Un chien devenu star d’Instagram grâce à une vie en bateau: Une vidéo virale d’un chien de refuge nommé Yoda, qui vit sur un bateau, a conquis le cœur des internautes. Partagée sur Instagram par @derekgrenada, la vidéo a rapidement accumulé 3,9 millions de vues. On y voit Yoda, un chien sauvé des rues de Grenade, nager dans les eaux cristallines de l’île avant de remonter à bord de son bateau par un petit escalier. Le clip montre Yoda attendant patiemment de se faire rincer à l’eau douce avant de secouer son pelage et de rejoindre tranquillement le pont du bateau.

Une vie de rêve pour Yoda et ses compagnons canins

Dans les commentaires, l’auteur de la vidéo a précisé que Yoda n’est pas seul à vivre cette vie idyllique : il partage ce mode de vie avec trois autres chiens, tous aussi à l’aise dans l’eau que sur la terre ferme. Ensemble, ils nagent plusieurs fois par jour, profitant pleinement de la mer et du soleil. Pour ces chiens, la mer est un terrain de jeu quotidien, leur permettant de se dépenser et de rester en forme.

La natation : une activité bénéfique mais pas pour tous les chiens

Bien que la natation soit un excellent exercice, elle n’est pas adaptée à tous les chiens. Les experts vétérinaires rappellent que certaines races, comme les corgis ou les carlins, peuvent avoir des difficultés à nager en raison de leurs caractéristiques physiques. De plus, les chiens souffrant d’arthrite, de problèmes cardiaques ou d’épilepsie doivent être examinés par un vétérinaire avant de se lancer dans cette activité. Même pour les chiens en bonne santé, la prudence est de mise, surtout en présence de forts courants ou d’obstacles difficiles à franchir.

Les internautes fascinés par la vie de Yoda

La vidéo de Yoda a suscité de nombreuses réactions positives sur Instagram. Les utilisateurs ont exprimé leur admiration pour l’intelligence et le mode de vie idyllique du chien. Certains ont même avoué envier Yoda, rêvant eux-mêmes de vivre sur un bateau avec leurs animaux de compagnie. Pour beaucoup, Yoda incarne l’image du chien qui « vit sa meilleure vie », un rêve devenu réalité pour ce petit rescapé des rues grenadiennes.

Une intervention dramatique capturée par des caméras : À Dallas, aux États-Unis, une vidéo capturée par des caméras de sécurité a récemment mis en lumière une situation particulièrement tendue lors d’un vol. On y voit Leah Amberly Wittsche, une femme paniquée qui demande de l’aide à ses voisins après que deux voleurs se soient introduits dans sa maison. En tenue de bain et tenant son chien dans les bras, Leah explique la situation en essayant d’attirer l’attention de son mari, encore au travail. La vidéo, largement partagée sur les réseaux sociaux, a suscité de nombreuses réactions et questions de la part des internautes.

Les circonstances du vol et l’urgence de la situation

Dans la vidéo, Leah raconte comment elle a découvert les voleurs alors qu’elle était dans la douche. Elle explique avoir vu les deux hommes entrer dans sa maison et a tenté de les supplier de ne pas faire de mal à ses enfants. Au moment du vol, elle a pris la décision de sortir de la maison avec son chien, tout en laissant ses enfants à l’intérieur. Le fait que ses enfants n’apparaissent pas sur les images a déclenché un débat intense parmi les spectateurs. Certains se demandent pourquoi elle a sauvé le chien en priorité, alors que ses enfants étaient également en danger.

L’explication de la propriétaire

Après la diffusion de la vidéo, Leah a publié des vidéos supplémentaires pour expliquer sa décision. Elle explique qu’après avoir constaté la présence des voleurs, elle a d’abord couru dans la chambre de ses enfants pour s’assurer qu’ils allaient bien. Elle a ensuite activé l’alarme de la maison avant de sortir pour chercher de l’aide. Ne trouvant personne, elle a utilisé les caméras de sécurité pour alerter son mari. Leah affirme que dans la panique, elle a d’abord pris son chien, car il risquait de faire du bruit et d’attirer l’attention des voleurs.

