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Tests militaires sur chiens : enquête en vue

Des chiens utilisés dans des expériences militaires : Un scandale secoue actuellement le ministère de la Défense des États-Unis. Un rapport récent a révélé que des chiens et des chats ont été utilisés dans des tests douloureux, financés par plus de 57 millions de dollars d’argent public. Ces expériences, menées sous contrat avec l’armée américaine, ont provoqué un fort sentiment de révolte chez les défenseurs des animaux, ainsi que chez de nombreux citoyens.
Les images publiées par des associations montrent des chiens subissant des procédures invasives, parfois sans réel suivi médical ni bénéfice clair pour les militaires. Ce scandale remet en question l’utilité, l’éthique et la transparence de ces projets, en particulier dans un contexte où des méthodes alternatives existent.
Une enquête promise par le secrétaire à la Défense
Le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, a affirmé qu’il n’était pas au courant de ces contrats, mais qu’il allait lancer une enquête complète. Il souhaite vérifier si ces expériences respectent les directives établies et envisager une possible interdiction de nouveaux tests impliquant des chiens ou des chats.
Il s’est également engagé à étudier les propositions de loi qui pourraient limiter ou interdire définitivement ce type de pratiques, sauf autorisation directe du secrétaire à la Défense.
Appel à des méthodes alternatives
Les associations de protection animale rappellent qu’il existe aujourd’hui des solutions plus éthiques, comme la modélisation informatique ou les simulateurs de tissus, qui permettent de reproduire des réactions biologiques sans faire souffrir d’animaux.
Elles dénoncent le caractère cruel et dépassé de ces tests, ainsi que leur inefficacité. Plusieurs élus partagent cette opinion et demandent que l’argent des contribuables soit utilisé de manière responsable et respectueuse du vivant.
Vers la fin des tests sur les chiens ?
Cette affaire a remis sur le devant de la scène le traitement réservé aux chiens dans la recherche militaire. Pour beaucoup, ces animaux ne sont pas des outils, mais des compagnons fidèles qui méritent d’être protégés. Le débat s’annonce intense au sein du Congrès, où certains espèrent une interdiction totale de ce type d’expériences.
En attendant les résultats de l’enquête, la pression monte sur Pete Hegseth pour qu’il prenne des mesures concrètes. Ce scandale pourrait bien marquer un tournant historique dans la défense du bien-être animal, notamment pour nos amis les chiens, qui, dans un autre contexte, servent courageusement aux côtés des soldats sur le terrain.

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Australie : Voyager avec son chat en avion, c’est possible !

Un voyage unique pour un chat pas comme les autres : Ali, une Australienne expatriée, a réussi à faire voyager son chat Léopold en cabine de l’avion depuis Melbourne jusqu’en Europe. Alors que la plupart des animaux doivent encore être transportés en soute, elle a découvert une règle méconnue lui permettant de voyager avec son chat à ses côtés. Ce périple, bien que coûteux (près de 10 000 dollars), s’est révélé pour elle essentiel : « Je ne pouvais pas le laisser en soute », explique-t-elle.
Grâce à la compagnie aérienne Etihad, qui autorise les animaux en cabine au départ de Melbourne, elle a pris l’avion jusqu’à Paris, avant de continuer par train et voiture jusqu’à Londres.
Une organisation minutieuse et beaucoup de persévérance
Ali a dû faire face à de nombreuses informations contradictoires. Même des agences spécialisées dans le transport d’animaux pensaient que ce type de voyage était impossible. Mais après avoir appelé l’aéroport et rencontré un personnel accueillant, elle a confirmé que voyager avec un chat en cabine était bien autorisé.
Elle a tout organisé elle-même : réservation de billets, vérification des règles, papiers de transport et passeport européen pour animaux. Elle a ensuite utilisé une société spécialisée pour transférer son chat de France au Royaume-Uni, où l’entrée d’animaux est très encadrée.
Un vol sans stress pour le chat
Contre toute attente, le vol s’est très bien passé. Léopold, confortablement installé dans sa cage, a été calme durant le voyage. L’équipage d’Etihad s’est montré attentif et bienveillant, allant jusqu’à lui proposer une rangée de sièges vide pour plus de confort. À Abu Dhabi et en France, les transitions ont été simples, sans obstacle particulier.
