Un membre à part entière de la famille impériale : Le chien Yuri, compagnon fidèle de la famille impériale japonaise, est décédé à l’âge de 16 ans, emporté par la vieillesse. L’animal vivait avec l’empereur Naruhito, l’impératrice Masako et leur fille, la princesse Aiko, au palais impérial de Tokyo. Elle s’est éteinte paisiblement dans la soirée du 23 juin, entourée de ceux qui l’aimaient profondément.

Une histoire d’adoption et d’amour

Yuri n’était pas un chien de race noble, mais une chienne croisée au physique proche du Shiba Inu, sauvée toute jeune dans un hôpital vétérinaire. Elle avait été adoptée en 2009, alors qu’elle n’avait que deux mois. C’est Aiko, encore enfant, qui lui avait donné ce prénom. Depuis, Yuri apparaissait souvent sur les photos officielles de la famille impériale, marchant dans les jardins, accompagnant la famille pendant leurs vacances ou posant pour des portraits doux et simples.

Un chien au grand cœur

Yuri n’était pas seulement un animal de compagnie. Elle avait reçu une formation spéciale de chien thérapeutique, ce qui lui permettait de participer à des activités de soutien émotionnel. Avant la pandémie, elle visitait régulièrement des enfants hospitalisés, leur offrant du réconfort et de la compagnie. Elle promenait ces jeunes patients dans les couloirs, les aidant à oublier, ne serait-ce qu’un moment, la douleur ou la solitude.

Un vide dans le cœur de tous

La perte de Yuri laisse un grand vide au sein de la famille impériale, mais aussi dans le cœur de nombreux Japonais qui avaient appris à l’aimer à travers les années. Sa douceur, son rôle auprès des enfants et sa présence constante auprès de l’empereur et de sa famille avaient fait d’elle un symbole d’affection, de loyauté et de bienveillance.

À travers Yuri, on se rappelle que les chiens ne sont pas que des animaux : ce sont des compagnons de vie, des soutiens précieux, et souvent, des héros silencieux.

Un chien plus célèbre que les pilotes : Dans F1 : Le Film, la surprise ne vient pas seulement des scènes de course ou des stars comme Brad Pitt ou Javier Bardem. Non, le vrai héros pour de nombreux fans, c’est Roscoe, le bouledogue anglais de Lewis Hamilton. Ce chien n’est pas nouveau dans le monde de la Formule 1 : il est déjà une mascotte adorée dans les paddocks, et il possède même un compte Instagram avec plus d’un million d’abonnés. Roscoe n’est pas juste un animal de compagnie, c’est une véritable célébrité.

Une apparition qui vole la vedette

Roscoe fait une courte apparition dans le film, mais cela a suffi à déclencher l’enthousiasme du public. Lors du générique de fin, alors que la dernière scène de course se déroule, les spectateurs attentifs remarquent un nom qui ressort : « Roscoe », tout simplement. Ce crédit a fait sourire beaucoup de fans, qui ont rapidement inondé les réseaux sociaux de commentaires.

Certains vont même jusqu’à dire que Roscoe est la meilleure partie du film. « La vraie star du film, c’est Roscoe, et on le sait tous », écrit un internaute sur X. D’autres ajoutent en plaisantant qu’il devrait être nommé aux Oscars pour sa performance, preuve de l’attachement que lui portent les fans de Lewis Hamilton… et de chiens en général.

Une star aimée et engagée

Roscoe n’est pas qu’un chien célèbre : il est aussi un symbole de douceur et de fidélité, que Lewis Hamilton ne manque jamais d’emmener avec lui. Le champion de F1 a toujours été très attaché à son bouledogue, qui l’accompagne depuis de nombreuses années. Récemment remis d’une pneumonie, Roscoe semble avoir retrouvé la forme, à en croire sa prestance à l’écran.

Grâce à son maître, producteur exécutif du film, Roscoe a pu faire son entrée dans le monde du cinéma. Et pour beaucoup, il a éclipsé les plus grandes stars humaines du casting. Comme quoi, le meilleur acteur peut parfois avoir quatre pattes et une truffe.

Le chien, roi des cœurs… et de la F1

Dans un univers aussi compétitif que la Formule 1, Roscoe apporte une touche d’émotion et de tendresse. Il rappelle que les chiens ne sont pas seulement des compagnons fidèles, mais aussi des stars capables de faire vibrer un public entier. Roscoe prouve qu’avec un peu d’amour, beaucoup de charisme et un bon maître, un chien peut devenir une légende du cinéma.

