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Espagne : Nouveau précédent juridique – Pension pour chien dans un divorce

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Dans une décision inhabituelle, le Tribunal provincial de Pontevedra (Galice), en Espagne, a confirmé un jugement accordant une pension mensuelle de 40 euros à un chien dans le cadre d’un divorce. Cette décision, issue du Tribunal de première instance numéro 15 de Vigo, représente un changement significatif dans la façon dont les animaux de compagnie sont considérés dans les procédures de séparation.

La décision, qui fixe également les modalités de garde et de pension alimentaire pour les enfants du couple, stipule que le chien restera sous la garde de la femme, avec les deux parties partageant les dépenses vétérinaires et extraordinaires.

Cette évolution juridique découle de la réforme du Code civil espagnol, approuvée en décembre 2021, qui reconnaît les animaux comme des êtres sensibles. Avant cette réforme, les animaux de compagnie étaient considérés comme des biens matériels, mais la nouvelle loi donne désormais aux tribunaux le pouvoir d’établir des accords de garde partagée et de pension pour les animaux de compagnie, sur la base du bien-être de l’animal.

Dans ce cas spécifique, le tribunal a considéré que l’homme ayant un plus grand pouvoir financier, il devrait contribuer à l’entretien du chien à hauteur de 40 euros par mois, montant sujet à ajustement annuel selon l’indice des prix à la consommation (IPC).

Bien que la décision initiale ait été rendue en février de l’année précédente, elle n’a été confirmée qu’à la fin de 2023 par le Tribunal provincial de Pontevedra, après que la femme a fait appel concernant d’autres aspects de la procédure de divorce, tels que la garde partagée des enfants. Cependant, lors de l’audience d’appel, les autres revendications ont été rejetées.

Cette décision marque un précédent important dans le domaine du droit familial espagnol, établissant une nouvelle norme pour la manière dont les animaux de compagnie sont traités dans les affaires de divorce. Elle illustre également la reconnaissance croissante du lien émotionnel et de la responsabilité financière associés à la possession d’animaux de compagnie dans la société moderne.


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Justice pour Mateo : un procès historique pour un chien maltraité

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Un chien comme sujet de droit : Mateo, victime de violence En 2023, Mateo, un chien labrador, a été victime de violence animale. Sauvé par l’ONG Mi Reino por un Caballo, il avait été frappé avec un pavé et poignardé avec une bouteille coupée par un homme identifié par les initiales CSG. Cette agression brutale a conduit à un procès historique où Mateo a été reconnu comme « sujet de loi ». Mateo a des avocats ; la Justice le reconnait comme sujet de droit.

Un procès marquant

Condamnation du coupable Lors d’un procès abrégé, Claudio Sebastián Gobatto a été condamné à sept mois de prison pour cruauté envers les animaux. L’accord a été approuvé par le juge Mauricio Mayer de la Cour de première instance et d’appel. Le verdict, qui sera prononcé le 5 juillet 2023, marque une première dans l’histoire judiciaire de l’Argentine où un animal obtient une véritable représentation légale.

La reconnaissance des droits des animaux

Implications juridiques La reconnaissance de Mateo comme « sujet de droit » par la justice est une avancée significative dans la protection des animaux. L’avocat représentant Mateo a déclaré à Elonce que ce procès était un jour historique pour les droits des animaux, car c’est la première fois qu’un animal reçoit une telle reconnaissance légale dans un procès.

Les efforts des protectionnistes

Mobilisation pour la justice L’ONG Mi Reino por un Caballo, qui a porté plainte et sauvé Mateo, a joué un rôle crucial dans la recherche de justice pour le chien. Grâce à leurs efforts, Mateo a non seulement survécu à ses blessures, mais a aussi contribué à un précédent juridique pour les droits des animaux en Argentine. Les protectionnistes ont travaillé sans relâche pour que l’agresseur de Mateo soit tenu responsable de ses actes.

