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Convertir les années de chats en années humaines

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Les propriétaires de chats traitent souvent leurs félins comme des membres de la famille. Il est donc naturel de vouloir comprendre l’âge de leur chat en années humaines. Heureusement, il existe une méthode simple pour convertir les années de chat en années humaines.

Méthode de conversion des années de chat

Le vétérinaire et fondateur de Fear Free Pets, explique que les chats atteignent l’équivalent de 15 années humaines au cours de leur première année de vie et l’équivalent de 25 années humaines à l’âge de deux ans. Après cela, chaque année supplémentaire de vie d’un chat équivaut à environ quatre années humaines.

Par exemple :

  • Un chat de 3 ans a environ 29 années humaines.
  • Un chat de 4 ans a environ 33 années humaines.
  • Un chat de 5 ans a environ 37 années humaines.

Ainsi, un chat de 20 ans aurait environ 97 années humaines. Contrairement aux chiens, la formule pour les chats est universelle car ils ont tous à peu près la même taille physique.

Développement du chaton

Les chatons se développent rapidement au cours de leur première année. La première année équivaudrait à l’enfance et l’adolescence en un an seulement. C’est une période intense de croissance physique et mentale.

Transition vers l’adolescence

Un chat devient adolescent peu avant son premier anniversaire et cette phase dure quelques mois après. Pendant cette période, le chat commence à montrer des comportements d’indépendance, semblables à ceux des adolescents humains.

Le chat adulte

Ils sont considérés comme de jeunes adultes lorsqu’ils atteignent l’âge d’un an. À ce stade, leur développement physique est terminé, bien que leur maturité mentale ne soit pas encore complète. Cela se produit généralement vers la fin de leur deuxième année.

Le chat senior

Les chats atteignent le statut de senior vers leur 11e anniversaire, ce qui correspond à environ 60 années humaines. À cet âge, ils commencent à ralentir et peuvent montrer des signes de vieillissement.

Espérance de vie des chats

De nos jours, il n’est pas rare de voir un chat atteindre l’âge de 20 ans, ce qui équivaut à presque 100 années humaines. Pour maximiser la longévité de votre chat, il est recommandé de prêter attention à trois facteurs principaux : l’hérédité, l’environnement et la nutrition.

Facteurs influant sur la longévité

  1. Hérédité : Vous ne pouvez pas changer l’hérédité de votre chat, mais être conscient des problèmes génétiques potentiels peut vous aider à mieux le soigner.
  2. Environnement : Limitez le temps passé dehors pour éviter les dangers tels que les prédateurs, les véhicules et les parasites. Les chats d’intérieur vivent généralement plus longtemps que ceux d’extérieur.
  3. Nutrition : Travaillez avec votre vétérinaire pour maintenir votre chat à un poids santé. Une bonne nutrition est essentielle pour une longue vie.

En bref

Comprendre comment convertir les années de chat en années humaines peut aider les propriétaires à mieux prendre soin de leurs félins. En prêtant attention à l’hérédité, à l’environnement et à la nutrition, vous pouvez contribuer à prolonger la vie de votre chat et à améliorer sa qualité de vie.


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Le chat sibérien de Keir Starmer à Downing Street

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Un choix après négociation : Keir Starmer (Premier ministre anglais), après des discussions familiales intenses, a opté pour un chaton sibérien au lieu d’un chien. Ses enfants espéraient l’arrivée d’un chien, mais la famille a finalement adopté un compromis avec ce chat réputé pour son comportement proche de celui d’un chien. En effet, les chats sibériens sont connus pour leur intelligence, leur curiosité, et leur facilité à être dressés, presque comme des chiens. Cette race rare s’avère être un bon compromis pour la famille Starmer, qui souhaitait un animal aussi actif et sociable qu’un chien.

Le chat sibérien, un choix particulier

Le nouveau membre de la famille Starmer, bien qu’encore sans nom public, fait partie d’une race prisée : le chat sibérien. Originaire de Russie, cette race est arrivée au Royaume-Uni au début des années 2000. Cependant, à cause des tensions politiques liées à l’invasion de l’Ukraine, il devient de plus en plus difficile d’importer ces chats de Russie. Ces chats sont recherchés pour leur capacité à s’adapter à des environnements froids, mais aussi pour leur caractère, qui se rapproche du comportement canin.

Les sibériens peuvent être promenés en harnais, participer à des activités en plein air et se montrer très attachés à leur famille. Ce côté actif et sociable en fait un bon choix pour ceux qui veulent un chat avec des qualités proches du chien.

Une intégration délicate

Le chaton sibérien rejoint une maison déjà bien occupée par deux autres félins : Larry, le célèbre chasseur de souris officiel du 10 Downing Street, et Jojo, le chat de la famille Starmer. Cependant, l’intégration d’un nouveau chaton peut provoquer des tensions, surtout avec Larry, qui est connu pour avoir eu des conflits avec d’autres chats dans le passé, notamment Freya, l’ancien chat du chancelier George Osborne.

Selon les experts, la meilleure méthode pour faciliter cette transition est d’isoler le chaton dans un espace confiné pour lui permettre de s’adapter en douceur. Cela laisse aussi le temps aux autres chats de se familiariser à distance avec le nouveau venu avant une confrontation directe.

Les soins spécifiques d’un chat sibérien

Adopter un chat sibérien demande aussi une attention particulière à l’entretien de son pelage. Ce chat possède un triple pelage qui le protège du froid en hiver et qu’il perd au printemps. Un toilettage régulier est indispensable pour éviter que son pelage ne devienne emmêlé et inconfortable. Certaines personnes choisissent de raser leur chat sibérien, mais les experts déconseillent fortement cette pratique, qui peut nuire à la santé et au bien-être de l’animal.

