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Inquiétudes suite de la découverte du premier hybride chien-renard

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La récente découverte du tout premier hybride chien-renard au monde suscite des inquiétudes parmi certains scientifiques.

Au fil des années, nous avons été témoins de l’émergence d’animaux hybrides tels que le ligre et le wholfin, chaque nouvelle créature issue de croisements inter-espèces soulevant des interrogations quant à la reproduction et à l’avenir de ces animaux uniques. En 2021, au Brésil, les habitants ont fait la surprenante découverte de ce qui semblait être le premier hybride chien-renard au monde, une réalité confirmée récemment par des tests génétiques.

Bien que cette nouvelle puisse sembler enthousiasmante pour les amateurs de chiens à la recherche d’un compagnon mignon, un scientifique soulève des questions concernant les interactions entre les espèces. Cet hybride est désigné sous le nom de « dogxim », résultant du croisement entre un chien et un graxaim-do-campo, le renard de la Pampa en portugais. Une femelle dogxim spécifique a été impliquée dans un accident de voiture, puis emmenée dans un centre de réhabilitation de la faune, où le personnel a constaté un curieux mélange de caractéristiques physiques et de comportements inhabituels.

Selon des spécialistes, la présence de cet hybride dogxim suggère probablement une augmentation des interactions entre les espèces sauvages et domestiques. Cette situation n’est guère surprenante, étant donné l’expansion constante des zones habitées par les humains dans les habitats naturels. Cependant, en plus de perturber les déplacements des animaux et de mettre en péril des espèces non menacées comme le renard de la Pampa, cela accroît également le risque de transmission de maladies entre les espèces.

Dans le cas de la dogxim originale, elle est malheureusement décédée quelques mois après sa réhabilitation, ce qui complique les recherches scientifiques sur des sujets tels que la fertilité. Bien que nous ne devions probablement pas nous attendre à voir de nombreux hybrides chien-renard se multiplier de sitôt, notamment parce que le renard roux commun est génétiquement plus éloigné du chien domestique commun (Canis lupus familiaris) que du renard de la Pampa, cette tendance pourrait néanmoins devenir plus courante dans les décennies à venir si les habitats humains continuent de croître.


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Les chiens vus comme des membres de la famille : impact sur les soins

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Les rôles des chiens dans nos vies : Les chiens occupent aujourd’hui une place importante dans la vie de leurs propriétaires, qui les considèrent souvent comme des membres de la famille. Une étude récente menée par l’Université Eötvös Lorand a cherché à comprendre comment la perception des propriétaires vis-à-vis de leurs chiens – en tant qu’amis, membres de la famille ou gardiens – influence les soins qu’ils leur apportent. En analysant les réponses de 800 propriétaires de chiens, les chercheurs ont identifié des liens étroits entre ces rôles attribués aux chiens et le niveau d’attention qu’ils reçoivent au quotidien.

Une relation en évolution

Avec l’évolution des dynamiques familiales, de plus en plus de personnes, notamment les jeunes générations, voient leurs chiens comme des compagnons proches, voire des « enfants à fourrure ». Ce phénomène pourrait s’expliquer par une société marquée par la solitude et des familles plus petites, où les chiens remplissent un rôle affectif. Ainsi, ce changement de perception s’accompagne souvent de soins plus attentifs, car les propriétaires investissent du temps et de l’énergie pour créer un lien fort avec leur animal.

Les chercheurs ont constaté que certains propriétaires adoptent une approche émotionnelle avec leurs chiens, tandis que d’autres se concentrent sur des aspects pratiques, comme la protection de la maison. Certains chiens sont même perçus à la fois comme des compagnons émotionnels et des « collègues » participant aux tâches de la vie quotidienne.

Profils de propriétaires

L’étude a révélé trois profils distincts de propriétaires de chiens :

  1. Les « parents de chiens » : Ces propriétaires voient leurs chiens comme des enfants ou des membres proches de la famille. Ils développent un lien émotionnel fort avec leur animal, sans attentes de fonctions pratiques.
  2. Les « propriétaires utilitaires » : Pour eux, le chien a souvent une double fonction. Il est un partenaire pratique, mais aussi un compagnon émotionnel. Ces propriétaires utilisent souvent des méthodes de dressage avancées et possèdent des chiens de races réputées pour leurs capacités de travail, comme les Border Collies ou les Bergers Allemands.
  3. Les propriétaires « compagnons » : Ils gardent principalement leur chien pour la compagnie, sans développer de lien émotionnel aussi fort que les autres groupes. Ce profil inclut souvent des chiens de races plus populaires comme le Labrador ou le Cocker Spaniel.

