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Règles strictes pour les races de chiens en Angleterre

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En Angleterre, de nouvelles règles encadrent certaines races de chiens pour limiter les attaques. Pourtant, les mesures en place ne semblent pas suffire à enrayer la montée des incidents, notamment impliquant les XL Bullies. Ce débat met en lumière des responsabilités partagées entre propriétaires, autorités et éducateurs canins.

Une hausse inquiétante des attaques

Depuis février 2024, le Royaume-Uni a enregistré une augmentation des attaques mortelles de chiens. Dix personnes ont perdu la vie, dont cinq victimes de XL Bullies. Cela dépasse les chiffres de 2023, où neuf décès avaient été recensés. Malgré l’interdiction de posséder un XL Bully sans certificat d’exemption, des incidents tragiques continuent de se produire.

Ces chiffres soulignent l’échec des politiques actuelles. Des groupes communautaires rapportent régulièrement des agressions, mais ces signalements restent souvent informels et éparpillés. Une famille en deuil a exprimé son désarroi face à l’absence de collecte systématique des données par les autorités.

Les lacunes dans l’application des lois

Les critiques pointent du doigt des lois insuffisamment appliquées. Certains propriétaires ne respectent pas les règles, comme l’obligation de museler les chiens en public. De plus, il n’existe aucun suivi lorsque les chiens changent de foyer. Selon des témoignages, les contrôles interviennent souvent après une attaque, lorsqu’il est déjà trop tard.

Une des victimes, désormais traumatisée, a expliqué : «Je n’ai jamais eu peur des chiens auparavant, mais aujourd’hui, c’est le cas. Je blâme les propriétaires et leur mauvais dressage.»

Une responsabilité partagée

Les experts s’accordent à dire que le problème ne vient pas des chiens eux-mêmes, mais de leur éducation. Beaucoup demandent des programmes de formation pour les propriétaires et des contrôles plus stricts sur le comportement des chiens jugés dangereux. Ces mesures pourraient prévenir les incidents plutôt que d’intervenir après coup.

Vers une solution durable

Si les lois actuelles visent à protéger le public, elles doivent être renforcées par une approche proactive. Une meilleure éducation des propriétaires, des contrôles rigoureux et une collecte de données efficace pourraient réduire ces tragédies. La clé réside dans une coopération entre autorités, experts et communautés pour garantir la sécurité de tous.

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Tests militaires sur chiens : enquête en vue

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Des chiens utilisés dans des expériences militaires : Un scandale secoue actuellement le ministère de la Défense des États-Unis. Un rapport récent a révélé que des chiens et des chats ont été utilisés dans des tests douloureux, financés par plus de 57 millions de dollars d’argent public. Ces expériences, menées sous contrat avec l’armée américaine, ont provoqué un fort sentiment de révolte chez les défenseurs des animaux, ainsi que chez de nombreux citoyens.

Les images publiées par des associations montrent des chiens subissant des procédures invasives, parfois sans réel suivi médical ni bénéfice clair pour les militaires. Ce scandale remet en question l’utilité, l’éthique et la transparence de ces projets, en particulier dans un contexte où des méthodes alternatives existent.

Une enquête promise par le secrétaire à la Défense

Le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, a affirmé qu’il n’était pas au courant de ces contrats, mais qu’il allait lancer une enquête complète. Il souhaite vérifier si ces expériences respectent les directives établies et envisager une possible interdiction de nouveaux tests impliquant des chiens ou des chats.

Il s’est également engagé à étudier les propositions de loi qui pourraient limiter ou interdire définitivement ce type de pratiques, sauf autorisation directe du secrétaire à la Défense.

Appel à des méthodes alternatives

Les associations de protection animale rappellent qu’il existe aujourd’hui des solutions plus éthiques, comme la modélisation informatique ou les simulateurs de tissus, qui permettent de reproduire des réactions biologiques sans faire souffrir d’animaux.

Elles dénoncent le caractère cruel et dépassé de ces tests, ainsi que leur inefficacité. Plusieurs élus partagent cette opinion et demandent que l’argent des contribuables soit utilisé de manière responsable et respectueuse du vivant.

Vers la fin des tests sur les chiens ?

Cette affaire a remis sur le devant de la scène le traitement réservé aux chiens dans la recherche militaire. Pour beaucoup, ces animaux ne sont pas des outils, mais des compagnons fidèles qui méritent d’être protégés. Le débat s’annonce intense au sein du Congrès, où certains espèrent une interdiction totale de ce type d’expériences.

