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Les robots animaux, une alternative à la zoothérapie

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Une récente étude suggère que vivre avec un robot animal peut réduire les niveaux de stress, offrant des bienfaits comparables à la compagnie d’un véritable chien. Les chercheurs de l’Université médicale Jichi au Japon ont exploré l’impact des robots sociaux sur la santé mentale.

L’étude a utilisé un robot ressemblant à un petit pingouin, doté de fonctionnalités interactives telles que fermer lentement les yeux et émettre un son de respiration lorsqu’on le caresse, ou encore trembler et rire lorsqu’on lui presse le nez. Ce robot a été adopté par des participants pendant deux mois.

Les résultats ont révélé que les niveaux d’ocytocine, souvent appelée « l’hormone du câlin », étaient 2,2 fois plus élevés chez les propriétaires de robots. En comparaison, les niveaux de cortisol, indicateur hormonal de stress, étaient deux fois plus élevés chez ceux n’ayant pas de robot.

Même une brève interaction de 15 minutes avec le robot a suffi à réduire les niveaux de cortisol chez les participants, qu’ils possèdent ou non un robot.

Les chercheurs suggèrent que l’utilisation de robots sociaux pourrait servir d’alternative à la thérapie assistée par les animaux, particulièrement pour traiter la dépression et l’alcoolisme, où le risque d’infection et d’allergies peut être un facteur limitant.

Cette découverte ouvre des perspectives intéressantes quant à l’utilisation de la robotique sociale pour améliorer le bien-être mental, soulignant les avantages potentiels de cette technologie dans le domaine de la santé mentale.

A lire également: https://siriusmag.ch/le-chien-robot-de-compagnie-aibo/


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Moflin : Un robot moelleux peut-il remplacer un vrai animal ?

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Le Guardian du 22 décembre 2024 a publié un article très intéressant sur l’expérience vécue par un journaliste, Justin McCurry, avec un robot moelleux « Moflin » fonctionnant par l’IA, en substitut d’un animal de compagnie.

Les robots compagnons prennent de plus en plus de place dans nos vies, et Moflin, le dernier né de Casio, promet de bousculer notre rapport aux animaux de compagnie. Ce petit robot moelleux, qui ressemble à une boule de poils animée, est conçu pour imiter les interactions émotionnelles d’un véritable animal. Mais peut-il vraiment remplacer la chaleur d’un chien ou d’un chat ?

Avec sa petite taille et son apparence de peluche, Moflin est un robot innovant conçu pour créer des liens affectifs avec son propriétaire. Développé par Casio, cet animal de compagnie robotique utilise l’intelligence artificielle pour reproduire le comportement émotionnel d’un vrai compagnon, tout en demandant beaucoup moins de soins qu’un animal vivant.

Moflin ressemble à un hamster ou une boule de peluche. Il tient dans la paume de la main et peut émettre des sons ou bouger en fonction de son humeur. Doté d’un « chargeur-lit » qui simule une phase de repos, ce robot est bien plus qu’un simple gadget.

Lorsqu’il reçoit des caresses, Moflin répond par des mouvements et des sons qui reflètent sa joie. En revanche, un manque d’interaction le rend « triste », imitant le comportement d’un véritable animal en quête d’attention.

Grâce à ses capteurs et son intelligence artificielle, Moflin évolue au fil du temps. Lorsqu’il commence à reconnaître la voix de son propriétaire, un véritable lien se développe, rendant l’expérience encore plus personnelle.

Une progression émotionnelle impressionnante

Dès ses débuts, Moflin est programmé pour « grandir » émotionnellement. Les premières interactions sont simples, mais au fil des jours, ses réactions deviennent plus variées et expressives. Après 25 jours, il montre un attachement renforcé et, à 50 jours, il exprime une gamme complète d’émotions : joie, colère, tristesse, ou bonheur.

L’application mobile MofLife accompagne cette évolution. Elle permet aux propriétaires de suivre et d’ajuster le comportement de leur robot, renforçant encore le lien affectif.

Une technologie pour tous

Disponible pour environ 400 dollars, Moflin cible un large public, notamment ceux qui ne peuvent pas posséder de vrais animaux. Pour un abonnement annuel, les utilisateurs peuvent bénéficier de services comme des réparations, des nettoyages, ou un remplacement de la « peau » du robot, garantissant sa longévité.

