Connect with us

Uncategorized

Australie : Voyager avec son chat en avion, c’est possible !

Publié il y a

Le

Partager

Un voyage unique pour un chat pas comme les autres : Ali, une Australienne expatriée, a réussi à faire voyager son chat Léopold en cabine de l’avion depuis Melbourne jusqu’en Europe. Alors que la plupart des animaux doivent encore être transportés en soute, elle a découvert une règle méconnue lui permettant de voyager avec son chat à ses côtés. Ce périple, bien que coûteux (près de 10 000 dollars), s’est révélé pour elle essentiel : « Je ne pouvais pas le laisser en soute », explique-t-elle.

Grâce à la compagnie aérienne Etihad, qui autorise les animaux en cabine au départ de Melbourne, elle a pris l’avion jusqu’à Paris, avant de continuer par train et voiture jusqu’à Londres.

Une organisation minutieuse et beaucoup de persévérance

Ali a dû faire face à de nombreuses informations contradictoires. Même des agences spécialisées dans le transport d’animaux pensaient que ce type de voyage était impossible. Mais après avoir appelé l’aéroport et rencontré un personnel accueillant, elle a confirmé que voyager avec un chat en cabine était bien autorisé.

Elle a tout organisé elle-même : réservation de billets, vérification des règles, papiers de transport et passeport européen pour animaux. Elle a ensuite utilisé une société spécialisée pour transférer son chat de France au Royaume-Uni, où l’entrée d’animaux est très encadrée.

Un vol sans stress pour le chat

Contre toute attente, le vol s’est très bien passé. Léopold, confortablement installé dans sa cage, a été calme durant le voyage. L’équipage d’Etihad s’est montré attentif et bienveillant, allant jusqu’à lui proposer une rangée de sièges vide pour plus de confort. À Abu Dhabi et en France, les transitions ont été simples, sans obstacle particulier.

Une tendance en évolution

D’autres voyageurs partagent la même expérience. Une autre Australienne, Sharon, a voyagé avec son chien Digby jusqu’en Corée du Sud grâce à Korean Air, qui permet aussi aux chiens en cabine. Elle a pu choisir un siège spécial “chien” en classe affaires et n’a rencontré aucun souci majeur.

De plus, Virgin Australia a récemment annoncé vouloir autoriser les chiens et chats en cabine sur ses vols intérieurs, bien qu’aucune date officielle n’ait été annoncée.

Ce qu’il faut savoir avant de partir

Les règles varient selon les compagnies aériennes. Par exemple, Etihad n’autorise les animaux à quitter l’Australie qu’au départ de Melbourne, et non de Sydney. Le chat ou chien doit peser moins de 8 kg (avec sa cage), être âgé d’au moins 16 semaines, et le coût du voyage en cabine peut atteindre 2 300 dollars US. Des documents de santé et de voyage doivent être envoyés avant le départ, et certaines races de chiens ne sont pas acceptées.

Une expérience inspirante pour les amoureux des animaux

Voyager avec un chat ou un chien en avion est encore rare, mais de plus en plus faisable avec les bonnes informations et un peu de préparation. L’histoire d’Ali prouve qu’avec de la détermination, il est possible de voyager avec son compagnon à quatre pattes dans des conditions sûres et humaines, sans devoir les reléguer en soute.

Une belle nouvelle pour les propriétaires d’animaux qui ne veulent plus être séparés de leurs fidèles compagnons !

voir également


Partager
Continue la lecture
Publicité

Uncategorized

Jupiter Dog Beach : la plage préférée des chiens

Publié il y a

Le

Partager

Une plage qui fait l’unanimité : Située en Floride, Jupiter Dog Beach vient d’être élue meilleure plage pour chiens aux États-Unis pour la deuxième année consécutive, selon le classement 2025 de USA Today. Cette plage longue de 4 kilomètres, ouverte aux chiens depuis 1989, est un lieu de détente où maîtres et toutous peuvent jouer librement sur le sable. Elle avait déjà été remarquée en 2016, en se hissant à la dixième place. Grâce à ses installations adaptées, son ambiance conviviale et son respect des animaux, elle est désormais une référence.

Un lieu pensé pour les chiens

À Jupiter Dog Beach, les chiens peuvent courir sans laisse sur le sable, ce qui en fait un endroit rare et précieux. Cependant, la ville de Jupiter précise que seuls les chiens calmes, sociables et bien dressés sont les bienvenus. Pour des raisons de sécurité, ils doivent être tenus en laisse lorsqu’ils circulent du parking jusqu’à la plage, et ils ne sont pas autorisés dans certaines zones surveillées.