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Un acte de violence incompréhensible : À l’aéroport international de Washington Dulles, un chien de douane nommé Freddie, un beagle de 5 ans, a été violemment frappé par un touriste alors qu’il effectuait son travail. L’animal, chargé de détecter les objets interdits dans les bagages, avait repéré une valise suspecte. Son comportement a déclenché un contrôle, ce qui a visiblement déplu au passager égyptien Hamed Ramadan Bayoumy Aly Marie, fraîchement arrivé du Caire. En réaction, l’homme a donné un coup de pied si fort au chien que celui-ci a été projeté en l’air.

Le chien blessé mais sauvé

Freddie a été rapidement pris en charge et emmené chez un vétérinaire, où il a été soigné pour des ecchymoses à la côte droite. Bien qu’il soit hors de danger, cet acte a profondément choqué les agents des douanes et relancé le débat sur le respect des animaux de travail. Ces chiens sont des partenaires essentiels pour les contrôles de sécurité, formés à détecter des produits alimentaires interdits, des drogues ou des marchandises dangereuses.

Une sanction rapide et ferme

L’agresseur a été arrêté, jugé et condamné à une amende de 840 dollars. Il a ensuite été expulsé vers l’Égypte dès le lendemain. L’administration des douanes a fermement condamné cet acte, rappelant que les chiens comme Freddie ne font que leur travail, et qu’une attaque contre eux est considérée comme une attaque contre tout le personnel.

Le courage des chiens mis à l’honneur

Quelques jours plus tôt, une autre histoire avait mis en lumière le courage d’un vieux chien nommé Doodle, âgé de 17 ans. Ce chien s’est opposé à un ours entré dans sa maison en Californie, aboyant sans relâche pour défendre sa maîtresse endormie. L’ours a fini par repartir après avoir fouillé le réfrigérateur, sans faire de blessé.

Les chiens, fidèles et indispensables

Ces deux histoires opposées montrent bien à quel point les chiens peuvent être à la fois vulnérables et héroïques. Qu’ils soient chiens de travail comme Freddie ou chiens de famille comme Doodle, ils méritent tous respect, protection et reconnaissance. Leur rôle, que ce soit dans la sécurité ou le quotidien, est précieux. Plus que jamais, il est essentiel de sensibiliser à la violence envers les animaux et de souligner leur fidélité sans faille.

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Un acteur au cœur tendre pour son chien : Kevin Costner, célèbre pour ses rôles dans Yellowstone et Waterworld, fait parler de lui… grâce à son chien Bobby. À 70 ans, l’acteur est inséparable de son compagnon à quatre pattes. Une source proche de lui confie qu’il le traite comme un roi, voire mieux qu’un bébé. Kevin l’emmène partout, notamment à la plage, et ne rate jamais une occasion de lui faire plaisir.

Sur Instagram, il a même partagé une vidéo où Bobby, la gamelle entre les dents, tournait autour de lui en réclamant à manger. Kevin a plaisanté en disant : « Je t’ai nourri il y a 45 minutes… Il me travaille ! » Il a aussi ajouté : « Bob obtient ce que Bob veut. » Une façon tendre de montrer à quel point il est attaché à son chien, qui est devenu une petite célébrité à lui seul.

Bobby, une star en devenir

La popularité de Bobby dépasse parfois celle de Kevin lui-même, plaisante-t-on dans l’entourage de l’acteur. Et cela ne semble pas le gêner, bien au contraire. Kevin voit en Bobby une vraie star, et il n’est pas rare que les fans s’extasient plus devant le chien que devant l’acteur.

Dans un monde comme Hollywood, où les chiens sont souvent mieux connus que leurs maîtres, ce n’est pas surprenant. Beaucoup de célébrités entretiennent une relation très forte avec leurs animaux. Pour elles, le lien avec un chien est souvent plus sincère et apaisant que celui avec certaines personnes.

D’autres stars aussi gaga de leurs chiens

Kevin Costner n’est pas seul dans cette passion. Jennifer Aniston, par exemple, est très engagée pour la cause animale. Elle vit avec trois chiens qu’elle adore et qu’elle présente régulièrement sur ses réseaux sociaux. Elle milite aussi activement pour la protection des animaux abandonnés, surtout en cas de catastrophe naturelle.