Réactions et soutien

Bien que Leah ait été critiquée par certains pour avoir pris son chien plutôt que de s’occuper immédiatement des enfants, d’autres ont soutenu sa décision. Les partisans estiment qu’elle a agi de manière à minimiser le stress et le traumatisme pour ses enfants en gardant le calme et en cherchant de l’aide. Ils ajoutent que le chien pourrait également avoir été en danger si laissé derrière, ce qui aurait pu compliquer davantage la situation lors du vol.

En fin de compte, cette situation dramatique souligne la difficulté de faire des choix rapides en cas d’urgence et la manière dont les priorités peuvent varier selon les circonstances.

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Un acte de violence inexplicable : À Herzliya, une tragédie bouleversante a secoué la communauté lorsque Sigal Yana Itzkovich, une femme de 33 ans, a été accusée d’avoir tué son fils de 6 ans et son chien. Les faits se sont déroulés dans un contexte de violence extrême, révélant une situation tragique où la mère a attaqué son propre enfant dans la baignoire après avoir d’abord attaqué le chien de la famille.

Un crime d’une violence extrême

Le crime a été marqué par une brutalité saisissante. Itzkovich a d’abord attaqué le chien avec un couteau et une hache, infligeant plus de 40 blessures sur le corps de l’animal. Craignant que les cris du chien n’attirent l’attention des voisins, elle l’a tué, puis s’est retournée contre son fils, lui assénant des coups de couteau si violents que la lame s’est brisée, laissant la pointe enfoncée dans le crâne de l’enfant.

Tentative de dissimulation et arrestation

Après ce drame, Itzkovich a tenté de dissimuler ses actes. Elle a nettoyé les armes, changé de vêtements et s’est rendue au centre commercial Seven Stars, encore tachée de sang et portant une hache. Sur le chemin, elle a agressé une passante, puis un agent de sécurité au centre commercial. C’est là que la police l’a arrêtée, découvrant par la suite la gravité de ses actes.

Des motifs troublants

Lors de son interrogatoire, Itzkovich a affirmé avoir agi sous les ordres d’extraterrestres, qui l’auraient enlevée avec sa famille pour les soumettre à un test en vue d’un recrutement potentiel par le Mossad. Ces déclarations ont soulevé des questions sur son état mental, ce qui a conduit les procureurs à demander son maintien en détention, soulignant la gravité des faits et les troubles mentaux apparents de l’accusée.

Un processus judiciaire en cours

Le tribunal de district de Tel Aviv a engagé des poursuites contre Itzkovich pour meurtre, violences graves, homicide d’un animal, et entrave à la justice. Ce drame met en lumière les dangers des troubles mentaux non traités et leurs conséquences tragiques, laissant une communauté en état de choc face à une telle horreur.

Ces dernières années, Barcelone a connu un grand changement démographique et social. Avec un habitant sur dix qui possède un chien, la ville a dû s’adapter pour accueillir cette nouvelle population à quatre pattes. Pendant ce temps, le taux de natalité a chuté, illustrant un changement profond dans les priorités des Barcelonais.

L’essor des chiens dans la ville

Les chiens sont devenus une partie intégrante de la vie à Barcelone. On croise régulièrement des bouledogues français, des maltais et des Golden Retrievers dans les rues. La ville s’est transformée pour répondre à ce phénomène, en créant des parcs spécialement dédiés aux chiens et en développant des services spécialisés pour eux. Ce changement est en grande partie dû à une évolution dans la manière dont les familles sont composées. De plus en plus de Barcelonais choisissent d’avoir un chien plutôt qu’un enfant, ou en plus petit nombre, préférant la compagnie d’un animal fidèle qui n’implique pas les mêmes responsabilités à long terme qu’un enfant.

Une natalité en baisse constante

Parallèlement à cet engouement pour les chiens, la Catalogne, et Barcelone en particulier, connaît une baisse importante du taux de natalité. En 2022, le taux de fécondité a atteint son niveau le plus bas avec seulement 1,17 enfant par femme. Le nombre de naissances a chuté à 56 316 bébés, soit une baisse de 2,3 % par rapport à l’année précédente. Les raisons de cette baisse sont multiples : coût de la vie élevé, difficulté à équilibrer vie professionnelle et vie familiale, et changements dans les attentes personnelles.