Bien que les chats sibériens soient réputés pour être hypoallergéniques, ce qui en fait un bon choix pour les familles souffrant d’allergies, ils peuvent tout de même déclencher des réactions chez les personnes particulièrement sensibles. Cela reste un facteur à prendre en compte, notamment pour les visiteurs de Downing Street.

Un chat, mais presque un chien

Pour la famille Starmer, ce chaton représente un bon compromis entre les attentes de ses enfants et les contraintes de la vie à Downing Street. Avec son caractère canin, sa facilité à être dressé et sa sociabilité, le sibérien semble correspondre parfaitement à ce que la famille cherchait. Reste à savoir comment il s’adaptera à ses nouveaux compagnons félins, et si sa personnalité proche de celle d’un chien fera oublier l’envie initiale d’un chien pour la famille.

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Une farce académique dévoile les failles des études sur les chiens

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Un canular académique bien orchestré : En 2017, Peter Boghossian, professeur de philosophie, et James Lindsay, mathématicien, ont piégé une revue scientifique en publiant une étude fictive affirmant que le pénis n’était pas un organe masculin, mais une construction sociale. Ils se sont moqués de certaines études de genre en attribuant au pénis des impacts absurdes comme le réchauffement climatique. Ce canular a été un succès, mais ces chercheurs ne se sont pas arrêtés là. En 2018, ils ont décidé de pousser leur farce encore plus loin, cette fois avec l’aide d’Helen Pluckrose, rédactrice en chef d’Areo, une revue en ligne.

Une série d’articles absurdes

En dix mois, le trio a rédigé vingt articles bidon, les soumettant à des revues académiques réputées. Leur objectif était de prouver que certaines disciplines académiques, qu’ils qualifient de « corrompues » par l’idéologie, acceptent des études absurdes si elles flattent les préjugés des éditeurs. Parmi ces articles, l’un des plus marquants portait sur la « culture du viol chez les chiens » dans les parcs canins. Cet article prétendait que l’observation des interactions entre chiens pourrait aider à réduire les comportements sexuels agressifs chez les hommes. Cette étude a été publiée par la revue Gender, Place & Culture et louée pour son originalité.

Une dénonciation de l’idéologie académique

Les trois auteurs ont réussi à faire publier sept de leurs articles, et plusieurs autres étaient en cours de révision avant que le canular ne soit dévoilé. Ils voulaient montrer que les « études de grief », un terme qu’ils utilisent pour désigner des disciplines comme les études de genre, sont plus intéressées par l’idéologie que par la vérité scientifique. Ils dénoncent une culture académique où l’accent est mis sur les plaintes et les discriminations perçues, souvent au détriment de la rigueur scientifique.

Les réactions à ce canular

La révélation de ce canular a suscité des réactions variées. Certains ont salué cette initiative, la voyant comme une critique nécessaire de la direction que prennent certaines disciplines académiques. D’autres ont exprimé des inquiétudes sur les conséquences de ce type de farce, craignant qu’elle ne renforce l’anti-intellectualisme et ne discrédite les recherches légitimes sur les discriminations. Ces critiques soulignent que, bien que certaines études puissent être idéologiquement biaisées, il est dangereux de généraliser et de rejeter en bloc des champs de recherche entiers.

Un des sujets proposés par les auteurs du canular : « Quand un homme se masturbe en privé en fantasmant sur une femme sans qu’elle lui ait donné sa permission (…), il commet une violence métasexuelle contre elle. »

Conclusion : un débat sur la rigueur scientifique

Le canular de Boghossian, Lindsay et Pluckrose a mis en lumière des failles dans le processus de publication académique, en particulier dans les domaines qu’ils estiment dominés par l’idéologie. Cependant, il a également soulevé des questions sur la manière dont la science est évaluée et sur l’impact potentiel de telles farces sur la perception publique de la recherche académique. Alors que certains y voient un rappel nécessaire à la rigueur scientifique, d’autres craignent que cela n’alimente la méfiance envers les universitaires et ne compromette les efforts pour lutter contre les discriminations réelles.

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Pourquoi les chiens se roulent-ils dans les excréments ?

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Les chiens ont une drôle d’habitude : ils adorent se rouler dans des choses sales et nauséabondes, comme les excréments d’autres animaux. Ce comportement peut sembler étrange pour nous, mais il pourrait avoir plusieurs raisons, certaines étant liées à leur instinct naturel.

Une trace de leurs ancêtres sauvages

Les chiens domestiques descendent des loups, et certains comportements de ces derniers ont été transmis aux chiens modernes. Se rouler dans des excréments pourrait être un vestige de leurs ancêtres prédateurs. À l’époque des loups sauvages, cette pratique pouvait servir à masquer leur odeur pour approcher discrètement leurs proies. Même si nos chiens modernes n’ont plus besoin de se cacher pour chasser, cet instinct persiste.

Une forme de communication et de camouflage

Pour les loups, se rouler dans les excréments d’autres animaux, ou même dans des carcasses, pourrait être une manière de communiquer avec d’autres membres de leur meute. Cela peut aider à partager des informations sur les autres animaux qu’ils ont rencontrés. Certaines études suggèrent que ce comportement pourrait aussi aider à éviter des prédateurs plus grands. Par exemple, les renards gris se frottent contre des marques laissées par des prédateurs comme les couguars pour éviter d’être repérés par des coyotes.