Une tendance en évolution
D’autres voyageurs partagent la même expérience. Une autre Australienne, Sharon, a voyagé avec son chien Digby jusqu’en Corée du Sud grâce à Korean Air, qui permet aussi aux chiens en cabine. Elle a pu choisir un siège spécial “chien” en classe affaires et n’a rencontré aucun souci majeur.
De plus, Virgin Australia a récemment annoncé vouloir autoriser les chiens et chats en cabine sur ses vols intérieurs, bien qu’aucune date officielle n’ait été annoncée.
Ce qu’il faut savoir avant de partir
Les règles varient selon les compagnies aériennes. Par exemple, Etihad n’autorise les animaux à quitter l’Australie qu’au départ de Melbourne, et non de Sydney. Le chat ou chien doit peser moins de 8 kg (avec sa cage), être âgé d’au moins 16 semaines, et le coût du voyage en cabine peut atteindre 2 300 dollars US. Des documents de santé et de voyage doivent être envoyés avant le départ, et certaines races de chiens ne sont pas acceptées.
Une expérience inspirante pour les amoureux des animaux
Voyager avec un chat ou un chien en avion est encore rare, mais de plus en plus faisable avec les bonnes informations et un peu de préparation. L’histoire d’Ali prouve qu’avec de la détermination, il est possible de voyager avec son compagnon à quatre pattes dans des conditions sûres et humaines, sans devoir les reléguer en soute.
Une belle nouvelle pour les propriétaires d’animaux qui ne veulent plus être séparés de leurs fidèles compagnons !
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Protéger les chats à Singapour

Une augmentation inquiétante des violences envers les chats : À Singapour, les cas de maltraitance envers les chats ont atteint un niveau record en 2024, avec 961 signalements, soit le chiffre le plus élevé enregistré depuis 12 ans. Ces données ont été partagées par la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA). Ces actes vont de la négligence à la cruauté volontaire, comme le cas choquant d’un homme ayant jeté plusieurs chats du haut d’immeubles, condamné à la prison ferme.
Une réponse ferme du gouvernement
Face à cette situation alarmante, le ministre de l’Intérieur singapourien, K. Shanmugam, a rappelé l’engagement du gouvernement à ne pas tolérer la cruauté envers les animaux. Selon lui, il faut cibler les personnes cruelles volontairement, celles qui s’en prennent aux animaux comme si c’était un jeu ou un passe-temps.
Il a aussi insisté sur la nécessité de faire la différence entre des erreurs involontaires et de véritables actes de cruauté. Pour lui, l’éducation du public à la possession responsable d’animaux est tout aussi importante que la punition des coupables.
Des lois renforcées pour protéger les animaux
Aujourd’hui, une personne reconnue coupable de cruauté envers un animal à Singapour risque jusqu’à 18 mois de prison et une amende de 15 000 dollars singapouriens. En cas de récidive, la peine peut monter jusqu’à 3 ans de prison et 30 000 dollars d’amende. Le gouvernement envisage même de renforcer encore la législation, en étendant les pouvoirs des autorités pour mieux lutter contre les abus.
Le rôle complexe des troubles mentaux
Certains cas de maltraitance envers les chats sont liés à des troubles psychologiques. Mais le ministre a été clair : la maladie mentale ne doit pas servir d’excuse pour justifier des actes violents. Si une personne représente une menace pour les animaux, elle doit être isolée ou soignée, selon l’avis des professionnels de santé mentale.
Une société en pleine prise de conscience
Malgré ces mesures, seuls 6 % des cas signalés entre 2019 et 2024 ont été confirmés par les autorités, faute de preuves suffisantes. Cela montre l’importance d’un meilleur signalement des faits, mais aussi d’un changement global dans les comportements. Protéger les chats, comme tous les animaux, passe par plus de respect, de vigilance et d’éducation.
Singapour montre l’exemple avec une approche mêlant loi, prévention et compassion, un modèle qui pourrait inspirer d’autres pays.
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Les premiers chats, sacrifiés avant d’être aimés

Premiers chats: Une relation homme-chat pas si tendre au départ : Aujourd’hui, les chats sont considérés comme des compagnons fidèles, affectueux et souvent rois dans nos maisons. Mais selon une nouvelle étude scientifique, leur tout premier rôle auprès des humains était bien plus sombre. Contrairement à ce que l’on pensait jusqu’ici, la domestication des chats ne serait pas apparue au Néolithique pour chasser les rongeurs dans les villages agricoles. En réalité, les premières relations entre hommes et chats semblent avoir été motivées par des raisons religieuses… et violentes.