Des défis pour la ville

Cette nouvelle réalité présente des défis pour Barcelone. Avec moins d’enfants et plus de chiens, la ville doit repenser son urbanisme. Les besoins en espaces verts pour les animaux, les services de garde pour chiens et même les logements doivent être réévalués. Cette transformation influence non seulement la manière dont les quartiers sont conçus, mais aussi comment les habitants interagissent entre eux.

Un avenir à réinventer

En somme, Barcelone se réinvente autour de ses nouvelles priorités. L’augmentation de la population canine et la baisse de la natalité reflètent un changement dans la société, où les citadins privilégient de plus en plus la compagnie des animaux de compagnie. Ce phénomène ouvre de nouvelles opportunités, mais également des défis pour l’avenir de la coexistence dans cette ville dynamique.

Une race ancienne et méconnue : Le chihuahua, la plus petite des races de chiens reconnues par l’AKC, est souvent mal compris. Contrairement à l’image d’un chien frêle et bruyant qui se contente de rester sur les genoux de son maître, cet animal est robuste et dynamique. Kyle Potts, ancienne présidente du Chihuahua Club of America, souligne que ces petits chiens sont en réalité des compagnons actifs et en bonne santé, prêts à participer à des activités comme l’agilité ou le camping en famille.

Origines mystérieuses et légendes aztèques

L’origine exacte du chihuahua est sujette à débat. La plupart des experts s’accordent à dire que la race vient probablement du Mexique. Cependant, certains pensent qu’elle pourrait avoir été amenée d’Asie par les conquistadors espagnols, ou même qu’elle aurait des ancêtres chinois. Selon l’historien William Miller, les Toltecs et plus tard les Aztèques possédaient des chiens similaires au chihuahua. Ces chiens étaient vénérés, et l’on croyait qu’ils guidaient les âmes des nobles défunts vers l’au-delà. Les Aztèques considéraient ces animaux comme essentiels dans les rites funéraires.

Les chihuahuas aux États-Unis : une ascension rapide

L’intérêt pour les chihuahuas a commencé à croître aux États-Unis au XIXe siècle. En 1888, James Watson et Owen Wister importèrent les premiers spécimens en Amérique, contribuant ainsi à l’émergence des lignées célèbres. L’AKC a reconnu la race en 1904, avec le premier chihuahua enregistré nommé « Midget ». À partir de ce moment, la popularité du chihuahua n’a cessé d’augmenter, avec des champions comme « Beppie » et des éleveurs renommés tels qu’Anna B. Vinyard, qui ont contribué à la reconnaissance officielle de la race.

Séparation en variétés et reconnaissance moderne

En 1952, la race a été officiellement divisée en deux variétés : à poil long et à poil court. Le chihuahua à poil lisse est devenu particulièrement populaire comme animal de compagnie. Cette année-là, le chihuahua à poil lisse, Gretchen de Ch. Attas, a remporté le premier prix du Meilleur de l’exposition, marquant une étape importante pour la race. Cette race a continué à gagner en popularité, notamment grâce à des célébrités comme le chef d’orchestre Xavier Cugat et son apparition dans des films comme « Beverly Hills Chihuahua » et « Legally Blonde ».

Aujourd’hui, les chihuahuas sont non seulement des animaux de compagnie prisés, mais ils sont également devenus des icônes culturelles, illustrant leur parcours impressionnant depuis leurs racines anciennes jusqu’à leur place dans la société moderne.

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Une balade qui tourne au cauchemar : Vanessa Chaput, une jeune mère de 24 ans vivant au Yukon, Canada, a vécu une expérience terrifiante lors d’une simple promenade avec son chien, Luna, un berger allemand; face à un ours; Ce qui devait être une sortie tranquille s’est rapidement transformé en une lutte pour sa survie lorsqu’elle s’est retrouvée face à quatre ours sur un sentier à Haines Junction. Trois ours l’ont encerclée, tandis qu’un quatrième, plus petit, se trouvait derrière elle. Dans un acte de bravoure incroyable, Luna a réussi à repousser deux des ours, permettant ainsi à Vanessa de tenter de se défendre.

