandas. Les visiteurs du zoo de Shanwei se sont rendu compte de la supercherie lorsque les soi-disant pandas ont commencé à haleter et aboyer, ce qui a rapidement attiré l’attention des médias sociaux.

La révélation et les excuses du zoo

Les responsables du zoo ont finalement admis avoir peint deux Chow Chows, une race de chien duveteux, avec des marques noires et blanches pour simuler l’apparence de pandas géants. Bien que le zoo ait tenté de présenter cette mise en scène comme un simple divertissement, les visiteurs se sont sentis trompés et ont exigé des remboursements. Le zoo a affirmé qu’il n’avait pas tenté de tromper délibérément les visiteurs, mais cela n’a pas empêché les critiques d’affluer.

Pratiques déjà critiquées dans le passé

Ce n’est pas la première fois qu’un zoo en Chine est accusé de tromper les visiteurs en utilisant des animaux peints. En mai dernier, un autre zoo dans la province de Jiangsu avait également teint des Chow Chows pour les faire passer pour une « race rare » de chiens-pandas. Ces incidents ont soulevé des préoccupations concernant la maltraitance des animaux, en particulier en raison de la peau sensible et du pelage épais de ces chiens, qui peuvent être affectés par les produits chimiques utilisés dans les teintures.

Réactions du public et des défenseurs des animaux

Sur les réseaux sociaux chinois, de nombreuses voix se sont élevées contre ces pratiques, accusant les zoos de maltraitance envers les animaux et de tromperie envers le public. Un commentateur sur la plateforme Weibo a notamment dénoncé le fait de teindre des chiens pour attirer les touristes, qualifiant cela de cruel, surtout pour des chiens dont la peau est fragile. Cependant, les responsables du zoo ont défendu leur pratique en comparant la teinture des chiens à celle des cheveux humains, une comparaison qui a suscité encore plus d’indignation.

Des incidents similaires dans d’autres zoos

Cette affaire fait écho à d’autres incidents similaires en Chine. Par exemple, en 2019, un café pour chiens dans la province du Sichuan avait teint six Chow Chows pour les faire ressembler à des pandas, soulevant déjà à l’époque des préoccupations sur les droits des animaux. De plus, certains zoos ont même été accusés de présenter des chiens comme des loups ou des félins pour tromper les visiteurs. En 2020, une vidéo virale d’un soi-disant « panda » s’est révélée montrer en réalité un Chow Chow teint.

Conclusion

L’affaire des « chiens-pandas » a mis en lumière des pratiques trompeuses dans certains zoos chinois, tout en soulevant d’importantes questions sur la maltraitance animale et l’éthique des responsables de ces parcs. Les visiteurs, tout comme les défenseurs des animaux, appellent à plus de transparence et à un meilleur respect du bien-être animal dans ces établissements.

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Un vol au dénouement heureux : L’histoire de Maui, un spitz allemand volé lors d’un cambriolage à Acerra, a connu une fin heureuse; Le chien, appartenant à Miriam, une fille de 12 ans handicapée, a été rendu par les voleurs après plusieurs jours d’angoisse pour la famille. Les malfaiteurs, qui avaient également dérobé des objets de valeur, ont profité de l’absence de la famille pour s’introduire dans l’appartement et prendre Maui. Mais hier soir, le chien est finalement revenu sain et sauf dans les bras de sa jeune propriétaire.

Le soulagement de la famille

Dès le vol, la petite Miriam et sa famille étaient dévastées. Pour la jeune fille, Maui n’était pas simplement un animal de compagnie, mais son compagnon fidèle. Son père, Rosario, a tout fait pour retrouver le chien, multipliant les appels à l’aide à la télévision et dans les journaux. Il a également sillonné le quartier à la recherche de tout indice qui pourrait mener à son retour.

Le coup de fil des voleurs

Tard dans la soirée, Rosario a reçu un appel anonyme. À l’autre bout du fil, une personne avec un accent étranger lui a dit que le chien avait été laissé près de leur porte d’entrée. Les voleurs ont même déclaré : « Nous sommes des voleurs, mais honnêtes ». Bien que cette déclaration ait pu provoquer de l’indignation, la joie de revoir Maui l’a largement emporté sur toute autre émotion.