Demi Moore, elle, va encore plus loin. Elle a déjà confié que ses chiens comptent autant pour elle que sa propre famille, en dehors de ses enfants. Pour elle, ils sont une source de joie et de réconfort. Elle aime leur amour pur, sans jugement ni arrière-pensées.

Même Paris Hilton est connue pour avoir toujours un petit chien près d’elle, comme un accessoire, mais elle insiste sur le fait qu’ils sont très bien traités et qu’elle en prend soin comme de vrais membres de la famille.

Le chien, compagnon fidèle des stars

Que ce soit dans les films ou dans la vraie vie, les chiens occupent une place spéciale dans le cœur des célébrités. Kevin Costner, avec son chien Bobby, ne fait que confirmer cette tendance. Et quand on voit la joie qu’un chien peut apporter à son maître, on comprend pourquoi ils deviennent parfois les vraies stars du show.

Une campagne choc pour faire réfléchir : L’association PETA Inde a lancé une campagne choc pour la Journée mondiale du lait, qui ne passe pas inaperçue. Sur les affiches placardées dans plusieurs grandes villes indiennes, on peut voir une femme buvant du lait… de chien. Le message est clair : « Si vous ne buvez pas de lait de chien, pourquoi boire celui d’une autre espèce ? » L’objectif de cette campagne est de faire réfléchir à notre consommation de produits d’origine animale, en particulier le lait.

PETA veut mettre en lumière ce qu’elle appelle le spécisme, c’est-à-dire la discrimination envers certaines espèces par rapport à d’autres. Pour l’association, il n’est pas normal de boire le lait d’un animal – que ce soit une vache ou une chèvre – tout comme cela semble étrange à la majorité des gens de boire du lait de chien. Derrière cette image provocante, PETA dénonce les pratiques liées à l’élevage laitier : inséminations forcées, séparation des mères et de leurs petits, et exploitation du lait qui leur est destiné.

Une société partagée entre choc et soutien

En Inde, où le lait est un aliment de base dans de nombreuses familles, cette publicité a rapidement déclenché de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Certains internautes sont choqués par la violence de l’image et estiment que le message aurait pu être transmis autrement. Des commentaires comme « C’est de mauvais goût » ou « Je ne veux plus jamais voir ça » illustrent le malaise ressenti par une partie du public.

Mais d’autres défendent la campagne, affirmant que ce malaise est justement le but recherché. Pour ces personnes, la réaction forte montre que PETA a réussi à faire réfléchir. Un utilisateur a écrit : « Si ça vous dérange, c’est que la réalité vous dérange. » D’autres insistent sur la nécessité de rendre les alternatives végétales plus accessibles et abordables.

Une stratégie habituelle chez PETA

Ce n’est pas la première fois que PETA utilise des campagnes choc pour attirer l’attention. Depuis des années, l’association crée la polémique avec des publicités très visuelles et provocantes. Parmi les plus connues, on peut citer :

• « Sauvez les baleines », une affiche qui liait surpoids et consommation de viande ;
• « L’Holocauste dans votre assiette », qui comparait les abattoirs aux camps de concentration (interdite dans plusieurs pays) ;
• « Plutôt nu que de porter de la fourrure », avec des célébrités posant nues pour dénoncer l’industrie de la fourrure ;
• Ou encore les campagnes contre SeaWorld, avec des images de mammifères marins entassés comme dans des cages.

Ces campagnes ont souvent été critiquées, mais elles ont toujours réussi à faire parler, que ce soit en bien ou en mal.

Une cause animale qui divise mais ne passe pas inaperçue

En résumé, cette nouvelle campagne de PETA divise l’opinion publique en Inde. Certains la trouvent trop extrême, d’autres pensent qu’elle permet d’ouvrir les yeux sur la souffrance animale souvent ignorée dans les industries alimentaires. Qu’on soit d’accord ou non, le message de PETA a eu l’effet escompté : faire du bruit, créer un débat et pousser à la réflexion.

Et au cœur de tout cela, le chien, cet animal de compagnie respecté, est utilisé comme point de comparaison choc pour remettre en question nos choix alimentaires quotidiens.

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Des herbes dangereuses menacent les chiens : Dans un quartier animé de Brooklyn, à New York, les propriétaires de chiens tirent la sonnette d’alarme. Dans le parc Maria Hernandez, situé à Bushwick, une herbe sauvage appelée « queue de renard » envahit l’espace réservé aux chiens. Cette plante, qui semble inoffensive à première vue, représente en réalité un véritable danger pour la santé des chiens.