En attendant les résultats de l’enquête, la pression monte sur Pete Hegseth pour qu’il prenne des mesures concrètes. Ce scandale pourrait bien marquer un tournant historique dans la défense du bien-être animal, notamment pour nos amis les chiens, qui, dans un autre contexte, servent courageusement aux côtés des soldats sur le terrain.

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Chiens de race ou chiens de refuge ?

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Le choix du prince William relance le débat : Le prince William et la princesse Kate ont récemment partagé une photo avec leur chienne Orla et ses chiots. Cette image mignonne, prise pour les 43 ans du prince, a provoqué une vive réaction, notamment de la part de l’association de défense des animaux PETA; Selon eux, laisser une chienne de race avoir des petits alors que les refuges sont pleins serait un mauvais exemple. Pourtant, ce débat ne date pas d’hier : faut-il adopter un chien de refuge ou acheter un chien de race ?

Une décision personnelle qui divise

Beaucoup de familles choisissent des chiens de race pour des raisons de sécurité, de caractère ou de santé. C’est le cas de Charlotte, une maman célibataire avec deux jeunes enfants. Elle a acheté Muggles, un golden retriever, chez un éleveur certifié. Elle voulait un chien prévisible, calme et sociable, sans passé traumatique. Elle admet que certains chiens de refuge peuvent être adorables, mais elle a aussi vécu de mauvaises expériences : morsures, chiens qui s’enfuient ou qui réagissent mal à certaines situations.

Le traumatisme des chiens abandonnés

Charlotte reconnaît que les chiens des refuges ont souvent souffert. Ils peuvent avoir des problèmes de comportement dus à la maltraitance ou à l’abandon. Certains ne supportent pas les enfants, d’autres sont anxieux ou ont peur des hommes. Même si elle respecte les gens qui adoptent, elle préfère un chien dont elle connaît l’origine et le tempérament.

Un amour sincère, quelle que soit l’origine

Tout chien mérite d’être aimé, qu’il soit de race ou non. L’important est de faire un choix adapté à son mode de vie. Un chien de refuge demande parfois plus de patience, de soins et d’attention, ce qui n’est pas toujours possible pour tout le monde. Mais qu’il soit acheté ou adopté, un chien reste un compagnon fidèle et précieux, qui apportera joie, rires… et parfois quelques bêtises.

Conclusion : le débat entre chien de race et chien de refuge ne doit pas opposer les amoureux des animaux. Chaque histoire est unique, et le plus important reste l’amour, le respect et l’engagement envers l’animal.

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Voter pour le futur maire félin de Coronado

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Une élection originale pour une belle cause : À Coronado, l’association PAWS (Pacific Animal Welfare Society) lance une campagne pleine d’humour et de tendresse : élire le prochain directeur félin de la ville des chats. Cet événement amusant est l’occasion parfaite pour renforcer le lien entre les habitants et leurs animaux, tout en soutenant une cause sérieuse : le bien-être animal.

Les candidats sont sept chats, chacun avec une personnalité unique, prêts à assumer leur rôle symbolique dans cette aventure communautaire. Le ou la gagnante deviendra ambassadeur félin aux côtés de Valkyrie, la chienne maire de Coronado, et du Conseil canin local.

Des chats aux talents variés

Voici les candidats au poste de Cat City Manager :

  • Ash : ténébreux et charismatique, il fait équipe avec Frost.
  • Frost : inséparable d’Ash, ils forment un duo dynamique.
  • Cindy Lou : douce et engagée, elle veut fédérer la communauté.
  • Gary : protecteur, il se présente comme le « gardien » du peuple félin.
  • Henri VI : mystérieux et intelligent, il « sait des choses »…
  • Katniss : combative et courageuse, elle veut défendre les droits des chats.
  • Chaton : rêveur et ambitieux, il promet une ville meilleure pour tous.

Voter et soutenir PAWS

Chaque vote est une donation pour soutenir les actions de PAWS of Coronado. En votant pour votre candidat préféré avant le lundi 14 juillet à 19 h, vous contribuez directement à l’adoption, la réhabilitation et la protection des animaux de la ville.