Cette organisation garantit que la plage reste agréable pour tous, tout en offrant une grande liberté aux chiens de jouer, nager ou simplement se détendre.

Une communauté impliquée

L’association locale Friends of Jupiter Beach, à but non lucratif, s’investit depuis des années pour préserver la plage. Elle met à disposition des sacs pour ramasser les déjections et sensibilise les visiteurs à l’entretien des lieux. Grâce à ces efforts, l’endroit reste propre et accueillant, été après été.

Du plaisir… mais aussi de la prudence

La ville rappelle aussi que les chiens peuvent souffrir de la chaleur comme les humains. Il est donc conseillé d’apporter de l’eau fraîche, de la crème solaire spéciale animaux et de prévoir un coin d’ombre pour éviter les coups de soleil ou les insolations.

Le rendez-vous estival idéal

Que vous soyez habitant de la région ou de passage en vacances, Jupiter Dog Beach est un endroit parfait pour passer du temps de qualité avec votre chien. Jeux, baignades, rencontres entre animaux et ambiance joyeuse font de cette plage un véritable paradis canin. Une belle preuve que, parfois, les meilleurs souvenirs se construisent avec des pattes mouillées et des queues qui remuent.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Des dents de chien sur les porte-bébés d’autrefois

Publié il y a

Le

Partager

Dents de chien: Une découverte surprise sur un chantier moderne : En Allemagne, lors de travaux pour installer une ligne électrique, des archéologues ont fait une découverte étonnante. À proximité du village de Krauschwitz, à l’est du pays, ils ont trouvé des tombes vieilles de 4 500 ans. Ces sépultures appartiennent à une ancienne société du Néolithique, connue sous le nom de culture de la céramique cordée. Ce qui a particulièrement retenu l’attention des chercheurs, ce sont des objets rares liés à des femmes et leurs enfants.

Cette découverte s’est produite dans le cadre du projet SüdOstLink, une ligne électrique souterraine de 170 km. Les fouilles ont mis en évidence plusieurs tombes, mais certaines se distinguent par la présence de sacs décorés avec des dents de chien, un fait unique et chargé de sens.

Des sacs en cuir décorés avec des dents de chien

Parmi les objets trouvés, les archéologues ont retrouvé des sacs en cuir, aujourd’hui décomposés, mais encore décorés de dents de chien percées. Ces dents, soigneusement alignées comme des écailles de poisson, formaient un motif esthétique. Chaque sac pouvait contenir jusqu’à 350 dents, provenant de petits chiens proches du braque de Münster actuel.

Ces sacs mesuraient environ 30 x 20 cm et semblaient portés en bandoulière. Ils n’étaient pas simplement décoratifs : ils servaient aussi de porte-bébés. Leur fabrication très minutieuse montre qu’ils appartenaient à des femmes importantes dans leur communauté.

Des objets à la fois pratiques et symboliques

Les chercheurs ont parfois trouvé des ossements de bébés à l’intérieur ou près de ces sacs. Dans un cas, une femme enceinte avait été enterrée avec son sac, ce qui montre que ces objets étaient très personnels, non transmis d’une personne à une autre.

Certains nourrissons étaient enveloppés dans des écharpes contenant elles aussi des dents de chien, notamment des molaires. Les archéologues pensent que cela pouvait servir à protéger les bébés, un peu comme un porte-bonheur. Cela montre que le chien avait une place spéciale dans la vie des familles, bien au-delà de sa fonction de compagnon.

Un hommage aux morts et à la vie familiale

En plus de ces tombes, des structures funéraires encore plus anciennes ont été découvertes, datant d’environ 4000 av. J.-C. Cela prouve que cette zone était utilisée depuis très longtemps pour honorer les défunts.

Les fouilles vont continuer jusqu’à la fin du mois de juillet avec une équipe de 20 personnes. Tous les objets seront ensuite étudiés et probablement exposés dans des musées. Cette découverte nous rappelle à quel point les chiens faisaient partie intégrante de la vie des humains, y compris dans les moments les plus intimes, comme la maternité et la mort.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Un chien prédit Chelsea vainqueur de la finale

Publié il y a

Le

Partager

Un chien devin devenu une star : Alors que la finale de la Coupe du monde des clubs 2025 entre Chelsea et le PSG approche, un chien mystérieux surnommé Oracle Whiskers fait le buzz. Ce chien est devenu célèbre sur TikTok pour ses étonnantes prédictions lors de plusieurs matchs du tournoi. Le principe est simple : on place devant lui deux bols de croquettes, chacun portant le nom d’une des équipes. Celui qu’il choisit en premier est censé représenter le vainqueur du match.