Un élan de solidarité à travers l’Italie

Depuis la disparition de Maui, toute l’Italie s’était mobilisée pour aider la famille à retrouver le chien. Les réseaux sociaux, les associations de défense des animaux et même les carabiniers se sont impliqués dans la recherche. Cet immense élan de solidarité a probablement incité les voleurs à rendre Maui. « Toute l’Italie s’est mobilisée », a déclaré Rosario, très ému, en ajoutant que sa fille pleurait de joie en retrouvant son compagnon.

L’histoire de Maui montre à quel point un animal peut avoir un rôle central dans la vie d’une famille, et comment la solidarité peut faire des miracles.

Un acte de violence insensé : Un homme du comté de Tarrant, Texas, a été condamné à 70 ans de prison après avoir tué un chien lors d’un vol à main armée. Donavin Copeland, âgé de 20 ans, a plaidé coupable de six chefs d’accusation de vol aggravé et de cruauté envers les animaux, crimes qui lui ont valu cette lourde peine. Ce crime particulièrement cruel a choqué la communauté de Fort Worth, où l’incident s’est produit.

https://www.fox4news.com/news/fort-worth-donovin-copeland-arrest

La série de vols violents

Le 2 janvier 2023, Donavin Copeland a perpétré un vol dans un dépanneur de Fort Worth, au cours duquel il a tiré sur un petit chien nommé Peanut, l’animal de compagnie d’un employé du magasin. La vidéo de surveillance, diffusée par la police, montre Copeland abattant froidement le chien avant de menacer l’employé avec une arme à feu, exigeant de l’argent et volant également le véhicule de la victime. Cet acte de violence n’était malheureusement pas isolé : Copeland a été identifié comme le responsable de plusieurs autres vols à main armée dans la même zone, chacun marqué par une brutalité similaire.

L’arrestation et la condamnation

Grâce aux informations fournies par le public, la police de Fort Worth a pu identifier et arrêter Copeland peu après la diffusion de la vidéo. Les citoyens ont joué un rôle crucial en alertant les forces de l’ordre sur l’identité et la localisation du suspect. Leur coopération a permis de mettre fin à la série de crimes violents qui terrorisait la communauté.

Les enquêteurs de Fort Worth, ainsi que ceux des villes voisines de Saginaw et White Settlement, ont travaillé ensemble pour résoudre cette affaire et assurer la sécurité des habitants. Le détective Brian Raynsford, qui a joué un rôle clé dans l’arrestation, a décrit Copeland comme « l’un des jeunes hommes les plus dangereux et les plus violents » qu’il ait rencontrés en 12 ans de carrière.

Un acte de cruauté contre un chien reconnu

La mort de Peanut, le petit chien tué lors du vol, a particulièrement marqué cette affaire. Au-delà du vol et de la violence envers les personnes, la cruauté envers cet animal a renforcé l’indignation générale. La lourde peine de 70 ans de prison reflète la gravité des crimes commis et envoie un message fort contre la violence et la cruauté envers les animaux. Copeland passera la majeure partie de sa vie en prison, rendant justice non seulement aux victimes humaines, mais aussi à Peanut, ce chien innocent qui a perdu la vie de manière tragique.

Une histoire touchante d’adoption : « El Gordo », un adorable chien, fait sensation sur les réseaux sociaux après avoir trouvé un emploi unique. Ce petit chien, autrefois errant dans les rues de San Luis Potosí, a vu sa vie transformée lorsqu’une chaîne de pharmacies locales, Farmacias Guadalajara, l’a adopté et lui a offert une place dans son équipe en tant qu’agent de sécurité.

De la rue à la pharmacie

Avant de devenir une star, « El Gordo » vivait une vie difficile dans la rue. Sa chance a tourné lorsqu’il a été recueilli par une pharmacie de San Luis Potosí. Non seulement il a trouvé un foyer, mais il a également été intégré au personnel de l’établissement avec un rôle important. Désormais, il veille à la sécurité de la pharmacie tout en gagnant ses croquettes grâce à son travail exemplaire.