Les chats, offrandes sacrées dans l’Égypte ancienne
Selon les chercheurs, le lien étroit entre les humains et les chats aurait commencé en Égypte vers le premier millénaire avant J.-C. Les chats y étaient associés à la déesse Bastet, protectrice du foyer, de la fertilité et des femmes. D’abord représentée avec une tête de lionne, elle a été ensuite représentée avec une tête de chat, au moment même où la pratique du sacrifice de chats se développait.
Des millions de chats ont été élevés, tués puis momifiés comme offrandes religieuses. C’est à cette époque que les traits calmes et dociles des chats ont commencé à être sélectionnés, non pas pour vivre avec les humains… mais pour être plus faciles à manipuler pour les rituels.
Une domestication tardive, liée au sacré
C’est seulement après cette période de culte intensif que les qualités pratiques du chat, comme sa capacité à chasser les nuisibles, ont été reconnues dans la vie quotidienne. Les statues de Bastet ont souvent été retrouvées dans des zones agricoles, ce qui montre que les Égyptiens ont aussi vu les chats comme des alliés contre les rongeurs dans les cultures.
Ce mélange entre statut divin et utilité pratique aurait ensuite conduit à une domestication progressive, plus douce, où les chats ont fini par s’installer durablement dans les foyers humains.
Une fin encore plus dérangeante au XIXe siècle
Et comme si cela ne suffisait pas, l’étude ajoute un détail choquant : des preuves suggèrent que, bien des siècles plus tard, les Anglais à l’époque victorienne auraient utilisé certains de ces chats momifiés… comme engrais agricole. Cela montre à quel point l’histoire des chats est loin d’être linéaire et parfois injuste pour ces animaux devenus aujourd’hui si populaires.
Le chat, compagnon respecté… après bien des épreuves
Au final, les chats que nous aimons tant aujourd’hui ont traversé des siècles d’exploitation, de sacrifices rituels à des usages surprenants. Ce n’est qu’avec le temps que leur place est devenue celle de l’animal de compagnie adoré que l’on connaît. Cette histoire peu connue nous rappelle que la relation entre les humains et les animaux a beaucoup évolué, et qu’il est important de continuer à les protéger et les respecter.
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Le chat Manx, félin sans queue et plein d’histoire

Une origine ancienne, entre histoire et mythes : Le chat Manx, connu pour ne pas avoir de queue ou en avoir une très courte, est une race ancienne originaire de l’île de Man, une petite île entre l’Angleterre et l’Irlande. On retrouve les premières mentions de ces chats vers le début du XVIIIe siècle. Bien que l’on ne sache pas exactement comment ils sont arrivés sur l’île, les Vikings auraient joué un rôle important. Grands amateurs de chats, ils les offraient comme cadeaux et les utilisaient sur leurs navires.
Certains pensent que les chats des forêts norvégiennes, aimés des Vikings, sont les ancêtres des Manx. Ces deux races partagent des caractéristiques étonnantes : pattes arrière plus longues, double pelage, goût pour l’eau, et tempérament généralement calme.
Pourquoi les chats Manx n’ont-ils pas de queue ?
L’absence de queue chez ces chats est liée à un phénomène génétique appelé « effet fondateur ». Sur une île comme celle de Man, le mélange génétique est limité, et des traits inhabituels comme une queue raccourcie peuvent devenir communs avec le temps. Ce changement s’est stabilisé au fil des générations, donnant naissance à une race unique : le Manx, ou « stubbin » en langue mannoise.
Des chats de ferme très utiles
Pendant longtemps, les chats Manx étaient très appréciés dans les fermes. Excellents chasseurs, ils étaient gardés pour lutter contre les rongeurs. Même en liberté, des colonies sauvages existaient, comme celle des écuries du tramway de Douglas dans les années 1950. Ces chats étaient parfois vus en train d’attaquer des oiseaux marins comme les goélands, grâce à leurs puissantes pattes arrière qui leur permettent de faire de grands sauts.
Des croyances étonnantes et une reconnaissance royale
Les marins avaient une croyance intéressante : un chat pouvait provoquer une tempête à cause de la magie cachée dans sa queue. Les chats Manx, sans queue, étaient donc considérés comme porte-bonheur en mer ! En 1963, un chat Manx tigré a même été offert à la reine mère lors de sa visite à l’île. Il est devenu le chat officiel du yacht royal Britannia, sous le nom de Schickrys.