L’aspect social et l’identité de groupe

Il est possible que les chiens, tout comme les loups, utilisent les odeurs pour renforcer les liens sociaux au sein de leur groupe. Dans la nature, les animaux qui vivent en meute, comme les loups, se frottent souvent contre des choses odorantes pour montrer leur appartenance au groupe. Les chiens domestiques pourraient faire de même en se roulant dans des excréments pour partager une odeur avec vous ou avec d’autres chiens.

Une question de plaisir

Certains experts, comme le comportementaliste animal Michael Fox, pensent que les chiens peuvent simplement aimer se rouler dans des choses désagréables pour le plaisir. Tout comme les humains utilisent des parfums ou des vêtements voyants pour se faire remarquer, les chiens pourraient trouver stimulant de se couvrir d’odeurs fortes, même si elles sont répugnantes pour nous.

Les mystères restent entiers

Malgré toutes ces théories, il reste encore beaucoup à découvrir sur ce comportement. Les chiens ne se roulent pas uniquement dans les excréments ; ils peuvent aussi se frotter contre des huiles végétales ou d’autres substances fortes. Les chercheurs continuent d’étudier ce phénomène pour mieux comprendre les motivations sous-jacentes.

En fin de compte, même si nous ne comprenons pas entièrement pourquoi les chiens aiment se rouler dans des choses dégoûtantes, il est clair que cela fait partie de leur comportement naturel. Ce comportement peut être lié à des instincts anciens, à des besoins sociaux ou simplement au plaisir que les chiens éprouvent en explorant leur monde par l’odorat.


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Prévenir la Giardia

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Une infection parasitaire potentiellement transmissible des chiens aux humains et une menace contagieuse méconnue : Les propriétaires de chiens doivent être conscients d’une menace sous-estimée : la giardia, une infection parasitaire qui peut se propager facilement entre les chiens et les humains. Cette maladie est causée par un parasite appelé Giardia, qui prolifère dans l’intestin grêle et entraîne la giardiase, une condition caractérisée par des symptômes gastro-intestinaux débilitants.

Symptômes et Risques

La giardia peut provoquer chez les chiens des diarrhées nauséabondes, parfois accompagnées de sang ou de mucus. Chez les humains, les symptômes incluent également des diarrhées malodorantes, des flatulences, des ballonnements et une possible perte de poids. Bien que la maladie disparaisse généralement en une semaine avec un traitement approprié, elle peut parfois persister plus longtemps, nécessitant une attention médicale continue.

Transmission et Prévention

La transmission de la giardia se fait principalement par l’ingestion d’eau ou d’aliments contaminés par les excréments infectés. Les chiots et les chiens affaiblis sont particulièrement vulnérables. Pour réduire le risque de transmission, il est essentiel de maintenir une bonne hygiène : se laver régulièrement les mains après avoir manipulé des chiens et éviter tout contact avec leurs selles.

Diagnostic et Traitement

Chez les chiens, le diagnostic de la giardia se fait par analyse de selles en laboratoire. Le traitement implique souvent l’administration de médicaments comme le fenbendazole ou le métronidazole pendant environ 10 jours, avec parfois des traitements répétés pour assurer l’élimination complète du parasite.

Chez les humains, un échantillon de selles est également nécessaire pour confirmer le diagnostic. Le traitement consiste généralement en des antibiotiques adaptés, prescrits par un médecin, et peut nécessiter plusieurs semaines pour être efficace.

Soins Alimentaires et Hygiène

En plus du traitement médicamenteux, un régime alimentaire doux et facilement digestible peut aider à soulager les symptômes chez les chiens. Des aliments riches en protéines de haute qualité et en glucides simples, comme le riz, sont recommandés pour minimiser les épisodes de diarrhée.

Conclusion : Précautions et Bienveillance

La giardia représente un défi de santé publique pour les propriétaires de chiens et leurs familles. En sensibilisant les propriétaires sur les risques de transmission et en promouvant de bonnes pratiques d’hygiène, nous pouvons réduire efficacement l’incidence de cette infection parasitaire. Restez vigilant et consultez rapidement un professionnel de la santé si des symptômes persistent ou s’aggravent.

En prenant des mesures préventives simples, telles que le lavage régulier des mains et la gestion adéquate des déchets animaux, nous protégeons la santé de nos animaux de compagnie et la nôtre contre cette menace insidieuse.

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Pourquoi les chats volent des objets

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Le mystère des chats voleurs: Il est courant de voir des chats ramener des souris ou des oiseaux morts à la maison, mais certains chats apportent aussi des objets aléatoires comme des chaussettes, des gants, ou même des peluches. Pourquoi font-ils cela ? Les chercheurs tentent de percer ce mystère.

Les premières observations

Une série de vols commis par une mère chat et ses deux chatons à Frigiliana, en Espagne, a intrigué les scientifiques. Rachel Womack, leur propriétaire, a retrouvé chez elle des chaussettes, des sous-vêtements, des cardigans de bébé et bien d’autres objets volés dans le quartier.

Les premières hypothèses

Auke-Florian Hiemstra, biologiste au Naturalis Biodiversity Center aux Pays-Bas, s’intéresse de près à ce phénomène. « Nous ne savons pas pourquoi les chats agissent ainsi, » dit-il. Documenter ces comportements pourrait ouvrir la voie à de futures recherches.

Les témoignages et études de cas

Hiemstra a découvert les chats voleurs grâce à l’artiste néerlandaise Anne Geene, amie de Womack. Intriguée, Geene est allée en Espagne pour photographier les butins de ces chats. Cela a permis à Hiemstra de commencer à documenter ces comportements, espérant comprendre pourquoi les chats collectionnent ces « trophées ».

