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Daisy, le chien sauveur de champignons

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Dans une forêt à l’est de Melbourne, Daisy, un chien d’eau italien, est en mission spéciale ; formée pour détecter les champignons « doigts de l’arbre à thé », une espèce en danger critique d’extinction, elle utilise son odorat exceptionnel pour repérer ce champignon rare. Cette espèce n’est connue que dans six endroits en Victoria, et moins de 100 spécimens ont été observés par le scientifique Michael Amor au cours de ses années de recherche.

Importance du champignon

Les champignons des doigts de l’arbre à thé jouent un rôle crucial dans l’écosystème. Selon le Dr Amor, les champignons sont vitaux pour la planète : ils fournissent de la nourriture aux animaux, participent au cycle des nutriments et aident à purifier les systèmes d’eau. Shari Barmos, des Royal Botanic Gardens de Victoria, étudie ce champignon depuis des années et souligne son importance pour comprendre la santé de l’environnement. « Ce champignon est un indicateur clé de la santé de l’écosystème », explique-t-elle.

Daisy, chienne détective

Daisy est unique en son genre. Elle est probablement le seul chien au monde formé pour détecter des champignons à des fins de conservation. Son maître, Nick Rutter, l’entraîne depuis six ans, affinant son odorat pour des missions cruciales, comme celle de trouver le champignon des doigts de l’arbre à thé. Le processus de formation de Daisy implique d’associer l’odeur du champignon à une récompense, une tâche complexe étant donné la rareté de l’espèce.

Travail d’équipe

La collaboration entre Daisy et son maître est essentielle. « Daisy a un taux de réussite de 95 % pour trouver le champignon », explique le Dr Amor. Leur travail d’équipe a permis de localiser des champignons là où les chercheurs humains échouaient souvent. Mme Barmos utilise un miroir pour vérifier sous les branches des arbres, tandis que Daisy utilise son nez finement ajusté. Ensemble, ils forment une équipe inestimable pour la conservation de cette espèce en danger.

Une mission cruciale

Le nez exceptionnel de Daisy et le lien qu’elle partage avec son maître ont permis de faire des avancées significatives dans la recherche et la conservation du champignon des doigts de l’arbre à thé. « Nous avons une connexion spéciale qui rend notre travail plus facile, surtout lors des longues recherches sans succès », dit Nick Rutter. Cette collaboration montre l’importance de combiner les compétences humaines et animales pour la préservation des espèces.

En résumé, Daisy, avec son flair unique et sa formation spécialisée, joue un rôle vital dans la sauvegarde du champignon des doigts de l’arbre à thé. Son travail est un exemple inspirant de la manière dont les chiens peuvent contribuer à la conservation des espèces en danger et à la protection de notre environnement.

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Polémique canine : Mitt Romney versus Kristi Noem

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Dans une controverse sur les chiens, Mitt Romney, républicain et sénateur de l’Utah, et Kristi Noem, républicaine et gouverneure du Dakota du Sud, se retrouvent au centre de débats animés.

Pour rappel

Dans son livre à venir, Noem partage une anecdote détaillant l’abattage de son chien Cricket il y a 20 ans, justifiant cette décision par le comportement jugé « indressable » de l’animal. Les réactions politiques sont mitigées, certains critiquant vivement Noem pour son acte tandis que d’autres défendent sa liberté en tant qu’éleveur.

L’Affaire Romney

À Washington, le sénateur Mitt Romney critique la gouverneure du Dakota du Sud, Kristi Noem, pour avoir abattu son chien, une controverse qui résonne depuis la campagne présidentielle de 2012. À l’époque, Romney s’était présenté aux présidentielles pour les républicains, mais une affaire de « chien » surgit à la surface. Lors de vacances en famille en 1983, l’homme d’affaires américain et futur homme politique Mitt Romney avait conduit 12 heures avec son chien sur le toit de la voiture dans un transporteur équipé d’un pare-brise. Cet incident a fait l’objet d’une attention médiatique négative et d’attaques politiques contre Romney lors des élections présidentielles.

