Popularité du CBD (cannabis) pour les Chiens L’usage de l’huile de cannabidiol (CBD) a gagné en popularité parmi les propriétaires de chiens danois. Cette tendance est comparable à celle observée chez les propriétaires de chiens aux États-Unis et au Canada, où 80 % ont acheté des produits à base de cannabis pour leurs animaux. Le CBD, contrairement au THC, ne provoque pas d’effets psychoactifs, évitant ainsi les risques de comportements altérés chez les animaux.

Etude

Parmi les 2 002 propriétaires de chiens interrogés anonymement, 38 % ont déclaré utiliser au moins un produit à base de cannabinoïdes pour leurs chiens. La grande majorité (93 %) de ces propriétaires préfèrent les gouttes ou les huiles de CBD, tandis que 9 % ont utilisé des pommades ou des crèmes. Seulement 4 % ont déclaré utiliser des produits contenant du THC (delta-9-tétrahydrocannabinol).

Raisons de l’utilisation des cannabinoïdes

Les propriétaires utilisent principalement les cannabinoïdes pour gérer la douleur, résoudre les problèmes de comportement et traiter les allergies chez leurs chiens. Bien que ces produits soient non autorisés, une majorité des propriétaires (77 %) estiment avoir observé des effets positifs sur la santé mentale ou physique de leurs animaux de compagnie.

L’utilisation de cannabinoïdes chez les chiens est répandue au Danemark, malgré le manque d’autorisation officielle. Les résultats de cette étude, publiés dans PLOS ONE, soulignent la nécessité de davantage de recherches et de régulations concernant l’utilisation de ces substances pour le bien-être animal.

Popularité croissante et avantages potentiels

La popularité du CBD pour les chiens découle de son utilisation croissante chez les humains pour traiter des affections telles que la douleur chronique, les migraines, l’anxiété et l’épilepsie. Les propriétaires d’animaux espèrent que les mêmes bienfaits s’appliquent à leurs compagnons à quatre pattes.

• Réduction du stress : Des études montrent que l’huile de CBD peut réduire considérablement le stress chez les chiens, particulièrement lors de voyages ou de séparations.
• Soulagement de la douleur : Chez les chiens souffrant d’arthrose, l’huile de CBD a augmenté l’activité et réduit la douleur selon des évaluations vétérinaires. Environ 36 % des propriétaires danois utilisent le CBD pour gérer la douleur de leurs chiens.
• Irritations cutanées : Le CBD a également réduit les démangeaisons chez les chiens souffrant d’allergies cutanées, bien que les lésions cutanées persistent.
• Modes d’administration Le CBD pour les chiens est souvent administré sous forme de gouttes ou d’huile ajoutées à la nourriture, mais des friandises à base de chanvre sont également utilisées. Cependant, les friandises infusées au CBD n’ont pas montré de résultats positifs pour traiter l’anxiété liée au bruit.
• Défis et précautions Malgré les avantages potentiels, l’utilisation du CBD pour les animaux de compagnie pose plusieurs défis et risques.

• Réglementation et autorisation : Dans de nombreux pays, y compris le Royaume-Uni, seuls les vétérinaires peuvent prescrire du CBD pour les animaux de compagnie. Le CBD est considéré comme un complément et ne doit pas remplacer des traitements éprouvés.
• Effets secondaires : Les effets secondaires du CBD chez les chiens incluent vomissements, diarrhée, léthargie et difficultés à se déplacer. Chez les chats, on observe un léchage excessif, des mouvements de va-et-vient, des vomissements et des grimaces.
• Interactions médicamenteuses : Le CBD pourrait interagir avec des médicaments sur ordonnance de manière non encore connue, ce qui nécessite une prudence accrue.
• Variabilité de la qualité : La qualité et la puissance des produits à base de CBD varient considérablement. La contamination et l’étiquetage erroné sont des risques courants en raison d’une réglementation insuffisante.

Recommandations

L’utilisation du CBD pour les chiens danois et autres animaux de compagnie est en pleine expansion, mais elle doit être abordée avec prudence. Les données fiables sur la sécurité et l’efficacité sont encore limitées, et les doses efficaces ne sont pas claires.

Pour les propriétaires de chiens intéressés par le CBD, il est essentiel de consulter un vétérinaire. Celui-ci pourra fournir des conseils appropriés sur l’utilisation sécurisée et légale du CBD pour les animaux de compagnie. Cette consultation est cruciale pour éviter les effets secondaires potentiels et garantir le bien-être de l’animal.