Une attaque violente et une survie miraculeuse

L’un des ours a attaqué Vanessa, la mordant à la tête et lui causant de graves blessures. « Je me sentais comme une poupée de chiffon », a-t-elle confié. Malgré la violence de l’attaque, Vanessa est restée concentrée sur sa famille, déterminée à survivre pour sa fille et son conjoint. Elle attribue sa survie à une pince à cheveux qu’elle portait, qui aurait éclaté dans la gueule de l’ours, provoquant sa fuite. Vanessa s’est ensuite abritée derrière un arbre, tandis que Luna, en aboyant, a effrayé l’ours et empêché une nouvelle attaque.

Des secours rapides et des blessures graves

Après s’être échappée, Vanessa a réussi à rejoindre l’autoroute où elle a contacté son conjoint et les secours à l’aide de sa montre intelligente. Elle a été transportée à l’hôpital où elle a passé dix jours, recevant plus de trente points de suture et soignant un bras cassé. Les agents de conservation du Yukon sont intervenus rapidement après l’incident, euthanasiant un ours sur place par mesure de sécurité publique et évacuant un camp voisin. Deux autres ours ont également été retrouvés et euthanasiés, tandis que des recherches se poursuivent pour localiser le quatrième.

Soutien massif sur les réseaux sociaux

Vanessa a reçu un immense soutien sur les réseaux sociaux après son épreuve. Sur Facebook, elle a exprimé sa gratitude envers tous ceux qui l’ont soutenue, en particulier les équipes médicales et les agents qui l’ont aidée. Elle a aussi souligné l’importance des connaissances sur la gestion des rencontres avec les ours et a salué le rôle crucial de Luna dans sa survie. En dépit de ses blessures, Vanessa se dit incroyablement chanceuse d’avoir survécu et remercie Dieu pour cette protection miraculeuse.

Des activités pour chiens au cœur de l’événement : Ce dimanche matin, la ville de Coruña a accueilli une foule enthousiaste pour la deuxième et dernière édition de l’événement Cancoruña, organisé dans le cadre du programme « Coruña en Forma » par la mairie. Cet événement a mis les chiens au centre de l’attention, offrant une expérience unique aux participants et leurs compagnons à quatre pattes.

Les chiens ont été les véritables vedettes de cette fête, où ils ont eu l’occasion de s’initier à des activités ludiques, y compris leurs premières « danses ». Selon les organisateurs, ces activités ont pour but de renforcer le lien entre les maîtres et leurs animaux, tout en les aidant à se socialiser. « Cela permet aux chiens de s’habituer aux bruits, aux mouvements et à l’environnement qui les entoure, tout en renforçant leur connexion avec leurs propriétaires », ont-ils expliqué.

Un événement pour sensibiliser et éduquer

L’organisation de Cancoruña ne se limite pas à l’amusement. Les responsables de l’événement ont souligné l’importance de profiter de ces moments pour éduquer le public sur la manière de bien s’occuper de leurs chiens. « Nous sommes ravis de voir autant de personnes venir s’amuser avec leurs chiens », ont-ils déclaré, ajoutant que ces activités conjointes sont essentielles pour créer un bon lien entre les animaux et leurs maîtres.

En plus de l’aspect ludique, l’événement vise à promouvoir une meilleure compréhension du comportement canin et l’importance d’une bonne éducation des chiens. Cette sensibilisation est cruciale pour améliorer la qualité de vie des animaux et faciliter leur intégration dans divers environnements.

Préparation pour les futures activités

L’événement de ce dimanche marque la fin des activités estivales de Cancoruña, mais ce n’est qu’un début. Les organisateurs préparent déjà un nouveau programme pour le dernier trimestre de l’année, avec des cours spécialement conçus pour continuer à éduquer et sensibiliser le public. « Nous espérons que les participants d’aujourd’hui seront nombreux à s’inscrire à nos futures sessions, car nous sommes convaincus de la valeur du contenu que nous proposerons », ont-ils conclu.

Ainsi, Cancoruña s’affirme non seulement comme un moment de partage et de plaisir, mais aussi comme une initiative éducative essentielle pour tous les propriétaires de chiens de la région.