Un nouveau rôle qui fait des vagues

Le 5 septembre, les images d' »El Gordo » dans son uniforme de sécurité ont envahi les réseaux sociaux. Ce petit chien, vêtu de son uniforme personnalisé, parcourt les couloirs de la pharmacie, attirant l’attention des clients et des employés. Grâce à son charme et à sa gentillesse, il est rapidement devenu une star locale. Les clients ne manquent pas de le photographier et de partager son histoire sur internet, faisant d' »El Gordo » une véritable icône de la ville.

Un symbole d’inclusion et d’amour

La pharmacie qui a adopté « El Gordo » mène une politique d’inclusion, valorisant le bien-être des animaux. Les employés, touchés par l’histoire de ce chien, lui ont donné une chance et l’ont accueilli avec amour. Ce geste reflète l’importance de la bienveillance envers les animaux, transformant une simple adoption en une histoire d’amour et d’espoir.

Une source de joie pour les clients

Les habitants du quartier, ravis de leur nouveau compagnon à quatre pattes, viennent régulièrement à la pharmacie pour voir « El Gordo » en action. Il est devenu une attraction locale, ajoutant une touche de joie à la vie quotidienne des clients. Ses gardes attentives et son attitude affectueuse rendent l’environnement de la pharmacie encore plus chaleureux.

L’histoire d' »El Gordo » rappelle que la gentillesse peut être trouvée dans les endroits les plus inattendus, et que même les plus petites actions peuvent apporter du bonheur dans nos vies. Si vous passez par San Luis Potosí, ne manquez pas de rendre visite à « El Gordo », le chien qui a su conquérir les cœurs par son histoire unique et inspirante.

Un chien devenu star d’Instagram grâce à une vie en bateau: Une vidéo virale d’un chien de refuge nommé Yoda, qui vit sur un bateau, a conquis le cœur des internautes. Partagée sur Instagram par @derekgrenada, la vidéo a rapidement accumulé 3,9 millions de vues. On y voit Yoda, un chien sauvé des rues de Grenade, nager dans les eaux cristallines de l’île avant de remonter à bord de son bateau par un petit escalier. Le clip montre Yoda attendant patiemment de se faire rincer à l’eau douce avant de secouer son pelage et de rejoindre tranquillement le pont du bateau.

Une vie de rêve pour Yoda et ses compagnons canins

Dans les commentaires, l’auteur de la vidéo a précisé que Yoda n’est pas seul à vivre cette vie idyllique : il partage ce mode de vie avec trois autres chiens, tous aussi à l’aise dans l’eau que sur la terre ferme. Ensemble, ils nagent plusieurs fois par jour, profitant pleinement de la mer et du soleil. Pour ces chiens, la mer est un terrain de jeu quotidien, leur permettant de se dépenser et de rester en forme.

La natation : une activité bénéfique mais pas pour tous les chiens

Bien que la natation soit un excellent exercice, elle n’est pas adaptée à tous les chiens. Les experts vétérinaires rappellent que certaines races, comme les corgis ou les carlins, peuvent avoir des difficultés à nager en raison de leurs caractéristiques physiques. De plus, les chiens souffrant d’arthrite, de problèmes cardiaques ou d’épilepsie doivent être examinés par un vétérinaire avant de se lancer dans cette activité. Même pour les chiens en bonne santé, la prudence est de mise, surtout en présence de forts courants ou d’obstacles difficiles à franchir.

Les internautes fascinés par la vie de Yoda

La vidéo de Yoda a suscité de nombreuses réactions positives sur Instagram. Les utilisateurs ont exprimé leur admiration pour l’intelligence et le mode de vie idyllique du chien. Certains ont même avoué envier Yoda, rêvant eux-mêmes de vivre sur un bateau avec leurs animaux de compagnie. Pour beaucoup, Yoda incarne l’image du chien qui « vit sa meilleure vie », un rêve devenu réalité pour ce petit rescapé des rues grenadiennes.