Les défis du quotidien

Pour Womack, le problème est de rendre les objets volés. Ses chats, Daisy, Dora et Manchita, peuvent ramener plus de 100 objets par mois. Charlie, un chat de Bristol, est connu pour ramener des jouets en plastique, des pinces à linge, et même des dinosaures en plastique volés dans une pépinière voisine. Sa propriétaire, Alice Bigge, place les objets volés sur un mur pour que les propriétaires puissent les récupérer.

Les hypothèses des experts

Lors d’une séance de brainstorming, Hiemstra et le Dr Claudia Vinke, biologiste du comportement à l’Université d’Utrecht, ont émis plusieurs hypothèses : les chats pourraient chercher à attirer l’attention, vouloir jouer, ou prolonger leur comportement de chasse en ramenant des objets à la maison. Les objets particulièrement odorants, comme les chaussettes, pourraient également les attirer.

Le comportement renforcé par l’attention

Les chats ont tendance à ramener leurs proies au centre de leur territoire pour se nourrir. Le même instinct pourrait les pousser à ramener des objets à la maison, où l’attention qu’ils reçoivent renforce ce comportement. « Lorsque vous faites attention au chat, vous renforcez le comportement, » explique Vinke.

L’attirance pour certains matériaux

Dennis Turner, de l’Université de Zurich, pense que les chats sont attirés par certains articles en laine et en plastique en raison de leur composition chimique. Pour briser cette habitude, il recommande de quitter la pièce en silence lorsque le chat ramène quelque chose, et de jeter l’objet une fois que le chat s’en est désintéressé.

Les stimuli simples

Daniel Mills, professeur à l’Université de Lincoln, ajoute que les animaux, y compris les chats, répondent à des stimuli simples. Un objet flottant dans le vent peut déclencher un comportement de chasse. « Je ne pense pas qu’ils considèrent ces objets comme des cadeaux, » dit-il.

Pour Conclure

Jemma Forman, doctorante à l’Université du Sussex, affirme que les chats ne ramènent pas ces objets en guise de cadeaux. « Quand il s’agit de chats, l’explication est souvent qu’ils le font pour eux-mêmes, » conclut-elle.

Les raisons exactes des vols de chats restent floues, mais l’attention et l’instinct de chasse semblent jouer un rôle clé. Les recherches futures pourraient offrir davantage de réponses à ce comportement intrigant.


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Journée internationale du chien : 26 août

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L’importance du lien millénaire entre l’homme et le chien : Chaque année, le 26 août, la Journée internationale du chien met en lumière l’importance et la richesse du lien qui unit l’homme et le chien depuis des millénaires. Bien plus qu’une simple célébration, cette journée rappelle le rôle essentiel que jouent les chiens dans nos vies. Fidèles compagnons, gardiens et assistants, les chiens sont des partenaires de longue date, et cette journée est l’occasion de les honorer comme ils le méritent.

Une journée pour sensibiliser et informer

La Journée internationale du chien n’est pas seulement une fête pour les propriétaires de chiens, c’est aussi un moment clé pour sensibiliser le public à la cause canine. Initiée par le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW), cette journée vise à améliorer les conditions de vie des chiens à travers le monde. L’IFAW, actif dans plus de quarante pays, soutient des projets destinés à protéger les droits des animaux et à sensibiliser sur les réalités souvent méconnues de la vie canine, notamment la maltraitance et l’abandon.

L’évolution du rôle du chien dans nos vies

Les relations entre l’homme et le chien ont évolué au fil des siècles, et la Journée internationale du chien est l’occasion de rappeler cette évolution remarquable. Autrefois concurrent pour la chasse, le chien a rapidement été reconnu pour ses capacités exceptionnelles, notamment son odorat et son ouïe, qui en faisaient un partenaire idéal pour diverses tâches. Aujourd’hui, le chien est bien plus qu’un simple auxiliaire de travail. Il est devenu un membre à part entière de la famille, apprécié pour sa fidélité, sa compagnie et les bienfaits qu’il apporte à notre santé.

Les multiples bienfaits des chiens

Les bienfaits d’avoir un chien vont bien au-delà de la simple compagnie. Des études ont démontré que les interactions avec les chiens peuvent améliorer la santé cardiovasculaire, réduire le stress et même aider à atténuer les symptômes de la dépression. Les promenades régulières, les moments de jeu et les câlins procurent non seulement du bonheur, mais aussi une meilleure forme physique et une vie sociale plus active. En somme, les chiens contribuent de manière significative à notre bien-être général.

Agir pour la cause canine

La Journée internationale du chien est également un moment d’action pour améliorer le sort des chiens dans le monde. En France, où les abandons d’animaux atteignent des chiffres alarmants, cette journée permet de sensibiliser le public à la nécessité d’adopter plutôt que d’acheter, et de soutenir les associations de protection animale. Les structures de protection profitent de cette occasion pour promouvoir l’adoption et diffuser des informations pratiques pour que chaque chien puisse trouver un foyer aimant.

Comment participer à la Journée internationale du chien ?

Chacun peut participer à sa manière à la Journée internationale du chien. Que ce soit en adoptant un chien, en faisant un don à une association, ou simplement en partageant des photos et des vidéos de son compagnon à quatre pattes sur les réseaux sociaux, chaque geste compte. En ce jour spécial, l’objectif est de célébrer nos amis canins, de leur offrir encore plus d’amour et de rappeler l’importance de leur présence dans nos vies.

Ainsi, la Journée internationale du chien n’est pas seulement une journée de fête, c’est aussi une journée de réflexion et d’action pour garantir à chaque chien la vie heureuse et digne qu’il mérite.