Dans une vidéo devenue virale, on voit Oracle Whiskers hésiter quelques secondes avant de choisir le bol marqué « Chelsea ». Une fois encore, ce petit rituel amusant a captivé les internautes, mêlant humour, amour des animaux et passion pour le football.

Un PSG en grande forme

Le Paris Saint-Germain est arrivé en finale avec un parcours impressionnant. Après une victoire écrasante en Ligue des champions contre l’Inter Milan (5-0), le club parisien a confirmé son niveau en écrasant l’Atlético Madrid 4-0 pour démarrer la Coupe du monde des clubs. Seul accroc : une courte défaite 1-0 contre Botafogo en phase de groupes. Mais les Parisiens ont ensuite enchaîné les victoires sans encaisser de but, notamment contre le Bayern Munich, puis un 4-0 contre le Real Madrid en demi-finale.

Ce parcours presque parfait faisait du PSG un favori naturel pour la finale. Pourtant, Oracle Whiskers n’a pas choisi les Parisiens…

Chelsea, l’équipe surprise

Chelsea n’était pas annoncé comme favori au début du tournoi. Mais sous la direction d’Enzo Maresca, les Anglais ont montré beaucoup de solidarité, d’intelligence de jeu et d’envie. Après une défaite contre Flamengo en phase de groupes, ils ont rebondi avec force. Ils ont battu Benfica, Palmeiras et Fluminense, se hissant en finale avec sérieux et constance.

Ce parcours a permis aux « Blues » de gagner le respect de tous les observateurs, même si leur route semblait moins compliquée que celle du PSG.

Entre football et animaux, un moment unique

L’enthousiasme autour d’Oracle Whiskers prouve que les animaux peuvent aussi avoir leur place dans les grands événements sportifs. Ce chien, devenu un petit phénomène, a conquis le cœur des fans de foot et des amoureux des chiens. Que sa prédiction soit exacte ou non, il a offert un moment léger, drôle et attendrissant, qui a ajouté une touche originale à cette grande finale.

Dimanche 13 juillet, le verdict tombera. En attendant, Oracle Whiskers a déjà gagné la finale de la tendresse.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Protéger les chats à Singapour

Publié il y a

Le

Partager

Une augmentation inquiétante des violences envers les chats : À Singapour, les cas de maltraitance envers les chats ont atteint un niveau record en 2024, avec 961 signalements, soit le chiffre le plus élevé enregistré depuis 12 ans. Ces données ont été partagées par la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA). Ces actes vont de la négligence à la cruauté volontaire, comme le cas choquant d’un homme ayant jeté plusieurs chats du haut d’immeubles, condamné à la prison ferme.

Une réponse ferme du gouvernement

Face à cette situation alarmante, le ministre de l’Intérieur singapourien, K. Shanmugam, a rappelé l’engagement du gouvernement à ne pas tolérer la cruauté envers les animaux. Selon lui, il faut cibler les personnes cruelles volontairement, celles qui s’en prennent aux animaux comme si c’était un jeu ou un passe-temps.

Il a aussi insisté sur la nécessité de faire la différence entre des erreurs involontaires et de véritables actes de cruauté. Pour lui, l’éducation du public à la possession responsable d’animaux est tout aussi importante que la punition des coupables.

Des lois renforcées pour protéger les animaux

Aujourd’hui, une personne reconnue coupable de cruauté envers un animal à Singapour risque jusqu’à 18 mois de prison et une amende de 15 000 dollars singapouriens. En cas de récidive, la peine peut monter jusqu’à 3 ans de prison et 30 000 dollars d’amende. Le gouvernement envisage même de renforcer encore la législation, en étendant les pouvoirs des autorités pour mieux lutter contre les abus.

Le rôle complexe des troubles mentaux

Certains cas de maltraitance envers les chats sont liés à des troubles psychologiques. Mais le ministre a été clair : la maladie mentale ne doit pas servir d’excuse pour justifier des actes violents. Si une personne représente une menace pour les animaux, elle doit être isolée ou soignée, selon l’avis des professionnels de santé mentale.