La queue de renard, aussi connue sous le nom de sétaire verte, produit des graines pointues et dures qui peuvent s’accrocher à la peau des animaux, blesser leurs yeux, s’introduire dans leurs oreilles, voire être inhalées et atteindre les poumons. Dans certains cas, des opérations chirurgicales sont nécessaires pour retirer les épines coincées dans le corps des animaux. Une habitante du quartier, Jasmine Colahan, raconte qu’un barbillon s’est logé dans la paupière de son chien, lui causant une blessure à la cornée.

Les habitants réclament des actions concrètes

Face à cette situation préoccupante, les habitants se sentent abandonnés par la ville. Malgré plusieurs alertes et demandes d’entretien du parc, les mauvaises herbes continuent de pousser, et leur présence augmente. Un bénévole du quartier, actif sur Instagram à travers le compte Maria Hernandez Park Dog Run Pack à Brooklyn, affirme que les autorités ont été prévenues, mais n’ont jamais procédé à un nettoyage complet.

Certaines personnes, comme Brendan Morrison, qui habite depuis trois ans à proximité du parc, soulignent un manque d’information pour les nouveaux arrivants. Il propose que la communauté elle-même s’organise pour poser des panneaux d’avertissement et nettoyer les zones dangereuses, en attendant que les services de la ville agissent.

Une réponse insuffisante des autorités

Du côté des services municipaux, les responsables des parcs assurent qu’ils suivent le problème de près, en tondant régulièrement l’herbe. Ils encouragent les citoyens à signaler les mauvaises herbes via la ligne 311, mais selon les promeneurs de chiens, ces efforts sont loin d’être suffisants.

Depuis le début de l’année 2024, la ville affirme avoir traité 74 plaintes concernant les mauvaises herbes dans le quartier de Bushwick. Cependant, plusieurs visites de journalistes sur place ont révélé que les herbes hautes et les zones non entretenues sont toujours bien visibles, surtout autour de la clôture de l’enclos pour chiens.

D’autres dangers dans le parc

La queue de renard n’est pas la seule source d’inquiétude. Les propriétaires de chiens dénoncent aussi la présence de poison à rats non sécurisé, des toilettes sales et des flaques d’eau stagnante, qui rendent certaines zones du parc impraticables ou même risquées pour les animaux. Kevin, un habitant du quartier, propose d’utiliser du fumier pour étouffer la sétaire verte, même si cela dégage une mauvaise odeur. Pour lui, la sécurité des chiens doit passer avant tout.

Un appel à mieux protéger les chiens

À travers cette situation, c’est la santé et la sécurité des chiens qui sont en jeu, mais aussi le bien-être de leurs propriétaires, qui veulent simplement un endroit sûr pour faire courir leurs compagnons. Ce cas met en lumière le besoin d’un entretien régulier des parcs urbains et d’une meilleure écoute des citoyens. Les chiens font partie intégrante de nombreuses familles à New York et Brooklyn, et ils méritent des espaces propres, surveillés et sans danger pour profiter de la ville en toute tranquillité.

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Une interdiction qui s’étend dans tout le pays : L’Iran a récemment renforcé l’interdiction de promener les chiens dans de nombreuses villes du pays. Cette mesure ne concerne plus seulement Téhéran, la capitale, mais au moins 18 autres grandes villes, comme Ispahan ou Kerman. Désormais, le simple fait de promener son chien ou de le transporter dans une voiture peut exposer les propriétaires à des poursuites judiciaires.

Les autorités justifient ces décisions par des raisons de santé publique, de sécurité et de maintien de l’ordre. Mais derrière ces arguments officiels, se cache surtout un rejet culturel et religieux de la présence des chiens dans l’espace public. Depuis la révolution islamique de 1979, les chiens sont souvent perçus comme « impurs » et liés à une influence occidentale indésirable.

Les chiens, symbole de liberté et de résistance

Malgré les interdictions, de plus en plus d’Iraniens possèdent des chiens, en particulier les jeunes générations. Avoir un chien, c’est aussi, pour beaucoup, une façon de contester les règles strictes du régime. Cela va de pair avec d’autres gestes de liberté comme retirer son hijab, organiser des fêtes privées ou boire de l’alcool.