Un procès exemplaire

La condamnation et ses conséquences L’homme, Claudio Sebastián Gobatto, avait également accumulé d’autres accusations liées à des violences de genre, ce qui a aggravé son cas lors du procès. La condamnation à sept mois de prison effective reflète la gravité de l’acte commis contre Mateo et souligne l’importance croissante accordée à la protection des animaux.

En bref

Un tournant dans la protection animale Ce procès historique marque un tournant dans la reconnaissance des droits des animaux. La condamnation de l’agresseur de Mateo est une victoire pour les protectionnistes et un message fort contre la cruauté animale. Mateo, en tant que victime et sujet de droit, incarne désormais un symbole de justice pour tous les animaux maltraités.

En somme, l’histoire de Mateo n’est pas seulement celle d’un chien victime de violence, mais aussi celle d’un système judiciaire qui commence à reconnaître et à protéger les droits des animaux, ouvrant la voie à des réformes futures dans ce domaine essentiel.


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Les chiens de protection à la mode à Los Angeles

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À Los Angeles, les chiens de protection deviennent un bien très recherché parmi les riches propriétaires soucieux de leur sécurité. Ces chiens, souvent des bergers allemands, des malinois belges, des dobermans ou des cane corsos, sont élevés et formés pour défendre leurs maîtres en cas de besoin.

Rocky, le chien gardien de Bulgadarian

Arteom Bulgadarian, 44 ans, résident de Sherman Oaks (un quartier de Los Angeles) et père de trois jeunes enfants, a fait l’acquisition d’un berger allemand nommé Rocky. Après que sa maison, anciennement celle de Yasiel Puig (joueur de baseball de la Ligue mexicaine de baseball), ait été cambriolée, il a investi 70 000 dollars à la Delta K9 Academy pour former Rocky comme chien de protection. Pour Bulgadarian, ce chien représente une tranquillité d’esprit inestimable, particulièrement utile lorsqu’il doit passer de longues heures au bureau pour son travail dans l’industrie aérospatiale.

Une demande croissante

La demande pour ces chiens de protection a explosé à Los Angeles, surtout après une série de crimes médiatisés dans les quartiers huppés. Mike Israel, propriétaire de la Delta K9 Academy, explique que ses chiens sont formés pour être des compagnons fidèles tout en étant prêts à défendre leur famille. Selon lui, « un chien de protection bien dressé est comme une arme », offrant une protection 24 heures sur 24.

Une formation rigoureuse

Ces chiens suivent une formation intensive dès leur plus jeune âge. À la Delta K9 Academy, ils apprennent des techniques d’attaque et de défense, à ignorer les tentatives d’empoisonnement, et à s’adapter à différents environnements. D’autres entreprises, comme Harrison K-9 en Caroline du Sud, mettent l’accent sur l’entraînement personnalisé en fonction du mode de vie de chaque famille. Les prix peuvent atteindre 150 000 dollars, en fonction de la formation et de la lignée du chien.

Une sécurité supérieure

Les propriétaires de chiens de protection affirment que ces animaux offrent une défense immédiate et dissuasive, contrairement aux systèmes de sécurité traditionnels. Kris Herzog, du Bodyguard Group de Beverly Hills, note que ses clients préfèrent souvent ces chiens aux gardes du corps humains en raison de leur loyauté et de leur présence constante.

Une protection adaptée

En plus de protéger leurs maîtres, ces chiens sont des compagnons équilibrés et bien élevés, capables de réagir avec calme sous pression. Leur rôle est de créer du temps et de l’espace pour permettre à leurs propriétaires de se mettre en sécurité. Pour ceux qui en ont les moyens, comme Branden Williams, agent immobilier de luxe, investir dans un chien de protection est une évidence, surtout dans une ville où la criminalité est en hausse.