Les fonds récoltés serviront à trouver des foyers aimants pour les chiens et les chats abandonnés, à améliorer les soins vétérinaires, et à sensibiliser la population au respect des animaux.

ne association engagée depuis 2003

Depuis sa fondation par Dorothy « Louise » Shirley, PAWS of Coronado agit pour que chaque animal ait une seconde chance dans un foyer sûr. Grâce à des initiatives créatives comme cette élection, PAWS mobilise la communauté tout en mettant en avant les valeurs de compassion, de respect et de solidarité envers nos compagnons à quatre pattes.

Participez à cette belle aventure

Prendre part à cet événement unique, voter, partager et soutenir les actions de PAWS ! C’est l’occasion d’unir amusement, engagement citoyen et amour des animaux.

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Agir pour les chiens : mettre fin à l’horreur au Vietnam

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Une réalité insoutenable pour des millions de chiens : Au Vietnam, chaque année, environ 5 millions de chiens sont tués pour leur viande. Cela signifie qu’environ 13 000 chiens meurent chaque jour dans des conditions particulièrement cruelles : battus à mort, pendus, saignés vivants ou ébouillantés. Beaucoup sont des chiens de compagnie volés, enfermés sans eau ni nourriture pendant plusieurs jours, entassés dans des cages rouillées et surchauffées.

Ces pratiques ne sont pas seulement violentes, elles sont aussi profondément choquantes pour le public. Pourtant, elles continuent en toute impunité, malgré l’opposition massive à ce commerce inhumain, tant au Vietnam qu’à l’étranger.

Les chats aussi victimes de ce commerce cruel

Le sort des chats n’est pas plus enviable : environ un million d’entre eux sont également capturés et tués chaque année pour la consommation humaine. Le traitement qu’ils subissent est tout aussi barbare. Ces animaux, souvent des animaux de compagnie, sont condamnés à mourir dans la douleur, pour une pratique que la majorité des Vietnamiens eux-mêmes ne considèrent pas comme faisant partie de leur culture.

Une mobilisation qui stagne à Los Angeles

À Los Angeles, le conseil municipal a adopté en 2019 une résolution s’opposant à la viande de chien. Un projet a même été proposé : jumeler la ville avec Hanoï, à condition que cette dernière interdise la viande de chien et de chat. Ce projet aurait pu être une avancée majeure dans la lutte contre ces pratiques. Mais la maire Karen Bass a bloqué l’initiative, malgré un soutien public très fort : plus de 34 000 signatures, 2 900 commentaires positifs, et l’appui de plusieurs conseils de quartier.

Aucune explication n’a été donnée pour ce blocage. Pendant ce temps, des milliers d’animaux meurent chaque jour.

Un appel à Donald Trump pour agir

Face à l’inaction locale et à l’indifférence du président Biden, des défenseurs des animaux se tournent vers l’ancien président Donald Trump. En tant que signataire de la loi interdisant la viande de chien et de chat aux États-Unis, il est appelé à user de son influence pour exiger que le Vietnam mette fin à ce commerce barbare.

Les demandes sont claires :

  • Appeler le Vietnam à interdire ce commerce ;
  • Inclure le bien-être animal dans les accords commerciaux ;
  • Dénoncer publiquement les élus qui s’opposent à ces mesures.

L’opinion publique vietnamienne soutient le changement

Des sondages récents révèlent que 68 % des Vietnamiens sont favorables à l’interdiction de la viande de chien, et 71 % pour celle du chat. Mieux encore, 95 % affirment que cette pratique n’est pas une partie de leur culture. Le moment est donc propice pour agir et obtenir un vrai changement.

Pour une action rapide et décisive

Chaque jour, 13 000 chiens et 2 700 chats meurent dans l’indifférence. Les défenseurs du bien-être animal demandent à Donald Trump de faire ce que d’autres n’ont pas fait : exiger du Vietnam la fin de ces pratiques inhumaines, et faire de cette cause un symbole de justice, de compassion et d’humanité.

Car sauver les chiens et chats du Vietnam, c’est sauver une part de notre humanité.

Signé : Jeff Mausner

https://www.citywatchla.com/animal-watch/31143-ignored-by-biden-and-bass-a-plea-to-president-trump-to-end-the-dog-cat-cruelty-in-vietnam


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Polémique à Londres : louer un appart… et garder les chats !