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Plaidoyer à NY : les chiens comme membres de la famille

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Les chiens, bien plus que des biens personnels: Dans notre société moderne, les chiens occupent une place particulière dans nos vies, bien au-delà de celle de simples animaux domestiques; Trevor Deblase, un habitant de New York, en est convaincu; Après la perte tragique de son teckel Duke, tué par un conducteur imprudent, il souhaite que la loi reconnaisse les chiens comme de véritables membres de la famille. Actuellement, dans l’État de New York, les chiens sont légalement considérés comme des biens personnels, une classification que Deblase et ses avocats jugent dépassée et inadaptée à la réalité contemporaine.

Le drame de Duke et la bataille juridique de Deblase

Le 4 juillet 2023, la vie de Duke a été brutalement interrompue lorsque le teckel a été renversé par un véhicule. Ce jour-là, la mère de Trevor Deblase promenait Duke lorsqu’un conducteur a ignoré un panneau stop, tuant le chien sur le coup et manquant de peu de blesser la mère de Trevor. Profondément affecté par la perte de son compagnon, Deblase a décidé de poursuivre le conducteur en justice. Cependant, en raison de la loi actuelle, la valeur marchande de Duke, ainsi que les frais vétérinaires et de crémation, constituent les seules compensations possibles, soit environ 2 000 dollars. Pour Deblase, cela est insuffisant pour réparer le traumatisme émotionnel causé par cette perte.

Vers une redéfinition juridique des animaux de compagnie ?

Deblase et ses avocats plaident pour une modification de la définition légale de la famille. Ils estiment que les animaux de compagnie, comme Duke, devraient être reconnus comme des membres de la famille, ce qui permettrait d’obtenir des compensations pour détresse émotionnelle en cas de négligence ayant entraîné leur mort. Actuellement, la loi ne permet de telles réclamations que pour les membres humains de la famille immédiate. Pourtant, l’attachement émotionnel que de nombreuses personnes ressentent pour leurs animaux de compagnie mérite d’être pris en compte par le système juridique.

Un débat aux implications larges

Les avocats du conducteur opposent à cette requête l’argument que reconnaître les animaux comme membres de la famille pourrait avoir des répercussions juridiques et économiques importantes. Ils craignent que cette reconnaissance n’entraîne une augmentation des coûts pour les professionnels travaillant avec les animaux, comme les vétérinaires et les promeneurs de chiens, et n’ouvre la voie à une multitude de nouvelles réclamations juridiques. Toutefois, pour Deblase et ses soutiens, le statu quo est inacceptable. Ils considèrent que la loi doit évoluer pour refléter l’importance croissante des animaux de compagnie dans nos vies.

Le futur des droits des animaux en jeu

La décision à venir du juge pourrait avoir un impact significatif sur la manière dont les animaux de compagnie sont perçus par la loi. Si le juge accepte de redéfinir la notion de famille pour inclure les chiens, cela pourrait ouvrir la voie à une reconnaissance plus large des droits des animaux. Pour Deblase, la justice pour Duke est une question de principe, et il espère que son combat aidera à faire évoluer la législation pour mieux protéger les animaux et reconnaître leur place dans nos familles.

En attendant la décision finale, Trevor Deblase continue de défendre la mémoire de Duke, convaincu que son chien mérite plus que le statut de simple bien. Pour lui, Duke était un des membres de la famille, un être cher qui a apporté amour et bonheur dans sa vie, et il est déterminé à obtenir justice pour son fidèle compagnon.

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Les chiens viverrins en région de Léningrad

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Un animal bien implanté : Le chien viverrin, aussi appelé renard Oussouri, est un mammifère originaire de l’Extrême-Orient; Introduit dans la région de Léningrad, en Russie, au milieu du 20e siècle, il s’y est parfaitement adapté; Aujourd’hui, environ 5’000 chiens viverrins vivent dans cette région, y compris à Saint-Pétersbourg.

A noter que depuis peu, les chiens viverrins ont été aperçus dans le marché de Wuhan, comme viande. Chiens viverrins qui sont hôtes animaux intermédiaires dans l’émergence du SARS-CoV-2.

Observation récente de chiots

Récemment, des chiots de cette espèce ont été observés dans deux endroits : Vsevolozhsk et la réserve naturelle de Nizhne-Svirsky. Dans cette réserve, une caméra cachée a filmé des petits, tandis que le biologiste Pavel Glazkov a photographié une mère et sa progéniture dans les forêts près de Vsevolozhsk.

Comportement et reproduction

Les chiens viverrins sont monogames et s’accouplent pour la vie. Au printemps, on peut les voir ensemble, mais après la naissance des chiots, le mâle se charge de nourrir la femelle restée dans le terrier avec les petits. Récemment, une femelle a été vue sortant pour la première fois avec ses cinq chiots, qui émettent des cris semblables à des oiseaux, d’où leur surnom de « chiens oiseaux » au Japon.

Hibernation unique

Ce qui distingue les chiens viverrins des autres canidés est leur capacité à hiberner en hiver. Ils dorment pendant la saison froide, se réveillant brièvement lors de redoux, pour replonger dans leur sommeil avec le retour du gel. Cette adaptation unique leur permet de survivre aux rigueurs de l’hiver.

Les chiens viverrins se sont bien implantés dans la région de Léningrad, enrichissant la faune locale. Leur présence en nombre, leur comportement unique et leur adaptation remarquable en font une espèce fascinante à observer et à étudier.