Une société en pleine prise de conscience

Malgré ces mesures, seuls 6 % des cas signalés entre 2019 et 2024 ont été confirmés par les autorités, faute de preuves suffisantes. Cela montre l’importance d’un meilleur signalement des faits, mais aussi d’un changement global dans les comportements. Protéger les chats, comme tous les animaux, passe par plus de respect, de vigilance et d’éducation.

Singapour montre l’exemple avec une approche mêlant loi, prévention et compassion, un modèle qui pourrait inspirer d’autres pays.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Les premiers chats, sacrifiés avant d’être aimés

Publié il y a

Le

Partager

Premiers chats: Une relation homme-chat pas si tendre au départ : Aujourd’hui, les chats sont considérés comme des compagnons fidèles, affectueux et souvent rois dans nos maisons. Mais selon une nouvelle étude scientifique, leur tout premier rôle auprès des humains était bien plus sombre. Contrairement à ce que l’on pensait jusqu’ici, la domestication des chats ne serait pas apparue au Néolithique pour chasser les rongeurs dans les villages agricoles. En réalité, les premières relations entre hommes et chats semblent avoir été motivées par des raisons religieuses… et violentes.

Les chats, offrandes sacrées dans l’Égypte ancienne

Selon les chercheurs, le lien étroit entre les humains et les chats aurait commencé en Égypte vers le premier millénaire avant J.-C. Les chats y étaient associés à la déesse Bastet, protectrice du foyer, de la fertilité et des femmes. D’abord représentée avec une tête de lionne, elle a été ensuite représentée avec une tête de chat, au moment même où la pratique du sacrifice de chats se développait.

Des millions de chats ont été élevés, tués puis momifiés comme offrandes religieuses. C’est à cette époque que les traits calmes et dociles des chats ont commencé à être sélectionnés, non pas pour vivre avec les humains… mais pour être plus faciles à manipuler pour les rituels.

Une domestication tardive, liée au sacré

C’est seulement après cette période de culte intensif que les qualités pratiques du chat, comme sa capacité à chasser les nuisibles, ont été reconnues dans la vie quotidienne. Les statues de Bastet ont souvent été retrouvées dans des zones agricoles, ce qui montre que les Égyptiens ont aussi vu les chats comme des alliés contre les rongeurs dans les cultures.

Ce mélange entre statut divin et utilité pratique aurait ensuite conduit à une domestication progressive, plus douce, où les chats ont fini par s’installer durablement dans les foyers humains.

Une fin encore plus dérangeante au XIXe siècle

Et comme si cela ne suffisait pas, l’étude ajoute un détail choquant : des preuves suggèrent que, bien des siècles plus tard, les Anglais à l’époque victorienne auraient utilisé certains de ces chats momifiés… comme engrais agricole. Cela montre à quel point l’histoire des chats est loin d’être linéaire et parfois injuste pour ces animaux devenus aujourd’hui si populaires.

Le chat, compagnon respecté… après bien des épreuves

Au final, les chats que nous aimons tant aujourd’hui ont traversé des siècles d’exploitation, de sacrifices rituels à des usages surprenants. Ce n’est qu’avec le temps que leur place est devenue celle de l’animal de compagnie adoré que l’on connaît. Cette histoire peu connue nous rappelle que la relation entre les humains et les animaux a beaucoup évolué, et qu’il est important de continuer à les protéger et les respecter.

Voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Le chat Manx, félin sans queue et plein d’histoire

Publié il y a

Le

Partager

Une origine ancienne, entre histoire et mythes : Le chat Manx, connu pour ne pas avoir de queue ou en avoir une très courte, est une race ancienne originaire de l’île de Man, une petite île entre l’Angleterre et l’Irlande. On retrouve les premières mentions de ces chats vers le début du XVIIIe siècle. Bien que l’on ne sache pas exactement comment ils sont arrivés sur l’île, les Vikings auraient joué un rôle important. Grands amateurs de chats, ils les offraient comme cadeaux et les utilisaient sur leurs navires.

Certains pensent que les chats des forêts norvégiennes, aimés des Vikings, sont les ancêtres des Manx. Ces deux races partagent des caractéristiques étonnantes : pattes arrière plus longues, double pelage, goût pour l’eau, et tempérament généralement calme.

Pourquoi les chats Manx n’ont-ils pas de queue ?