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Un loyer élevé pour une « mission spéciale » : À Londres, une annonce immobilière a fait grand bruit sur les réseaux sociaux, notamment sur Reddit. Publiée sur le site SpareRoom, la proposition concernait un appartement d’une chambre situé dans le quartier de Surrey Quays, avec balcon, bien desservi et décrit comme « moderne et confortable ».

Mais ce qui a réellement choqué les internautes, ce n’est ni le prix de 2 200 £ par mois, ni la taille de l’appartement, mais une clause étonnante dans l’annonce : le locataire devra s’occuper de deux chats pendant toute la durée de son séjour.

Une demande jugée absurde par les habitants de Londres

De nombreux utilisateurs de Reddit ont réagi à cette annonce avec étonnement et ironie. Certains ont résumé la situation ainsi :
« Payez-moi pour garder MES chats ».
Selon eux, ce n’est rien d’autre que faire payer un service de garde d’animaux… à celui qui le rend.

Un internaute a même comparé cela à Airbnb, en disant que ce type de demande n’aurait jamais été accepté sur une plateforme classique de location courte durée. Un autre a estimé que le propriétaire aurait dû proposer une réduction de loyer ou rémunérer directement une personne pour s’occuper de ses animaux.

Et si c’était des chiens ?

Si la même annonce avait concerné des chiens, la réaction aurait probablement été encore plus vive. Les chiens, souvent plus exigeants en attention, promenades et soins quotidiens, demandent un réel investissement. Il serait injuste de faire peser cette responsabilité sur un locataire, sans contrepartie.

Garder un chien implique une organisation quotidienne, une attention constante à son bien-être, et surtout, du temps. Beaucoup de propriétaires paient des dog-sitters pour ces services. Faire l’inverse – faire payer quelqu’un pour s’occuper de son propre chien – paraîtrait totalement incohérent.

Une tendance inquiétante ?

Ce type d’annonce révèle aussi une tendance croissante : les propriétaires cherchent à cumuler les avantages, sans prendre en compte l’effort réel demandé. Que ce soit pour un chat ou un chien, prendre soin d’un animal est un engagement, pas une clause légère à glisser dans un contrat de location.

Les animaux ne sont pas des objets de décoration. Ils méritent des soins, de l’attention, et du respect. Il serait plus logique que le propriétaire cherche un gardien de confiance, ou paie un service adapté, plutôt que de faire passer sa responsabilité sur un locataire… tout en demandant un loyer élevé.

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Philippines: Vers une loi plus ferme contre la cruauté animale

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Un projet de loi pour mieux protéger les animaux : Aux Philippines, un député du Congrès, Brian Poe, s’engage pour la cause animale. Il propose une nouvelle loi pour mieux protéger les animaux, en particulier les chiens, souvent victimes de mauvais traitements. Cette initiative vise à renforcer la législation actuelle, qui date de 1998 et qui, malgré une modification en 2013, reste jugée insuffisante.

Son projet, la loi HB n° 1746, vise à moderniser les règles de protection animale dans tout le pays. Poe souhaite créer un Bureau de la protection des animaux, qui serait rattaché au ministère de l’Agriculture. Ce bureau aurait pour mission de faire appliquer efficacement les lois, de coordonner les interventions et de fixer des normes claires pour le bien-être animal, selon le type d’animal (chien, chat, animaux de ferme, de travail, etc.).

Des sanctions plus sévères pour les actes de cruauté

Le projet de loi prévoit des peines plus lourdes pour ceux qui maltraitent les animaux. Par exemple, les personnes reconnues coupables de cruauté, de torture ou de mauvais traitements pourraient aller jusqu’à quatre ans en prison, et recevoir une amende allant jusqu’à 250 000 pesos philippins.

Ces sanctions visent à dissuader les actes de violence, comme les combats de chiens, le trafic de viande de chien, ou encore l’abandon ou la négligence. Brian Poe insiste : aucune justification culturelle ou économique ne doit servir d’excuse pour faire souffrir un animal.

Une protection spécifique pour les chiens et animaux de compagnie

Le projet de loi interdit clairement de tuer des animaux de compagnie comme les chiens ou les chats. Seuls les animaux élevés pour la consommation (comme les porcs ou les poulets) peuvent être abattus, dans des conditions bien précises. Cette règle met fin à certaines pratiques cruelles encore tolérées, notamment dans le cadre du commerce de viande de chien.