Une race précieuse mais fragile
Malgré leur popularité, les chats Manx ne sont pas sans problèmes. L’absence de queue peut entraîner des troubles de la colonne vertébrale, appelés syndrome de Manx. Cela peut provoquer des difficultés de propreté, des problèmes intestinaux, voire une paralysie partielle. Les familles adoptant un chat Manx doivent être conscientes de ces risques et prévoir des soins vétérinaires réguliers.
En 2024, la MSPCA (société protectrice des animaux locale) a relogé 20 chats Manx, un chiffre identique à l’année précédente. Preuve que, malgré leurs particularités, ces chats sans queue continuent de fasciner et de trouver des foyers aimants.
Un chat unique à connaître et protéger
Le chat Manx est bien plus qu’un simple chat sans queue. Il porte en lui une histoire riche, des croyances anciennes, une utilité reconnue, mais aussi des défis de santé. Connaître ses origines et ses besoins, c’est mieux comprendre l’animal et mieux le protéger. Que vous soyez amoureux des chats ou simple curieux, le Manx reste un symbole attachant de la relation entre les humains et les félins.
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Les héritiers de Félix le chat réclament justice

Un personnage culte oublié de ses créateurs : Félix le chat, petit félin noir et blanc au large sourire et au sac magique, est une star du dessin animé depuis plus d’un siècle. Créé en 1919 par plusieurs artistes, dont Patrick Sullivan, Félix est devenu un des premiers grands héros du dessin animé bien avant Mickey Mouse. Avec ses aventures pleines d’humour et de fantaisie, il a marqué des générations d’enfants et inspiré des produits dérivés dans le monde entier, notamment au Japon où il est devenu culte.
Des héritiers écartés des revenus
Mais derrière le sourire de Félix se cache une bataille juridique familiale. Trois descendants de Patrick Sullivan, l’un des co-créateurs, affirment aujourd’hui avoir été écartés pendant des décennies de la gestion des droits du célèbre chat. Selon eux, Donald Oriolo, fils d’un autre dessinateur lié à Félix, aurait pris le contrôle de la franchise sans les informer. Résultat : les héritiers estiment avoir perdu plus de 100 millions de dollars en droits et revenus issus des licences, des partenariats et de la vente de la marque à DreamWorks en 2014.
Un malentendu ou une vraie dissimulation ?
De son côté, l’avocat d’Oriolo affirme qu’il s’agissait d’un malentendu, assurant que tous les actionnaires avaient été rachetés depuis longtemps et qu’on ignorait l’existence des héritiers Sullivan. Il promet cependant d’ouvrir un dialogue pour trouver une solution équitable. Les héritiers, eux, maintiennent que les preuves montreront qu’Oriolo connaissait leur droit de propriété et qu’il a délibérément ignoré leurs intérêts.
Une leçon pour les créateurs et leurs familles
Cette affaire met en lumière une réalité parfois négligée : même les œuvres les plus connues peuvent donner lieu à des conflits de succession ou de propriété. Pour les familles de créateurs comme celles de Patrick Sullivan, il est important de faire respecter les droits et la mémoire de leurs proches.
Et les chiens ou chats dans tout ça ?
Félix n’est pas qu’un personnage de fiction : il montre à quel point les chats et les chiens, dans la culture populaire, peuvent marquer l’imaginaire collectif. Ils deviennent des symboles, des marques et parfois même de véritables trésors économiques. Cette histoire nous rappelle que, derrière ces animaux adorés, il y a aussi des créateurs — et parfois des familles qui se battent pour garder leur juste place dans l’héritage.
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Un chat détective aide à découvrir un nouveau virus

Pepper, un chat pas comme les autres : Pepper n’est pas un chat ordinaire; Ce félin domestique vivant en Floride est devenu célèbre dans le monde scientifique après avoir permis la découverte d’un nouveau virus. Lors d’une de ses balades en extérieur, Pepper a rapporté une musaraigne morte à son propriétaire, le docteur John Lednicky, virologue à l’Université de Floride. Curieux, ce dernier a décidé d’analyser l’animal en laboratoire. C’est ainsi qu’ils ont identifié une nouvelle souche d’orthoréovirus, un virus encore peu connu mais déjà associé à certaines maladies chez les humains et les animaux.