En bref

Les chiens de protection deviennent de plus en plus populaires parmi les élites de Los Angeles, offrant une combinaison unique de sécurité et de compagnie fidèle. Avec des formations intensives et des prix élevés, ces chiens représentent une solution de protection sophistiquée et efficace pour ceux qui veulent garantir la sécurité de leur foyer et de leurs proches.


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Sully, le chien renifleur de drogue de la patrouille routière

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Lors d’un contrôle routier de routine à San Francisco, les agents de la California Highway Patrol (CHP) ont réalisé une saisie massive de drogue grâce à Sully, leur chien renifleur. Le conducteur arrêté, Rubin Natael Turcios Castro, 35 ans, de San Lorenzo, roulait sans permis sur la I-80 en direction ouest. Ce qui semblait être une simple infraction s’est rapidement transformé en une affaire bien plus grave.

Une découverte inattendue

Après avoir constaté l’absence de permis du conducteur, l’agent a fait appel à Sully pour inspecter le véhicule. Le flair de Sully a rapidement détecté quelque chose de suspect. Une fouille approfondie de la Honda argentée a révélé plus d’un demi-kilo de fentanyl, une quantité suffisante pour 250 000 doses mortelles. Mais ce n’était que le début des découvertes.

Un véritable arsenal de drogues

Outre le fentanyl, les autorités ont trouvé 158 grammes de méthamphétamine, 73 grammes d’héroïne, 20 grammes de pilules inconnues et 80 grammes de Xanax présumé. Comme si cela ne suffisait pas, un pistolet chargé a également été découvert dans le véhicule. Cette trouvaille a transformé ce contrôle routier en une opération majeure de saisie de drogue.

Les conséquences pour Turcios Castro

Rubin Natael Turcios Castro a été immédiatement arrêté et inculpé pour une série d’accusations liées à la drogue. La publication de la CHP – Golden Gate Division sur Facebook a détaillé les substances saisies et souligné l’importance de cette intervention. Grâce à l’odorat exceptionnel de Sully, une quantité massive de drogues a été retirée de la circulation, potentiellement sauvant de nombreuses vies.

Sully, le chien héros

Sully, un chien de la California Highway Patrol, a démontré l’importance des chiens renifleurs dans la lutte contre le trafic de drogue. Son entraînement et son efficacité ont permis de découvrir des substances illicites qui auraient pu causer des ravages dans la communauté. Les chiens renifleurs comme Sully sont des alliés précieux pour les forces de l’ordre, capables de détecter des substances que les humains ne peuvent pas percevoir.

Une opération réussie

Cette saisie est un exemple frappant de l’importance des contrôles routiers et du rôle crucial des chiens renifleurs. Grâce à Sully et à l’intervention rapide des agents du CHP, une quantité dangereuse de drogues a été interceptée, empêchant leur distribution dans les rues de San Francisco. Cette opération montre à quel point les équipes canines sont essentielles pour assurer la sécurité publique et lutter contre le trafic de stupéfiants.

En conclusion, l’intervention de Sully lors de ce contrôle routier a été déterminante. Sa capacité à détecter des drogues a non seulement conduit à une saisie majeure, mais a également mis en lumière le rôle indispensable des chiens renifleurs dans les forces de l’ordre.

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Robots Spot : avantages pour la police néerlandaise

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La police néerlandaise a récemment introduit l’utilisation de chiens robots autonomes pour effectuer des descentes dans des laboratoires de drogue. Cette initiative vise à améliorer la sécurité et l’efficacité des interventions policières dans des environnements potentiellement dangereux.