Impact sur le bien-être canin

Les chercheurs ont également étudié les comportements des chiens pour évaluer leur bien-être. Des comportements comme sauter, chasser ou se montrer territorial ont été observés, mais ils n’ont pas été directement liés aux rôles attribués par leurs propriétaires. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, attribuer un rôle humain au chien n’a pas eu d’effet négatif sur son bien-être.

Vers une compréhension plus profonde de la relation humain-chien

Les résultats de cette étude mettent en lumière un changement générationnel dans la manière dont les chiens sont perçus et traités. Les jeunes générations sont plus enclines à voir leur chien comme un membre de la famille, un compagnon proche, et investissent davantage dans leur relation avec eux. Cela pourrait être un signe des évolutions sociétales modernes, où les liens avec les animaux comblent parfois les manques relationnels.

En conclusion, cette recherche montre l’importance des chiens dans la vie de leurs propriétaires et les bénéfices qu’ils en retirent. Elle ouvre également des perspectives pour mieux comprendre les implications de ce phénomène sur le bien-être des animaux et sur les relations humaines.


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Les léchouilles des chiens : comprendre leurs intentions

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Un geste d’affection… et de demande : Lorsque votre chien vous couvre de léchouilles, il montre son affection, mais il exprime aussi un comportement qui remonte à ses ancêtres, les loups. D’après le Dr Alexandra Horowitz, experte en cognition canine et autrice du livre L’année du chien : comment les chiens deviennent eux-mêmes, les coups de langue de votre chien ne sont pas juste des « bisous ».

Dans les meutes de loups, quand un loup rentre de la chasse, les autres membres l’entourent et lui lèchent le visage pour lui demander un peu de la nourriture qu’il a rapportée. En vous léchant en rentrant, votre chien reproduit ce comportement pour vous saluer, mais aussi pour « demander » un peu de ce que vous venez peut-être de manger. C’est donc un mélange de plaisir à vous retrouver et d’instinct nourricier.

Une façon de découvrir leur environnement

Les léchouilles sont également un moyen pour les chiens de « sentir » leur entourage, en récoltant des informations sur vous, vos activités et même votre humeur. Pour eux, c’est une façon naturelle et instinctive de comprendre ce qui se passe autour d’eux. À travers le goût et l’odorat, ils peuvent percevoir bien plus que nous ne l’imaginons.

Décoder les comportements canins

En tant que propriétaires, nous pensons souvent comprendre ce que notre chien souhaite ou ressent, qu’il quémande de la nourriture, cherche un câlin ou signale qu’il veut aller se promener. Toutefois, selon Horowitz, nos interprétations ne sont pas toujours exactes.

Prenons par exemple le fameux « regard coupable » : de nombreux propriétaires l’associent à un sentiment de culpabilité chez leur chien. En réalité, ce regard est une réaction à notre propre attitude : le chien remarque notre mécontentement et adopte un comportement de soumission pour apaiser les tensions. Ce comportement est une demande silencieuse de pardon qui fonctionne souvent pour éviter une réprimande.

La position de la queue du chien est aussi un bon indicateur de son état d’esprit. Une queue basse, entre les pattes, peut signaler de la nervosité ou de l’inquiétude, tandis qu’une queue haute, qui « flotte » presque, indique qu’il est très intéressé par quelque chose. Ainsi, une queue qui remue ne signifie pas systématiquement qu’il est heureux, mais peut exprimer divers états émotionnels.

Le monde sensoriel des chiens

Bien qu’ils s’intègrent parfaitement dans nos vies, les chiens perçoivent le monde très différemment. Selon le Dr Horowitz, là où nous utilisons la vue, les chiens « voient » surtout avec leur odorat. En sentant les odeurs de leur environnement, ils décryptent des informations précises et complexes, comme nous le faisons en observant des détails visuels.

Par conséquent, il est essentiel de leur laisser le temps de renifler en balade, car c’est pour eux une exploration importante. C’est leur manière de « lire » leur monde et de comprendre ce qui s’y passe. En étant conscients de leurs besoins sensoriels, nous pouvons mieux répondre à leurs attentes et leur offrir une vie plus enrichissante. En retour, nos chiens continueront de nous apporter leur amour, leur loyauté et cette connexion unique qui fait d’eux nos meilleurs amis depuis des siècles.