Position de Romney et critiques envers Noem

Romney réagit aux comparaisons faites entre sa controverse canine passée et le récit de Noem sur l’abattage de son chien dans ses mémoires politiques à venir. Il souligne les différences entre son traitement envers son feu-chien Seamus et l’action de Noem, déclarant : « Je n’ai pas mangé mon chien. Je n’ai pas tiré sur mon chien. J’aimais mon chien et mon chien m’aimait ». Romney critique Noem pour son traitement de son chien, remettant en question son sens moral et éthique dans cette affaire. De son côté, Noem défend ses actions, invoquant des circonstances spécifiques et son rôle d’éleveur.

Diversité des points de vue

Le débat s’étend au-delà de Romney et Noem, divisant les politiciens sur la question de la propriété des animaux et de leurs droits. Certains politiciens, comme Thom Tillis, soulignent l’importance de dresser et de réhabiliter les chiens plutôt que de les abattre. D’autres, comme John Cornyn, suggèrent que de telles histoires ne devraient pas être rendues publiques, relevant du domaine privé. D’autres républicains expriment leur désaccord, remettant en question l’opportunité pour Noem d’inclure cette histoire dans son livre.

Réflexions sur la vie rurale américaine

Les législateurs du Dakota du Sud défendent les éleveurs confrontés à des décisions difficiles concernant leurs animaux, considérant ces choix comme des affaires personnelles. Dusty Johnson souligne que l’abattage d’animaux par des éleveurs n’est pas rare dans l’Amérique rurale, offrant une perspective différente sur la question.

Tensions et valeurs en conflit

Cette controverse révèle les tensions entre différentes perspectives sur la responsabilité des propriétaires d’animaux et les droits des animaux, soulignant des questions morales et éthiques complexes.

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Poppy et les déversements d’hydrocarbures

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Poppy, l’épagneul springer anglais, est bien plus qu’un simple chien de compagnie. Entraînée spécifiquement pour détecter les déversements d’hydrocarbures, elle est un acteur clé dans la lutte pour maintenir la propreté des plages de Coastal Bend.

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Un Partenariat Bénéfique

TAMU-CC (Texas A&M University-Corpus Christi), conscient de l’importance de préserver l’environnement côtier, collabore avec des acteurs comme Poppy pour mener des enquêtes sur le terrain et identifier les zones touchées par la pollution.

Technologie au service de l’environnement et approche participative

Dans le cadre de leurs efforts, le Dr Loretta Battaglia travaille sur une application novatrice permettant au public de signaler les traces de goudron qu’il observe sur le littoral. Cette initiative vise à mobiliser la communauté dans une démarche de science citoyenne pour mieux gérer les problèmes de pollution.

L’application en développement permettra aux citoyens de signaler les amas de goudron qu’ils rencontrent lors de leurs visites à la plage. Ces données seront ensuite utilisées pour une gestion plus efficace des zones contaminées.

Une tâche essentielle

Paul Bunker, directeur de Chiron K9, souligne l’importance de repérer les traces de goudron sur les plages. Ces petites taches noires sont souvent les signes d’une pollution ancienne qui nécessite une action de nettoyage.

Grâce à la vigilance de Poppy et de son équipe dans le combat contre les déversement d’hydrocarbures, des milliers de boules de goudron ont été détectées au fil des années. Récemment, Poppy a contribué à la découverte de 30 boules de goudron échouées le long de l’île Mustang, ce qui renforce l’effort global pour maintenir la propreté des plages.

En bref

Poppy incarne le rôle crucial que les animaux peuvent jouer dans la préservation de l’environnement. Grâce à des initiatives telles que l’application de signalement de goudron et à des équipes dévouées comme celle de Poppy, nous pouvons travailler ensemble pour protéger nos côtes et préserver la beauté naturelle de la région contre les déversements d’hydrocarbures.