La loi stipule aussi que toute personne doit fournir à son animal de la nourriture, de l’eau, un abri et des soins médicaux, sous peine de sanctions. Cela concerne directement les propriétaires de chiens, qui doivent assurer le bien-être quotidien de leur compagnon.

Une prise de conscience nécessaire

En défendant ce projet, Brian Poe veut montrer que la protection animale est une responsabilité collective. Les chiens, souvent considérés comme des membres à part entière de la famille, méritent un traitement digne et respectueux. Ce projet de loi vise à changer les mentalités, à éduquer le public, et à rappeler que la violence envers un animal est un crime, pas un simple écart de comportement.

Avec cette proposition, les Philippines pourraient faire un grand pas en avant pour défendre les droits des chiens et des autres animaux contre la cruauté, l’exploitation et l’indifférence.

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Singapour, acte obscène sur un chat : choc et mesures

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Un comportement grave envers un animal sans défense : À Singapour, un jeune homme de 20 ans a été condamné à 18 mois de probation après avoir été surpris en train de commettre un acte obscène sur le chat de son voisin. L’animal, heureusement, n’a pas été blessé, mais l’affaire a profondément choqué l’opinion publique, relançant le débat sur la protection des animaux et la responsabilité morale de chacun envers eux.

Le jeune homme a été filmé par une caméra de vidéosurveillance, dans un espace public près de son immeuble, alors qu’il s’en prenait au chat. L’animal appartenait à un voisin qui le laissait se promener librement dans le quartier. Après la diffusion des images, la police a été alertée et a arrêté le délinquant dans la journée.

Une sanction accompagnée de suivi

La peine de probation impose au jeune homme un couvre-feu nocturne de 22h à 6h et 70 heures de travaux d’intérêt général. De plus, il doit suivre une intervention spécifique liée à son comportement sexuel déviant, encadrée par des professionnels. Sa mère a dû verser une caution de 5 000 dollars singapouriens pour garantir sa bonne conduite pendant la durée de la peine.

En plus de cet acte choquant, le jeune homme a été reconnu coupable d’autres délits, notamment de vol et d’agression, dont l’une visait un camarade de classe souffrant de troubles mentaux. Il l’intimidait à l’école, physiquement et en ligne, sans jamais être dénoncé, tant la victime était effrayée.

Une protection des animaux encore à renforcer

Cet acte ignoble rappelle à quel point les animaux, comme les chats ou les chiens, sont vulnérables face à la violence humaine. Bien qu’aucune blessure physique n’ait été constatée sur le chat, le geste reste d’une extrême cruauté, et souligne l’importance d’une législation ferme et cohérente pour punir et prévenir ce genre de comportement.

À Singapour, les cas de maltraitance animale restent nombreux, malgré le durcissement des lois depuis 2014. Entre 2019 et 2023, environ 1 200 signalements par an ont été recensés. L’affaire récente d’un autre homme ayant tué deux chats a d’ailleurs mené à une peine de prison aggravée, preuve d’une volonté croissante de dissuasion.

Et si c’était un chien ?

Si la victime avait été un chien, la réaction aurait été tout aussi vive. Les chiens, connus pour leur attachement aux humains, souffrent profondément des violences. Un acte obscène envers un chien, au-delà de l’horreur, poserait des enjeux similaires de respect, de soins, et de justice.

Cela montre que tout animal mérite une protection égale, qu’il s’agisse d’un chat, d’un chien ou d’un autre compagnon à quatre pattes. La justice de Singapour ne doit pas seulement punir, mais aussi prévenir, en sensibilisant, en éduquant et en offrant un soutien psychologique aux auteurs pour éviter la récidive.

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Cruauté animale : un tournant en Grèce

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Un acte de violence qui bouleverse l’opinion : À Thessalonique, en Grèce, un homme de 34 ans a choqué tout le pays après avoir brutalement tué un chaton dans la rue. L’homme a été filmé en train de frapper le petit animal, puis de l’écraser volontairement avec sa voiture. Cette scène insupportable a été rapidement diffusée sur les réseaux sociaux, provoquant l’indignation générale et une réaction immédiate des autorités.

Suite à cette vidéo, l’homme a été arrêté et condamné à une amende de 50 000 euros, la plus lourde peine financière jamais infligée pour maltraitance animale en Grèce. Il a cependant été remis en liberté sous caution, ce qui a déclenché une nouvelle vague de colère parmi les défenseurs des animaux.