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En Chine, des cafés embauchent des chiens

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Les cafés pour animaux, une tendance en plein essor : En Chine, une nouvelle tendance se développe dans les grandes villes : les cafés pour animaux. Ces établissements offrent aux propriétaires de chiens et de chats un lieu où leurs compagnons à quatre pattes peuvent « travailler » et socialiser avec les clients, leur évitant ainsi de rester seuls à la maison. En échange, les animaux reçoivent des récompenses sous forme de friandises, et leurs maîtres bénéficient de réductions sur les consommations. C’est le cas de Xue, une jeune femme de 27 ans, qui envoie son chien, un Samoyède nommé OK, dans un café pour animaux de Fuzhou, dans le sud-est du pays.

Une solution pratique pour les propriétaires et les voisins

Le concept est simple : Xue laisse OK au café pendant qu’elle et son petit ami sortent pour profiter de leur temps libre. De cette façon, OK est occupé, n’aboie pas à la maison et ne dérange pas les voisins. Xue explique : « C’est comme envoyer les enfants à l’école ». Ainsi, elle est rassurée de savoir que son chien est entouré d’autres animaux et qu’il s’amuse au lieu de rester enfermé seul.

Les clients de ces cafés paient entre 3,60 et 7,80 euros pour passer du temps en compagnie des animaux. Si un client décide de consommer sur place, le prix d’entrée est offert. Les propriétaires d’animaux, quant à eux, bénéficient de la tranquillité d’esprit et de l’économie de devoir surveiller ou divertir leurs compagnons.

Le salaire des animaux : des friandises et des réductions

Le « salaire » des chiens et chats est essentiellement symbolique. Les animaux reçoivent une collation quotidienne et, dans certains cas, des réductions sur les services du café pour leurs maîtres. Par exemple, Xue économise sur la climatisation chez elle pendant les jours de chaleur, car OK reste au café, qui est climatisé pour le confort des animaux. Pour les propriétaires, cela représente un avantage financier supplémentaire tout en assurant le bien-être de leur compagnon.

Un concept qui se répand et attire de nombreux propriétaires

Les cafés pour animaux se multiplient rapidement en Chine et deviennent un modèle d’affaires rentable. Cette pratique s’intègre dans une tendance appelée “Zhengmaotiaoqian”, qui signifie littéralement “gagner une collation”. Les propriétaires de cafés publient même des offres d’emploi pour recruter des animaux sociables. Les annonces indiquent souvent : “Nous recherchons des chats ou des chiens en bonne santé et de bonne humeur pour rejoindre notre équipe”. Les réseaux sociaux comme Xiaohongshu, équivalent chinois d’Instagram, sont utilisés pour recruter de nouveaux « employés » animaux.

Un processus de sélection amusant et rigoureux

Avant d’être acceptés, les animaux passent par une sélection pour s’assurer qu’ils sont à l’aise avec les clients et les autres animaux. Ils doivent montrer qu’ils peuvent interagir de façon agréable et détendue. Ce processus garantit un environnement harmonieux au café pour les animaux et les visiteurs.

Une tendance innovante et économique

Ce nouveau modèle économique reflète un intérêt croissant pour le bien-être des animaux en Chine. Offrir un espace aux animaux pour se socialiser tout en réduisant les dépenses de leurs maîtres, surtout dans un contexte urbain où la vie est rapide et les espaces limités, répond aux besoins des propriétaires modernes. En permettant aux animaux d’avoir leur “emploi”, les cafés pour animaux chinois montrent une approche unique du lien entre l’humain et l’animal.

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Bingo dans la série « Bluey » est un bouvier australien

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Bingo : Un bouvier australien : Dans la série télévisée pour enfants Bluey, Bingo, la petite sœur de Bluey, est un bouvier australien, aussi appelé Red Heeler ou Blue Heeler, selon la couleur de son pelage. Cette race est reconnue pour son rôle de chien de berger en Australie, et Bingo incarne parfaitement les traits et les qualités de ce chien dans la série.

Caractéristiques du bouvier australien

Le bouvier australien est un chien de taille moyenne, mesurant entre 43 et 50 cm et pesant entre 16 et 22 kg. Ce chien est fort et compact, parfaitement adapté aux environnements extrêmes, que ce soit le froid ou la chaleur. Son double pelage dense le protège des éléments, et ses oreilles pointues et sa silhouette musclée en font un chien très robuste. Ces caractéristiques sont également visibles chez Bingo, qui reflète l’énergie et la résistance typiques de cette race.

Origine et histoire de la race

Le bouvier australien a été développé au XIXe siècle pour aider les bergers dans les conditions difficiles de l’Australie. Des croisements entre plusieurs races, notamment le Dingo australien, le Kelpie et même des Dalmatiens, ont donné naissance à ce chien résistant. Le bouvier australien est aujourd’hui reconnu comme une race à part entière, avec des compétences naturelles pour le travail de troupeau. Il a été officiellement reconnu par l’American Kennel Club en 1980.