Une alternative pour certains, mais pas pour tous

Casio positionne Moflin comme une solution pour ceux qui ne peuvent pas avoir de vrais animaux, notamment en raison d’allergies, de contraintes de temps ou d’espace. Cependant, l’expérience reste différente d’un lien avec un animal vivant. Les robots comme Moflin ne remplacent pas l’amour et la chaleur d’un chien ou d’un chat, mais ils peuvent apporter un certain réconfort, notamment aux personnes isolées ou âgées.

Moflin rejoint une tradition d’animaux robotiques au Japon, comme l’Aibo de Sony ou le Paro, un phoque robot utilisé en thérapie. Ces compagnons technologiques montrent comment la robotique peut répondre à des besoins émotionnels, même si elle ne remplace pas totalement les interactions humaines ou animales.

Conclusion : une expérience intrigante

Avec des avancées comme celles-ci, les robots compagnons deviennent une alternative crédible pour ceux qui recherchent un compagnon sans les contraintes d’un animal vivant. Moflin ouvre la voie à une nouvelle manière de vivre avec des animaux de compagnie, où technologie et émotions se mêlent pour enrichir notre quotidien.

L’avenir dira si ces robots deviendront des compagnons essentiels ou resteront une curiosité technologique.


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Kishu Inu : un jeton mème avec de grandes ambitions

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Une crypto qui dépasse le simple même : Lancé en avril 2021, Kishu Inu est un jeton mème qui a su captiver l’attention des amateurs de cryptomonnaies. Basé sur la blockchain Ethereum, ce jeton ERC-20 ne se limite pas à son image adorable. Il propose des fonctionnalités concrètes comme des récompenses, des NFT et un échange décentralisé.

Kishu Inu se démarque par son mécanisme de récompense : 2 % de chaque transaction sont redistribués aux détenteurs de jetons. Cette stratégie favorise une communauté active tout en renforçant son réseau.

Une origine inspirée des succès de Dogecoin et Shiba Inu

Créé par des développeurs anonymes, Kishu Inu s’inspire de l’engouement autour de Dogecoin et Shiba Inu. Cependant, il se distingue en adoptant la race Kishu comme mascotte. Dès son premier mois, il a attiré plus de 100 000 détenteurs et atteint une capitalisation boursière de 2 milliards de dollars.

Des fonctionnalités innovantes

Kishu Inu ne se contente pas d’être une simple cryptomonnaie. Il propose une gamme d’outils et de plateformes :

  • Kishu Swap : un échange décentralisé pour faciliter les transactions.
  • Kishu Crate : un marché NFT pour collectionner des œuvres uniques.
  • Kishu Paw Print : une application de suivi permettant de surveiller les performances du jeton.
  • Kishu sWAG : un projet de boutique en ligne dédié à la communauté.

Ces fonctionnalités visent à intégrer les cryptos dans la vie quotidienne et à offrir des avantages pratiques à ses utilisateurs.

Des partenariats prometteurs

Bien que Kishu Inu soit encore jeune, il a noué des partenariats avec des entreprises comme Travala.com, permettant aux détenteurs de jetons de réserver des voyages. Une agence immobilière de luxe en Floride, Living Vogue Real Estate, accepte également Kishu Inu comme moyen de paiement.

Un potentiel d’investissement à surveiller

Malgré son image de « jeton mème », Kishu Inu affiche une croissance rapide et des applications concrètes. Ses initiatives comme Kishu Swap et Kishu Crate renforcent son écosystème, tandis que des solutions comme NOWPayments facilitent son adoption dans le commerce.

Kishu Inu pourrait devenir un investissement attrayant à long terme pour ceux qui cherchent à diversifier leur portefeuille. Cependant, comme pour tout investissement en cryptomonnaie, il est essentiel de bien se renseigner avant de se lancer.

En résumé

Kishu Inu n’est pas qu’une simple blague numérique. Avec ses fonctionnalités, ses partenariats et sa vision à long terme, ce jeton s’inscrit comme un acteur sérieux dans l’écosystème crypto. En combinant l’attrait des mèmes à des applications pratiques, Kishu Inu pourrait bien surprendre les sceptiques et marquer sa place dans le monde des actifs numériques.


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Teggie, le chien robot qui inspire la créativité en Bolivie

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Teggie, un chien robot à la pointe de la technologie, fait sensation en Bolivie. Présenté par la société Tecno, ce prototype innovant combine intelligence artificielle et design réaliste. Conçu pour imiter les mouvements et comportements d’un chien réel, Teggie a été dévoilé à l’Université Franz Tamayo (Unifranz) à El Alto, où il a captivé étudiants et enseignants.