Un virus encore mystérieux
Les orthoréovirus étaient autrefois considérés comme sans danger. Pourtant, ces dernières années, ils ont été liés à des problèmes respiratoires, neurologiques et digestifs, notamment chez les enfants. Ce nouveau virus, trouvé chez une musaraigne, porte le nom scientifique de UF-1, et bien qu’il ne présente pas de risque immédiat, les chercheurs estiment qu’il mérite une surveillance attentive.
Les scientifiques ont déjà observé que ce type de virus peut changer rapidement en mélangeant ses gènes avec d’autres souches. Cela peut donner naissance à de nouveaux virus, parfois plus dangereux. Cette caractéristique rend les orthoréovirus intéressants à suivre, surtout dans un contexte où les échanges entre animaux domestiques, faune sauvage et humains sont fréquents.
Les chiens et les chats au cœur de la recherche
L’histoire de Pepper rappelle l’importance inattendue que peuvent avoir les chiens et les chats dans la recherche scientifique. Sans le flair de ce chat, cette souche de virus serait peut-être encore inconnue. Les animaux domestiques vivent en contact étroit avec la nature et avec nous, ce qui en fait des observateurs privilégiés de l’environnement.
Il est aussi important de souligner que Pepper se porte très bien. Aucun signe de maladie n’a été observé chez lui, ce qui rassure sur le fait que le virus ne semble pas affecter directement les chats.
Mieux comprendre pour mieux prévenir
Les chercheurs de l’Université de Floride insistent sur la nécessité de poursuivre les recherches. Ils souhaitent notamment étudier la façon dont ce virus se transmet, son impact sur la santé humaine et animale, et savoir s’il pourrait poser un risque futur pour les chiens, chats ou humains. Des tests sanguins et d’autres analyses seront bientôt menés pour mieux cerner ce virus.
En attendant, cette histoire montre qu’un simple chat domestique peut aider à faire avancer la science. Elle rappelle aussi que de nombreux virus restent encore méconnus et qu’il est essentiel de rester attentif à notre environnement et à celui de nos animaux.
Une vigilance bénéfique pour tous
Les propriétaires de chiens et chats n’ont pas à s’inquiéter, mais il est toujours bon d’être vigilant. Si votre animal vous rapporte un petit animal mort, mieux vaut ne pas le laisser jouer avec et, si possible, signaler la découverte à un vétérinaire ou à un laboratoire local. Qui sait ? Ce simple geste pourrait un jour contribuer à une grande découverte scientifique, comme celle de Pepper.
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Chaleur d’été : protégez vos chiens et chats

Le soleil peut être dangereux pour nos animaux : Quand les températures grimpent en été, nos chiens et nos chats ne sont pas à l’abri des effets nocifs du soleil. Tout comme nous, ils peuvent attraper des coups de soleil, en particulier sur les zones sensibles comme les oreilles, le nez, ou les endroits où la peau est peu couverte de poils. Ces coups de soleil peuvent parfois évoluer en cancer de la peau, une maladie grave mais évitable avec quelques précautions.
Les animaux à pelage clair ou blanc, ainsi que ceux qui passent beaucoup de temps dehors, sont les plus à risque. C’est pourquoi la RSPCA (l’équivalent britannique de la SPA) recommande aux propriétaires d’être particulièrement vigilants durant l’été.
Des gestes simples pour protéger leur peau
Pour éviter les risques, il est conseillé d’appliquer sur les zones sensibles une crème solaire spécialement conçue pour les animaux, avec un indice de protection minimum 30. Cette crème doit être non toxique et résistante à l’eau. Ne jamais utiliser de crème solaire humaine, car elle peut contenir des substances dangereuses pour eux.
De plus, évitez les sorties en plein soleil, surtout entre 11 h et 16 h, quand les rayons UV sont les plus forts. Assurez-vous que vos animaux aient toujours accès à de l’ombre, à de l’eau fraîche, et à un coin frais pour se reposer. Une serviette humide peut leur offrir un peu de soulagement.
Les signes à surveiller
Si vous remarquez des rougeurs, des croûtes sur les oreilles ou le nez, ou que votre animal semble gêné, gratte souvent la même zone, il est important de consulter un vétérinaire rapidement. Un diagnostic rapide peut éviter que la situation ne s’aggrave.
Un été en toute sécurité pour chiens et chats
Prendre soin de ses animaux en été, ce n’est pas seulement leur donner à boire ou les promener moins longtemps. C’est aussi penser à leur protection contre le soleil, une menace souvent sous-estimée. En adoptant les bons réflexes, vous permettez à votre chien ou votre chat de profiter de l’été sans danger, tout en gardant sa peau en bonne santé.