Un tempérament unique

Le bouvier australien est un chien intelligent, protecteur et très énergique. Comme Bingo dans Bluey, ces chiens sont loyaux et adorent interagir avec leur famille. Ils s’entendent bien avec les enfants, mais nécessitent une éducation ferme et une stimulation régulière. Ils sont indépendants mais sensibles, et ont besoin d’être entourés d’un environnement bienveillant pour s’épanouir. C’est un chien qui aime être actif, et sans suffisamment d’exercice, il peut devenir destructeur.

Réflexions finales

Bingo, le personnage de la série Bluey, capture parfaitement les traits du bouvier australien : énergique, intelligent, protecteur et très proche de sa famille. Ce lien fort entre le caractère de Bingo et la race qu’il représente contribue à rendre le personnage encore plus attachant pour les spectateurs.


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L’histoire des mosaïques de chiens à Genève

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Des mosaïques pour une ville plus propre : À Genève, le problème des crottes de chiens sur les trottoirs ne date pas d’hier. Dès 1915, le Journal de Genève évoquait déjà cette question dans ses colonnes. Afin de trouver une solution, Claude Ketterer, alors Conseiller administratif de la Ville de Genève de 1966 à 1987, a décidé d’agir. Responsable du Département municipal des constructions et de la voirie, il a eu une idée innovante pour sensibiliser les propriétaires de chiens.

Une idée visuelle pour sensibiliser

Plutôt que d’installer des panneaux écrits, Ketterer a fait appel à un mosaïste pour créer des mosaïques directement incrustées dans les trottoirs. Ces mosaïques montrent un chien accompagné de la phrase « Je ne salis pas les trottoirs », avec une flèche indiquant le caniveau. L’objectif était simple : inciter les propriétaires de chiens à laisser leurs animaux faire leurs besoins dans les endroits prévus, et non au milieu des trottoirs.

Un impact modéré, mais visible

Ketterer reconnaît lui-même que l’effet de cette initiative n’a pas été « extraordinaire », mais elle a tout de même contribué à réduire le problème des crottes de chiens en ville. Les mosaïques, bien que destinées aux propriétaires de chiens, ont aussi attiré l’attention des touristes. Aujourd’hui, ces mosaïques sont devenues des curiosités locales, souvent photographiées et partagées sur Internet.

Où trouver ces mosaïques ?

Même si la pose de ces mosaïques a cessé après la fin du mandat de Claude Ketterer, elles sont encore visibles dans certains quartiers de Genève. On peut en trouver au boulevard Carl-Vogt, au boulevard des Philosophes, à la rue de Berne, à la rue du Mont-Blanc ou encore à la rue des Chaudronniers.

Ainsi, ces mosaïques rappellent une initiative originale pour rendre la ville plus propre, tout en devenant, au fil du temps, une partie du patrimoine genevois.


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Une bonne idée le compostage des crottes de chiens et chats ?

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Compostage des crottes : bonne ou mauvaise idée ?: Avec 850 millions de chats et chiens dans le monde, les crottes d’animaux représentent un réel enjeu environnemental. En effet, les excréments non ramassés peuvent propager des bactéries, et les sacs plastiques utilisés pour leur ramassage polluent l’environnement. Le compostage semble être une solution intéressante, mais est-ce vraiment sûr ?

Pourquoi envisager le compostage ?

Le compostage pourrait aider à réduire la quantité de déchets produits par nos animaux de compagnie. En théorie, les crottes compostées peuvent servir à nourrir le sol, limitant ainsi l’impact écologique des animaux. Cependant, le compostage des excréments de chiens et chats présente des risques sanitaires. Ces excréments contiennent des bactéries et parasites dangereux pour l’homme, comme les œufs de vers ou le parasite Toxoplasma gondii chez les chats.

Si vous optez pour le compostage, il est essentiel de le faire à chaud pour tuer les bactéries. De plus, il est recommandé de garder ce compost loin de votre potager pour éviter tout risque de contamination.

Pourquoi éviter le compostage des crottes d’animaux ?

Contrairement aux excréments d’herbivores comme les vaches, ceux des carnivores comme les chiens et chats ne se décomposent pas bien et attirent de nombreux parasites. De plus, ils représentent un milieu propice à la prolifération de bactéries dangereuses. Un compostage mal maîtrisé peut ainsi poser des risques sérieux pour la santé humaine.

Les risques spécifiques des excréments de chiens et chats

Les crottes de chien sont souvent porteuses de bactéries et d’œufs de vers, comme les ascaris, qui peuvent survivre longtemps et provoquer des infections chez l’homme. Quant aux crottes de chat, elles peuvent transmettre la toxoplasmose, une maladie particulièrement dangereuse pour les femmes enceintes.