Un robot aux capacités étonnantes

Teggie peut marcher, monter des escaliers, sauter, et même saluer en levant la patte. Il est aussi capable de danser, enregistrer des vidéos et interagir avec des commandes vocales. Ce compagnon technologique dispose de :

  • Caméra Intel RealSense S430 : pour enregistrer des vidéos et capturer des images.
  • Système d’intelligence artificielle : pour répondre aux commandes vocales et effectuer des tâches autonomes.
  • Stockage interne de 64 Go et compatibilité Wi-Fi 6 et Bluetooth 5.2.
  • Système de refroidissement sophistiqué : pour faciliter des mouvements fluides et naturels.

Avec une capacité à reproduire des comportements réalistes, Teggie est un outil fascinant pour les passionnés de robotique et les étudiants en ingénierie.

Un outil éducatif et pratique

Nataly Miranda, directrice du programme d’ingénierie des systèmes à Unifranz, souligne que Teggie représente un défi et une opportunité pour les étudiants. Il inspire les futurs ingénieurs à développer des solutions pratiques dans des domaines variés comme :

  • La sécurité : patrouille et surveillance grâce à ses capteurs.
  • L’assistance aux personnes handicapées : aide dans les déplacements et les tâches du quotidien.
  • L’inspection dans des zones dangereuses : grâce à ses capacités d’exploration autonome.
  • Le soutien à la santé : en tant que compagnon pour des patients.

Teggie est également une source d’inspiration pour la création de nouveaux projets robotiques, renforçant les compétences en intelligence artificielle et en robotique des étudiants.

Une innovation en pleine expansion

Bien que Teggie ne soit pas encore commercialisé en Amérique latine, il a déjà été présenté à des événements prestigieux comme le Mobile World Congress 2024. Ce robot s’ajoute à une liste de créations robotiques internationales telles que BigDog ou ANYMal, témoignant de l’intérêt croissant pour les animaux robotiques.

Selon Magdiel Mariscal, analyste marketing chez Tecno, Teggie est un compagnon idéal pour les familles, mais aussi un outil polyvalent pour la sécurité et le divertissement.

Une porte ouverte sur l’avenir

Teggie n’est pas seulement un robot innovant, mais une véritable source de réflexion sur l’avenir de la robotique. En combinant technologie de pointe et applications pratiques, il ouvre la voie à des avancées significatives dans divers secteurs. Pour les étudiants et ingénieurs, ce chien robot est bien plus qu’un prototype : il incarne le potentiel infini de la technologie.

Le chien robot rejoint une liste de diverses créations de ce type, en raison de la fascination humaine pour la recréation d’animaux robotiques. Les prototypes précédents incluent BigDog (Boston Dynamics), LittleDog (Boston Dynamics), ANYMal (Swiss company ANYbotics), Go2 (Chinese firm Unitree Robotics), Cheetah (MIT), Canid (US Army et l’Université de Pennsylvanie) et d’autres.

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Apple dévoile un chien généré par l’IA

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Le premier chien généré par IA d’Apple : Apple a récemment partagé sa première image publique générée par l’IA, et elle est tout simplement adorable. Il s’agit d’une illustration d’un petit chien portant un chapeau de fête, créé par la nouvelle fonctionnalité d’Apple, Image Playground, disponible dans iOS 18. Ce chien n’est pas n’importe quel chien, c’est Bailey, l’animal de compagnie de Craig Federighi, vice-président senior de l’ingénierie logicielle chez Apple. Federighi a conçu cette image pour l’anniversaire de Bailey, en cadeau pour sa femme.

Image Playground : une nouvelle fonctionnalité créative

Image Playground est l’une des nouvelles fonctionnalités d’iOS 18, qui permet de générer des illustrations à partir d’une simple description textuelle. Vous pouvez créer des images amusantes et personnalisées en quelques secondes. Il est possible de choisir parmi trois styles différents : illustration, esquisse et animation. Que vous saisissiez une description, sélectionniez une photo dans votre galerie, ou choisissiez parmi des concepts préchargés, Image Playground s’adapte à vos préférences.

L’essor des outils d’IA générative

Apple n’est pas la seule entreprise à intégrer des fonctionnalités d’IA générative dans ses produits. Microsoft, Google, et Meta ont tous récemment introduit des outils similaires, mettant l’accent sur la créativité et la productivité. Cependant, Image Playground se distingue par son aspect ludique, offrant une manière légère et amusante d’explorer la créativité via l’intelligence artificielle.