L’absence de queue chez ces chats est liée à un phénomène génétique appelé « effet fondateur ». Sur une île comme celle de Man, le mélange génétique est limité, et des traits inhabituels comme une queue raccourcie peuvent devenir communs avec le temps. Ce changement s’est stabilisé au fil des générations, donnant naissance à une race unique : le Manx, ou « stubbin » en langue mannoise.

Des chats de ferme très utiles

Pendant longtemps, les chats Manx étaient très appréciés dans les fermes. Excellents chasseurs, ils étaient gardés pour lutter contre les rongeurs. Même en liberté, des colonies sauvages existaient, comme celle des écuries du tramway de Douglas dans les années 1950. Ces chats étaient parfois vus en train d’attaquer des oiseaux marins comme les goélands, grâce à leurs puissantes pattes arrière qui leur permettent de faire de grands sauts.

Des croyances étonnantes et une reconnaissance royale

Les marins avaient une croyance intéressante : un chat pouvait provoquer une tempête à cause de la magie cachée dans sa queue. Les chats Manx, sans queue, étaient donc considérés comme porte-bonheur en mer ! En 1963, un chat Manx tigré a même été offert à la reine mère lors de sa visite à l’île. Il est devenu le chat officiel du yacht royal Britannia, sous le nom de Schickrys.

Une race précieuse mais fragile

Malgré leur popularité, les chats Manx ne sont pas sans problèmes. L’absence de queue peut entraîner des troubles de la colonne vertébrale, appelés syndrome de Manx. Cela peut provoquer des difficultés de propreté, des problèmes intestinaux, voire une paralysie partielle. Les familles adoptant un chat Manx doivent être conscientes de ces risques et prévoir des soins vétérinaires réguliers.

En 2024, la MSPCA (société protectrice des animaux locale) a relogé 20 chats Manx, un chiffre identique à l’année précédente. Preuve que, malgré leurs particularités, ces chats sans queue continuent de fasciner et de trouver des foyers aimants.

Un chat unique à connaître et protéger

Le chat Manx est bien plus qu’un simple chat sans queue. Il porte en lui une histoire riche, des croyances anciennes, une utilité reconnue, mais aussi des défis de santé. Connaître ses origines et ses besoins, c’est mieux comprendre l’animal et mieux le protéger. Que vous soyez amoureux des chats ou simple curieux, le Manx reste un symbole attachant de la relation entre les humains et les félins.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Les héritiers de Félix le chat réclament justice

Publié il y a

Le

Partager

Un personnage culte oublié de ses créateurs : Félix le chat, petit félin noir et blanc au large sourire et au sac magique, est une star du dessin animé depuis plus d’un siècle. Créé en 1919 par plusieurs artistes, dont Patrick Sullivan, Félix est devenu un des premiers grands héros du dessin animé bien avant Mickey Mouse. Avec ses aventures pleines d’humour et de fantaisie, il a marqué des générations d’enfants et inspiré des produits dérivés dans le monde entier, notamment au Japon où il est devenu culte.

Des héritiers écartés des revenus

Mais derrière le sourire de Félix se cache une bataille juridique familiale. Trois descendants de Patrick Sullivan, l’un des co-créateurs, affirment aujourd’hui avoir été écartés pendant des décennies de la gestion des droits du célèbre chat. Selon eux, Donald Oriolo, fils d’un autre dessinateur lié à Félix, aurait pris le contrôle de la franchise sans les informer. Résultat : les héritiers estiment avoir perdu plus de 100 millions de dollars en droits et revenus issus des licences, des partenariats et de la vente de la marque à DreamWorks en 2014.

Un malentendu ou une vraie dissimulation ?

De son côté, l’avocat d’Oriolo affirme qu’il s’agissait d’un malentendu, assurant que tous les actionnaires avaient été rachetés depuis longtemps et qu’on ignorait l’existence des héritiers Sullivan. Il promet cependant d’ouvrir un dialogue pour trouver une solution équitable. Les héritiers, eux, maintiennent que les preuves montreront qu’Oriolo connaissait leur droit de propriété et qu’il a délibérément ignoré leurs intérêts.

Une leçon pour les créateurs et leurs familles

Cette affaire met en lumière une réalité parfois négligée : même les œuvres les plus connues peuvent donner lieu à des conflits de succession ou de propriété. Pour les familles de créateurs comme celles de Patrick Sullivan, il est important de faire respecter les droits et la mémoire de leurs proches.