Conclusion : éviter le compostage des crottes

Le compostage des crottes de vos animaux de compagnie présente trop de risques pour la santé humaine. Heureusement, il existe des alternatives comme les toilettes pour chiens, qui décomposent les excréments en toute sécurité grâce à un traitement enzymatique et de l’eau tiède. C’est une option bien plus sûre que le compostage traditionnel.


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Décoder les aboiements : l’IA au service des chiens

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Une intelligence artificielle pour comprendre les aboiements : Des chercheurs de l’Université du Michigan ont développé une intelligence artificielle (IA) capable de différencier les aboiements de chiens, qu’ils soient ludiques ou agressifs, et de déterminer l’âge, le sexe et la race de l’animal. Cette technologie, fruit d’une collaboration avec l’Institut national d’astrophysique, d’optique et d’électronique du Mexique (INAOE), utilise des modèles conçus pour le traitement de la parole humaine afin de mieux comprendre les vocalisations animales.

Des modèles de parole humaine adaptés aux chiens

L’équipe de recherche a utilisé des modèles d’IA initialement développés pour analyser la parole humaine, ce qui leur a permis de décoder les aboiements des chiens. Ces modèles sont capables de détecter les subtilités du langage humain, comme le ton et l’accent, et ont été adaptés pour analyser les sons produits par les chiens. Cela a ouvert la voie à une nouvelle approche pour comprendre la communication animale, en exploitant les connaissances accumulées sur la parole humaine.

Selon la professeure Rada Mihalcea, qui dirige le laboratoire d’intelligence artificielle de l’université, cette approche est prometteuse pour déchiffrer les nuances des aboiements canins. Les chercheurs estiment que les progrès de l’IA pourraient révolutionner la compréhension des comportements des animaux domestiques.

Un défi : le manque de données sur les animaux

Une des principales difficultés rencontrées dans ce domaine est le manque de données disponibles sur les vocalisations des animaux. Contrairement aux enregistrements de la parole humaine, les aboiements et autres sons animaux sont plus compliqués à collecter et à analyser. Les chercheurs doivent souvent enregistrer les chiens dans leur environnement naturel, ce qui rend la tâche plus complexe.

Pour surmonter cet obstacle, les chercheurs ont utilisé un modèle appelé Wav2Vec2, déjà formé sur la parole humaine. Ils ont collecté des enregistrements de vocalisations de 74 chiens de différentes races, âges et sexes, dans divers contextes, puis ont adapté le modèle pour analyser ces sons. Les résultats ont montré une précision allant jusqu’à 70 % dans la classification des aboiements, surpassant même certains modèles créés spécifiquement pour les chiens.

Des applications pour le bien-être animal

Cette recherche pourrait avoir un impact important sur le bien-être des chiens. En comprenant mieux ce que les aboiements signifient, les propriétaires et les professionnels du comportement animal pourront répondre plus efficacement aux besoins physiques et émotionnels des chiens. Par exemple, ils pourraient mieux détecter les signes de stress ou d’agressivité, ce qui aiderait à prévenir les accidents.

Les implications de cette technologie vont au-delà de la simple communication avec les animaux. Les modèles développés pourraient également être utilisés par les biologistes et les spécialistes du comportement pour mieux comprendre la vie des animaux sauvages, améliorant ainsi les soins et les programmes de protection animale.

Une avancée pour mieux comprendre nos compagnons

En utilisant l’IA pour analyser les aboiements, les chercheurs montrent qu’il est possible de s’approcher d’une meilleure compréhension de la communication canine. Bien que les animaux ne parlent pas comme les humains, cette technologie représente une avancée majeure pour décoder leurs expressions vocales et renforcer le lien entre l’homme et le chien.

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Le foulard jaune pour chiens : un signe de respect

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Une initiative pour mieux comprendre les chiens : Au Danemark, certains chiens portent des bandanas ou des foulards jaunes. Cette initiative, appelée Yellow Dog Project, a débuté en Suède en 2012 et s’est depuis répandue dans plus de 40 pays, comme le Royaume-Uni et le Danemark. Son objectif principal est de favoriser une meilleure communication entre les chiens et leur environnement, en signalant que certains d’entre eux ont besoin d’espace. Cela aide à éviter des interactions indésirables entre le chien, les humains ou les autres animaux.

Pourquoi un chien porte-t-il un foulard jaune ?