Avantages multiples : les bienfaits émotionnels et cognitifs De nombreuses études ont démontré les bienfaits émotionnels, physiologiques et cognitifs des interactions avec les chiens. Ces interactions peuvent offrir un regain d’énergie, augmenter les émotions positives et réduire le risque de perte de mémoire. C’est pourquoi les interventions médicales assistées par les animaux gagnent en popularité dans divers domaines de la santé.

Des études approfondies Les recherches antérieures ont souvent comparé l’humeur et les niveaux d’hormones des personnes avant et après avoir passé du temps avec un chien. Cependant, une nouvelle étude menée par Onyoo Yoo et ses collègues de l’université Konkuk à Séoul a adopté une approche différente. Elle a mesuré l’activité cérébrale des participants et recueilli leurs émotions subjectives après des activités spécifiques avec un chien.

Méthodologie de l’étude

Participants et activités L’étude a été réalisée entre mai et juin 2022 à Seongnam, en Corée du Sud, avec 30 adultes en bonne santé âgés en moyenne de 28 ans. Les participants ont effectué huit activités différentes avec une femelle caniche standard bien dressée. Ces activités comprenaient la rencontre, le jeu, le nourrissage, le massage, le toilettage, la photographie, les câlins et la promenade du chien. Ainsi, on a mesuré leurs ondes cérébrales via des casques à électrodes, pendant qu’ils interagissaient avec un adorable caniche nommé Aro.

Mesures de l’activité cérébrale Avant de commencer les activités, les participants se sont assis et ont regardé le mur pendant trois minutes pour minimiser toute stimulation. Les chercheurs ont ensuite mesuré les ondes cérébrales des participants à l’aide de tests d’électroencéphalogramme (EEG) pendant trois minutes au cours de chaque activité. L’EEG est un examen non invasif qui mesure l’activité électrique du cerveau à l’aide de petits disques métalliques fixés sur le cuir chevelu.

Résultats de l’étude

Effets sur les ondes cérébrales Les différentes activités ont eu des effets variés sur les ondes cérébrales des participants. Jouer et se promener avec un chien ont augmenté la force des oscillations de la bande alpha, indiquant la stabilité et la relaxation. Cette activité des ondes alpha a été associée à une amélioration de la mémoire et à une réduction du stress mental. Le toilettage, les jeux et les massages doux du chien ont renforcé l’oscillation de la bande bêta, liée à une attention et une concentration accrues. Les participants se sentaient également moins déprimés, stressés et fatigués après avoir interagi avec le chien.

Perspectives des experts La Dre Colleen Dell, de l’Université de la Saskatchewan, a souligné l’importance de combiner les mesures EEG avec des échelles subjectives pour comprendre les bénéfices des interactions avec les animaux. Elle a également noté que cette étude offre des informations précieuses sur les mécanismes sous-jacents des bienfaits émotionnels et cognitifs de ces interactions.

Limitations et applications pratiques

Limites de l’étude L’étude présente certaines limites, comme le faible nombre de participants et l’absence de troubles mentaux ou neurologiques chez ces derniers. De plus, l’étude ne comportait pas de groupe témoin pour comparer les effets des interactions avec les chiens à celles avec des humains.

Implications pratiques Malgré ces limitations, l’étude fournit des preuves supplémentaires des bienfaits des interactions avec les chiens. Si vous possédez un chien, jouer et passer du temps avec lui peut améliorer votre bien-être émotionnel. Pour ceux qui ne peuvent pas adopter un chien, passer du temps avec les animaux de compagnie de proches ou visiter des refuges peut offrir des avantages similaires.

Autres études

Ce n’est pas la première étude à démontrer que passer du temps avec des chiens est bon pour la santé mentale.

Une étude de 2022 publiée dans l’ International Journal of Psychophysiology a révélé que passer seulement 20 minutes avec un animal peut diminuer le cortisol, l’hormone du stress, et augmenter l’ocytocine, l’hormone associée à l’amour, la confiance et le lien.

Une autre étude a révélé que les propriétaires de chiens de plus de 45 ans ont 40 % moins de risques de souffrir de démence.

Prendre soin du bien-être du chien Il est essentiel de reconnaître l’importance du bien-être du chien dans ces interactions. Un chien en bonne santé et heureux est nécessaire pour que ces interventions soient pleinement bénéfiques. Assurez-vous de répondre aux besoins de votre animal pour maximiser les avantages pour vous deux.