Les chiens viverrins

Le chien viverrin est un genre de canidé généralement caractérisé par un corps longiligne, des membres courts et un masque facial sombre. Cette apparence évoque d’autres animaux comme le raton laveur, le blaireau et la civette, avec lesquels il est parfois confondu. Il se différencie par sa démarche digitigrade propre aux canidés.

Pour rappel, les canidés sont une famille de mammifères de l’ordre des Carnivores, éponyme de la branche des Caniformes, et comprenant entre autres les loups (et donc le chien), les chacals et les renards.


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Les différentes races de bouledogues

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Les bouledogues, avec leurs rides distinctives et leur caractère charmant, sont des chiens très populaires; Découvrez les principales races de bouledogues, leurs spécificités et les points à considérer avant d’en adopter un. Ces chiens sont réputés pour leur fidélité et leur affection, et la plupart sont adaptés aux familles, y compris celles avec des enfants.

Les caractéristiques des bouledogues

Les bouledogues sont une famille de chiens qui varient beaucoup en taille et en apparence. On trouve des bouledogues de petite taille, comme le bouledogue français, jusqu’aux plus grands, comme le dogue de Bordeaux. Entre ces extrêmes, il existe d’autres races de bouledogues qui sont de taille intermédiaire. En termes de personnalité, les bouledogues montrent également une certaine diversité. La plupart d’entre eux sont connus pour être assez têtus et peuvent être un défi à dresser. Certains bouledogues sont assez énergiques et aiment jouer, tandis que d’autres préfèrent rester tranquilles et se détendre sur le canapé.

Problèmes de santé courants chez les bouledogues

Les bouledogues appartiennent à la catégorie des chiens brachycéphales, ce qui signifie qu’ils ont un visage très aplati avec un museau court. Cette caractéristique les rend plus sensibles à la chaleur. Par conséquent, il est essentiel de les garder au frais, surtout lors des journées chaudes. Les bouledogues ne doivent pas être exercés intensivement par temps chaud pour éviter les problèmes respiratoires.

En plus de leur visage aplati, beaucoup de bouledogues ont des bajoues tombantes et des dents qui ne s’alignent pas bien. Ces caractéristiques peuvent causer des problèmes comme la bave excessive, ce qui peut nécessiter des soins réguliers. Les propriétaires doivent être attentifs à ces aspects pour garantir le confort et le bien-être de leur animal.

Bouledogue anglais : symbole de courage et d’affection

Le bouledogue anglais est célèbre pour sa tête massive et ses bajoues pendantes. Ce chien, symbole du courage britannique, a une histoire marquée par des combats contre les taureaux. Aujourd’hui, il est un compagnon loyal et affectueux. Les soins doivent être attentifs à ses rides pour éviter les infections. Son espérance de vie est de 8 à 10 ans.

Bouledogue français : un ami idéal pour les petits espaces

Avec ses grandes oreilles en forme de chauve-souris et son corps compact, le bouledogue français est parfait pour les appartements. Actif et joueur, il peut souffrir de problèmes respiratoires similaires à ceux du bouledogue anglais. Cette race est souvent coûteuse en raison des césariennes nécessaires pour la naissance des chiots. Son espérance de vie est de 10 à 12 ans.

Bouledogue américain : le sportif et affectueux

Le bouledogue américain, plus grand et plus athlétique que le bouledogue anglais, était autrefois utilisé sur les fermes. Idéal pour les familles actives, il est généralement plus facile à dresser que ses cousins plus petits. Ce chien est affectueux mais peut avoir un tempérament déterminé. Son espérance de vie est de 10 à 12 ans.

Bullmastiff : puissance et loyauté

Le bullmastiff est un croisement entre le mastiff et le bouledogue. Connu pour sa force et sa vigilance, il est moins sujet à certains problèmes de santé des bouledogues plus petits. C’est un chien protecteur de sa famille avec une espérance de vie de 7 à 9 ans.

American bully : impressionnant mais amical

L’American Bully est un mélange de plusieurs bouledogues. Bien qu’il ait une apparence imposante, il est généralement très affectueux. Une socialisation précoce et un dressage positif sont essentiels pour prévenir les problèmes de comportement. Son espérance de vie est de 10 à 12 ans.

Bouledogue catahoula : un croisement robuste

Le bouledogue catahoula, un croisement entre un bouledogue et un chien léopard, est polyvalent et en bonne santé. Athlétique, il est adapté au travail sur les fermes et a une espérance de vie de 10 à 14 ans.

Boston terrier : petit et plein d’énergie

Le Boston terrier, un croisement entre le bouledogue anglais et un terrier, est vif et joyeux. Idéal pour les petits espaces, il est plus actif que les bouledogues plus grands. Son espérance de vie est de 11 à 13 ans.

Staffordshire bull terrier : un compagnon fidèle

Petit mais robuste, le Staffordshire bull terrier est connu pour son affection envers les enfants. Une socialisation précoce est nécessaire pour éviter les problèmes de comportement. Son espérance de vie est de 12 à 14 ans.

Bouledogue espagnol : un survivant historique

Autrefois chien de combat, le bouledogue espagnol est maintenant un bon chien de travail et de garde. Robuste et résistant, il a une espérance de vie de 11 à 14 ans.

Bouledogue australien : adapté au climat chaud

Créé pour s’adapter aux températures élevées de l’Australie, le bouledogue australien conserve les traits du bouledogue anglais. Plus résistant à la chaleur, il vit en moyenne 10 à 12 ans.

Bouledogue continental : vers une meilleure santé

Le bouledogue continental est un croisement visant à améliorer la santé des bouledogues traditionnels. C’est une bonne option pour ceux qui s’inquiètent des problèmes de santé typiques de ces chiens. Son espérance de vie est de 10 à 14 ans.