Des robots pour la sécurité des agents

Depuis juin 2024, la police néerlandaise utilise en mode test des chiens robots développés par Boston Dynamics. Ces robots, appelés Spot, sont conçus pour explorer et cartographier des laboratoires de drogue, détecter des produits chimiques dangereux et assurer qu’aucun criminel n’est présent. Contrairement aux chiens policiers traditionnels, les robots Spot ne possèdent pas d’odorat, mais ils peuvent réduire considérablement les risques pour les policiers face aux menaces chimiques, aux explosions et aux attaques de criminels.

video.tadviser.ru/file/2024/spot_for_safety_and_incident_r.mp4

Des missions autonomes

Les robots Spot, initialement contrôlés à distance, sont désormais testés pour des opérations autonomes. Simon Prins, de la police néerlandaise, souligne que ces robots sont désormais suffisamment performants pour être utilisés de manière pratique dans des opérations réelles. Lors des tests en laboratoire simulé, Spot a démontré sa capacité à détecter et à éliminer des substances dangereuses de manière autonome, ouvrant la voie à des interventions plus sûres et plus efficaces.

Fonctionnalités et avantages

Spot est équipé de diverses technologies avancées, notamment des caméras embarquées, des capteurs thermiques et des dispositifs de balayage laser. Ces fonctionnalités permettent au robot de naviguer sur différents terrains, de franchir des obstacles et de résister à des températures extrêmes. Spot peut également manipuler des objets et des produits chimiques dangereux grâce à ses membres articulés, ce qui est crucial lors des descentes dans des laboratoires de drogue.

Les avantages de l’utilisation de chiens robots sont nombreux :

  • Sécurité accrue : Les robots peuvent entrer en premier dans des environnements dangereux, protégeant ainsi les agents humains.
  • Efficacité opérationnelle : Les robots peuvent travailler plus rapidement et plus longtemps que les humains, réduisant ainsi le temps passé dans des zones à haut risque.
  • Réduction des coûts : En limitant les risques de blessures pour les policiers, les robots peuvent potentiellement réduire les coûts associés aux soins médicaux et aux compensations.

Défis et considérations éthiques

Malgré les nombreux avantages, l’intégration des robots dans les forces de l’ordre soulève des questions éthiques et techniques. Des préoccupations ont été exprimées quant à la déshumanisation du maintien de l’ordre et à la vie privée. De plus, les robots peuvent être vulnérables au piratage, nécessitant des investissements en cybersécurité pour protéger ces nouveaux outils.

La police néerlandaise reste optimiste quant au potentiel des chiens robots pour révolutionner les opérations policières, tout en reconnaissant la nécessité de poursuivre les tests et d’élaborer des protocoles solides pour leur utilisation. Avec des avancées technologiques continues, ces robots pourraient devenir des alliés indispensables pour assurer la sécurité publique dans des situations à haut risque.

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Démantèlement d’un réseau de combats de chiens en Europe

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Quatre individus ont été jugés coupables de leur implication dans la gestion d’un réseau de combats de chiens, orchestrant des événements à travers l’Europe. L’enquête menée par la RSPCA a mis au jour des pratiques cruelles et inhumaines, révélant des scènes d’horreur dans des propriétés au Royaume-Uni.

L’affaire a éclaté après qu’un policier ait visité la résidence de Phillip Ali, alias « Dr Death » dans le monde des combats de chiens, à Chigwell : ville du comté d’Essex au sud-est de l’Angleterre. Les découvertes comprenaient des chiens enchaînés à des tapis roulants, des blessures sévères et un kit vétérinaire de fortune.

L’enquête a révélé que des combats avaient eu lieu non seulement au Royaume-Uni, mais aussi en République d’Irlande et en France. Les accusés ont échangé des rapports détaillés sur ces combats, planifiant et documentant leurs activités criminelles.

Des descentes effectuées dans différentes propriétés ont permis la saisie de chiens, de matériel de combat et de preuves compromettantes. Les autorités ont découvert des arènes de combat improvisées, des traces de sang et des équipements utilisés pour soigner les chiens blessés.

Les preuves recueillies ont mis en lumière l’ampleur de la cruauté infligée à ces animaux, avec des rapports détaillés décrivant les souffrances endurées par les chiens lors des combats. Malgré les blessures graves, les organisateurs évitaient les vétérinaires pour ne pas attirer l’attention sur leurs activités illégales.