La situation actuelle : L’épidémie de grippe aviaire H5N1, initialement propagée parmi les oiseaux, a touché divers mammifères aux États-Unis, incluant des chats domestiques. Cette propagation inquiète les autorités sanitaires mondiales. Depuis mars 2023, 21 chats ont été infectés dans neuf États américains, y compris des chats sauvages, des chats de grange et des animaux de compagnie. Cette épidémie est surveillée de près pour prévenir tout risque de transmission aux humains.

Transmission et symptômes chez les chats

Les chats peuvent contracter la grippe aviaire principalement en mangeant des oiseaux infectés ou en buvant du lait contaminé. En effet, des cas récents au Texas montrent que des chats ont attrapé le virus en buvant du lait cru provenant de vaches infectées. Les symptômes chez les chats incluent fièvre, toux, écoulements oculaires, difficultés respiratoires et troubles neurologiques. La mortalité chez les chats atteints de cette souche de grippe aviaire est d’environ 67 %.

Précautions pour les propriétaires de chats

Les propriétaires de chats doivent prendre des mesures pour protéger leurs animaux et eux-mêmes :

• Éviter de nourrir les chats avec de la viande ou du lait cru.
• Limiter le temps passé dehors par les chats pour réduire les risques de contact avec des oiseaux sauvages.
• Surveiller les signes de maladie et consulter un vétérinaire si des symptômes apparaissent.

La situation en Suisse et en Europe

Face à la menace potentielle d’une pandémie de grippe aviaire, la Suisse et l’Europe anticipent en réservant des vaccins. La Commission européenne a conclu un contrat pour l’achat de 600 000 doses de vaccin, avec la possibilité d’augmenter à 40 millions en cas de besoin. En Suisse, l’OFSP a également réservé des doses, bien que le nombre exact ne soit pas précisé. Ces vaccins sont principalement destinés aux personnes exposées, comme les éleveurs de volailles et les vétérinaires.

Surveillance et prévention

La vigilance reste de mise même si le risque de transmission de la grippe aviaire H5N1 entre humains est actuellement faible. Les autorités sanitaires suisses et européennes surveillent de près la situation pour anticiper tout risque d’épidémie. L’approche One Health, qui prône une surveillance intégrée des animaux et des humains, est recommandée pour mieux contrôler la propagation de la maladie.

En bref

La grippe aviaire H5N1 représente une menace potentielle pour les chats domestiques en Suisse et en Europe. Les propriétaires de chats doivent prendre des précautions pour protéger leurs animaux, et les autorités sanitaires doivent rester vigilantes pour prévenir toute propagation à grande échelle. La réservation de vaccins et la surveillance étroite des cas d’infection sont des mesures clés pour contrôler cette menace.

Les chats, compagnons de nombreuses personnes seules ou familles, peuvent parfois transmettre des maladies à l’homme (maladies zoonotiques). Il est donc crucial de prendre en compte certains aspects de la santé, comme les vaccins, pour minimiser les risques.

Toxoplasmose

La toxoplasmose est l’une des maladies les plus redoutées, causée par le parasite Toxoplasma gondii. Ce parasite est présent dans les excréments des chats infectés. Le contact avec ces excréments ou leur ingestion accidentelle peut entraîner des problèmes cérébraux, des changements de comportement, voire des maladies graves comme la schizophrénie.

Allergies respiratoires

Les poils de chat peuvent provoquer des allergies respiratoires chez certaines personnes. Les symptômes incluent des éternuements constants, des yeux enflés et des démangeaisons. Dans les cas graves, cela peut causer une obstruction respiratoire, surtout chez les personnes asthmatiques. Pour éviter ces réactions, il est conseillé aux personnes allergiques de limiter leur contact avec les chats.

Infections fongiques cutanées

Le contact avec des chats, en particulier ceux qui se déplacent librement à l’extérieur, peut entraîner des infections fongiques cutanées. Ces infections, telles que la mycose, se propagent rapidement et peuvent être très gênantes. Si vous soupçonnez une infection, consultez un dermatologue pour un traitement approprié.

Syndrome de Larva Migrans Viscéral

La toxocarose, causée par le parasite Toxocara cati, se transmet par la consommation d’œufs présents dans les excréments de chats infectés. Pour prévenir cette maladie, il est important de vermifuger régulièrement votre chat.

Ankylostomose

L’ankylostomose est causée par les parasites Ancylostoma duodenale ou Necator americanus. Cette maladie peut provoquer diarrhée, vomissements, fièvre, toux, anémie et perte d’appétit. Le parasite pénètre la peau lorsqu’elle entre en contact avec des zones souillées par les déjections de chats. Pour éviter cela, fournissez à votre chat une litière adéquate et assurez-vous qu’il reçoit les vaccins nécessaires.