Dans ce contexte, le chien devient un symbole silencieux de résistance. Il incarne l’attachement à un mode de vie personnel et moderne que le régime théocratique rejette. Certaines personnes bravent l’interdiction en promenant leurs chiens la nuit, dans des lieux isolés, ou en les cachant dans leur voiture.

Une loi floue mais une répression réelle

Il n’existe aucune loi nationale interdisant formellement de posséder un chien en Iran. Cependant, les procureurs et les polices locales peuvent imposer des règles strictes dans leur région, ce qui crée une incertitude permanente pour les propriétaires.

Les chiens peuvent être confisqués et leurs maîtres arrêtés ou poursuivis simplement pour les avoir promenés dans un parc. En 2019 déjà, Téhéran avait interdit les promenades dans les lieux publics. Aujourd’hui, les nouvelles mesures vont encore plus loin, interdisant même la présence de chiens dans les voitures.

Des autorités rigides face à une société qui change

Des figures religieuses influentes comme l’ayatollah Ali Khamenei ont publiquement condamné la possession de chiens, sauf pour garder les troupeaux, chasser ou assurer la sécurité. En 2021, 75 députés ont même déclaré que les chiens représentaient une menace pour le mode de vie islamique, et certains ont proposé des lois pour punir les propriétaires par des amendes ou des châtiments physiques.

Pourtant, malgré ces efforts, les chiens restent présents dans de nombreux foyers iraniens. Des propriétaires continuent à les aimer, les promener, les soigner, et partagent parfois leur quotidien sur les réseaux sociaux, même si cela comporte des risques.

Un enjeu de société bien plus profond

Cette interdiction n’est pas seulement une question de chien. Elle reflète une tension plus large entre les libertés individuelles et le contrôle du régime. En s’attaquant aux chiens, les autorités visent à restreindre les comportements jugés trop occidentaux, mais elles se heurtent à une population de plus en plus désireuse de vivre selon ses propres choix.

En fin de compte, le chien, fidèle compagnon de l’homme, devient en Iran le reflet d’un combat pour la liberté de vivre différemment, loin des dogmes imposés. Même muselés, les chiens et leurs maîtres montrent que l’envie de changement, elle, ne cesse de grandir.

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Une nouvelle règle favorable aux chiens : Depuis le 12 mai, l’Italie a pris une décision importante pour les propriétaires de chiens. Désormais, tous les chiens, quelle que soit leur taille ou leur poids, peuvent voyager en cabine aux côtés de leur maître. Jusqu’à présent, seuls les petits animaux ou les chiens guides d’aveugles y étaient autorisés. Les autres devaient être placés en soute, ce qui provoquait du stress, à la fois pour l’animal et pour l’humain.

Cette nouvelle règle est une avancée pour le bien-être animal. En effet, les voyages en soute peuvent être difficiles, parfois même dangereux, pour les chiens de grande taille. Ils y sont transportés comme de simples bagages, souvent dans le froid, l’obscurité et le bruit. Désormais, en Italie, ces chiens pourront rester proches de leur famille pendant tout le vol.

Une décision pensée pour tous

L’Autorité italienne de l’aviation civile (Enac) a expliqué que ce changement représente avant tout un progrès culturel. Il s’agit de reconnaître que les chiens ne sont pas des objets, mais bien des membres de la famille. L’objectif est de trouver un équilibre entre la sécurité, le confort des autres passagers et le bien-être des animaux.

Cependant, cette règle ne sera pas obligatoire pour toutes les compagnies. Elles auront la liberté de l’appliquer ou non. Si elles l’acceptent, elles devront prévoir des conditions précises : les chiens devront être dans une cage de transport adaptée, fixée solidement au siège, de préférence près d’un hublot.

Des limites prévues pour le confort de tous

Pour éviter les conflits à bord, les compagnies aériennes pourront fixer un nombre maximum d’animaux par vol. Elles auront aussi la possibilité d’installer des zones tampons pour les personnes allergiques ou celles qui ne souhaitent pas être près d’animaux. Enfin, chaque compagnie sera libre de fixer le tarif pour ces billets spéciaux.

Cette nouvelle règle marque une belle avancée pour tous les amoureux des chiens. Elle montre que le respect des animaux devient une priorité dans de plus en plus de domaines, y compris dans le transport aérien. Espérons que d’autres pays suivent bientôt l’exemple de l’Italie.