Et les chiens ou chats dans tout ça ?

Félix n’est pas qu’un personnage de fiction : il montre à quel point les chats et les chiens, dans la culture populaire, peuvent marquer l’imaginaire collectif. Ils deviennent des symboles, des marques et parfois même de véritables trésors économiques. Cette histoire nous rappelle que, derrière ces animaux adorés, il y a aussi des créateurs — et parfois des familles qui se battent pour garder leur juste place dans l’héritage.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Un chat détective aide à découvrir un nouveau virus

Publié il y a

Le

Partager

Pepper, un chat pas comme les autres : Pepper n’est pas un chat ordinaire; Ce félin domestique vivant en Floride est devenu célèbre dans le monde scientifique après avoir permis la découverte d’un nouveau virus. Lors d’une de ses balades en extérieur, Pepper a rapporté une musaraigne morte à son propriétaire, le docteur John Lednicky, virologue à l’Université de Floride. Curieux, ce dernier a décidé d’analyser l’animal en laboratoire. C’est ainsi qu’ils ont identifié une nouvelle souche d’orthoréovirus, un virus encore peu connu mais déjà associé à certaines maladies chez les humains et les animaux.

Un virus encore mystérieux

Les orthoréovirus étaient autrefois considérés comme sans danger. Pourtant, ces dernières années, ils ont été liés à des problèmes respiratoires, neurologiques et digestifs, notamment chez les enfants. Ce nouveau virus, trouvé chez une musaraigne, porte le nom scientifique de UF-1, et bien qu’il ne présente pas de risque immédiat, les chercheurs estiment qu’il mérite une surveillance attentive.

Les scientifiques ont déjà observé que ce type de virus peut changer rapidement en mélangeant ses gènes avec d’autres souches. Cela peut donner naissance à de nouveaux virus, parfois plus dangereux. Cette caractéristique rend les orthoréovirus intéressants à suivre, surtout dans un contexte où les échanges entre animaux domestiques, faune sauvage et humains sont fréquents.

Les chiens et les chats au cœur de la recherche

L’histoire de Pepper rappelle l’importance inattendue que peuvent avoir les chiens et les chats dans la recherche scientifique. Sans le flair de ce chat, cette souche de virus serait peut-être encore inconnue. Les animaux domestiques vivent en contact étroit avec la nature et avec nous, ce qui en fait des observateurs privilégiés de l’environnement.

Il est aussi important de souligner que Pepper se porte très bien. Aucun signe de maladie n’a été observé chez lui, ce qui rassure sur le fait que le virus ne semble pas affecter directement les chats.

Mieux comprendre pour mieux prévenir

Les chercheurs de l’Université de Floride insistent sur la nécessité de poursuivre les recherches. Ils souhaitent notamment étudier la façon dont ce virus se transmet, son impact sur la santé humaine et animale, et savoir s’il pourrait poser un risque futur pour les chiens, chats ou humains. Des tests sanguins et d’autres analyses seront bientôt menés pour mieux cerner ce virus.

En attendant, cette histoire montre qu’un simple chat domestique peut aider à faire avancer la science. Elle rappelle aussi que de nombreux virus restent encore méconnus et qu’il est essentiel de rester attentif à notre environnement et à celui de nos animaux.

Une vigilance bénéfique pour tous

Les propriétaires de chiens et chats n’ont pas à s’inquiéter, mais il est toujours bon d’être vigilant. Si votre animal vous rapporte un petit animal mort, mieux vaut ne pas le laisser jouer avec et, si possible, signaler la découverte à un vétérinaire ou à un laboratoire local. Qui sait ? Ce simple geste pourrait un jour contribuer à une grande découverte scientifique, comme celle de Pepper.


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Chaleur d’été : protégez vos chiens et chats

Publié il y a

Le

Partager

Le soleil peut être dangereux pour nos animaux : Quand les températures grimpent en été, nos chiens et nos chats ne sont pas à l’abri des effets nocifs du soleil. Tout comme nous, ils peuvent attraper des coups de soleil, en particulier sur les zones sensibles comme les oreilles, le nez, ou les endroits où la peau est peu couverte de poils. Ces coups de soleil peuvent parfois évoluer en cancer de la peau, une maladie grave mais évitable avec quelques précautions.