Maladie des griffes du chat

Cette maladie survient lorsqu’une personne est égratignée ou mordue par un chat porteur du parasite Bartonella henselae, souvent transmis par les tiques infectées. Chez les personnes en bonne santé, cela provoque généralement un léger gonflement. Cependant, pour ceux dont le système immunitaire est affaibli, il est crucial de consulter un médecin immédiatement.

Sporotrichose

La sporotrichose est causée par le champignon Sporothrix schenckii et peut se transmettre par une morsure ou une griffure de chat. Cette infection empêche la cicatrisation des plaies et peut entraîner des lésions multiples si elle n’est pas traitée correctement. La meilleure prévention est de consulter un vétérinaire et de faire vacciner votre chat.

En bref

Bien que les chats puissent transmettre diverses maladies à l’homme, des mesures de prévention, telles que les vaccinations et une bonne hygiène, peuvent grandement réduire ces risques. En restant vigilant et en prenant soin de la santé de votre animal de compagnie, vous pouvez profiter de sa compagnie en toute sécurité.

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Une mère, Jenna Weeks, partage sur TikTok une situation déchirante sans solution évidente; sa fille de 2 ans et demi souffre d’eczéma sévère et a été diagnostiquée avec des allergies au lait, aux œufs et au chien. Le pédiatre lui a conseillé de se débarrasser de leur vieux chien pour améliorer la santé de sa fille.

Une décision difficile

Depuis sa naissance, la fille de Jenna souffre d’eczéma. Malgré les traitements, son état ne s’améliore pas. Après des tests, elle s’avère gravement allergique au lait, aux œufs et aux chiens. Le pédiatre recommande alors de se séparer du chien âgé de 13 ans.

Jenna est perplexe. Son chien est vieux, souffre de glaucome et a perdu des dents. Elle est déconcertée par la suggestion du pédiatre de simplement « se débarrasser » de l’animal.

Réactions et solutions potentielles

Les réactions sur TikTok sont partagées. Certains suggèrent des solutions pour atténuer les allergies de sa fille sans se séparer du chien : gérer les allergies alimentaires, limiter l’exposition de la fille au chien, utiliser des purificateurs d’air, interdire l’accès du chien au lit et aux meubles de la fille, et passer l’aspirateur quotidiennement.

D’autres estiment qu’il est cruel de reloger un chien âgé, et pensent que les enfants doivent passer en premier, surtout pour des raisons de santé.

Tous méritent un foyer aimant

L’ASPCA indique que les chiens âgés ont un taux d’adoption de seulement 25 %, comparé aux jeunes chiots qui sont adoptés à 60 %. Cela souligne la difficulté de reloger un chien âgé.

Une commentatrice a apporté un point de vue équilibré : « Je suis désolée que vous deviez traverser ça. Même si votre enfant est définitivement une priorité, un chien n’est pas jetable. Ils vous aiment et dépendent de vous. »

Jenna a publié une vidéo humoristique en réponse aux suggestions de se séparer du chien. On la voit passer l’aspirateur avec l’aide du chien, le laver avec un shampoing anti-allergène, et le filmer en train d’appuyer sur le bouton d’un purificateur d’air.

Un choix personnel et douloureux

La décision de Jenna est personnelle et complexe. Garder le chien ne signifie pas qu’elle ne donne pas la priorité à sa fille. Se séparer du chien ne signifie pas qu’elle ne l’aime pas profondément. Cette situation souligne l’importance de nos animaux de compagnie et le dilemme émotionnel auquel nous faisons face lorsqu’il s’agit de leur bien-être et de celui de nos proches.

Quoi qu’elle décide, il est clair que Jenna aime sa fille et son chien. Elle fait de son mieux pour leur offrir une vie saine et heureuse. Espérons qu’elle trouvera la paix en sachant qu’elle a donné tout son amour à sa famille, humaine et animale.

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Une étude récente a mis en lumière une découverte préoccupante : la présence de microplastiques dans les testicules de tous les hommes et chiens étudiés. Les chercheurs estiment que cette pollution pourrait être liée à la baisse significative du nombre de spermatozoïdes observée ces dernières décennies.

Étude révélatrice

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue Toxicological Sciences. Des échantillons provenant de 23 hommes décédés et de 47 chiens de compagnie ont été analysés post-mortem, révélant des fragments de microplastiques dans chaque échantillon. Les auteurs de l’étude pensent que cette contamination pourrait contribuer à la diminution marquée du nombre de spermatozoïdes.