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Une famille en deuil après un voyage tragique en avion : Une famille de l’Oregon a été profondément affectée par la mort de leur chien, Frank, un bouledogue français de quatre ans, lors d’un vol d’Alaska Airlines depuis Hawaï. Le drame s’est déroulé alors que la famille, impatiente de commencer une nouvelle vie en Oregon, quittait Honolulu avec leurs deux chiens, Frank et Fawn, un Beagle-Chihuahua de 15 ans.

Arrivés à l’aéroport Daniel K. Inouye, les températures extérieures dépassaient les 27 degrés Celsius, mettant à rude épreuve les animaux confinés dans leurs cages. Inquiets pour le bien-être de leurs compagnons, les Engelgau ont demandé au personnel de l’aéroport s’ils pouvaient sortir les chiens pour leur donner de l’air frais et de l’eau. Leur demande a été refusée, malgré la détresse évidente de Frank.

Des tentatives désespérées pour sauver Frank

Alors qu’ils attendaient leur vol à la porte d’embarquement, les Engelgau ont vu Frank haleter de manière alarmante. Désemparés, ils ont discrètement sorti les chiens de leurs cages pendant environ 40 minutes, leur donnant de l’eau et les plaçant à l’ombre. Malheureusement, cela n’a pas suffi à améliorer l’état de Frank. Une fois à bord de l’avion, la famille a de nouveau demandé à sortir Frank de sa cage, mais la politique stricte d’Alaska Airlines l’interdisait.

Malgré leurs efforts pour rafraîchir Frank avec de la glace, le chien n’a pas survécu. Gary Engelgau, le propriétaire, a découvert que Frank ne bougeait plus lorsqu’il l’a sorti de sa cage, ses yeux restant ouverts, signe tragique que la vie l’avait quitté.

Un appel au changement

La mort de Frank a profondément marqué ses propriétaires, en particulier Angie, qui a exprimé sa colère et sa tristesse face aux règles rigides des compagnies aériennes concernant les animaux. Elle appelle désormais à un changement des politiques pour protéger les animaux lors des voyages en avion. Angie souhaite qu’une législation soit mise en place pour permettre aux chiens de sortir de leur cage dans des situations d’urgence comme celle-ci, afin de leur donner une chance de survivre.

Alaska Airlines, dans un communiqué, a exprimé sa tristesse face à la perte de l’animal et a affirmé avoir suivi les protocoles en vigueur concernant les animaux de compagnie. Cependant, pour la famille Engelgau, cela ne suffit pas. Ils espèrent que leur histoire tragique conduira à des réformes qui empêcheront d’autres familles de vivre une expérience similaire.

Les risques pour les animaux en vol

Bien que les décès d’animaux de compagnie en avion soient rares, ils ne sont pas inexistants. Entre 2015 et 2020, 112 décès d’animaux ont été rapportés par les compagnies aériennes, avec une majorité des incidents survenus sur des vols de United Airlines. Ce drame met en lumière la nécessité de revoir les politiques de transport d’animaux pour assurer leur sécurité et leur bien-être pendant les voyages aériens.

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Chaque année, en Nouvelle-Zélande, un événement de chasse controversé permet aux enfants et aux adultes de traquer des chats sauvages pour gagner de l’argent, suscitant des réactions vives à travers le pays. Cette année, près de 400 chats ont été tués lors de cet événement très contesté.

Il y a eu cette année 1’500 personnes qui ont participé, dont 440 sous l’âge de 14 ans.

L’enfant qui aura chassé le plus de chats sauvages gagne un prix de 400 NZD.

Une tradition contestée

La compétition annuelle, qui inclut également la chasse au cerf, au cochon, au canard, à l’opossum et au lapin, cible principalement la grande population de chats sauvages de la Nouvelle-Zélande. L’organisateur de l’événement, Matt Bailey, défend la tradition en qualifiant les chats sauvages de Nouvelle-Zélande de « possédés par le diable » en raison de leur impact sur la biodiversité locale.

Défense et récolte

Malgré les critiques, Bailey a souligné que l’événement génère des fonds importants pour des initiatives locales telles qu’une école et une piscine communautaire, tout en fournissant du gibier pour les banques alimentaires locales. L’événement a débuté comme une chasse locale au sanglier mais a élargi son périmètre à la traque aux chats à mesure que leur nombre augmentait.