Une nouveauté encore en développement

Bien que ces fonctionnalités ne soient pas encore disponibles en version bêta publique, l’exemple de Bailey est le premier aperçu de ce que Image Playground peut produire en dehors des démonstrations officielles d’Apple. Cet adorable chien est pour le moment l’illustration la plus proche de ce que cette IA peut réaliser, et montre qu’Apple continue de miser sur l’aspect convivial et amusant de la technologie, tout en intégrant des fonctionnalités pratiques pour ses utilisateurs.

En résumé, Bailey, le chien de Craig Federighi, devient la star inattendue d’un monde où l’IA transforme la créativité.

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Optimus, le robot de Musk qui pourrait promener votre chien

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Musk présente les capacités d’Optimus, son robot humanoïde : Lors du All-in Summit 2024, Elon Musk a partagé ses ambitions pour Optimus, le robot humanoïde de Tesla, avec une vision prometteuse pour l’avenir. Selon Musk, Optimus pourrait bientôt devenir une aide précieuse dans nos foyers.

Un robot conçu pour les tâches quotidiennes

Elon Musk, qui possède déjà plusieurs entreprises technologiques, a parlé des progrès de Tesla Optimus Gen 2, affirmant que ce robot pourra un jour réaliser diverses tâches comme promener un chien, tondre la pelouse ou même aider à l’éducation des enfants. Le robot, qui fonctionne grâce à l’intelligence artificielle, est déjà testé dans certaines usines Tesla, bien que Musk n’ait pas donné beaucoup de détails sur les tâches exactes qu’il effectue actuellement.

Une production à grande échelle prévue

Musk a également révélé que le coût de chaque Optimus ne dépasserait pas 10 000 dollars, et que Tesla visait une production d’un million d’unités par an dans les prochaines années. Toutefois, il a admis que cela pourrait prendre entre cinq et six ans pour atteindre cet objectif. Une fois ce cap franchi, Musk imagine que le nombre de robots humanoïdes pourrait même dépasser celui des humains, avec une proportion de deux robots pour une personne.

Des applications pratiques dans les foyers

Musk a évoqué la possibilité qu’Optimus devienne un robot grand public, capable d’accomplir des tâches ménagères comme un compagnon utile. « Il pourrait promener votre chien, tondre votre pelouse et même enseigner à vos enfants », a-t-il affirmé. Cette vision rappelle celle des robots Spot ou Atlas de Boston Dynamics, qui sont également conçus pour assister les humains dans des tâches diverses.

Un avenir proche pour Optimus

Malgré l’enthousiasme de Musk, les détails techniques sont encore rares, même si le développement des mains du robot avance bien. Optimus pourrait bien révolutionner notre quotidien en prenant en charge des tâches que nous faisons actuellement nous-mêmes, rendant ainsi la vie plus simple.


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Poopcopter : un drone pour ramasser les crottes de chien

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Poopcopter, une solution innovante pour un problème quotidien : Ramasser les crottes de chien est une tâche que beaucoup de propriétaires d’animaux trouvent peu agréable. Caleb Olson, un inventeur du Minnesota, a eu une idée novatrice pour rendre cette corvée plus facile : le Poopcopter. Ce drone intelligent est capable de détecter et de ramasser les excréments de chien de manière autonome, transformant ainsi une tâche fastidieuse en une opération automatisée. L’invention d’Olson pourrait révolutionner la façon dont les propriétaires de chiens et même les municipalités gèrent les déchets canins.

Le fonctionnement du Poopcopter

Le Poopcopter est équipé d’une caméra et utilise l’intelligence artificielle pour repérer les crottes de chien dans des zones prédéfinies, comme un jardin ou un parc. Grâce à des algorithmes de vision par ordinateur, il scanne la zone et identifie les excréments en temps réel. Une fois repérés, le drone s’approche de la zone ciblée et effectue un atterrissage précis à proximité des crottes. C’est là que le mécanisme unique du Poopcopter entre en jeu.

Contrairement à d’autres systèmes robotiques, le Poopcopter n’utilise pas de bras mécanique complexe. À la place, il est équipé d’un récipient en forme de cloche avec des volets rotatifs. Ces volets s’ouvrent lorsqu’il descend vers les excréments, capturant ainsi les déchets. Ensuite, une simple rotation permet de libérer les crottes dans un endroit désigné ou de les transporter vers une zone de dépôt spécifique.

De l’idée à l’invention

L’idée de créer le Poopcopter est née d’une simple observation de Caleb Olson. Il avait déjà mis en place un système d’alerte à l’aide de caméras de sécurité pour détecter quand son chien, Twinkie, faisait ses besoins dans la cour. Cependant, il voulait pousser l’automatisation plus loin. Il a d’abord développé un laser robotisé pour localiser les crottes avec précision, mais cela nécessitait toujours de les ramasser à la main.