Impact sur les chiens

Les chercheurs ont trouvé que la concentration de microplastiques dans les testicules humains était presque trois fois supérieure à celle des chiens : 330 microgrammes par gramme de tissu chez les hommes contre 123 microgrammes par gramme chez les chiens. Les types de plastiques les plus présents étaient le polyéthylène et le PVC, des matériaux couramment utilisés dans les bouteilles et les sacs en plastique.

Conséquences sur la santé

Le PVC est particulièrement préoccupant en raison de ses émissions de produits chimiques toxiques. Ces substances peuvent interférer avec la spermatogenèse et provoquer des déséquilibres hormonaux. Des études antérieures, telles que celles publiées dans Fertility & Sterility, ont déjà signalé des perturbations similaires chez les travailleurs exposés au PVC.

Réduction du nombre de spermatozoïdes

Certaines recherches ont documenté une baisse de plus de 50 % du nombre de spermatozoïdes chez les hommes entre 1973 et 2018, selon une étude publiée dans Human Reproduction Update. Les causes de cette diminution incluent la contamination chimique due aux pesticides et maintenant, potentiellement, l’exposition aux microplastiques.

Microplastiques et santé publique

L’impact des microplastiques sur la santé ne se limite pas aux organes reproducteurs. Des études ont détecté ces particules dans la circulation sanguine et le placenta humain, mettant en évidence leur omniprésence dans l’environnement et leur capacité à pénétrer les systèmes biologiques. Les recherches menées sur des souris, comme celles publiées dans Toxicology et le Journal of Hazardous Materials, ont montré que l’exposition aux microplastiques pourrait réduire le nombre de spermatozoïdes et perturber les hormones.

Un problème écologique et de santé

La pollution microplastique est devenue un enjeu majeur de santé publique. Il est impératif de prendre des mesures urgentes pour limiter cette pollution et protéger la santé des animaux et des humains. Les résultats de cette étude soulignent l’urgence d’une action collective pour réduire l’exposition aux microplastiques et prévenir leurs effets nocifs sur la santé.

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Le diabète chez les chiens, comme chez les humains, se divise en deux types. Le diabète de type I (aussi appelé diabète mellitus), où le corps ne produit pas d’insuline, et le diabète de type II, où l’insuline est produite mais mal utilisée par le corps.

Le mécanisme

Le diabète est l’un des problèmes de santé les plus courants chez les chiens (et les chats) d’âge moyen. C’est une maladie du pancréas (à ne pas confondre avec la pancréatite). Le pancréas possède deux groupes de cellules : l’une qui produit des enzymes pour aider votre chiot à bien digérer sa nourriture, et l’autre produit une hormone appelée insuline, qui régule la quantité de glucose (sucre) dans le sang de votre chien et la délivre aux tissus nécessaires.

Les deux types de diabète (type 1 et type 2) empêchent une conversion efficace du glucose en énergie, affectant ainsi les muscles et les organes du chien. Voici les principaux signes à surveiller :

1. Anorexie

Une perte d’appétit pouvant mener à des vomissements et des douleurs abdominales.

2. Changements de pelage et de peau

Poils ternes, perte de poils, pellicules et peau sèche.

3. Dépression et apathie

Perte d’intérêt pour les activités favorites, léthargie due à un déséquilibre électrolytique.

4. Changements oculaires

Risque accru de cataracte, yeux troubles ou brillants.

5. Faim excessive

Appétit insatiable malgré la consommation de nourriture, dû à un signal mal transmis au cerveau.

6. Mictions fréquentes

Besoin accru de sortir, accidents urinaires dans la maison, déshydratation.

7. Soif excessive

Besoin constant de boire de l’eau pour compenser les mictions fréquentes.

8. Vomissements

Vomissements fréquents, parfois liés à une acidocétose diabétique (ACD).

9. Faiblesse ou raideur

Difficulté à se lever ou à se coucher, boiterie, neuropathie progressive.

10. Perte de poids

Perte de poids malgré un appétit normal, le corps décomposant les muscles pour l’énergie.

Causes et facteurs de risque

Le diabète chez les chiens est souvent génétique. Certaines races sont plus prédisposées, notamment le Beagle, le Cairn Terrier, le Teckel, le Keeshond, le Pinscher nain, le Schnauzer nain, le Caniche et le Samoyède. L’obésité et une alimentation riche en glucides augmentent également le risque.

Diagnostic et Traitement Pour diagnostiquer le diabète, un vétérinaire analysera l’historique médical, effectuera des analyses de sang et d’urine, et peut réaliser des radiographies ou des échographies pour détecter des complications. Le traitement inclut souvent :

• Insuline

Injections d’insuline pour les chiens atteints de diabète de type I.