Les animaux à pelage clair ou blanc, ainsi que ceux qui passent beaucoup de temps dehors, sont les plus à risque. C’est pourquoi la RSPCA (l’équivalent britannique de la SPA) recommande aux propriétaires d’être particulièrement vigilants durant l’été.

Des gestes simples pour protéger leur peau

Pour éviter les risques, il est conseillé d’appliquer sur les zones sensibles une crème solaire spécialement conçue pour les animaux, avec un indice de protection minimum 30. Cette crème doit être non toxique et résistante à l’eau. Ne jamais utiliser de crème solaire humaine, car elle peut contenir des substances dangereuses pour eux.

De plus, évitez les sorties en plein soleil, surtout entre 11 h et 16 h, quand les rayons UV sont les plus forts. Assurez-vous que vos animaux aient toujours accès à de l’ombre, à de l’eau fraîche, et à un coin frais pour se reposer. Une serviette humide peut leur offrir un peu de soulagement.

Les signes à surveiller

Si vous remarquez des rougeurs, des croûtes sur les oreilles ou le nez, ou que votre animal semble gêné, gratte souvent la même zone, il est important de consulter un vétérinaire rapidement. Un diagnostic rapide peut éviter que la situation ne s’aggrave.

Un été en toute sécurité pour chiens et chats

Prendre soin de ses animaux en été, ce n’est pas seulement leur donner à boire ou les promener moins longtemps. C’est aussi penser à leur protection contre le soleil, une menace souvent sous-estimée. En adoptant les bons réflexes, vous permettez à votre chien ou votre chat de profiter de l’été sans danger, tout en gardant sa peau en bonne santé.

Parce que leur bien-être dépend de nous, soyons attentifs à leur exposition au soleil.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Tests militaires sur chiens : enquête en vue

Publié il y a

Le

Partager

Des chiens utilisés dans des expériences militaires : Un scandale secoue actuellement le ministère de la Défense des États-Unis. Un rapport récent a révélé que des chiens et des chats ont été utilisés dans des tests douloureux, financés par plus de 57 millions de dollars d’argent public. Ces expériences, menées sous contrat avec l’armée américaine, ont provoqué un fort sentiment de révolte chez les défenseurs des animaux, ainsi que chez de nombreux citoyens.

Les images publiées par des associations montrent des chiens subissant des procédures invasives, parfois sans réel suivi médical ni bénéfice clair pour les militaires. Ce scandale remet en question l’utilité, l’éthique et la transparence de ces projets, en particulier dans un contexte où des méthodes alternatives existent.

Une enquête promise par le secrétaire à la Défense

Le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, a affirmé qu’il n’était pas au courant de ces contrats, mais qu’il allait lancer une enquête complète. Il souhaite vérifier si ces expériences respectent les directives établies et envisager une possible interdiction de nouveaux tests impliquant des chiens ou des chats.

Il s’est également engagé à étudier les propositions de loi qui pourraient limiter ou interdire définitivement ce type de pratiques, sauf autorisation directe du secrétaire à la Défense.

Appel à des méthodes alternatives

Les associations de protection animale rappellent qu’il existe aujourd’hui des solutions plus éthiques, comme la modélisation informatique ou les simulateurs de tissus, qui permettent de reproduire des réactions biologiques sans faire souffrir d’animaux.

Elles dénoncent le caractère cruel et dépassé de ces tests, ainsi que leur inefficacité. Plusieurs élus partagent cette opinion et demandent que l’argent des contribuables soit utilisé de manière responsable et respectueuse du vivant.

Vers la fin des tests sur les chiens ?

Cette affaire a remis sur le devant de la scène le traitement réservé aux chiens dans la recherche militaire. Pour beaucoup, ces animaux ne sont pas des outils, mais des compagnons fidèles qui méritent d’être protégés. Le débat s’annonce intense au sein du Congrès, où certains espèrent une interdiction totale de ce type d’expériences.

En attendant les résultats de l’enquête, la pression monte sur Pete Hegseth pour qu’il prenne des mesures concrètes. Ce scandale pourrait bien marquer un tournant historique dans la défense du bien-être animal, notamment pour nos amis les chiens, qui, dans un autre contexte, servent courageusement aux côtés des soldats sur le terrain.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Chiens de race ou chiens de refuge ?