Les coupables ont été reconnus coupables d’une série d’infractions en vertu de la loi sur la protection des animaux de 2006. Leur condamnation, prévue pour juin, témoigne de la détermination des autorités à poursuivre les responsables de la maltraitance animale.

Cette affaire révèle l’obscurité des combats de chiens clandestins et souligne l’importance de la surveillance et de l’action des organismes de protection des animaux. Espérons que la justice rendue apportera un certain réconfort aux victimes de ces atrocités et servira d’avertissement à ceux qui envisagent d’exploiter les animaux pour leur propre gain.

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Retrait du chien d’assistance

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Le tribunal de Nanterre a tranché dans l’affaire du retrait du chien d’assistance de Caroline, une femme handicapée. Après six ans de compagnie fidèle avec Just, Caroline se bat pour récupérer son précieux compagnon, mais la décision du tribunal a été en faveur de l’association Handichien, laissant Caroline dans le désarroi.

Une relation brutalement interrompue

Caroline et Just ont partagé six années de complicité avant que leur lien ne soit brisé abruptement il y a un an. L’association Handichien a retiré Just à Caroline, invoquant un comportement critiquable de sa part, malgré les protestations de Caroline, pour qui Just était indispensable à sa vie quotidienne.

Le Combat de Caroline :

Pour Caroline, la perte de Just a été déchirante. Son chien d’assistance était bien plus qu’un compagnon ; il était essentiel à son autonomie et à son bien-être. Les tentatives de Caroline pour récupérer Just ont été vaines, malgré son amour inconditionnel et son désir profond de retrouver son compagnon fidèle.

Des allégations contestées

Les allégations de mauvais traitements formulées contre Caroline ont été fortement contestées. Elle se défend en expliquant que tout geste envers Just était empreint de soin et d’affection. Les signalements anonymes ont conduit à une série de procédures qui ont finalement abouti au retrait de Just, le chien d’assistance.

Conséquences désastreuses

La perte de Just a plongé Caroline dans une profonde dépression, culminant même avec une tentative de suicide. Son désespoir a mobilisé le soutien de sa famille, de ses amis, et même des plus hautes instances gouvernementales, mais la justice a tranché en faveur de Handichien.

Une bataille perdue

Malgré les efforts de son avocate et le soutien massif qu’elle a reçu, Caroline accepte avec résignation la décision du tribunal. Même les démarches jusqu’à l’Elysée n’ont pas produit leurs fruits. Épuisée par le combat juridique, elle semble résignée à accepter la décision de la justice.

Son épuisement émotionnel est palpable, mais elle ne prévoit pas de faire appel de la décision. La saga de Caroline et Just se termine sur une note douloureuse, soulignant les défis auxquels les personnes handicapées sont confrontées dans leur lutte pour le respect de leurs droits et de leur dignité.

En bref

En conclusion, l’affaire de Caroline et Just met en lumière les questions complexes entourant l’assistance aux personnes handicapées et le rôle vital des animaux d’assistance dans leur vie quotidienne. Alors que Caroline continue son chemin sans Just, son histoire soulève des préoccupations importantes sur les droits des personnes handicapées et la protection des liens précieux qui les unissent à leurs compagnons animaux.

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Réseau de combats de chiens démasqué au New Jersey

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Dans une opération d’une ampleur sans précédent, les autorités du New Jersey ont démantelé un réseau présumé de combats de chiens, sauvant plus de 120 chiens et inculpant huit personnes dans le sud de l’État. L’annonce a été faite par le procureur général Matthew Platkin lors d’une conférence de presse poignante, où il a dénoncé la brutalité et la cruauté de ces activités illégales.

Le procureur Platkin a évoqué être détenteur d’un chien, un goldendoodle nommé Toby, ce dernier est le premier membre de la famille qu’il voit chaque matin. Le procureur a dit qu’« il est de notre responsabilité, en tant qu’exécuteurs de la loi, de protéger les plus vulnérables de notre société ».