Une intervention dramatique capturée par des caméras : À Dallas, aux États-Unis, une vidéo capturée par des caméras de sécurité a récemment mis en lumière une situation particulièrement tendue lors d’un vol. On y voit Leah Amberly Wittsche, une femme paniquée qui demande de l’aide à ses voisins après que deux voleurs se soient introduits dans sa maison. En tenue de bain et tenant son chien dans les bras, Leah explique la situation en essayant d’attirer l’attention de son mari, encore au travail. La vidéo, largement partagée sur les réseaux sociaux, a suscité de nombreuses réactions et questions de la part des internautes.

Les circonstances du vol et l’urgence de la situation

Dans la vidéo, Leah raconte comment elle a découvert les voleurs alors qu’elle était dans la douche. Elle explique avoir vu les deux hommes entrer dans sa maison et a tenté de les supplier de ne pas faire de mal à ses enfants. Au moment du vol, elle a pris la décision de sortir de la maison avec son chien, tout en laissant ses enfants à l’intérieur. Le fait que ses enfants n’apparaissent pas sur les images a déclenché un débat intense parmi les spectateurs. Certains se demandent pourquoi elle a sauvé le chien en priorité, alors que ses enfants étaient également en danger.

L’explication de la propriétaire

Après la diffusion de la vidéo, Leah a publié des vidéos supplémentaires pour expliquer sa décision. Elle explique qu’après avoir constaté la présence des voleurs, elle a d’abord couru dans la chambre de ses enfants pour s’assurer qu’ils allaient bien. Elle a ensuite activé l’alarme de la maison avant de sortir pour chercher de l’aide. Ne trouvant personne, elle a utilisé les caméras de sécurité pour alerter son mari. Leah affirme que dans la panique, elle a d’abord pris son chien, car il risquait de faire du bruit et d’attirer l’attention des voleurs.

Réactions et soutien

Bien que Leah ait été critiquée par certains pour avoir pris son chien plutôt que de s’occuper immédiatement des enfants, d’autres ont soutenu sa décision. Les partisans estiment qu’elle a agi de manière à minimiser le stress et le traumatisme pour ses enfants en gardant le calme et en cherchant de l’aide. Ils ajoutent que le chien pourrait également avoir été en danger si laissé derrière, ce qui aurait pu compliquer davantage la situation lors du vol.

En fin de compte, cette situation dramatique souligne la difficulté de faire des choix rapides en cas d’urgence et la manière dont les priorités peuvent varier selon les circonstances.

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Un acte de violence inexplicable : À Herzliya, une tragédie bouleversante a secoué la communauté lorsque Sigal Yana Itzkovich, une femme de 33 ans, a été accusée d’avoir tué son fils de 6 ans et son chien. Les faits se sont déroulés dans un contexte de violence extrême, révélant une situation tragique où la mère a attaqué son propre enfant dans la baignoire après avoir d’abord attaqué le chien de la famille.

Un crime d’une violence extrême

Le crime a été marqué par une brutalité saisissante. Itzkovich a d’abord attaqué le chien avec un couteau et une hache, infligeant plus de 40 blessures sur le corps de l’animal. Craignant que les cris du chien n’attirent l’attention des voisins, elle l’a tué, puis s’est retournée contre son fils, lui assénant des coups de couteau si violents que la lame s’est brisée, laissant la pointe enfoncée dans le crâne de l’enfant.

Tentative de dissimulation et arrestation

Après ce drame, Itzkovich a tenté de dissimuler ses actes. Elle a nettoyé les armes, changé de vêtements et s’est rendue au centre commercial Seven Stars, encore tachée de sang et portant une hache. Sur le chemin, elle a agressé une passante, puis un agent de sécurité au centre commercial. C’est là que la police l’a arrêtée, découvrant par la suite la gravité de ses actes.