Un foulard ou un bandana jaune attaché au collier d’un chien signifie qu’il faut respecter une distance de sécurité. Cela ne veut pas dire que le chien est dangereux, mais qu’il a besoin de calme pour diverses raisons :

  • Il peut avoir des problèmes de santé.
  • Il peut être peureux ou nerveux.
  • Il est peut-être en convalescence après une opération.
  • Il a vécu des expériences traumatisantes.
  • Il est âgé et fatigué.
  • Il est en période de chaleur ou s’entraîne.

Le port de ce foulard jaune permet de signaler clairement aux passants qu’il faut éviter de s’approcher du chien ou de le caresser sans l’autorisation du propriétaire.

D’autres codes couleurs pour mieux comprendre les chiens

En plus du jaune, d’autres couleurs de foulards sont utilisées pour signaler des besoins spécifiques des chiens :

  • Orange : le chien ne doit pas être approché par d’autres chiens.
  • Blanc : le chien est handicapé.
  • Violet : le chien ne doit pas être nourri.
  • Rouge : prudence requise.
  • Bleu : chien d’assistance ou de thérapie.
  • Vert : chien sociable et amical.

Vers une meilleure coexistence

Avec plus de 340 millions d’animaux de compagnie en Europe, il est essentiel de comprendre ces codes pour favoriser une coexistence harmonieuse. Le Yellow Dog Project encourage chacun à respecter les besoins des chiens et à promouvoir une meilleure communication entre les humains et les animaux.

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Chiens de ville et chiens de campagne

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Des modes de vie bien distincts : Même s’ils ont les mêmes pattes et le même regard fidèle, les chiens de la campagne ne vivent pas la même vie que leurs cousins des villes. Tout comme les humains, les chiens s’adaptent à leur environnement, et les différences entre ces deux cadres de vie sont profondes, tant pour les hommes que pour les animaux. Les chiens des villes, souvent confinés dans des appartements et confrontés à un rythme de vie effréné, ne vivent pas la même liberté que les chiens de la campagne, qui évoluent en pleine nature.

Les chiens de campagne : la liberté avant tout

Les chiens de la campagne jouissent d’une plus grande liberté. Ils peuvent courir dans de vastes espaces, creuser des trous, jouer dans les champs et explorer leur environnement sans restriction. Ces chiens sont moins stressés, profitant d’une vie plus simple, proche de la nature. Ils passent leurs journées à accompagner les paysans dans leurs tâches quotidiennes, errant dans les champs, et vivant sans la pression des horaires. Ils ne connaissent pas les trottoirs bétonnés ni la nécessité de marcher en laisse.

Un exemple frappant est celui d’un chien errant, rencontré sur une route en pleine campagne, qui ne broncha même pas lorsqu’une voiture s’approcha dangereusement. Ce chien, n’ayant probablement jamais vu de véhicule, vivait une existence détachée des contraintes modernes, illustrant bien la différence de réalité entre les chiens des zones rurales et ceux des villes.

Les chiens de ville : une vie plus restreinte

En ville, les chiens vivent dans un environnement plus confiné et réglementé. Souvent contraints de vivre dans de petits espaces comme des appartements, ils doivent s’adapter à une vie où chaque moment est organisé : promenades à heures fixes, espaces limités pour jouer et faire leurs besoins. Les chiens de ville subissent davantage de stress, à cause du bruit, du manque d’espace et des interactions fréquentes avec d’autres chiens ou des passants. Ces contraintes rendent leur quotidien moins naturel et plus nerveux.

Le contraste des environnements

Les différences entre ces deux environnements ont un impact direct sur le comportement et la santé des chiens. Les chiens de campagne vivent dans un cadre où ils peuvent exercer leurs instincts naturels, tandis que les chiens de ville doivent souvent s’adapter à un mode de vie qui ne correspond pas toujours à leurs besoins. Le contraste est net : les chiens des champs courent librement, tandis que ceux des villes sont limités par les trottoirs et les appartements.

Conclusion : des réalités opposées

En conclusion, qu’ils soient à la ville ou à la campagne, les chiens s’adaptent à leur environnement. Cependant, la liberté et l’espace dont bénéficient les chiens de campagne leur offrent une qualité de vie différente de celle des chiens citadins. Il est important, en tant que propriétaire, de prendre en compte ces différences et de s’assurer que chaque chien, quel que soit son cadre de vie, puisse bénéficier d’un maximum de bien-être.

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Comment les chiens comprennent nos ordres

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Les chiens ont une incroyable capacité à comprendre les ordres que nous leur donnons. Que ce soit « assis », « viens », ou même des louanges comme « bon chien ! », ils réagissent de manière étonnante. Mais comment ces animaux parviennent-ils à saisir le sens de nos paroles ? Une étude récente, publiée dans PLOS Biologie par Eugénie Deaux et son équipe, explique comment la communication entre les chiens et les humains s’adapte naturellement pour faciliter cette compréhension.