• Régime Alimentaire

Régime spécifique pour les chiens diabétiques, transition progressive et maintien rigoureux du plan alimentaire.

• Perte de Poids

Programme de perte de poids pour les chiens en surpoids.

Vivre avec un chien diabétique

Avec un traitement adéquat et une vigilance constante, les chiens diabétiques peuvent mener une vie normale. Il est essentiel de suivre les recommandations du vétérinaire, de surveiller l’état de santé de l’animal et de maintenir un mode de vie adapté pour gérer efficacement la maladie.

Différences entre diabète canin et félin
Le diabète de type 1 est plus courant chez les chiens, alors que les chats souffrent généralement de diabète de type 2. Certaines races de chiens, telles que les Yorkshire, caniches, Samoyèdes et setters anglais, sont plus prédisposées au diabète. En revanche, des races comme le berger allemand, le golden retriever et le boxeur sont moins susceptibles de développer cette maladie.

En bref
La gestion du diabète chez les chiens nécessite une vigilance particulière de la part des propriétaires. En reconnaissant les symptômes et en suivant un traitement approprié, les chiens diabétiques peuvent vivre heureux et en bonne santé. Pour toute inquiétude concernant le diabète de votre animal, consultez un vétérinaire pour un diagnostic et un plan de traitement adaptés.

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Murat Colak, surnommé le « Bone Cracker », est devenu célèbre grâce à ses vidéos virales où il traite des problèmes de santé animale, notamment chez les chiens. Sa carrière fulgurante a commencé lorsqu’il a partagé en ligne le traitement de son propre chien malade, Bones. Avec plus de 180 millions de vues sur TikTok, ses vidéos ont rapidement captivé l’attention du public.

https://plus.rtl.de/video-tv/serien/der-knochenknacker-tierisch-verrenkt-976205/staffel-2-985155/episode-1-folge-1-985156

L’Homme derrière le surnom

Colak, âgé de 33 ans, avait initialement une carrière de masseur sportif et bien-être, mais il a découvert sa passion pour la santé animale en soignant son chien bien-aimé. Après avoir sauvé Bones d’une maladie grave, Colak a décidé de se consacrer à aider les animaux souffrants. Son cabinet à Bochum, ouvert récemment, est devenu un lieu de rétablissement pour de nombreux animaux. Sa nouvelle émission RTL l’a propulsé au-devant de la scène médiatique.

La reconnaissance publique

La popularité de Colak a dépassé les frontières de l’Allemagne, avec des millions de fans sur les réseaux sociaux, dont des célébrités telles que Lady Gaga et Will Smith. Son travail est maintenant reconnu dans la rue, et il attire des clients non seulement d’Allemagne, mais aussi des États-Unis, de Turquie et d’autres pays.

Avec sa propre émission sur RTL (en allemand), « The Bone Cracker – Animally Dislocated », Colak continue de partager son expertise avec un public plus large.

L’approche thérapeutique

Colak utilise une approche holistique pour traiter les problèmes de santé des animaux, combinant chiropractie, ostéopathie et massages. Ses mains ont aidé des milliers de chiens, chats et même des chevaux à retrouver leur mobilité et leur bien-être.

Les problèmes de santé dont Murat Colak traite : blessures musculaires, dysplasie de la hanche, arthrite/arthrose, blocages, tendons déchirés et ligaments croisés, prolapsus discal.

La relation avec Bones

Bones, le chien fidèle de Colak, est plus qu’un animal de compagnie ; il est un membre de la famille. Recueilli par Colak dans sa jeunesse, Bones a été un soutien émotionnel précieux pour Colak, comblant le vide laissé par l’absence de son père.

L’opinion des experts

Bien que la chiropractie et l’ostéopathie animale suscitent des débats parmi les experts, l’approche de Colak a trouvé un soutien auprès de nombreux propriétaires d’animaux reconnaissants. Son taux de réussite élevé et son engagement envers le bien-être des animaux sont évidents dans chaque traitement qu’il entreprend.

Le rêve d’une succursale en Turquie

Colak a des rêves encore plus grands. Il prévoit d’ouvrir une succursale en Turquie d’ici 2025. Son engagement envers le bien-être animal continue d’inspirer et de toucher des millions de personnes à travers le monde.

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Des recherches récentes suggèrent qu’avoir un chat comme animal de compagnie pourrait augmenter le risque de troubles liés à la schizophrénie. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la schizophrénie touche environ 0,5% à 1% de la population mondiale. Du côté Suisse, près de 85’000 seraient atteintes et les nouveaux cas se manifestent à 85% entre 15 et 25 ans.