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Les chiens et les piqûres d’abeille : un risque courant : Avec l’arrivée des beaux jours, les fleurs s’ouvrent, les jardins se remplissent, et les abeilles deviennent plus nombreuses. Ces petits insectes sont utiles à la nature, mais ils peuvent représenter un danger pour nos chiens, surtout lorsqu’ils sont piqués. Le printemps et l’été sont les périodes où les piqûres sont les plus fréquentes, notamment sur le museau ou les pattes, car ce sont les zones que les chiens utilisent pour explorer.

Nina Downing, infirmière vétérinaire pour l’association PDSA, met en garde contre ce danger courant mais souvent mal compris par les maîtres. Heureusement, il existe des gestes simples à adopter pour protéger votre chien.

Comment reconnaître une piqûre d’abeille ?

Un chien qui s’est fait piquer peut présenter plusieurs signes visibles : un léger gonflement à l’endroit de la piqûre, des pleurnicheries, des léchages répétés ou une patte levée. Il peut aussi baver ou gémir. Ces réactions sont généralement bénignes, mais il faut agir vite pour éviter que la situation ne s’aggrave.

Regardez sous la fourrure : si vous voyez un dard, il ne faut surtout pas le retirer avec les doigts ou une pince, car cela pourrait injecter davantage de venin. Utilisez plutôt le bord d’une carte rigide (comme une carte bancaire) pour gratter délicatement le dard.

Que faire après une piqûre ?

Après avoir retiré le dard, appliquez un chiffon humide et froid ou une poche de glace enroulée dans un torchon pour calmer l’inflammation. Cela soulagera la douleur et réduira le gonflement. Un antihistaminique peut aussi être utile, mais demandez toujours l’avis de votre vétérinaire avant de donner un médicament à votre chien.

Même si certaines personnes conseillent d’utiliser du vinaigre ou du bicarbonate pour apaiser la zone piquée, ces remèdes maison ne sont pas prouvés comme réellement efficaces. Ils ne sont pas dangereux, mais ne doivent pas remplacer les soins de base.

Les réactions allergiques : à surveiller de près

Dans de rares cas, une piqûre d’abeille peut provoquer une réaction allergique sévère chez le chien. Les symptômes à surveiller sont : un gonflement rapide, des rougeurs, des vomissements, des diarrhées, une respiration difficile ou un affaiblissement soudain. Si l’un de ces signes apparaît, contactez immédiatement votre vétérinaire. Cela peut sauver la vie de votre chien.

Autres dangers à connaître l’été

En plus des abeilles, d’autres dangers sont présents en été pour les chiens. Par exemple, les tiques, très actives pendant les périodes chaudes, peuvent transmettre la maladie de Lyme, qui peut entraîner de graves problèmes de santé s’ils ne sont pas traités à temps. Il est donc essentiel d’inspecter régulièrement votre chien, surtout après une promenade en forêt ou à la campagne.

Évitez aussi de laisser votre chien sans laisse dans des zones où il pourrait déranger la faune ou s’exposer à des piqûres, morsures ou blessures.

Prévenir pour protéger

L’été est une période idéale pour les promenades et les jeux en plein air, mais elle demande aussi plus de vigilance. Apprenez à reconnaître les signes de piqûres, ayez toujours une solution pour calmer une inflammation, et gardez les coordonnées de votre vétérinaire à portée de main.

Un petit geste peut éviter un grand problème. Nos chiens comptent sur nous pour leur sécurité.

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Une proposition pour mieux protéger les chiens… et leurs victimes : À New York, un nouveau projet de loi, appelé loi Penny, veut obliger les propriétaires de chiens agressifs à mieux contrôler leurs animaux. Ce texte a été proposé après plusieurs attaques violentes de chiens non tenus en laisse, dont une a gravement blessé Penny, une petite chihuahua. Sa propriétaire, bouleversée, soutient pleinement la démarche.

La députée Jenifer Rajkumar, à l’origine de cette proposition, souhaite qu’en cas d’attaque, les propriétaires soient punis s’ils quittent les lieux ou s’ils ont été négligents. Actuellement, la loi considère les chiens comme des objets : attaquer un chien n’est pas un délit, sauf si une personne est aussi blessée. Ce vide juridique empêche souvent la police d’agir.

Des règles plus strictes pour limiter les abus

Le projet de loi prévoit plusieurs mesures concrètes :

• Création de nouvelles infractions liées à la cruauté animale.
• Sanctions pour les personnes qui laissent souvent leurs chiens sans laisse.
• Poursuite possible contre les propriétaires en cas d’agression, même si l’humain n’est pas touché.