Parce que leur bien-être dépend de nous, soyons attentifs à leur exposition au soleil.
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Chiens de race ou chiens de refuge ?

Le choix du prince William relance le débat : Le prince William et la princesse Kate ont récemment partagé une photo avec leur chienne Orla et ses chiots. Cette image mignonne, prise pour les 43 ans du prince, a provoqué une vive réaction, notamment de la part de l’association de défense des animaux PETA; Selon eux, laisser une chienne de race avoir des petits alors que les refuges sont pleins serait un mauvais exemple. Pourtant, ce débat ne date pas d’hier : faut-il adopter un chien de refuge ou acheter un chien de race ?
Une décision personnelle qui divise
Beaucoup de familles choisissent des chiens de race pour des raisons de sécurité, de caractère ou de santé. C’est le cas de Charlotte, une maman célibataire avec deux jeunes enfants. Elle a acheté Muggles, un golden retriever, chez un éleveur certifié. Elle voulait un chien prévisible, calme et sociable, sans passé traumatique. Elle admet que certains chiens de refuge peuvent être adorables, mais elle a aussi vécu de mauvaises expériences : morsures, chiens qui s’enfuient ou qui réagissent mal à certaines situations.
Le traumatisme des chiens abandonnés
Charlotte reconnaît que les chiens des refuges ont souvent souffert. Ils peuvent avoir des problèmes de comportement dus à la maltraitance ou à l’abandon. Certains ne supportent pas les enfants, d’autres sont anxieux ou ont peur des hommes. Même si elle respecte les gens qui adoptent, elle préfère un chien dont elle connaît l’origine et le tempérament.
Un amour sincère, quelle que soit l’origine
Tout chien mérite d’être aimé, qu’il soit de race ou non. L’important est de faire un choix adapté à son mode de vie. Un chien de refuge demande parfois plus de patience, de soins et d’attention, ce qui n’est pas toujours possible pour tout le monde. Mais qu’il soit acheté ou adopté, un chien reste un compagnon fidèle et précieux, qui apportera joie, rires… et parfois quelques bêtises.
Conclusion : le débat entre chien de race et chien de refuge ne doit pas opposer les amoureux des animaux. Chaque histoire est unique, et le plus important reste l’amour, le respect et l’engagement envers l’animal.
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Voter pour le futur maire félin de Coronado

Une élection originale pour une belle cause : À Coronado, l’association PAWS (Pacific Animal Welfare Society) lance une campagne pleine d’humour et de tendresse : élire le prochain directeur félin de la ville des chats. Cet événement amusant est l’occasion parfaite pour renforcer le lien entre les habitants et leurs animaux, tout en soutenant une cause sérieuse : le bien-être animal.
Les candidats sont sept chats, chacun avec une personnalité unique, prêts à assumer leur rôle symbolique dans cette aventure communautaire. Le ou la gagnante deviendra ambassadeur félin aux côtés de Valkyrie, la chienne maire de Coronado, et du Conseil canin local.
Des chats aux talents variés
Voici les candidats au poste de Cat City Manager :
- Ash : ténébreux et charismatique, il fait équipe avec Frost.
- Frost : inséparable d’Ash, ils forment un duo dynamique.
- Cindy Lou : douce et engagée, elle veut fédérer la communauté.
- Gary : protecteur, il se présente comme le « gardien » du peuple félin.
- Henri VI : mystérieux et intelligent, il « sait des choses »…
- Katniss : combative et courageuse, elle veut défendre les droits des chats.
- Chaton : rêveur et ambitieux, il promet une ville meilleure pour tous.
Voter et soutenir PAWS
Chaque vote est une donation pour soutenir les actions de PAWS of Coronado. En votant pour votre candidat préféré avant le lundi 14 juillet à 19 h, vous contribuez directement à l’adoption, la réhabilitation et la protection des animaux de la ville.
Les fonds récoltés serviront à trouver des foyers aimants pour les chiens et les chats abandonnés, à améliorer les soins vétérinaires, et à sensibiliser la population au respect des animaux.
ne association engagée depuis 2003
Depuis sa fondation par Dorothy « Louise » Shirley, PAWS of Coronado agit pour que chaque animal ait une seconde chance dans un foyer sûr. Grâce à des initiatives créatives comme cette élection, PAWS mobilise la communauté tout en mettant en avant les valeurs de compassion, de respect et de solidarité envers nos compagnons à quatre pattes.