Une réponse judiciaire controversée

Malgré la gravité des faits, le tribunal a décidé de relâcher le suspect sous conditions : interdiction de quitter le pays, présence obligatoire au commissariat trois fois par mois et versement d’une caution. L’homme, connu des services de police, a également été retrouvé en possession de drogue, d’armes et d’argent liquide, ce qui a aggravé son dossier judiciaire.

Il a tenté de se justifier en affirmant qu’il était toxicodépendant et que la mort du chat était un accident. Mais les images et les témoignages contredisent clairement ses propos. Un témoin a raconté, encore bouleversé : « Il a délibérément tué ce petit être sans défense. C’était cruel, c’était sadique. »

Les défenseurs des animaux réclament des peines plus sévères

Plusieurs associations de protection des animaux ont dénoncé la libération du suspect et demandé un renforcement immédiat des lois contre la cruauté animale. Pour elles, cette affaire prouve que les sanctions existantes sont encore insuffisantes pour dissuader les actes de violence envers les animaux.

L’avocate Anthoula Anasoglou, engagée pour les droits des animaux, a alerté : « Ce genre de comportement est dangereux. Aujourd’hui, c’est un chat, mais demain, qui peut dire qu’il ne s’en prendra pas à une personne ? »

Une avancée pour la défense du bien-être animal

Cette affaire a mis en lumière le manque de protection pour les animaux en Grèce, malgré des lois renforcées ces dernières années. La cruauté envers les animaux est désormais un crime passible de prison, mais dans la réalité, les peines sont rarement appliquées avec rigueur.

Avec plus de 30 infractions signalées récemment à Thessalonique concernant la négligence des animaux, les autorités sont sous pression pour mieux faire respecter les règles. L’amende de 50 000 euros infligée dans ce cas pourrait marquer un tournant important, en envoyant un message fort à ceux qui maltraitent les animaux, y compris les chiens, souvent victimes eux aussi de violences.

Le respect de la vie animale : un devoir collectif

Cette affaire montre que le respect des animaux est un reflet de notre société. Les chiens, tout comme les chats, dépendent de nous pour leur sécurité et leur bien-être. Les violences faites à un animal ne doivent jamais être prises à la légère, car elles révèlent souvent des comportements plus larges et inquiétants. Punir ces actes avec fermeté, c’est protéger les plus vulnérables, qu’ils soient humains ou animaux.

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Mako, ce chien élevé par des chats agit comme eux

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Un chien pas comme les autres : Il existe des chiens qui grandissent dans des environnements un peu particuliers. C’est le cas de Mako, un pitbull élevé uniquement par des chats. Voir la vidéo YouTube Contrairement aux comportements attendus chez un chien, Mako saute sur les comptoirs, les placards et même le haut du réfrigérateur, exactement comme ses compagnons félins. Ce chien semble croire qu’il est un chat, et ses habitudes étonnent autant qu’elles attendrissent. Cette histoire amusante, partagée sur YouTube, montre que le comportement d’un chien dépend largement de son environnement.

Le rôle de l’apprentissage social chez le chien

Les chiens apprennent beaucoup par imitation. Entre 2 et 9 semaines, ils traversent une période clé appelée « période de socialisation ». Durant cette phase, ils observent, imitent et s’adaptent aux comportements des autres êtres vivants autour d’eux. Si un chiot vit entouré de chats pendant cette période, il est probable qu’il les considère comme des modèles à suivre.

Cela explique pourquoi certains chiens, comme Mako, adoptent des comportements typiquement félins : dormir dans des boîtes, se frotter aux meubles ou même tenter d’utiliser une litière. Ces habitudes sont renforcées si le chiot perçoit ces comportements comme positifs et naturels.

Une amitié possible entre chien et chat

Contrairement aux clichés populaires qui présentent chiens et chats comme ennemis, la cohabitation pacifique est tout à fait possible, surtout si elle commence tôt. De nombreux foyers partagent aujourd’hui leur quotidien avec les deux espèces, souvent très complices.

Les études montrent que les chiens élevés avec des chats dès leur plus jeune âge sont plus tolérants et à l’aise avec eux. Cela dépend bien sûr aussi du tempérament du chat, mais une exposition précoce à l’autre espèce facilite largement la cohabitation.