Rajkumar insiste : un chien fait partie de la famille, et il faut le protéger comme tel. Laisser un chien dangereux attaquer un autre chien sans conséquence légale est, selon elle, une injustice inacceptable.

Un problème bien réel à Staten Island

Staten Island est l’un des arrondissements les plus touchés par les morsures de chiens. En 2022-2023, on y comptait 124 morsures pour 100 000 habitants, soit beaucoup plus que dans le reste de la ville. Le phénomène est aggravé par la négligence de certains maîtres et l’absence de lois efficaces.

Plus de 1 300 cas de chiens en liberté ont été signalés en 2025, selon les chiffres du bureau de Rajkumar. Cela montre un vrai problème de surveillance des chiens dans l’espace public, avec parfois des conséquences graves.

Une loi difficile à appliquer dans les cas flous

Le problème, c’est que la loi actuelle est très permissive. Pour qu’un propriétaire soit puni, il faut prouver que le chien a un « passé agressif ». Si le chien n’a jamais mordu auparavant, c’est souvent parole contre parole. Et si le propriétaire fuit les lieux, il devient presque impossible de le retrouver.

Selon des avocats spécialisés, la victime doit montrer que le chien avait une attitude dangereuse connue : grognements, comportement menaçant, peur dans le voisinage… Ce n’est pas simple à démontrer, surtout sans témoins ou preuves.

Une avancée pour responsabiliser les maîtres à New York

La loi Penny n’a pas encore été adoptée, mais elle marque une étape importante. Elle envoie un message clair : laisser un chien attaquer n’est pas un acte banal. Les maîtres doivent prendre leurs responsabilités et ne pas penser qu’un animal est « juste un animal ».

Protéger les autres chiens et les humains, c’est aussi protéger son propre animal. Avec cette nouvelle loi, les propriétaires négligents sauront qu’ils risquent des sanctions. Un pas de plus vers une cohabitation plus sûre et plus respectueuse entre chiens et humains.

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Une journée spéciale pour les amis à quatre pattes : Le 17 mai 2025, la ville de West Hollywood accueillera la 8e Journée mondiale du chien, en partenariat avec la Vanderpump Dog Foundation. Cet événement, devenu un rendez-vous incontournable, se tiendra au West Hollywood Park, de 11 h à 16 h, et l’entrée est gratuite. Les visiteurs sont attendus en nombre, accompagnés bien sûr de leurs chiens, qui devront être tenus en laisse pendant toute la durée de la fête.

Des activités pour tous

Cette journée sera placée sous le signe du plaisir, du partage et de la sensibilisation. Les participants pourront profiter de nombreuses animations gratuites, comme des concerts, des stands, des tombolas, des démonstrations et des surprises spécialement conçues pour les chiens. Les deux parcs à chiens de la ville resteront ouverts, avec des espaces adaptés pour petits et grands chiens, de l’eau fraîche, de l’ombre et des sacs pour ramasser les déjections.

Une cause sérieuse derrière la fête

Au-delà de l’ambiance festive, cet événement a aussi pour but de dénoncer les mauvais traitements infligés aux chiens dans le monde. La Fondation Vanderpump souhaite notamment sensibiliser le public au terrible festival de Yulin en Chine, où des milliers de chiens sont tués chaque année pour leur viande, souvent dans des conditions horribles. La plupart de ces chiens sont volés, enfermés sans nourriture ni eau, et souffrent avant même d’arriver à destination.

West Hollywood, ville amie des animaux

La ville de West Hollywood est connue pour son engagement en faveur du bien-être animal. Depuis plus de 20 ans, elle prend des mesures concrètes : interdiction du dégriffage des chats, lutte contre les usines à chiots, et interdiction de la vente de fourrure. Elle a aussi officiellement condamné le festival de Yulin dès 2016.

Une belle initiative pour nos compagnons

Grâce à cet événement, les chiens sont célébrés et protégés, tout en profitant d’un moment de joie avec leurs maîtres. La Journée mondiale du chien rappelle que chaque chien mérite respect, amour et sécurité. Une belle occasion de faire la fête, tout en soutenant une cause essentielle.