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Riley : Le chien du musée des Beaux-Arts de Boston

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Rencontrez Riley, le chien dévoué du Musée des Beaux-Arts de Boston, formé pour détecter les parasites et préserver les précieuses œuvres d’art. Riley, un Braque de Weimar, a fait sensation lorsqu’il a rejoint le musée en 2018, son adorable présence dissimulant un rôle crucial dans la protection du patrimoine artistique.

À l’initiative de la directrice des services de protection du musée et gardienne de Riley du musée de Boston, l’idée d’utiliser un chien détecteur de parasites est née. L’objectif : prévenir les dommages causés par les insectes nuisibles aux textiles et au bois des œuvres d’art.

Le processus de formation de Riley a été méticuleux. Contrairement aux méthodes traditionnelles basées sur la punition, l’équipe a opté pour le renforcement positif, récompensant le bon comportement de Riley avec des friandises, des jouets et des éloges. Une spécialiste de la formation, a joué un rôle crucial dans l’élaboration du programme d’entraînement, mettant l’accent sur la résilience et la gestion du stress.

Riley est devenu rapidement un membre inestimable de l’équipe du musée, effectuant des recherches minutieuses pour détecter les parasites, tout en étant traité avec respect et amour. Son travail discret en coulisses lui permet de protéger les œuvres d’art sans perturber l’expérience des visiteurs.

Katie Getchell, directrice adjointe du musée, souligne l’importance de cette approche innovante pour préserver le patrimoine artistique. Les chiens, avec leur incroyable sens de l’odorat, offrent une solution efficace pour détecter les parasites, complétant ainsi les mesures de prévention traditionnelles.

Les visiteurs ne doivent pas s’attendre à voir ces héros à quatre pattes lors de leur visite au musée, car leur travail se déroule principalement en coulisses.

Malgré tout, l’enthousiasme du personnel pour ces chiens détecteurs de parasites est palpable, et des initiatives telles que des rencontres ou un compte Instagram dédié sont envisagées pour ravir les fans de Riley et sensibiliser le public à l’importance de la préservation artistique. En fin de compte, grâce à l’engagement et au dévouement des humains et de leurs amis canins, l’art continuera à être préservé pour les générations futures.

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Slow, le Chien qui traque la mérule

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La mérule ce sont un groupe d’espèces de champignons lignivores. Celle-ci se développe dans les endroits sombres et humides et qui attaque principalement le bois.

A first person perspective of a man searching for imperfections with a magnifying lens during an indoor home inspection, with blurry family room and stairs.

De par son mode de développement et son régime alimentaire, elle occasionne des dommages tels que les bâtiments contaminés doivent parfois être détruits.

Dans les recoins du Finistère, un duo improbable s’allie pour combattre cet ennemi redoutable : la mérule. Slow, une malinois entraînée, travaille aux côtés de l’équipe de BZH Qualité pour détecter ce champignon destructeur avant qu’il ne fasse des ravages dans les bâtiments.

Le fondateur de BZH Qualité, décrit Slow comme « la perle rare » de son équipe. En seulement 20 minutes, cette chienne bien-aimée peut dépister la mérule dans une maison de 100 m², fournissant des résultats impressionnants avec près de 98 % d’efficacité. Que ce soit en traquant la mérule dans une petite maison ou sur un vaste terrain de 3 000 m², Slow est prête pour la mission.

L’idée d’utiliser un chien pour détecter la mérule est venue après avoir observé des cochons chercher des truffes. Après quelques essais avec différentes races de chiens, Slow, une malinois d’un an, s’est avérée être le partenaire idéal pour cette tâche.

Formée à l’obéissance dans les services de la police, Slow a été entraînée pour identifier la mérule de la même manière que les chiens détectent les stupéfiants. Son flair exceptionnel lui permet de localiser rapidement les zones infestées, marquant un arrêt distinct lorsque le champignon est détecté.

Slow est un chien de travail, mais aussi un compagnon fidèle qui mérite son titre de « perle rare ».

Pour les clients de l’entreprise, la capacité de Slow à repérer la mérule est inestimable. Cela permet d’économiser des coûts élevés de traitement et offre une tranquillité d’esprit pour l’avenir des bâtiments inspectés.


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