Des études, menées par des chercheurs australiens, ont analysé 17 études sur une période de 44 ans, provenant de 11 pays, et ont trouvé une corrélation significative entre la possession de chats et le développement de la schizophrénie.

Le psychiatre John McGrath et son équipe du Centre de recherche en santé mentale du Queensland ont découvert cette association troublante. Bien que cette idée ait été proposée dès 1995, avec le parasite Toxoplasma gondii comme cause potentielle, les recherches antérieures ont produit des résultats mitigés.

Certaines études ont montré que la présence de chats pendant l’enfance pourrait augmenter le risque de schizophrénie, bien que toutes ne confirment pas cette corrélation. Des scores plus élevés sur des échelles mesurant les traits liés à la schizophrénie ont été observés chez ceux exposés aux chats, mais cela reste sujet à débat.

Le parasite Toxoplasma gondii, souvent transmis par les chats, a été associé à des changements de personnalité et à des symptômes psychotiques, mais il reste incertain si le parasite lui-même est responsable de ces changements. Ce microbe et parasite atteint les animaux sauvages et domestiques, notamment les oiseaux, les chats, les moutons, les chèvres, les porcs, le bétail et la volaille.

L’analyse des études a révélé une augmentation significative du risque de schizophrénie chez ceux exposés aux chats.

Une fois à l’intérieur de notre corps, Toxoplasma gondii peut infiltrer le système nerveux central et influencer les neurotransmetteurs. Le parasite a été associé à des changements de personnalité, à l’émergence de symptômes psychotiques et à certains troubles neurologiques, dont la schizophrénie.

Cependant, les chercheurs soulignent les limites de l’étude. La plupart des études étaient des études cas-témoins, incapables de prouver la causalité. De plus, les résultats étaient incohérents d’une étude à l’autre, soulignant le besoin de recherches supplémentaires de meilleure qualité.

Une étude a noté une corrélation significative entre la possession de chats pendant une période spécifique de l’enfance (9 à 12 ans) et le développement ultérieur de la schizophrénie. De même, une autre étude a trouvé des scores plus élevés chez ceux ayant été mordus par des chats, suggérant un lien potentiel avec d’autres agents pathogènes.

En conclusion, bien que des études récentes aient mis en lumière une association entre la possession de chats et les troubles liés à la schizophrénie, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre pleinement cette relation complexe. Il est crucial de mener des études de haute qualité, basées sur des échantillons plus larges et représentatifs, pour mieux comprendre l’impact potentiel des chats sur la santé mentale humaine.

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Le Thomas Becket, un pub pittoresque de Canterbury, a captivé l’attention grâce à son initiative unique : un menu spécial pour les chiens. Malgré quelques réserves, cette approche novatrice a fait sensation sur les réseaux sociaux et a attiré un nouveau public de passionnés d’animaux.

Le propriétaire, Chris Lurcook, admet que son établissement n’est peut-être pas le choix idéal pour ceux qui ne sont pas fans de chiens, mais il reste fermement engagé à offrir une expérience conviviale pour les animaux de compagnie. Les chiens sont accueillis avec enthousiasme, même autorisés à se détendre sur les meubles et à profiter d’un menu spécialement conçu pour eux.

L’inspiration derrière cette initiative remonte à 2022, lorsque M. Lurcook a repris l’entreprise et a décidé de créer un espace où les animaux peuvent être traités comme des clients à part entière. Le menu propose une gamme de délicieuses options, notamment des dîners rôtis, des hamburgers et même des « Paw Star Martinis » pour satisfaire les palais exigeants des toutous.

Malgré quelques critiques, la gentillesse du Thomas Becket envers les chiens a suscité une réaction positive sur les réseaux sociaux. Le mur de chiens du pub, orné de photos de visiteurs à fourrure, est devenu une attraction en soi, attirant l’attention des médias sociaux et des blogueurs locaux.

Les propriétaires de chiens apprécient cette initiative, qui leur permet de partager un repas avec leurs compagnons à quatre pattes dans un cadre convivial. Certains ont même salué cette décision comme un moyen ingénieux d’attirer de nouveaux clients et d’accroître les échanges commerciaux.

Cependant, toutes les réactions ne sont pas positives. Certains estiment que les chiens n’ont pas leur place dans les établissements de restauration, tandis que d’autres pensent que c’est une excellente façon de répondre aux besoins des propriétaires d’animaux de compagnie.