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Bien nourrir son chien, un geste d’amour quotidien : Avoir un chien, c’est s’engager à en prendre soin tous les jours, pendant toute sa vie. Cela passe par les promenades, les câlins, les jeux… mais surtout par une bonne alimentation. Ce que mange votre chien joue un rôle essentiel sur sa santé, son énergie, son poil et même son comportement. Une mauvaise nourriture peut causer des maladies ou des malaises. À l’inverse, une alimentation adaptée renforce son système immunitaire, protège ses organes et soutient son bien-être global.

Mais entre les aliments faits maison, les croquettes, les friandises, ou encore ce que l’on veut parfois partager avec lui depuis notre assiette, il est parfois difficile de savoir ce qui est bon ou mauvais. Voici un guide simple des meilleurs aliments pour chiens – et de ceux à éviter à tout prix.

Les viandes cuites : bonnes pour ses muscles

Le poulet, la dinde ou le bœuf bien cuits sont d’excellentes sources de protéines pour votre chien. Ils aident à renforcer ses muscles, à soutenir son énergie et à maintenir un bon fonctionnement général du corps. Il faut toutefois éviter d’y ajouter des épices ou des sauces. Certains assaisonnements comme l’ail ou l’oignon sont dangereux pour lui.

À éviter absolument : les os cuits. Même s’ils peuvent paraître appétissants, ils deviennent fragiles à la cuisson et risquent de casser en petits morceaux pointus. Cela peut blesser la bouche, les dents ou provoquer de graves problèmes digestifs.

Les œufs cuits : une vraie mine de vitamines

Les œufs bien cuits (sans sel, ni beurre) sont riches en vitamines D et B, en fer, et en sélénium. Ils sont excellents pour la peau et le poil du chien. Une à deux fois par semaine, ils peuvent remplacer une portion de viande ou être mélangés aux croquettes.

Mais attention au bacon : très gras et salé, il peut provoquer des inflammations du pancréas. Le système digestif des chiens ne tolère pas bien les produits gras comme le porc.

Les légumes sûrs : carottes, haricots, épinards

Certains légumes sont très bénéfiques pour la santé de votre chien. Les carottes cuites, riches en vitamine A et en fibres, aident à la digestion et renforcent la vue. Les haricots verts sont une autre bonne option, car ils apportent de la vitamine C sans trop de calories. Les épinards cuits (et non crus) fournissent également des fibres, du potassium et des vitamines A, K et C.

En revanche, il faut fuir les oignons, l’ail ou les poireaux, même en petite quantité. Ces aliments peuvent provoquer de l’anémie, une maladie du sang qui peut être grave.

Les fruits : certains oui, d’autres non

Certains fruits peuvent être offerts comme friandises : les pommes (sans pépins), les bananes en petite quantité ou les myrtilles. Ils contiennent des vitamines et des antioxydants bons pour la santé. Mais attention, leur teneur en sucre reste élevée, donc il ne faut pas en abuser.

À l’inverse, les raisins, raisins secs, canneberges ou groseilles sont extrêmement toxiques. Même une petite quantité peut endommager les reins de façon irréversible. En cas d’ingestion accidentelle, consultez un vétérinaire immédiatement.

Les aliments à risque : prudence absolue

Voici une liste d’aliments à éviter totalement :

• Le chocolat : il est toxique même en petite dose.
• L’alcool, le café, le thé : dangereux pour le système nerveux.
• Les produits laitiers : la plupart des chiens digèrent mal le lactose.
• L’avocat : sa graisse peut causer des problèmes digestifs et le noyau est un risque d’étouffement.
• Le maïs en épi : s’il est avalé, l’épi peut rester coincé dans les intestins et nécessiter une opération.
• Les noix de macadamia, les prunes, les pêches : elles sont aussi toxiques.

En revanche, la citrouille cuite est très digeste, faible en sucre et riche en fibres. Elle est idéale pour les chiens en surpoids ou avec des problèmes digestifs.

Le pain : avec modération

Le pain n’est pas toxique, mais il n’apporte pas grand-chose en termes de nutriments. Si vous en donnez, privilégiez le pain complet. Évitez la pâte crue, qui peut gonfler dans l’estomac et provoquer des douleurs.

Offrez-lui une alimentation équilibrée

La clé pour garder un chien en bonne santé est la variété, l’équilibre et la modération. Avant d’introduire un nouvel aliment dans son régime, mieux vaut vérifier s’il est adapté. Si vous avez un doute, demandez conseil à votre vétérinaire. Offrir à votre chien les bons aliments, c’est lui offrir une vie plus longue, plus heureuse… et pleine de vitalité.

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