Participez à cette belle aventure
Prendre part à cet événement unique, voter, partager et soutenir les actions de PAWS ! C’est l’occasion d’unir amusement, engagement citoyen et amour des animaux.
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Agir pour les chiens : mettre fin à l’horreur au Vietnam

Une réalité insoutenable pour des millions de chiens : Au Vietnam, chaque année, environ 5 millions de chiens sont tués pour leur viande. Cela signifie qu’environ 13 000 chiens meurent chaque jour dans des conditions particulièrement cruelles : battus à mort, pendus, saignés vivants ou ébouillantés. Beaucoup sont des chiens de compagnie volés, enfermés sans eau ni nourriture pendant plusieurs jours, entassés dans des cages rouillées et surchauffées.
Ces pratiques ne sont pas seulement violentes, elles sont aussi profondément choquantes pour le public. Pourtant, elles continuent en toute impunité, malgré l’opposition massive à ce commerce inhumain, tant au Vietnam qu’à l’étranger.
Les chats aussi victimes de ce commerce cruel
Le sort des chats n’est pas plus enviable : environ un million d’entre eux sont également capturés et tués chaque année pour la consommation humaine. Le traitement qu’ils subissent est tout aussi barbare. Ces animaux, souvent des animaux de compagnie, sont condamnés à mourir dans la douleur, pour une pratique que la majorité des Vietnamiens eux-mêmes ne considèrent pas comme faisant partie de leur culture.
Une mobilisation qui stagne à Los Angeles
À Los Angeles, le conseil municipal a adopté en 2019 une résolution s’opposant à la viande de chien. Un projet a même été proposé : jumeler la ville avec Hanoï, à condition que cette dernière interdise la viande de chien et de chat. Ce projet aurait pu être une avancée majeure dans la lutte contre ces pratiques. Mais la maire Karen Bass a bloqué l’initiative, malgré un soutien public très fort : plus de 34 000 signatures, 2 900 commentaires positifs, et l’appui de plusieurs conseils de quartier.
Aucune explication n’a été donnée pour ce blocage. Pendant ce temps, des milliers d’animaux meurent chaque jour.
Un appel à Donald Trump pour agir
Face à l’inaction locale et à l’indifférence du président Biden, des défenseurs des animaux se tournent vers l’ancien président Donald Trump. En tant que signataire de la loi interdisant la viande de chien et de chat aux États-Unis, il est appelé à user de son influence pour exiger que le Vietnam mette fin à ce commerce barbare.
Les demandes sont claires :
- Appeler le Vietnam à interdire ce commerce ;
- Inclure le bien-être animal dans les accords commerciaux ;
- Dénoncer publiquement les élus qui s’opposent à ces mesures.
L’opinion publique vietnamienne soutient le changement
Des sondages récents révèlent que 68 % des Vietnamiens sont favorables à l’interdiction de la viande de chien, et 71 % pour celle du chat. Mieux encore, 95 % affirment que cette pratique n’est pas une partie de leur culture. Le moment est donc propice pour agir et obtenir un vrai changement.
Pour une action rapide et décisive
Chaque jour, 13 000 chiens et 2 700 chats meurent dans l’indifférence. Les défenseurs du bien-être animal demandent à Donald Trump de faire ce que d’autres n’ont pas fait : exiger du Vietnam la fin de ces pratiques inhumaines, et faire de cette cause un symbole de justice, de compassion et d’humanité.
Car sauver les chiens et chats du Vietnam, c’est sauver une part de notre humanité.
Signé : Jeff Mausner
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Polémique à Londres : louer un appart… et garder les chats !

Un loyer élevé pour une « mission spéciale » : À Londres, une annonce immobilière a fait grand bruit sur les réseaux sociaux, notamment sur Reddit. Publiée sur le site SpareRoom, la proposition concernait un appartement d’une chambre situé dans le quartier de Surrey Quays, avec balcon, bien desservi et décrit comme « moderne et confortable ».
Mais ce qui a réellement choqué les internautes, ce n’est ni le prix de 2 200 £ par mois, ni la taille de l’appartement, mais une clause étonnante dans l’annonce : le locataire devra s’occuper de deux chats pendant toute la durée de son séjour.
Une demande jugée absurde par les habitants de Londres
De nombreux utilisateurs de Reddit ont réagi à cette annonce avec étonnement et ironie. Certains ont résumé la situation ainsi :
« Payez-moi pour garder MES chats ».