Ca de bou : un chien historique de Majorque

Aussi connu sous le nom de dogue de Majorque, le Ca de Bou est une race ancienne originelle de Majorque. Bien qu’il soit parfois méfiant envers les étrangers, il est loyal et affectueux avec sa famille. Son espérance de vie est de 10 à 12 ans.

Bouledogue tigre rouge : un compagnon audacieux

Le bouledogue tigre rouge, développé aux États-Unis, est connu pour sa confiance et sa fidélité. Bon gardien et intelligent, il s’entend bien avec les autres animaux et les enfants. Son espérance de vie est de 12 à 16 ans.

Bouledogue bleu d’Alapaha : un chien de travail rare

Développé aux États-Unis, le bouledogue bleu d’Alapaha est un excellent chien de travail et de garde. Loyal et affectueux, il est idéal pour les propriétaires expérimentés. Son espérance de vie est de 11 à 13 ans.

Bouledogue serrano : un chien musclé du Brésil

Le bouledogue Serrano, originaire du Brésil, est plus mince que les autres bouledogues. Doux et courageux, il est aussi un bon chien de garde. Son espérance de vie est de 10 à 12 ans.

Dogue de Bordeaux : un gardien fidèle

Le dogue de Bordeaux, ancien chien de combat et de garde, est aujourd’hui un compagnon protecteur et affectueux. En raison de sa taille, il est préférable de le surveiller avec les jeunes enfants. Son espérance de vie est de 5 à 8 ans.

Bouledogue victorien : un retour aux sources

Développé dans les années 1980, le bouledogue victorien ressemble aux bouledogues du 19e siècle. Actif et affectueux, il convient bien à divers types de familles. Son espérance de vie est de 12 à 14 ans.

En résumé, les bouledogues, malgré leurs différentes tailles et personnalités, ont des besoins de santé similaires en raison de leur morphologie particulière. Il est important pour les propriétaires de connaître ces caractéristiques pour mieux s’occuper de leur compagnon et éviter les problèmes de santé liés à leur race.

Avant d’adopter, il est essentiel de choisir celle qui correspond le mieux à votre mode de vie et à vos capacités.

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La recherche scientifique du monde canin et félin

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Des compagnons domestiques au cœur de la recherche : Autrefois relégués au statut de sujets peu sérieux, les animaux de compagnie, notamment chiens et chats, captivent désormais l’attention des scientifiques du monde entier. Cette transformation marque un tournant majeur dans la manière dont nous comprenons ces compagnons qui partagent nos vies.

L’essor de la génomique canine

Depuis le séquençage du génome complet du premier chien en 2004, la génomique canine a explosé. Les chercheurs ont étudié des milliers de chiens, des races pures aux métissés, révélant des détails sur leur diversité génétique et leurs maladies communes, comme le cancer et le diabète.

Vers une meilleure compréhension des maladies

Les chiens sont particulièrement intéressants pour les généticiens en raison de leur diversité et de leur longue histoire avec les humains. Des projets comme le Dog10K visent à constituer une base de données mondiale pour comprendre les facteurs de risque génétiques de maladies spécifiques.

Un regard sur le comportement et la cognition

La recherche sur la cognition canine a également prospéré, démontrant que les chiens sont capables de comprendre les signaux humains avec une sophistication surprenante. Cela a ouvert la voie à des études sur leur comportement social et leurs capacités cognitives, remettant en question les idées préconçues sur leur intelligence.

Collaboration mondiale et science citoyenne

Les projets de science citoyenne, comme Darwin’s Dogs, ont permis aux propriétaires de participer activement à la recherche en fournissant des échantillons d’ADN et des données sur leurs chiens. Ces initiatives ont contribué à des découvertes importantes sur la santé et le comportement canin à une échelle sans précédent.

Les chats entrent en scène

Bien que traditionnellement moins étudiés, les chats montrent également des capacités sociales surprenantes. Des recherches récentes explorent comment ces félins comprennent les émotions humaines et interagissent avec leur environnement, ouvrant de nouvelles perspectives sur leur cognition.

Applications potentielles à la médecine humaine

Comprendre la génétique et le comportement des animaux de compagnie ne profite pas seulement à ces derniers. Cela pourrait également fournir des informations précieuses pour la médecine humaine, en explorant comment l’environnement et le mode de vie influencent la santé et le vieillissement.

L’avenir de la recherche

Alors que la recherche se poursuit, l’objectif est de mieux connaître et comprendre nos compagnons à quatre pattes selon leurs propres termes. Cela promet non seulement d’améliorer leur bien-être, mais aussi de renforcer le lien spécial qui nous unit à eux dans cette belle aventure scientifique.

En conclusion, cette révolution scientifique autour des chiens et des chats ouvre de nouvelles portes pour explorer leur monde intérieur et leurs interactions avec le nôtre, façonnant ainsi notre compréhension commune de la vie et de la santé.


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Connaissances

Pitbull : mythe ou réalité ?

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Les pitbulls ont une réputation controversée; Beaucoup les voient comme les chiens les plus dangereux du monde. Cependant, il est essentiel de démystifier certains mythes et de comprendre la réalité de cette race souvent mal comprise.

Origines et caractéristiques

Les pitbulls, originaires des États-Unis, ne sont pas reconnus comme une race indépendante par certaines organisations cynologiques européennes. Le terme « pitbull » est souvent utilisé pour désigner plusieurs races de chiens à l’apparence similaire, mais seul l’American Pit Bull Terrier porte officiellement ce nom. Ce chien musclé et athlétique peut peser jusqu’à 30 kilogrammes, bien que certains, comme Hulk, peuvent atteindre des poids beaucoup plus élevés.