Déterminé à trouver une solution plus complète, Olson a travaillé sur le Poopcopter. Ce drone est capable de fonctionner avec une aide humaine minimale, rendant le ramassage des crottes entièrement automatisé. L’innovation ne s’arrête pas là : le Poopcopter utilise également l’apprentissage automatique pour améliorer ses performances et s’adapter à différents environnements, notamment les terrains herbeux où la récupération des crottes peut être plus difficile.

Un avenir prometteur pour le Poopcopter

Bien qu’il soit encore à l’état de prototype, le Poopcopter a déjà suscité un grand intérêt. Olson envisage un avenir où les propriétaires de chiens pourraient acheter leur propre drone pour s’occuper de cette tâche fastidieuse. De plus, il imagine même que des services de nettoyage, similaires au ramassage des ordures, pourraient utiliser ces drones pour patrouiller les quartiers et nettoyer les crottes de chien.

Olson a également partagé une vision plus large de son invention. Il imagine des camionnettes équipées de plusieurs Poopcopters, capables de patrouiller dans les zones résidentielles pour ramasser les crottes de manière efficace. Ces véhicules ramèneraient les déchets à la camionnette pour les déposer en toute sécurité.

Un prototype en cours d’amélioration

Le Poopcopter est encore en phase de développement, mais Olson continue de perfectionner son invention. Le mécanisme de ramassage imprimé en 3D est actuellement en instance de brevet, ce qui rend le Poopcopter unique et accessible. Olson travaille également à rendre le drone abordable pour les consommateurs. Si le Poopcopter arrive sur le marché, il pourrait transformer la vie des propriétaires de chiens et contribuer à garder les espaces publics plus propres.

En conclusion, le Poopcopter est une invention qui pourrait bien rendre le ramassage des crottes de chien une tâche du passé. Avec un peu de chance, cette innovation pourrait bientôt être disponible pour tous, et qui sait, peut-être que votre jardin sera nettoyé par un drone dans un avenir proche.


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Michigan: protéger les chiens en cas de mauvais temps

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Des législateurs du Michigan s’engagent pour les chiens : Avec l’arrivée des températures glaciales dans le Michigan, les législateurs de l’État cherchent à renforcer la protection des chiens en introduisant une législation qui clarifie ce qu’est un abri adéquat pour les animaux de compagnie. Actuellement, la loi exige que les propriétaires fournissent de la nourriture, de l’eau, des soins médicaux et un abri adéquat à leurs animaux. Cependant, selon la représentante Penelope Tsernoglou, cette loi reste floue en ce qui concerne la définition d’un abri approprié, surtout lors de conditions climatiques difficiles.

Vers une meilleure protection des chiens

Au Michigan, la nouvelle législation propose d’ajouter des critères supplémentaires pour garantir la sécurité des chiens lorsqu’ils sont à l’extérieur. Par exemple, la longueur et l’épaisseur de la fourrure de l’animal seraient désormais prises en compte pour évaluer si l’abri est suffisant. Cela signifie que certains chiens, en fonction de leur race ou de leur condition physique, auront besoin d’un abri plus adapté pour les protéger des conditions climatiques extrêmes.

En outre, le projet de loi exige que les chiens soient placés dans des espaces dotés de lumière, d’une bonne ventilation et d’une température contrôlée, pour assurer leur bien-être. Cette mesure vise à garantir que les abris pour chiens ne se contentent pas de protéger contre la pluie, mais offrent également une protection contre le froid et l’humidité.

Les abris non conformes interdits

Le projet de loi propose également des restrictions sur certains types d’abris couramment utilisés pour les chiens. Par exemple, les espaces tels que les vides sanitaires, les barils en métal ou en plastique, les caisses grillagées, ou encore les abris en carton ne seront plus considérés comme suffisants à moins d’être modifiés pour offrir une protection contre le froid. La législation précise que les abris pour chiens doivent inclure un toit, un sol isolé et une litière sèche pour protéger contre l’humidité.

L’importance de signaler les mauvais traitements

Selon la Humane Society of the United States, laisser les animaux de compagnie dehors sans protection en plein hiver est une des formes les plus fréquentes de cruauté envers les animaux. L’organisation encourage les citoyens à signaler tout mauvais traitement aux autorités locales, telles que le contrôle des animaux ou les services du shérif, afin de protéger les animaux vulnérables.