Selon eux, ce n’est rien d’autre que faire payer un service de garde d’animaux… à celui qui le rend.
Un internaute a même comparé cela à Airbnb, en disant que ce type de demande n’aurait jamais été accepté sur une plateforme classique de location courte durée. Un autre a estimé que le propriétaire aurait dû proposer une réduction de loyer ou rémunérer directement une personne pour s’occuper de ses animaux.
Et si c’était des chiens ?
Si la même annonce avait concerné des chiens, la réaction aurait probablement été encore plus vive. Les chiens, souvent plus exigeants en attention, promenades et soins quotidiens, demandent un réel investissement. Il serait injuste de faire peser cette responsabilité sur un locataire, sans contrepartie.
Garder un chien implique une organisation quotidienne, une attention constante à son bien-être, et surtout, du temps. Beaucoup de propriétaires paient des dog-sitters pour ces services. Faire l’inverse – faire payer quelqu’un pour s’occuper de son propre chien – paraîtrait totalement incohérent.
Une tendance inquiétante ?
Ce type d’annonce révèle aussi une tendance croissante : les propriétaires cherchent à cumuler les avantages, sans prendre en compte l’effort réel demandé. Que ce soit pour un chat ou un chien, prendre soin d’un animal est un engagement, pas une clause légère à glisser dans un contrat de location.
Les animaux ne sont pas des objets de décoration. Ils méritent des soins, de l’attention, et du respect. Il serait plus logique que le propriétaire cherche un gardien de confiance, ou paie un service adapté, plutôt que de faire passer sa responsabilité sur un locataire… tout en demandant un loyer élevé.
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Philippines: Vers une loi plus ferme contre la cruauté animale

Un projet de loi pour mieux protéger les animaux : Aux Philippines, un député du Congrès, Brian Poe, s’engage pour la cause animale. Il propose une nouvelle loi pour mieux protéger les animaux, en particulier les chiens, souvent victimes de mauvais traitements. Cette initiative vise à renforcer la législation actuelle, qui date de 1998 et qui, malgré une modification en 2013, reste jugée insuffisante.
Son projet, la loi HB n° 1746, vise à moderniser les règles de protection animale dans tout le pays. Poe souhaite créer un Bureau de la protection des animaux, qui serait rattaché au ministère de l’Agriculture. Ce bureau aurait pour mission de faire appliquer efficacement les lois, de coordonner les interventions et de fixer des normes claires pour le bien-être animal, selon le type d’animal (chien, chat, animaux de ferme, de travail, etc.).
Des sanctions plus sévères pour les actes de cruauté
Le projet de loi prévoit des peines plus lourdes pour ceux qui maltraitent les animaux. Par exemple, les personnes reconnues coupables de cruauté, de torture ou de mauvais traitements pourraient aller jusqu’à quatre ans en prison, et recevoir une amende allant jusqu’à 250 000 pesos philippins.
Ces sanctions visent à dissuader les actes de violence, comme les combats de chiens, le trafic de viande de chien, ou encore l’abandon ou la négligence. Brian Poe insiste : aucune justification culturelle ou économique ne doit servir d’excuse pour faire souffrir un animal.
Une protection spécifique pour les chiens et animaux de compagnie
Le projet de loi interdit clairement de tuer des animaux de compagnie comme les chiens ou les chats. Seuls les animaux élevés pour la consommation (comme les porcs ou les poulets) peuvent être abattus, dans des conditions bien précises. Cette règle met fin à certaines pratiques cruelles encore tolérées, notamment dans le cadre du commerce de viande de chien.
La loi stipule aussi que toute personne doit fournir à son animal de la nourriture, de l’eau, un abri et des soins médicaux, sous peine de sanctions. Cela concerne directement les propriétaires de chiens, qui doivent assurer le bien-être quotidien de leur compagnon.
Une prise de conscience nécessaire
En défendant ce projet, Brian Poe veut montrer que la protection animale est une responsabilité collective. Les chiens, souvent considérés comme des membres à part entière de la famille, méritent un traitement digne et respectueux. Ce projet de loi vise à changer les mentalités, à éduquer le public, et à rappeler que la violence envers un animal est un crime, pas un simple écart de comportement.
Avec cette proposition, les Philippines pourraient faire un grand pas en avant pour défendre les droits des chiens et des autres animaux contre la cruauté, l’exploitation et l’indifférence.
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