Faits et mythes

  • Mythe de la mâchoire puissante

Un des mythes les plus répandus est que les mâchoires des pitbulls se serrent avec une force de 3 à 10 tonnes. En réalité, selon National Geographic, ils se classent au bas des dix races de chiens les plus puissantes. Les chiens de berger d’Anatolie, par exemple, ont des mâchoires beaucoup plus fortes.

  • Agressivité et tempérament

Les pitbulls ont été élevés à l’origine pour combattre et chasser les gros animaux. Ils devaient affronter des taureaux, ce qui explique le « bull » dans leur nom. Cependant, leur agressivité potentielle est souvent mal interprétée. L’American Temperament Test Society classe les pitbulls parmi les chiens les plus doux, au quatrième rang, montrant un contraste frappant avec leur réputation de dangerosité.

Statistiques et réalité des attaques

Par exemple, aux Etats-Unis, entre 2010 et 2023, les pitbulls ont été responsables de 284 décès, représentant environ deux tiers des attaques mortelles de chiens. Pourtant, ils ne représentent que 6% de la population canine. Cette statistique, bien que préoccupante, doit être contextualisée : la responsabilité revient souvent aux propriétaires irresponsables et non à la race elle-même. Il faut regarder qui est au bout de la laisse.

Responsabilité des propriétaires

Les pitbulls sont des chiens très attachés à leurs propriétaires et peuvent devenir agressifs s’ils ne reçoivent pas suffisamment d’attention et d’exercice. Ils ont besoin de beaucoup d’activité physique et de stimulation mentale pour être heureux. Ils ne conviennent donc pas aux propriétaires inexpérimentés. Un pitbull bien élevé et bien entraîné peut être un chien de famille aimant et loyal.

Interdictions et régulations

En raison de leur réputation, les pitbulls et les chiens d’apparence similaire sont interdits dans plusieurs pays européens (voir les régions). Ces interdictions visent à prévenir les attaques et à protéger le public, mais elles ne tiennent souvent pas compte des différences individuelles entre les chiens.

Sensibilité et formation

Contrairement à ce que beaucoup croient, les pitbulls sont des chiens sensibles qui nécessitent une formation cohérente et douce. Ils ne répondent pas bien à la brutalité gratuite et peuvent souffrir de dépression profonde s’ils sont maltraités ou abandonnés. Il est crucial d’être particulièrement prudent lorsqu’un pitbull est avec un enfant, car ces chiens peuvent, sans le vouloir, blesser quelqu’un en raison de leur force.

En bref

Les pitbulls ne sont pas intrinsèquement dangereux. Leur comportement dépend largement de leur éducation et de leur environnement. Comme pour toute race de chien, la responsabilité incombe aux propriétaires de les élever correctement et de comprendre leurs besoins spécifiques. En démystifiant les mythes entourant les pitbulls, nous pouvons mieux apprécier et comprendre ces animaux souvent mal jugés.


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Le chat de Schrödinger : une icône populaire

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Un chat omniprésent : Le chat de Schrödinger est aujourd’hui une icône, apparaissant partout : dessins animés, t-shirts, jeux de société, puzzles, tasses à café. On trouve même un gin à son nom. Pourtant, son origine est aussi mystérieuse que le principe scientifique auquel il est lié.

L’origine du chat de Schrödinger

Le physicien autrichien Erwin Schrödinger a créé ce concept en 1935 pour illustrer une absurdité de la mécanique quantique : un chat enfermé dans une boîte serait à la fois vivant et mort jusqu’à ce qu’on l’observe. Cette idée visait à critiquer l’interprétation de la mécanique quantique qui suggère que l’observation affecte la réalité.

La popularisation par Ursula K. Le Guin

Bien que Schrödinger ait créé l’idée du chat, c’est l’écrivaine Ursula K. Le Guin qui l’a popularisée avec sa nouvelle « Le Chat de Schrödinger », publiée en 1974. Le Guin, fascinée par les incertitudes de la mécanique quantique, a découvert ce concept en faisant des recherches pour son roman « Les Dépossédés ». Elle a su intégrer cette idée complexe dans une œuvre de fiction, la rendant accessible et intrigante pour le grand public.

Le chat dans la Culture populaire

Le personnage du chat de Schrödinger a inspiré de nombreuses œuvres de fiction et de non-fiction. Le Guin décrit dans sa nouvelle une scène où un chat jaune apparaît mystérieusement, soulignant l’incertitude et le mystère entourant son existence. Elle évoque également l’idée que, comme le chat dans la boîte, notre propre réalité dépend de notre observation.

Le chat de Schrödinger et la science-fiction

Le Guin a su combiner la science et la fantasy de manière unique. Son approche ludique mais profonde de la mécanique quantique a ouvert la voie à d’autres auteurs de science-fiction. Des romans comme « La Trilogie du Chat de Schrödinger » de Robert Anton Wilson et « Schrödinger’s Ball » d’Adam Felber ont suivi, explorant les implications philosophiques et scientifiques du célèbre chat.

Une fascination durable

Le chat de Schrödinger reste un symbole puissant de l’incertitude quantique et de la dualité entre réalité et observation. L’héritage de Le Guin, avec son mélange de science et de fiction, continue d’inspirer et de captiver, démontrant que la physique peut parfois ressembler à de la magie.

En fin de compte, le chat de Schrödinger est plus qu’un simple concept scientifique ; c’est une métaphore de notre quête de compréhension et de certitude dans un monde souvent mystérieux et complexe.


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