Un rythme de communication adapté

Lorsque nous parlons à un chien, nous changeons inconsciemment notre façon de parler. Normalement, un humain parle à un rythme de 4 syllabes par seconde. Cependant, lorsqu’il s’adresse à un chien, ce rythme ralentit à environ 3 syllabes par seconde, ce qui correspond mieux à la capacité de traitement auditif des chiens, qui est de 2 syllabes par seconde. Cet ajustement permet aux chiens de mieux saisir nos ordres.

Ce phénomène est appelé « discours dirigé par le chien » (DDS). Il s’agit d’une version modifiée du langage que nous utilisons habituellement avec les adultes. Le DDS est plus lent et souvent accompagné d’un ton plus aigu, ce qui rend nos paroles plus compréhensibles pour nos compagnons à quatre pattes.

Le fonctionnement du cerveau des chiens

Pour comprendre comment les chiens traitent nos paroles, les chercheurs ont utilisé une électroencéphalographie (EEG) pour mesurer l’activité cérébrale des chiens. Ils ont découvert que, contrairement aux humains qui utilisent un rythme cérébral appelé « thêta » (4 à 7 Hz), les chiens traitent les sons avec un rythme plus lent, appelé « delta » (1 à 3 Hz). Cela signifie que les chiens sont mieux adaptés à des paroles plus lentes, ce qui explique pourquoi des commandes simples et courtes fonctionnent si bien.

L’importance de la simplicité des ordres

L’étude a également montré que les commandes courtes et simples, telles que « assis » ou « viens », sont plus efficaces avec les chiens. En effet, ces ordres correspondent à leur capacité naturelle de traitement auditif. Il ne s’agit pas seulement des mots que nous utilisons, mais aussi de la manière dont nous les prononçons. Le rythme et l’intonation jouent un rôle clé dans la compréhension des chiens, ce qui leur permet de réagir correctement.

Une évolution due à la domestication

Cette capacité des chiens à comprendre nos ordres ne s’est pas développée par hasard. Elle est le fruit de milliers d’années d’évolution et de domestication. En effet, les chiens, qui descendent des loups, ont été domestiqués il y a environ 15 000 ans. Cette domestication a favorisé le développement de compétences spécifiques, facilitant la coopération entre les humains et les chiens. C’est pourquoi nos compagnons à quatre pattes ont évolué pour mieux comprendre notre langage et nos intentions.

Comparaison avec la communication avec les bébés

Il est intéressant de noter que ce phénomène d’ajustement du langage n’est pas unique aux chiens. Lorsque les humains parlent à des bébés, ils modifient également leur façon de parler, en adoptant un discours plus lent et un ton plus élevé. Ce phénomène, appelé « discours dirigé par un nourrisson » (IDS), ressemble beaucoup au DDS que nous utilisons avec les chiens.

Cependant, bien que ces deux types de discours partagent des similitudes, le DDS est plus spécifiquement adapté aux capacités auditives des chiens, qui ont besoin d’un rythme plus lent pour bien comprendre.

Conclusion

En conclusion, cette étude révèle que la communication entre les humains et les chiens est le fruit d’une adaptation mutuelle. Les humains ajustent naturellement leur discours pour que les chiens puissent mieux comprendre, tandis que les chiens ont développé des capacités auditives adaptées à notre façon de parler. Cette relation unique entre les humains et les chiens montre à quel point ces deux espèces ont évolué ensemble au fil des siècles pour mieux se comprendre et coopérer.


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Lola, la chienne soignée avec une dose contrôlée de LSD

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Une étude pionnière sur l’anxiété canine : L’Université de Las Palmas de Gran Canaria (ULPGC) a récemment mené une étude innovante sur le traitement de l’anxiété chez les chiens en utilisant des doses contrôlées de LSD. Ce projet unique explore de nouvelles méthodes pour gérer l’anxiété qui touche environ 20 % des chiens domestiques.

L’expérience menée sur Lola

Lola, une chienne de 13 ans pesant 13 kilos, souffrait d’anxiété sévère. Les chercheurs ont administré à Lola une très faible dose de 1cp-LSD, une forme de substance psychédélique, et l’ont observée pendant cinq heures. Les résultats ont montré une réduction notable de son anxiété, sans aucun effet secondaire indésirable.