La race ne fait pas tout

Dans cette histoire, le fait que Mako soit un pitbull peut surprendre. Cette race souffre souvent d’une mauvaise réputation liée à des préjugés sur l’agressivité. Pourtant, la race ne détermine pas la personnalité d’un chien. De nombreux pitbulls sont affectueux, doux et très proches des humains comme des autres animaux.

Avec une bonne socialisation et un environnement positif, n’importe quel chien peut devenir un excellent compagnon, même pour un chat. La relation entre Mako et ses amis félins montre bien qu’avec de l’amour et du respect, même les animaux les plus différents peuvent vivre en harmonie.

Une belle leçon d’adaptation

L’histoire de Mako est un bel exemple de l’influence du milieu sur le comportement des animaux. Ce chien prouve qu’en grandissant entouré de chats, il peut adopter leurs habitudes avec naturel. Cela rappelle à quel point il est important de socialiser les chiens dès leur plus jeune âge, et surtout, de ne pas enfermer les animaux dans des stéréotypes.

Chaque chien est unique, et avec un bon environnement, il peut s’épanouir aux côtés d’animaux très différents… même en croyant être un chat !


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Nourrir les chiens errants pour plus de sécurité

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Un projet inédit pour les chiens sans foyer : À Bengaluru, en Inde, la municipalité (Bruhat Bengaluru Mahanagara Palike BBMP) a lancé une initiative originale : nourrir les chiens errants avec des repas riches et équilibrés. Ce projet, financé à hauteur de 2,88 millions de roupies (335’000 dollars), a pour but d’améliorer la vie des chiens tout en réduisant les comportements agressifs, notamment envers les enfants.

Ce geste de compassion fait suite à des programmes pilotes réalisés dans certains quartiers. Pendant deux à trois mois, des repas ont été distribués à une centaine de chiens. Les résultats ont été encourageants : moins d’agressivité, plus de calme chez les animaux. Fort de ce succès, le BBMP a décidé d’étendre cette action à l’ensemble des huit zones de la ville.

Des repas adaptés pour les chiens errants

Les chiens errants recevront des plats simples mais nutritifs, comme du riz aux œufs ou au poulet, préparés par des restaurants locaux. Chaque repas apportera entre 700 et 750 calories, une ration suffisante pour garder les animaux en bonne santé. Chaque chien errant recevraa un repas soigneusement préparé par jour, pesant 367 grammes et conçu pour répondre aux besoins nutritionnels d’un chien moyen de 15 kg. Ce repas, d’un cout de 22.42 roupies (0.27 dollars), comprend 150 grammes de poulet, 100 grammes de riz, 100 grammes de légumes et 10 grammes d’huile.

Les prestataires sélectionnés devront nettoyer les lieux après distribution et rendre compte du nombre de chiens nourris. Le BBMP travaille avec des bénévoles pour identifier les zones de distribution les plus appropriées.

Le projet sera lancé pour une durée d’un an, renouvelable selon les résultats et la qualité du service. Seuls les fournisseurs enregistrés auprès de l’autorité indienne de sécurité alimentaire pourront y participer.

Un geste pour les chiens… et pour les humains

Cette décision ne vise pas seulement le bien-être animal, mais aussi la sécurité publique. En réduisant la faim, le BBMP espère limiter les conflits entre humains et chiens errants, souvent causés par des comportements agressifs liés à la survie.

Ce projet, à la fois humain et innovant, pourrait inspirer d’autres villes confrontées à une population canine en forte croissance. Il montre qu’il est possible de gérer les chiens errants avec respect, en les considérant comme des êtres vivants ayant des besoins simples : de la nourriture, de l’attention, et un peu de considération.

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Un chien robot apprend à marcher comme un vrai

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Un robot qui marche comme un chien : Des chercheurs de l’université de Leeds ont mis au point un robot à quatre pattes capable de se déplacer comme un vrai chien, sans avoir besoin d’être programmé pour chaque terrain. Surnommé « Clarence », ce chien robot utilise l’intelligence artificielle pour adapter ses mouvements en fonction du sol, même s’il ne l’a jamais rencontré auparavant. L’étude a été publiée dans la revue Nature Machine Intelligence.

Ce robot peut changer sa façon de marcher, trotter, courir ou même sauter selon ce qu’il ressent sous ses pattes. Ce comportement, encore inédit pour les robots, s’inspire directement des animaux, notamment des chiens, chats et chevaux. Ces animaux ajustent naturellement leurs allures pour économiser leur énergie, garder leur équilibre ou éviter les obstacles. Les chercheurs ont voulu donner au robot cette même intelligence naturelle du mouvement.

