La Fondation Salvando Peludos organise une initiative unique pour encourager l’adoption des chiens et des chats dans la région de Madrid. Du 2 au 8 septembre, un bus spécial, surnommé « Le bus le plus poilu », traversera plusieurs villes et centres commerciaux de la région pour présenter des animaux qui attendent une famille aimante.

Un tour pour sensibiliser et encourager l’adoption

Le bus circulera chaque jour à travers Madrid et s’arrêtera dans des lieux clés, tels que des centres commerciaux populaires . L’après-midi, il visitera diverses communes. Cette tournée se terminera en beauté le 8 septembre lors du Dogfest, un événement organisé par la mairie de Fuenlabrada, où les participants pourront partager un moment spécial avec leurs chiens à la piscine municipale.

Une campagne pour une adoption responsable

Pendant les arrêts du bus, des dépliants seront distribués avec des conseils d’éducateurs canins, soulignant l’importance d’une adoption responsable. Les passants recevront également des petits cadeaux, comme des biberons pour nettoyer l’urine de leurs animaux et des bracelets. Cette campagne vise à sensibiliser le public à l’importance de donner un foyer aimant aux animaux abandonnés.

Fernando Sánchez, président de la Fondation Salvando Peludos, souligne l’objectif de cette initiative : « Chaque animal mérite un foyer où il est respecté et aimé. Nous espérons que cette campagne aidera non seulement à trouver des foyers pour les animaux les plus difficiles à adopter, mais aussi à sensibiliser la communauté aux bienfaits de l’adoption. »

Rencontrer les animaux et soutenir la cause

Les personnes intéressées par l’adoption pourront rencontrer les chiens et chats en attente de familles lors des différents arrêts du bus. Celles qui ne peuvent pas adopter pour l’instant pourront découvrir d’autres moyens de soutenir la cause, comme le bénévolat ou les dons.

De nombreuses personnalités, dont les actrices espagnoles Clara Lago et Nathalie Seseña, ainsi que des influenceurs comme Nicolás Coronado, soutiendront la campagne en visitant le bus et les animaux lors des différents arrêts.

Cette initiative originale est une opportunité pour la communauté de Madrid de se mobiliser pour une cause importante, en offrant une seconde chance à ces animaux.

L’importance d’un chien d’assistance pour l’anxiété: Une jeune femme de 27 ans a dû quitter prématurément le mariage de sa sœur après que son chien d’assistance a été refusé à l’entrée. Souffrant d’anxiété sévère et de trouble de stress post-traumatique (TSPT), elle dépend de ce chien pour l’aider à gérer les situations stressantes. Bien qu’elle ait informé sa sœur à l’avance de sa nécessité d’avoir son chien avec elle, la mariée s’est montrée réticente.

Une demande qui divise

Quelques jours avant le mariage, la mariée a demandé à sa sœur de venir sans son chien, craignant que la présence de l’animal ne perturbe les invités et ne gâche les photos. La jeune femme a tenté d’expliquer l’importance de son chien pour son bien-être, mais la mariée a insisté sur le fait que cela compromettrait la « journée parfaite ». En échange, elle a proposé un accompagnement humain, une offre que la femme a poliment refusée, insistant sur le fait que son chien était irremplaçable.

Une tentative d’adaptation sans succès

Déterminée à ne pas gâcher le mariage, la femme a décidé d’assister à la cérémonie sans son chien. Toutefois, la réception s’est avérée trop difficile à gérer sans son soutien animalier. Face à une montée d’anxiété, elle a choisi de quitter la fête plus tôt, après avoir expliqué sa décision à sa sœur.

Réactions contrastées et soutien en ligne

La décision de la jeune femme de partir a provoqué des réactions mitigées au sein de la famille. Certains ont soutenu la mariée, jugeant que sa sœur aurait dû faire un effort pour l’événement, tandis que d’autres ont compris la difficulté de gérer son anxiété sans son chien. Cherchant à savoir si elle avait pris la bonne décision, la femme a partagé son histoire sur Reddit, où une majorité de personnes a pris son parti.

Les utilisateurs ont souligné que le besoin d’un chien d’assistance est légitime et qu’il est injuste de demander à quelqu’un de se séparer de son animal pour un événement social. Beaucoup ont également noté que sa participation partielle au mariage était déjà un compromis important de sa part, montrant à quel point elle avait tenté de concilier les attentes de sa sœur avec ses propres besoins. Cette situation met en lumière les défis auxquels sont confrontées les personnes dépendantes d’un chien d’assistance et l’importance de comprendre et de respecter leurs besoins.