L’équipe a utilisé une échelle validée pour mesurer l’anxiété de Lola de manière objective. Une dose orale de 5 microgrammes de 1cp-LSD, correspondant à 0,38 microgramme par kilo, lui a été administrée. L’essai s’est déroulé dans son environnement habituel, avec son propriétaire présent pour assurer son bien-être.

Les premières heures de l’expérience n’ont pas montré de changement significatif, mais après deux heures, Lola a commencé à présenter des signes d’amélioration, avec une forte diminution de son anxiété.

Un traitement prometteur mais encore en recherche

Les auteurs de l’étude soulignent le potentiel innovant de ce traitement pour améliorer la qualité de vie des chiens souffrant d’anxiété. Cependant, ils insistent sur la nécessité de mener davantage de recherches avant de pouvoir confirmer l’efficacité et la sécurité de l’utilisation de cette substance sur le long terme.

C’est la première fois qu’une étude de ce genre est réalisée sur des chiens, et les résultats sont encourageants. Le 1cp-LSD pourrait devenir une alternative efficace aux traitements traditionnels, notamment dans les cas où les médicaments classiques n’ont pas donné de résultats.

Collaboration internationale

Cette recherche sur le LSD a été possible grâce à la collaboration de divers experts et institutions, dont le Département des Sciences Cliniques de l’ULPGC, l’Association Scientifique Psychodel, ainsi que le King’s College de Londres. Ensemble, ces équipes explorent de nouvelles frontières dans le traitement de l’anxiété chez les chiens, offrant ainsi de nouvelles perspectives pour le bien-être animal.

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Allergies aux plantes chez le chien

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Les allergies chez les chiens ne se limitent pas aux puces ou à la nourriture. Certaines plantes peuvent aussi provoquer des réactions allergiques, créant des irritations cutanées inconfortables. Voici ce qu’il faut savoir sur les allergies aux plantes chez nos amis canins.

Causes des allergies aux plantes

Les allergies aux plantes peuvent se manifester de deux façons principales :

  1. Atopie : Similaire à l’eczéma chez l’humain, cette allergie est causée par des pollens ou des moisissures en suspension dans l’air qui pénètrent la peau à cause d’une faiblesse de la barrière cutanée de votre chien. Cela déclenche une réponse inflammatoire.
  2. Dermatite de contact allergique : Cette forme survient lorsque la peau de votre chien entre en contact direct avec une plante allergène, provoquant une inflammation locale.

Certaines races de chiens, comme les West Highland White Terriers, Staffordshire Bull Terriers, Golden Retrievers et Bulldogs, sont plus susceptibles de développer des allergies aux plantes.

Symptômes des allergies aux plantes

Les allergies se traduisent généralement par des rougeurs et des démangeaisons importantes. La dermatite de contact affecte principalement les zones où les poils sont rares, comme les pattes, le ventre et les aisselles. En revanche, l’atopie peut toucher les oreilles, le visage, les yeux, le ventre, les pattes et autour de la queue.

Les chiens atteints ont tendance à se gratter constamment, ce qui peut entraîner des infections secondaires, notamment au niveau de la peau et des oreilles.

Plantes courantes déclenchant des allergies

Les plantes qui causent souvent des réactions allergiques incluent certaines herbes et plantes couvre-sol. Voici quelques exemples :

  • Graminées comme l’herbe à bison
  • Plantes couvre-sol telles que le Juif errant, la Zébrine, le Cœur violet ou le Moïse-en-cradle

Diagnostic des allergies aux plantes

Le diagnostic des allergies aux plantes nécessite souvent de procéder par élimination. Cela peut impliquer :

  • Un programme strict de contrôle des puces
  • Un régime alimentaire hypoallergénique
  • Des tests pour écarter les parasites comme les acariens

Dans certains cas, le vétérinaire peut recommander de protéger votre chien avec des bottes ou des vêtements pour voir si le contact avec les plantes est à l’origine des symptômes. Si nécessaire, un dermatologue vétérinaire peut réaliser un test intradermique en injectant de petites quantités d’allergènes sous la peau du chien pour détecter une réaction.

Comment gérer les allergies aux plantes

Une fois l’allergie confirmée, plusieurs options sont disponibles :

  • Éliminer les plantes déclenchantes dans votre jardin
  • Utiliser des bottes ou vêtements protecteurs lors des sorties
  • Donner des médicaments pour soulager les démangeaisons sous forme de crèmes, comprimés ou injections
  • En cas d’allergies sévères, un vétérinaire peut orienter vers un dermatologue pour un traitement par vaccins désensibilisants

En travaillant avec votre vétérinaire, vous pourrez soulager efficacement votre chien de ses allergies, lui offrant ainsi une meilleure qualité de vie sans démangeaisons.


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