Des motifs troublants

Lors de son interrogatoire, Itzkovich a affirmé avoir agi sous les ordres d’extraterrestres, qui l’auraient enlevée avec sa famille pour les soumettre à un test en vue d’un recrutement potentiel par le Mossad. Ces déclarations ont soulevé des questions sur son état mental, ce qui a conduit les procureurs à demander son maintien en détention, soulignant la gravité des faits et les troubles mentaux apparents de l’accusée.

Un processus judiciaire en cours

Le tribunal de district de Tel Aviv a engagé des poursuites contre Itzkovich pour meurtre, violences graves, homicide d’un animal, et entrave à la justice. Ce drame met en lumière les dangers des troubles mentaux non traités et leurs conséquences tragiques, laissant une communauté en état de choc face à une telle horreur.

Ces dernières années, Barcelone a connu un grand changement démographique et social. Avec un habitant sur dix qui possède un chien, la ville a dû s’adapter pour accueillir cette nouvelle population à quatre pattes. Pendant ce temps, le taux de natalité a chuté, illustrant un changement profond dans les priorités des Barcelonais.

L’essor des chiens dans la ville

Les chiens sont devenus une partie intégrante de la vie à Barcelone. On croise régulièrement des bouledogues français, des maltais et des Golden Retrievers dans les rues. La ville s’est transformée pour répondre à ce phénomène, en créant des parcs spécialement dédiés aux chiens et en développant des services spécialisés pour eux. Ce changement est en grande partie dû à une évolution dans la manière dont les familles sont composées. De plus en plus de Barcelonais choisissent d’avoir un chien plutôt qu’un enfant, ou en plus petit nombre, préférant la compagnie d’un animal fidèle qui n’implique pas les mêmes responsabilités à long terme qu’un enfant.

Une natalité en baisse constante

Parallèlement à cet engouement pour les chiens, la Catalogne, et Barcelone en particulier, connaît une baisse importante du taux de natalité. En 2022, le taux de fécondité a atteint son niveau le plus bas avec seulement 1,17 enfant par femme. Le nombre de naissances a chuté à 56 316 bébés, soit une baisse de 2,3 % par rapport à l’année précédente. Les raisons de cette baisse sont multiples : coût de la vie élevé, difficulté à équilibrer vie professionnelle et vie familiale, et changements dans les attentes personnelles.

Des défis pour la ville

Cette nouvelle réalité présente des défis pour Barcelone. Avec moins d’enfants et plus de chiens, la ville doit repenser son urbanisme. Les besoins en espaces verts pour les animaux, les services de garde pour chiens et même les logements doivent être réévalués. Cette transformation influence non seulement la manière dont les quartiers sont conçus, mais aussi comment les habitants interagissent entre eux.

Un avenir à réinventer

En somme, Barcelone se réinvente autour de ses nouvelles priorités. L’augmentation de la population canine et la baisse de la natalité reflètent un changement dans la société, où les citadins privilégient de plus en plus la compagnie des animaux de compagnie. Ce phénomène ouvre de nouvelles opportunités, mais également des défis pour l’avenir de la coexistence dans cette ville dynamique.

Une race ancienne et méconnue : Le chihuahua, la plus petite des races de chiens reconnues par l’AKC, est souvent mal compris. Contrairement à l’image d’un chien frêle et bruyant qui se contente de rester sur les genoux de son maître, cet animal est robuste et dynamique. Kyle Potts, ancienne présidente du Chihuahua Club of America, souligne que ces petits chiens sont en réalité des compagnons actifs et en bonne santé, prêts à participer à des activités comme l’agilité ou le camping en famille.

Origines mystérieuses et légendes aztèques

L’origine exacte du chihuahua est sujette à débat. La plupart des experts s’accordent à dire que la race vient probablement du Mexique. Cependant, certains pensent qu’elle pourrait avoir été amenée d’Asie par les conquistadors espagnols, ou même qu’elle aurait des ancêtres chinois. Selon l’historien William Miller, les Toltecs et plus tard les Aztèques possédaient des chiens similaires au chihuahua. Ces chiens étaient vénérés, et l’on croyait qu’ils guidaient les âmes des nobles défunts vers l’au-delà. Les Aztèques considéraient ces animaux comme essentiels dans les rites funéraires.