Sécurité et opposition

Pour éviter tout impact sur les animaux domestiques, des mesures de sécurité strictes sont mises en place, notamment l’utilisation de pièges pour capturer les chats avant leur abattage par un fusil de calibre 22. Cependant, des affrontements entre manifestants et participants ont éclaté, certains manifestants affirmant avoir été attaqués par des jets de pierres lancés par des enfants participants.

Alternatives et controverses

Les groupes d’opposition comme l’Animal Justice Party prônent des méthodes alternatives pour gérer la population de chats, telles que la capture et la stérilisation pour éviter la prolifération non contrôlée et l’abandon. Ils soulignent que la conservation des oiseaux et la protection de la faune sauvage exigent une gestion plus responsable des animaux domestiques.

En conclusion, bien que cet événement continue de diviser l’opinion publique, il soulève des questions importantes sur la gestion de la faune et les pratiques de chasse en Nouvelle-Zélande. Les débats se poursuivent sur la nécessité de trouver un équilibre entre la conservation de la biodiversité et les traditions locales de chasse.

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La ville de Houston fait face à une grave pénurie d’électricité suite au passage de l’ouragan Beryl, mettant en danger la santé de nombreux chiens carlin dans la région.

Dévastation et pannes de courant

Après le passage de l’ouragan Beryl au Texas, de nombreuses zones, y compris Houston, ont été sévèrement touchées par des coupures de courant prolongées. Pendant trois jours, les habitants ont dû faire face à des températures caniculaires dépassant les 38 degrés Celsius, sans accès à la climatisation.

Impact sur les chiens carlin

La responsable de de l’association Pug Hearts Houston, a exprimé de vives inquiétudes concernant les chiens carlin. En raison de leurs voies respiratoires brachycéphales, ces chiens sont particulièrement vulnérables aux températures élevées. Ils sont incapables de se rafraîchir efficacement par le halètement, ce qui peut entraîner des complications respiratoires graves, voire un coup de chaleur.

Réponse communautaire et conseils

Face à cette situation critique, il est recommandé aux propriétaires de chiens d’utiliser des ventilateurs et de placer des glaçons devant ceux-ci pour diffuser de l’air frais autour de leurs animaux. Cependant, il est important de ne jamais utiliser de glace directement sur un chien en surchauffe, pour éviter tout choc thermique.

Témoignage de la communauté

Cela fait de nombreuses années que Houston n’a connu un pareil ouragan comme Beryl. Particulièrement destructeur avec des vents violents ayant causé de nombreux dégâts matériels. Malgré les défis, elle et sa communauté de sauvetage d’animaux se mobilisent pour soutenir ceux affectés par les pannes de courant, en fournissant notamment des générateurs pour partager l’électricité disponible.

Solidarité et soutien

Actuellement, Pug Hearts Houston abrite dix chiens carlin, dont certains sont en famille d’accueil pendant que leurs propriétaires attendent le rétablissement de l’électricité. L’organisation a également reçu plusieurs appels concernant des chiens carlin perdus pendant la tempête, offrant un refuge et des soins jusqu’à ce que leurs propriétaires soient retrouvés.

En bref

La situation à Houston souligne l’importance cruciale de préparer et de protéger les animaux domestiques lors des catastrophes naturelles. Avec des températures extrêmes exacerbées par les pannes de courant, il est essentiel que la communauté se serre les coudes pour assurer le bien-être de tous, y compris de nos amis à quatre pattes vulnérables comme les chiens carlin.

Découverte inquiétante au parc Kempton : Les propriétaires de chiens du nord de Cork ont récemment alerté leurs voisins sur les réseaux sociaux après avoir découvert de l’eau de Javel répandue dans leur parc local, le parc Kempton. Ce geste semble viser délibérément les animaux de compagnie. Les résidents de Ballyvolane ont remarqué une forte odeur d’eau de Javel en se promenant, ce qui les a poussés à enquêter davantage.

Témoignages des résidents

Plusieurs habitants de Cork ont signalé avoir vu une personne suspecte se promener dans le parc avec une bouteille, répandant le liquide le long des sentiers populaires. Le parc Kempton est un lieu fréquenté par les propriétaires de chiens, notamment tôt le matin ou après le travail. Les chiens, souvent laissés en liberté, risquent de s’exposer à l’eau de Javel, ce qui peut avoir des conséquences graves.