Le nombre exact d’animaux sauvés n’est pas clair : les archives judiciaires indiquent que 103 chiens ont été saisis, tandis que la Humane Society estime qu’il y en a « plus de 120 ».

Les enquêteurs ont mené des perquisitions dans plusieurs propriétés des comtés de Cumberland et de l’Atlantique, mettant fin à des années de souffrance pour les animaux impliqués dans ces combats aériens. Les chiens, élevés et entraînés pour se battre, ont été retrouvés dans des conditions déplorables, certains présentant des blessures non soignées et des cicatrices témoignant de leur calvaire.

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Bruce Low Jr., un homme de 44 ans de Milmay, est accusé d’avoir dirigé ce réseau de cruauté envers les animaux. Mais il n’était pas seul : plusieurs membres de sa famille et d’autres complices présumés ont également été inculpés, ainsi que deux entreprises impliquées dans le blanchiment d’argent et le soutien logistique des combats de chiens.

L’opération de sauvetage, qui a mobilisé des spécialistes en soins des animaux malgré des conditions météorologiques difficiles, a permis de mettre fin à l’un des plus grands rings de combat aérien de l’État. Les chiens, bien que traumatisés par leur expérience, ont accueilli avec empressement leurs sauveurs, témoignant de leur désir d’affection malgré les épreuves qu’ils ont endurées.

Parallèlement à cette opération, une autre enquête a révélé un réseau de réseau de combats de chiens similaire dans une autre partie du New Jersey. Dans cette affaire, 120 chiens ont été saisis dans un élevage du sud de Jersey, mettant en lumière l’ampleur du problème dans l’État. Les propriétaires de l’élevage, y compris les parents de Bruce Low Jr., font face à des accusations graves, notamment de combats de chiens, de racket et de cruauté envers les animaux.

Les images des perquisitions montrent un complexe où les chiens étaient gardés dans des conditions insalubres, utilisés comme des pions dans un jeu de violence et de profit. Les affidavits du tribunal révèlent l’ampleur des activités criminelles, avec des preuves de blanchiment d’argent et de jeux de hasard en plus des combats de chiens eux-mêmes.

Malgré ces réseaux criminels sophistiqués, les autorités du New Jersey restent déterminées à traduire en justice tous les responsables de ces actes de cruauté envers les animaux. L’enquête se poursuit, et les accusés devront répondre de leurs actes devant la justice.

Dans l’ensemble, ces deux opérations de sauvetage ont permis de mettre en lumière un aspect sombre de la société, mais elles ont aussi montré le dévouement des autorités et des défenseurs des droits des animaux à protéger les plus vulnérables. En sauvant ces chiens de l’enfer des combats de chiens, ils ont offert une lueur d’espoir dans un monde souvent marqué par la cruauté et l’indifférence.

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Le chien, membre de famille selon les lois américaines dans 6 Etats

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Dans les Etats du New Hampshire et du Maine, votre chien est bien plus qu’un simple animal de compagnie ; il est légalement reconnu comme un membre à part entière de votre famille. Cette distinction, bien que peut-être évidente pour de nombreux propriétaires d’animaux, revêt une importance particulière sur le plan juridique et éthique.

Bien que la plupart d’entre nous considèrent nos chiens comme nos meilleurs amis, seuls six États des États-Unis reconnaissent légalement les animaux de compagnie comme des membres de la famille. Parmi eux se trouvent le New Hampshire et le Maine, aux côtés de New York, de l’Illinois, de la Californie et de l’Alaska.

Concrètement, cela signifie que dans ces États, les avocats et les juges peuvent prendre des décisions concernant la garde des animaux de compagnie, tout comme ils le feraient pour des enfants lors de litiges familiaux.