Les chihuahuas aux États-Unis : une ascension rapide

L’intérêt pour les chihuahuas a commencé à croître aux États-Unis au XIXe siècle. En 1888, James Watson et Owen Wister importèrent les premiers spécimens en Amérique, contribuant ainsi à l’émergence des lignées célèbres. L’AKC a reconnu la race en 1904, avec le premier chihuahua enregistré nommé « Midget ». À partir de ce moment, la popularité du chihuahua n’a cessé d’augmenter, avec des champions comme « Beppie » et des éleveurs renommés tels qu’Anna B. Vinyard, qui ont contribué à la reconnaissance officielle de la race.

Séparation en variétés et reconnaissance moderne

En 1952, la race a été officiellement divisée en deux variétés : à poil long et à poil court. Le chihuahua à poil lisse est devenu particulièrement populaire comme animal de compagnie. Cette année-là, le chihuahua à poil lisse, Gretchen de Ch. Attas, a remporté le premier prix du Meilleur de l’exposition, marquant une étape importante pour la race. Cette race a continué à gagner en popularité, notamment grâce à des célébrités comme le chef d’orchestre Xavier Cugat et son apparition dans des films comme « Beverly Hills Chihuahua » et « Legally Blonde ».

Aujourd’hui, les chihuahuas sont non seulement des animaux de compagnie prisés, mais ils sont également devenus des icônes culturelles, illustrant leur parcours impressionnant depuis leurs racines anciennes jusqu’à leur place dans la société moderne.

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Une balade qui tourne au cauchemar : Vanessa Chaput, une jeune mère de 24 ans vivant au Yukon, Canada, a vécu une expérience terrifiante lors d’une simple promenade avec son chien, Luna, un berger allemand; face à un ours; Ce qui devait être une sortie tranquille s’est rapidement transformé en une lutte pour sa survie lorsqu’elle s’est retrouvée face à quatre ours sur un sentier à Haines Junction. Trois ours l’ont encerclée, tandis qu’un quatrième, plus petit, se trouvait derrière elle. Dans un acte de bravoure incroyable, Luna a réussi à repousser deux des ours, permettant ainsi à Vanessa de tenter de se défendre.

Une attaque violente et une survie miraculeuse

L’un des ours a attaqué Vanessa, la mordant à la tête et lui causant de graves blessures. « Je me sentais comme une poupée de chiffon », a-t-elle confié. Malgré la violence de l’attaque, Vanessa est restée concentrée sur sa famille, déterminée à survivre pour sa fille et son conjoint. Elle attribue sa survie à une pince à cheveux qu’elle portait, qui aurait éclaté dans la gueule de l’ours, provoquant sa fuite. Vanessa s’est ensuite abritée derrière un arbre, tandis que Luna, en aboyant, a effrayé l’ours et empêché une nouvelle attaque.

Des secours rapides et des blessures graves

Après s’être échappée, Vanessa a réussi à rejoindre l’autoroute où elle a contacté son conjoint et les secours à l’aide de sa montre intelligente. Elle a été transportée à l’hôpital où elle a passé dix jours, recevant plus de trente points de suture et soignant un bras cassé. Les agents de conservation du Yukon sont intervenus rapidement après l’incident, euthanasiant un ours sur place par mesure de sécurité publique et évacuant un camp voisin. Deux autres ours ont également été retrouvés et euthanasiés, tandis que des recherches se poursuivent pour localiser le quatrième.

Soutien massif sur les réseaux sociaux

Vanessa a reçu un immense soutien sur les réseaux sociaux après son épreuve. Sur Facebook, elle a exprimé sa gratitude envers tous ceux qui l’ont soutenue, en particulier les équipes médicales et les agents qui l’ont aidée. Elle a aussi souligné l’importance des connaissances sur la gestion des rencontres avec les ours et a salué le rôle crucial de Luna dans sa survie. En dépit de ses blessures, Vanessa se dit incroyablement chanceuse d’avoir survécu et remercie Dieu pour cette protection miraculeuse.