Conclusion : un engagement pour le bien-être des animaux

Comme l’a rappelé la représentante Penelope Tsernoglou, « posséder un animal de compagnie est un privilège, pas un droit ». Avec l’adoption de cette nouvelle législation, le Michigan pourrait mieux protéger les chiens contre les conditions météorologiques extrêmes et veiller à ce qu’ils vivent dans des foyers sûrs et aimants.

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Un chien robot avec IA pour repérer les nids de fourmis de feu

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Une innovation pour protéger l’environnement : Des chercheurs chinois et brésiliens ont créé une nouvelle méthode pour détecter et contrôler les nids de fourmis de feu rouges importées (RIFA), des insectes nuisibles qui posent de gros problèmes pour l’environnement et l’économie mondiale. Leur recherche, publiée dans la revue Pest Management Science, explique comment un chien robotisé appelé « CyberDog » de Xiaomi, combiné à une intelligence artificielle (IA), peut identifier et surveiller automatiquement ces fourmis invasives.

Comment fonctionne le chien robot

Le CyberDog a été entraîné avec plus de 1 100 images de nids de RIFA pour reconnaître ces fourmis. Lors des tests sur le terrain, le robot a été programmé pour poser sa patte avant sur les monticules suspects. Si le nid était actif, des fourmis sortaient agressivement, ce qui permettait au robot de confirmer la présence des RIFA. Cette méthode a permis au CyberDog de détecter les nids avec une précision supérieure à 90 %, surpassant ainsi les inspecteurs humains qui n’identifiaient que le tiers des nids détectés par le robot.

Avantages du chien robot par rapport aux méthodes humaines

Eduardo Fox, chercheur au Brésil et auteur de l’étude, explique que les nids de fourmis de feu sont difficiles à repérer pour les personnes non formées et que la recherche manuelle sur de grandes surfaces est longue et fatigante, surtout sous le soleil. Le CyberDog, quant à lui, peut fonctionner à tout moment de la journée et dans différentes conditions météorologiques sans se fatiguer. De plus, les fourmis de feu RIFA, introduites accidentellement aux États-Unis dans les années 1930, se sont répandues en Chine, au Japon et en Europe, causant des dégâts importants en perturbant les écosystèmes locaux et en endommageant les cultures.

Les défis à relever

Malgré ces résultats prometteurs, les chercheurs ont identifié plusieurs défis. Zheng Yan, chercheur en Chine, souligne que l’autonomie de la batterie du CyberDog est limitée à environ 30 minutes, ce qui restreint son utilisation sur de grandes zones. De plus, le coût élevé des robots plus performants représente un obstacle pour une adoption à grande échelle. Toutefois, les chercheurs sont optimistes quant à la possibilité de réduire ces coûts et d’améliorer l’efficacité des robots à l’avenir.

Sensibilisation du public grâce au robot

En plus de son rôle pratique dans la détection des nids, le CyberDog peut aussi aider à sensibiliser le public aux dangers des fourmis de feu invasives. Ces robots attirent l’attention et peuvent éduquer les gens sur les impacts négatifs de ces fourmis. Zheng Yan ajoute que, bien que les fourmis de feu soient une menace sérieuse en Chine, beaucoup de personnes ne sont pas conscientes des dangers qu’elles représentent dans les espaces publics. Observer un chien robot traquer les nids de fourmis de feu peut donc capter l’intérêt du public et augmenter la sensibilisation à ce problème environnemental.

En résumé, l’utilisation du CyberDog équipé d’une IA pour détecter les nids de fourmis de feu représente une avancée technologique majeure dans la lutte contre ces invasions. Cette innovation permet non seulement d’améliorer l’efficacité de la détection, mais aussi de contribuer à la protection des écosystèmes et à l’éducation du public sur les menaces environnementales.

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VERO : le robot chien qui nettoie les plages

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Une solution innovante VERO : Les mégots de cigarettes représentent une énorme source de pollution environnementale. Avec environ 6 billions (6*1012 soit 6*1’000 milliards) de cigarettes consommées chaque année dans le monde, 4,5 billions de mégots sont jetés au sol, libérant plus de 700 substances toxiques. Pour lutter contre ce problème, les chercheurs de l’Institut Italien de Technologie (IIT) à Gênes ont développé VERO, un robot quadrupède équipé d’aspirateurs sur ses pieds pour nettoyer les plages de ces déchets.