Publié il y a

Le

Partager

Le choix du prince William relance le débat : Le prince William et la princesse Kate ont récemment partagé une photo avec leur chienne Orla et ses chiots. Cette image mignonne, prise pour les 43 ans du prince, a provoqué une vive réaction, notamment de la part de l’association de défense des animaux PETA; Selon eux, laisser une chienne de race avoir des petits alors que les refuges sont pleins serait un mauvais exemple. Pourtant, ce débat ne date pas d’hier : faut-il adopter un chien de refuge ou acheter un chien de race ?

Une décision personnelle qui divise

Beaucoup de familles choisissent des chiens de race pour des raisons de sécurité, de caractère ou de santé. C’est le cas de Charlotte, une maman célibataire avec deux jeunes enfants. Elle a acheté Muggles, un golden retriever, chez un éleveur certifié. Elle voulait un chien prévisible, calme et sociable, sans passé traumatique. Elle admet que certains chiens de refuge peuvent être adorables, mais elle a aussi vécu de mauvaises expériences : morsures, chiens qui s’enfuient ou qui réagissent mal à certaines situations.

Le traumatisme des chiens abandonnés

Charlotte reconnaît que les chiens des refuges ont souvent souffert. Ils peuvent avoir des problèmes de comportement dus à la maltraitance ou à l’abandon. Certains ne supportent pas les enfants, d’autres sont anxieux ou ont peur des hommes. Même si elle respecte les gens qui adoptent, elle préfère un chien dont elle connaît l’origine et le tempérament.

Un amour sincère, quelle que soit l’origine

Tout chien mérite d’être aimé, qu’il soit de race ou non. L’important est de faire un choix adapté à son mode de vie. Un chien de refuge demande parfois plus de patience, de soins et d’attention, ce qui n’est pas toujours possible pour tout le monde. Mais qu’il soit acheté ou adopté, un chien reste un compagnon fidèle et précieux, qui apportera joie, rires… et parfois quelques bêtises.

Conclusion : le débat entre chien de race et chien de refuge ne doit pas opposer les amoureux des animaux. Chaque histoire est unique, et le plus important reste l’amour, le respect et l’engagement envers l’animal.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Voter pour le futur maire félin de Coronado

Publié il y a

Le

Partager

Une élection originale pour une belle cause : À Coronado, l’association PAWS (Pacific Animal Welfare Society) lance une campagne pleine d’humour et de tendresse : élire le prochain directeur félin de la ville des chats. Cet événement amusant est l’occasion parfaite pour renforcer le lien entre les habitants et leurs animaux, tout en soutenant une cause sérieuse : le bien-être animal.

Les candidats sont sept chats, chacun avec une personnalité unique, prêts à assumer leur rôle symbolique dans cette aventure communautaire. Le ou la gagnante deviendra ambassadeur félin aux côtés de Valkyrie, la chienne maire de Coronado, et du Conseil canin local.

Des chats aux talents variés

Voici les candidats au poste de Cat City Manager :

  • Ash : ténébreux et charismatique, il fait équipe avec Frost.
  • Frost : inséparable d’Ash, ils forment un duo dynamique.
  • Cindy Lou : douce et engagée, elle veut fédérer la communauté.
  • Gary : protecteur, il se présente comme le « gardien » du peuple félin.
  • Henri VI : mystérieux et intelligent, il « sait des choses »…
  • Katniss : combative et courageuse, elle veut défendre les droits des chats.
  • Chaton : rêveur et ambitieux, il promet une ville meilleure pour tous.

Voter et soutenir PAWS

Chaque vote est une donation pour soutenir les actions de PAWS of Coronado. En votant pour votre candidat préféré avant le lundi 14 juillet à 19 h, vous contribuez directement à l’adoption, la réhabilitation et la protection des animaux de la ville.

Les fonds récoltés serviront à trouver des foyers aimants pour les chiens et les chats abandonnés, à améliorer les soins vétérinaires, et à sensibiliser la population au respect des animaux.

ne association engagée depuis 2003

Depuis sa fondation par Dorothy « Louise » Shirley, PAWS of Coronado agit pour que chaque animal ait une seconde chance dans un foyer sûr. Grâce à des initiatives créatives comme cette élection, PAWS mobilise la communauté tout en mettant en avant les valeurs de compassion, de respect et de solidarité envers nos compagnons à quatre pattes.

Participez à cette belle aventure

Prendre part à cet événement unique, voter, partager et soutenir les actions de PAWS ! C’est l’occasion d’unir amusement, engagement citoyen et amour des animaux.

voir également


Partager
Continue la lecture

Actualité