Malgré les divergences d’opinions, le pub Thomas Becket reste fidèle à sa mission d’accueillir tous les clients, qu’ils soient à deux ou à quatre pattes accompagnés de leurs chiens. Et avec les bénéfices des repas reversés à des œuvres caritatives pour les chiens, cette initiative a un impact positif qui dépasse les limites du pub.

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Les chiens, compagnons fidèles de l’homme, bénéficient des avancées constantes de la médecine vétérinaire pour garantir une vie saine et épanouie ; avec le vieillissement il y a les défis de santé, parmi lesquels la cataracte, une affection oculaire courante chez les chiens âgés.

La cataracte est caractérisée par une opacification du cristallin, entraînant une altération de la vision qui, si elle n’est pas traitée, peut conduire à la cécité.

Symptômes

Les symptômes de la cataracte chez le chien peuvent inclure des changements de comportement tels que des difficultés à naviguer dans l’environnement, une diminution de l’activité physique et des signes oculaires tels que des yeux blancs ou nuageux. Il est crucial que les propriétaires soient attentifs à ces signes et consultent régulièrement un vétérinaire pour un dépistage précoce.

Races prédisposées

Certaines races de chiens sont plus prédisposées à développer une cataracte en raison de facteurs génétiques. Les caniches, les cockers, les schnauzers et les Yorkshire terriers sont parmi les races les plus susceptibles de développer cette maladie, même à un jeune âge. Cependant, toutes les races de chiens peuvent être touchées par la cataracte à mesure qu’elles vieillissent.

Traitement

Le traitement de la cataracte chez le chien implique généralement une intervention chirurgicale appelée phacoémulsification. Cette procédure consiste à retirer le cristallin opacifié de l’œil et à le remplacer par un cristallin artificiel, ce qui permet de restaurer la vision du chien. Bien que la chirurgie soit souvent couronnée de succès, le résultat dépend du stade de la cataracte et des soins postopératoires.

En bref

En conclusion, la cataracte est une affection oculaire fréquente chez les chiens âgés, mais elle peut être traitée avec succès grâce à la chirurgie.

Les propriétaires de chiens doivent être attentifs aux symptômes de la cataracte et consulter leur vétérinaire dès les premiers signes de trouble de la vision. Avec les soins appropriés, de nombreux chiens peuvent continuer à profiter d’une vision claire et d’une vie active aux côtés de leur famille.

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Bonne nouvelle pour les amoureux des chiens : un vaccin contre les allergies aux chiens pourrait bientôt devenir une réalité. La Journée nationale des animaux de compagnie, célébrée le 11 avril, met en lumière le lien spécial entre les humains et leurs amis à quatre pattes.

Posséder un animal de compagnie présente de nombreux avantages pour la santé, notamment une réduction de la tension artérielle et des sentiments de solitude. Cependant, de 5% à 10% de la population mondiale est touchée par des allergies aux chiens et aux chats, ce qui peut entraîner divers symptômes désagréables ; les réactions allergiques aux chats étant plus fréquentes.

La création d’un vaccin contre les allergies chez les chiens a été un défi en raison de la complexité des allergènes impliqués. Cependant, une étude récente a révélé des avancées prometteuses dans ce domaine. Des chercheurs japonais ont identifié les parties spécifiques d’un allergène canin responsable de déclencher des réactions allergiques, jetant ainsi les bases du développement d’un vaccin hypoallergénique.

Cette avancée offre de l’espoir non seulement aux personnes allergiques aux chiens mais également à celles touchées par d’autres allergies. Bien que le développement du vaccin puisse prendre plusieurs années, il représente une lueur d’espoir pour de nombreuses personnes.

Du côté des allergies aux chats, le vaccin HypoCat, développé par une société suisse, Saiba Animal Health, agit en immunisant les chats contre Fel d 1, l’allergène le plus courant chez les chats trouvé dans la salive et les glandes sébacées. Comme la vaccination amène le système immunitaire des chats à détruire lui-même les allergènes, les animaux deviennent moins susceptibles de rendre les gens malades.

En attendant, des options de traitement existent pour gérer les allergies aux animaux domestiques. Des médicaments en vente libre peuvent aider à soulager les symptômes, tandis que l’immunothérapie peut offrir un soulagement à long terme en réduisant la sensibilité aux allergènes.

De plus, des mesures simples telles que limiter l’exposition aux allergènes d’animaux et maintenir une bonne hygiène peuvent également aider à réduire les symptômes. Les futurs vaccins contre les allergies aux chiens promettent de rendre la vie avec nos amis à fourrure encore plus agréable pour tous ceux qui les aiment.

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