Fonctionnement de VERO

Le robot VERO est basé sur le modèle AlienGo de Unitree, avec un aspirateur commercial monté sur son dos. Des tuyaux relient l’aspirateur à des buses imprimées en 3D fixées aux pieds du robot. Ces buses permettent une aspiration efficace au niveau du sol sans entraver le mouvement du robot.

Autonomie et efficacité

VERO fonctionne de manière autonome grâce à ses caméras embarquées et à un réseau neuronal qui détecte les mégots de cigarettes. Une fois une zone définie par un opérateur, le robot calcule un chemin optimal pour explorer et nettoyer la zone. La reconnaissance d’objets IA permet au robot de localiser les mégots, tandis qu’une caméra de profondeur Intel RealSense aide à positionner les pieds pour une aspiration précise.

Performances et tests

Lors des tests, VERO a montré qu’il pouvait collecter près de 90 % des mégots de cigarettes sur différents terrains, y compris les plages de sable. Bien que le robot soit plus lent que les humains, il a l’avantage de ne jamais se fatiguer tant que sa batterie est chargée, ce qui rend la vitesse moins cruciale.

Avantages environnementaux

Les mégots de cigarettes libèrent des substances toxiques et des microplastiques en se décomposant, polluant les milieux marins et terrestres. Traditionnellement, l’élimination des déchets repose sur le travail manuel, limité en efficacité. VERO offre une solution automatisée capable de nettoyer des terrains inaccessibles aux robots à roues et à chenilles, contribuant ainsi à la protection de l’environnement.

Applications futures

Les chercheurs voient de nombreuses applications potentielles pour VERO au-delà de la collecte des mégots de cigarettes. Le robot pourrait être utilisé pour la pulvérisation ciblée de mauvaises herbes, l’inspection des fissures dans les bâtiments, ou encore le martelage précis de clous et de rivets dans les projets de construction. Grâce à sa mobilité naturelle, VERO peut naviguer et nettoyer des terrains complexes, améliorant ainsi l’efficacité des opérations de nettoyage.

En bref

VERO représente une avancée significative dans le domaine de la robotique environnementale. En utilisant ses pieds pour la locomotion et l’aspiration simultanément, il offre une solution innovante pour la collecte des mégots de cigarettes et d’autres déchets, aidant ainsi à préserver les écosystèmes et à réduire la pollution. Les chercheurs de l’IIT continuent d’explorer de nouvelles applications pour ce robot polyvalent, promettant un avenir plus propre et plus durable.


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Mode Chien de Tesla : attention aux bugs

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Une fonctionnalité appréciée : Le mode Chien de Tesla est une fonctionnalité très appréciée des propriétaires d’animaux. Il permet de garder les animaux en sécurité et au frais dans la voiture lorsque les propriétaires doivent s’absenter temporairement. Mais une nouvelle mise à jour logicielle soulève des questions sur la fiabilité de cette fonctionnalité essentielle.

Problèmes avec la Mise à Jour 2024.20.1

La mise à jour 2024.20.1 de Tesla, qui inclut des améliorations pour les temps chauds, a provoqué des bugs signalés par certains propriétaires. Deux rapports sur les réseaux sociaux indiquent que le mode Chien de Tesla ne maintient pas correctement la température de l’habitacle, créant un environnement potentiellement dangereux pour les animaux.

Réactions et inquiétudes des propriétaires

Bien que certains propriétaires n’aient pas rencontré de problèmes, la nature imprévisible des pannes est inquiétante. Un propriétaire a ouvert un ticket d’assistance avec Tesla et a été informé que le dysfonctionnement était une « caractéristique connue du micrologiciel actuel », en attente de résolution.

Test et résultats variés

Un test sur un Model 3 n’a pas reproduit le problème, mais a révélé des variations de température allant jusqu’à 6 degrés par rapport à la température réglée. Cela souligne la nécessité de rester vigilant même si la fonctionnalité semble fonctionner correctement.

Conseils pour les propriétaires

Pour éviter tout incident, il est conseillé de ne pas utiliser le mode Chien jusqu’à ce qu’un correctif soit confirmé. Si cela n’est pas possible, les propriétaires doivent surveiller attentivement la température de l’habitacle via l’application Tesla et rester attentifs aux notifications de leur téléphone.

En bref

Actuellement, 53,7 % de la flotte Tesla dispose de la version 2024.20.1, tandis que 0,6 % utilise déjà la version 2024.20.3. Il n’est pas clair si le problème est résolu dans cette nouvelle version. En attendant, les propriétaires de Tesla doivent être prudents pour garantir la sécurité de leurs animaux de compagnie.