Une technologie inspirée des animaux

Au lieu d’apprendre au robot à réaliser une tâche précise, comme grimper ou marcher droit, les chercheurs ont choisi de lui enseigner des stratégies générales, comme le ferait un animal. Grâce à l’apprentissage par renforcement, une méthode utilisée aussi pour entraîner des chiens, le robot a appris en simulation à marcher de façon souple, efficace et adaptable.

Il a été confronté à des terrains variés : des racines, des copeaux de bois, des pierres ou des surfaces irrégulières. Il a aussi été bousculé avec un balai pour tester sa stabilité. Et il a su se relever tout seul, comme un vrai chien.

Ce type de robot pourrait être utile dans des zones dangereuses pour les humains, comme les sites nucléaires, les missions de secours, ou même l’exploration de planètes. Il pourrait aussi servir dans l’agriculture, pour surveiller les cultures sans endommager le sol, ou inspecter des zones difficiles d’accès.

Quand la nature inspire la robotique

Ce chien robot est un bel exemple de biomimétisme, c’est-à-dire l’art de s’inspirer de la nature pour créer de nouvelles technologies. Au lieu de modifier les animaux ou de les mettre en danger dans des lieux risqués, les scientifiques cherchent ici à reproduire leur savoir-faire naturel dans des machines.

Même si pour l’instant ce robot reste un prototype, ses résultats prometteurs montrent que la robotique animale est en pleine évolution. Et surtout, que les chiens, une fois de plus, inspirent l’innovation, même dans les domaines les plus futuristes. Grâce à leur souplesse, leur instinct et leur façon de se déplacer, ils aident à imaginer le monde de demain.

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La scène du chien que personne n’a oubliée

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Un film marquant, une scène bouleversante : Le film Je suis une légende, sorti en 2007 avec Will Smith, reste gravé dans la mémoire du public. Pourtant, ce n’est pas seulement à cause de son histoire post-apocalyptique ou de ses effets spéciaux impressionnants. C’est surtout la scène où le chien Sam meurt qui a profondément marqué les spectateurs. Akiva Goldsman, le scénariste du film, s’en souvient très bien. Il raconte que lors des premières projections, de nombreuses personnes quittaient la salle dès que le chien mourait.

Un lien fort entre l’homme et le chien

Dans l’histoire, Will Smith incarne Robert Neville, un scientifique et dernier survivant d’un virus qui a transformé la population humaine en monstres. Son seul compagnon est son chien, Sam, un berger allemand fidèle et affectueux. Leur lien est fort, presque familial. Pendant une grande partie du film, Sam représente pour Neville son seul soutien émotionnel, sa seule source de chaleur humaine dans un monde vide.

Mais tout bascule lorsqu’un jour, Sam est attaquée par des chiens infectés. Elle est mordue et tombe malade. Dans une scène tragique, Neville comprend que son chien commence à se transformer. Pour éviter qu’elle ne devienne dangereuse, il est contraint de l’étouffer de ses propres mains, les larmes aux yeux. La scène est filmée de façon intense, centrée sur le visage de l’acteur. On entend les griffes du chien racler le sol, puis plus rien. Le silence est lourd, et le chagrin, immense.

Une scène difficile mais réussie

Les créateurs du film savaient que cette scène allait être difficile à accepter. Même le patron du studio, grand amoureux des chiens, avait exprimé ses doutes. Pourtant, ils ont tenu à montrer cette douleur réelle que peut ressentir un être humain dans une situation extrême. La scène est sobre, mais poignante. On ne voit pas l’acte directement, mais l’émotion de Robert Neville suffit à transmettre toute la tristesse du moment.

Un moment gravé dans le cœur des spectateurs

Encore aujourd’hui, cette scène continue d’émouvoir. Sur YouTube, des milliers de commentaires parlent de leurs larmes, certains la comparant à d’autres grandes scènes de pertes animales dans le cinéma. Elle rappelle que, pour beaucoup, le lien avec un chien est aussi fort qu’avec un humain, et que perdre un compagnon animal est une douleur universelle. Malgré sa brutalité, cette séquence a renforcé l’impact émotionnel du film, et reste l’un de ses souvenirs les plus forts.

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