Malgré cette reconnaissance limitée sur le plan juridique, environ 90 % des propriétaires de chiens traitent leurs compagnons canins comme des membres de la famille. Cette tendance croissante souligne l’importance de reconnaître les droits et le bien-être des animaux.

Cependant, dans la plupart des tribunaux, les animaux de compagnie sont encore considérés comme des biens matériels, ce qui peut sembler déroutant étant donné les liens émotionnels profonds que beaucoup entretiennent avec leurs compagnons canins.

Néanmoins, dans des États comme le New Hampshire et le Maine, les décisions de garde des animaux sont prises en fonction du bien-être et de la sécurité de l’animal, similairement à celles concernant la garde des enfants. L’accent est mis sur la capacité et la volonté de chaque partie à assumer la responsabilité de prendre soin du chien.

Dans un contexte où la relation entre les humains et les animaux de compagnie est de plus en plus reconnue comme étant empreinte d’affection et de soutien mutuel, il est logique que certains États prennent des mesures pour protéger le statut de membre de la famille des chiens. Après tout, ces êtres vivants méritent également des droits et un bien-être dignes de ce nom.


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Robot chien « Spot » : Chasseur de graffitis sur les trains

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À Munich, les graffitis sur les trains du S-Bahn posent un problème majeur, nécessitant des nettoyages coûteux et entraînant des perturbations dans les services; pour lutter contre ce fléau, la Deutsche Bahn a lancé un projet pilote avec un allié improbable : le robot chien nommé « Spot ».

Graffitis sur les rails : Un problème croissant

Chaque semaine, douze trains du S-Bahn de Munich doivent être envoyés à l’atelier pour enlever les graffitis. Ce vandalisme coûte cher à l’entreprise, avec un nettoyage annuel pouvant atteindre un million d’euros. De plus, cela entraîne des retards et même des annulations de trains, perturbant la vie quotidienne des voyageurs.

Spot : La solution technologique

Spot, le robot-chien, est conçu pour patrouiller les voies d’évitement, surveillant les trains et détectant les graffeurs. Pesant 40 kilos, il est équipé de trois caméras et peut se déplacer de manière autonome sur une superficie de 100 mètres carrés. Dès qu’il repère un pulvérisateur, Spot diffuse en direct et envoie une alerte aux autorités compétentes.

Une approche préventive et dissuasive

Le déploiement de Spot vise à dissuader les graffeurs en flagrant délit et à réduire le nombre de trains endommagés. Doté d’une capacité de charge et d’une capacité de recharge automatique, ce chien robot peut fonctionner jour et nuit. Sa présence sur les rails reste confidentielle, afin de maintenir l’effet de surprise sur les vandales potentiels.

L’espoir d’un répit contre le vandalisme

Avec l’introduction de Spot, la Deutsche Bahn espère réduire les coûts de nettoyage, minimiser les interruptions de service et protéger l’intégrité visuelle de ses trains. Si Spot réussit dans sa mission, il pourrait devenir un outil précieux dans la lutte contre le vandalisme sur les rails de Munich et au-delà.


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De chien policier à gardien du ciel : l’évolution d’Ozzie

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Ozzie, un berger allemand mâle né en 2018 dans une portée destinée à former des chiens policiers pour la police du Queensland, a vu sa carrière prendre un tournant inattendu. Après avoir été licencié pour sa douceur et son affection incompatibles avec les rigueurs du métier de chien policier, Ozzie a trouvé une nouvelle vocation à l’aéroport de Brisbane.

Son histoire illustre parfaitement le fait que tous les chiens ne sont pas destinés aux mêmes tâches, même au sein de races aussi prestigieuses que le berger allemand. Malgré son entraînement intensif, il est vite apparu qu’Ozzie n’avait pas l’agressivité nécessaire pour traquer les criminels.