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Robot renard dans l’aéroport de Fairbanks, dans l’État d’Alaska

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Dans la quête constante pour améliorer la sécurité dans les aéroports, l’État d’Alaska introduit une innovation intrigante : un chien robot habillé en renard. Cette technologie novatrice vise à dissuader la faune locale de s’approcher des zones aéroportuaires, renforçant ainsi les mesures de sécurité.

Le nouvel agent de sécurité

Le ministère des Transports et des Services publics de l’Alaska a révélé le robot renard au nom de « Aurora », conçu pour compléter les protocoles de sécurité à l’aéroport international de Fairbanks. Ressemblant étroitement au modèle Spot de Boston Dynamics, ce robot quadrupède a été acquis grâce à une subvention fédérale de 2 millions de dollars.

@dailymail

Fairbanks Airport has hired a robotic dog named Aurora to scare away wildlife from the runway. 🤖 🐶 🎥 Instagram / alaska_dotpf #robot #robotdog #airport #alaska

♬ A mysterious scene of the near future like Blade Runner(994826) – The Structures

Réduire les risques

Les statistiques de la Federal Aviation Administration des États-Unis indiquent qu’il y a eu 92 accidents impliquant des animaux autour des aéroports de l’Alaska l’année dernière, dont 10 à Fairbanks. Bien que peu d’incidents aient affecté directement les avions, le danger potentiel d’une collision avec un oiseau ou un autre animal reste une préoccupation majeure.

Une approche préventive

Le robot Aurora, contrôlé par un opérateur humain, ne sera pas utilisé pour la surveillance. Le rôle principal du robot sera de simuler le comportement prédateur (renard ou des coyote) pour effrayer les animaux autour de l’aéroport. Pour ce faire, il sera équipé d’un déguisement attaché à des panneaux amovibles, imitant l’apparence de ces prédateurs.

Déploiement et évolution

À partir de l’automne prochain, le robot renard effectuera des patrouilles régulières dans les environs de l’aéroport, notamment pendant la saison de migration des oiseaux. Bien que contrôlé manuellement, Aurora est conçu pour naviguer à travers différents terrains et conditions météorologiques. Les résultats des tests initiaux guideront la décision d’éventuels déploiements dans d’autres aéroports de l’État.

En bref

Cette initiative illustre l’innovation continue dans le domaine de la sécurité aéroportuaire, démontrant comment la technologie peut être utilisée de manière créative pour résoudre des problèmes complexes. Alors que le robot renard arpente les environs de l’aéroport d’Alaska, il incarne l’union entre la technologie et la préservation de la sécurité aérienne.

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Garder le chien ou céder aux allergies du petit copain ?

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Une femme débat sur Internet après avoir refusé de se séparer de son chien malgré les allergies présumées de son petit ami. Dans un message partagé sur Reddit, elle exprime sa frustration alors que son partenaire insiste pour qu’elle donne son chiot, qu’il juge « ennuyeux et mal élevé ».

La femme, âgée de 21 ans, relate que les disputes avec son petit ami de même âge ont augmenté au cours des derniers mois, principalement à cause de son chien. Elle décrit les efforts qu’elle a déployés pour éduquer et prendre soin de son animal, soulignant sa sociabilité et ses progrès en matière de propreté.

Cependant, les tensions atteignent un sommet lorsque son petit ami évoque une hypothétique allergie au chien. Bien qu’il n’ait montré aucun signe auparavant, il prétend maintenant souffrir d’une éruption cutanée. La femme, sceptique, se demande si elle devrait prendre au sérieux ses affirmations, surtout après qu’il soit parti depuis deux jours sans nouvelle.

À la recherche d’un compromis, elle propose des solutions telles qu’un purificateur d’air et un nettoyage régulier, mais son petit ami reste inflexible. Face à cette impasse, elle se tourne vers Internet pour demander conseil : doit-elle sacrifier son chien, comme elle l’a promis en cas d’allergie ?

Les réponses affluent, beaucoup soutenant la femme et critiquant la position de son petit ami. Certains remettent en question la sincérité de ses allergies, les jugeant opportunistes. D’autres encouragent la femme à rester ferme dans sa décision, soulignant que les relations peuvent être éphémères, mais un animal de compagnie est un engagement à long terme.

En fin de compte, la femme est confrontée à un dilemme moral : choisir entre l’amour pour son chien et la volonté de respecter sa parole envers son partenaire. Les commentaires lui offrent des conseils variés, mais beaucoup convergent vers une conclusion claire : garder le chien et, si nécessaire, envisager une discussion sérieuse sur l’avenir de la relation.

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