Risques pour les chiens

L’eau de Javel représente un danger considérable pour les chiens. Son odeur chimique peut attirer les animaux, augmentant le risque qu’ils l’ingèrent ou qu’elle entre en contact avec leur peau ou leur fourrure. Cela peut provoquer des brûlures chimiques, des dommages aux yeux, voire la cécité, et être potentiellement mortel s’ils l’ingèrent.

Réactions et actions locales

Les résidents ont signalé ce problème aux conseillers municipaux et ont contacté la police. Cork Beo, un média local, a également sollicité des commentaires des autorités. Cette situation n’est malheureusement pas la première du genre. En juin, un propriétaire de chien a dû emmener son animal chez le vétérinaire après qu’il a consommé de petits os cachés dans l’herbe haute du parc.

Précédents incidents

Selon le Veterinary Emergency Group, les os de poulet peuvent être extrêmement dangereux pour les chiens. Ils peuvent provoquer des étouffements ou se fragmenter en éclats pointus, causant des perforations dans l’œsophage, l’estomac ou les intestins. Heureusement, le chien qui a mangé les os cachés s’est bien rétabli, mais ce genre d’incident pourrait avoir des conséquences fatales pour d’autres animaux.

Les propriétaires de chiens de Cork sont donc appelés à la vigilance lorsqu’ils se rendent au parc Kempton. En attendant que la situation soit résolue, il est conseillé de garder un œil attentif sur leurs animaux et de signaler toute activité suspecte aux autorités.

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Une menace croissante pour les chiens : Les habitants de l’ouest de Toronto sont en alerte après plusieurs attaques de coyotes sur des chiens. Daniel Noble et son chien ont vécu une expérience traumatisante lors d’une promenade au parc Princess Margaret, près de Kipling Avenue et Rathburn Road, lorsqu’ils ont été pourchassés par une meute de huit coyotes. Noble raconte avec effroi comment six coyotes ont attrapé son chien et ont essayé de l’entraîner dans les bois.

La ville réagit, mais les inquiétudes persistent

La ville de Toronto est consciente de ces attaques et mène une enquête. Des panneaux d’avertissement sont en cours d’installation dans le parc, mais beaucoup de ces panneaux sont des initiatives des résidents eux-mêmes. Des bandes de mise en garde ont également été placées à certains points d’entrée forestiers. Les propriétaires de chiens sont invités à tenir leurs animaux en laisse pour éviter d’autres incidents.

Témoignages des résidents

Henry, le chien de Daniel Noble, était en laisse et ne transportait aucune nourriture lorsque l’attaque a eu lieu. Doug Youngson raconte une rencontre similaire où son chien Kahlua a été encerclé par des coyotes. Malgré ses efforts, Kahlua a été sévèrement blessé et les frais médicaux se sont élevés à environ 20 000 $. Youngson souligne que tous les propriétaires de chiens n’ont pas les moyens de couvrir de tels frais et craint pour la sécurité de la communauté si la situation n’est pas maîtrisée.

Conseils et mesures de prévention

La ville a intensifié ses efforts pour informer le public sur la façon de réagir face à un coyote. Il est recommandé de se faire paraître grand et imposant, de faire du bruit et d’utiliser des objets comme des bâtons ou des sacs en plastique pour effrayer les coyotes. La ville conseille également de ramasser les petits chiens ou de les tenir en laisse courte en cas de rencontre avec un coyote.

La nécessité d’une action urgente

Les attaques de coyotes à Toronto ont mis en lumière la nécessité d’une action immédiate pour protéger les résidents et leurs animaux de compagnie. Les experts, comme Dennis Murray, recommandent d’engager des trappeurs pour retirer les coyotes agressifs de la zone. La situation actuelle est un rappel urgent de l’importance de la sécurité publique face à la faune.

En bref

Les résidents de l’ouest de Toronto demandent des mesures plus fortes pour gérer les attaques de coyotes et protéger leurs chiens. La ville continue de travailler sur des solutions par le biais de l’éducation et du soutien communautaire. Les autorités doivent prendre des mesures rapides et efficaces pour garantir la sécurité des résidents et de leurs animaux, en évitant que de telles tragédies ne se reproduisent.