Cependant, sa formation ne fut pas vaine. Elle l’a préparé à son nouveau rôle : effrayer les oiseaux des zones très fréquentées de l’aéroport, évitant ainsi les collisions potentiellement dangereuses avec les avions sur les pistes. Grâce à Ozzie, les oiseaux sont désormais trop terrifiés pour s’approcher des avions, rendant les décollages et les atterrissages beaucoup plus sûrs pour tous.

Vivant désormais avec son maître Jackson Ring, Ozzie apporte une énergie et une positivité contagieuses à l’équipe de l’aéroport. Sa journée type comprend des exercices quotidiens, des patrouilles sur l’aérodrome de 1 700 hectares et même des sorties dans des parcs pour pratiquer ses compétences.

Bien qu’Ozzie ne soit pas le premier chien à travailler dans un aéroport, son histoire captivante et sa transition réussie de chien policier à gardien des cieux en font un exemple inspirant de résilience et d’adaptabilité.

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Les chiens renifleurs d’électroniques de la Police de New York

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La police de New York a récemment développé une unité spéciale de chiens renifleurs d’appareils électroniques, fournissant ainsi un atout unique dans la détection de dispositifs cachés utilisés par les criminels. Leur entraînement spécialisé, combiné à leurs capacités de reniflage exceptionnelles, en fait une ressource puissante pour l’unité K9 de la police.

Comment les chiens opèrent-ils ?
Selon le NYPD, les chiens renifleurs exploitent leur odorat inné pour identifier les appareils électroniques. La composition chimique distinctive de ces dispositifs, notamment l’oxyde de triphénylphosphine et l’hydroxycyclohexylphénylcétone, génère une odeur particulière détectable par les chiens. Cette compétence unique permet aux chiens d’identifier la présence d’appareils cachés, souvent insaisissables pour les enquêteurs humains.

L’unité K9 est régulièrement sollicitée pour compléter les opérations policières et les mandats de perquisition, offrant une couverture supplémentaire et garantissant que rien n’est négligé. Même en cas de recherche infructueuse, les agents considèrent leur rôle comme crucial, soulignant l’importance de leur entraînement continu, y compris des exercices avec des membres de la famille cachant des appareils pour les chiens à trouver.

Chacun des chiens de l’unité a commencé comme chien guide avant de se spécialiser dans la détection d’appareils électroniques, contribuant à localiser plus de 250 dispositifs depuis la création de l’unité en avril 2019, soit une moyenne d’une découverte par semaine. Cette méthode, initialement lancée par la police de l’État du Connecticut en 2016, s’est avérée être un outil essentiel pour collecter des preuves dans les affaires pénales.

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Amende de 2’700 euros pour un coup de pied sur un chien

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Le tribunal de district de Remscheid (Rhénanie du Nord-Westphalie) a récemment tranché une affaire de cruauté envers les animaux qui a pris une tournure inhabituelle. Un homme de 50 ans a été condamné à une lourde amende après avoir donné un coup de pied à un chien dans la poitrine. L’histoire, initialement entourée d’une version alternative présentée par l’accusé, a été qualifiée de « Histoires des 1’001 nuits » par le juge.

L’incident s’est déroulé sur une aire de repos d’autoroute, où l’accusé, de retour de Hongrie avec sa famille, a agressé le chien d’un couple stationné à proximité. La colère de l’homme contre le stationnement du couple a conduit à des insultes et à un coup de pied violent infligé au chien, provoquant des blessures nécessitant des médicaments.

L’accusé a tenté de présenter une version différente des événements devant le tribunal, prétendant avoir agi pour protéger son fils contre le chien du couple. Cependant, confronté à un discours clair du juge, il s’est rapidement écarté de cette version. L’accusé a également menti à son médecin pour éviter de comparaître devant le tribunal, prétendant avoir parcouru des centaines de kilomètres. Finalement, il a retiré son appel contre le verdict initial, rendant l’amende de 2’700 euros, pour violation de la loi sur la protection des animaux, juridiquement

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