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Ceco, le beagle renifleur, en mission à l’aéroport d’Incheon: La Corée du Sud a pris des mesures inédites pour empêcher l’entrée des punaises de lit sur son territoire après les Jeux olympiques de Paris. Un chien renifleur, nommé Ceco, a été spécialement formé pour détecter ces petits insectes nuisibles. Ceco, un beagle de deux ans, est actuellement déployé à l’aéroport international d’Incheon, la principale porte d’entrée du pays. Ce chien, le premier de son genre en Corée du Sud, peut inspecter une chambre d’hôtel en moins de deux minutes, selon Kim Min-su, responsable de l’entreprise de lutte antiparasitaire Cesco.

Une collaboration nationale pour la prévention

Pour cette mission, Cesco a collaboré avec plusieurs ministères, dont ceux de la Sécurité et des Transports, ainsi qu’avec l’Agence de contrôle et de prévention des maladies. Ensemble, ils ont mis en place un protocole strict pour contrôler les voyageurs en provenance de Paris, y compris les athlètes et officiels sud-coréens. Les vols directs en provenance de Paris sont désormais désinfectés chaque semaine, une mesure renforcée par rapport à la routine mensuelle habituelle. Le service de quarantaine de l’aéroport est également prêt à intervenir en cas de détection de punaises de lit dans un avion ou à l’aéroport.

Le souvenir d’une hystérie nationale

Cette initiative préventive fait écho à une période d’hystérie nationale en Corée du Sud en 2023, où des rumeurs d’infestations de punaises de lit avaient semé la panique dans le pays. Des lieux tels que des micro-appartements, des motels et même un spa traditionnel appelé « jjimjilbang » avaient été touchés, entraînant une vaste campagne de désinfection. Ce souvenir est encore frais dans la mémoire collective, et les autorités sud-coréennes ne veulent prendre aucun risque à l’issue des Jeux de Paris.

Une mission en cours jusqu’en septembre

Le déploiement de Ceco à Incheon se poursuivra jusqu’au 8 septembre, période durant laquelle les autorités sud-coréennes prévoient l’arrivée de nombreux athlètes et officiels en provenance de Paris. Grâce à ce chien renifleur et aux mesures préventives mises en place, la Corée du Sud espère éviter une nouvelle crise liée aux punaises de lit sur son territoire.

Un incident surprenant : Une vidéo récente a suscité une vive polémique en montrant un chien en train de manger sur une table dans le salon Delta One à l’aéroport JFK de New York. Ce chien, un Maltipoo nommé Oliver, voyageait avec sa propriétaire en classe affaires vers le Portugal. Les images, diffusées sur TikTok, ont choqué de nombreux internautes, soulevant des questions sur les règles et les comportements à bord des avions.

Oliver, le chien « d’assistance »

Delta Airlines n’autorise pas les animaux de compagnie ou les animaux d’assistance émotionnelle en classe affaires sur les vols internationaux. Seuls les chiens d’assistance sont acceptés. Oliver est présenté comme un chien « thérapeutique » sur la chaîne TikTok de sa propriétaire. Cependant, la vidéo montre Oliver léchant des assiettes et buvant du champagne dans le salon Delta One, ce qui a suscité des doutes sur la véritable nature de son rôle d’assistance.

Réactions et préoccupations

Les réactions à cette vidéo ont été très variées. Beaucoup se demandent comment un tel comportement a pu être toléré dans un salon de classe affaires. Les critiques soulignent que permettre à des chiens d’agir ainsi pourrait ouvrir la porte à d’autres abus, rendant les voyages moins confortables pour les autres passagers. Certains craignent même que cela ne mène à une prolifération d’animaux non autorisés dans les avions.

Les règles de Delta

Delta a des règles strictes concernant les animaux à bord. Les animaux de compagnie doivent rester dans des chenils et ne sont pas autorisés en cabine en classe affaires. Les chiens d’assistance, eux, sont censés avoir une formation spécifique pour aider leurs propriétaires. La situation d’Oliver soulève des questions sur la vérification de ces certifications et sur les abus possibles des règles en place.

L’avenir des politiques aériennes

Cet incident a relancé le débat sur les politiques des compagnies aériennes concernant les animaux à bord. Certaines personnes demandent des règles plus strictes et une meilleure vérification des chiens d’assistance. D’autres plaident pour une tolérance zéro face aux abus, afin de maintenir un environnement sain et agréable pour tous les passagers.

Conclusion

Le cas d’Oliver, le Maltipoo, met en lumière les défis que rencontrent les compagnies aériennes pour équilibrer les besoins des passagers ayant des animaux d’assistance et ceux des autres voyageurs. Il est crucial que Delta et d’autres transporteurs révisent leurs politiques pour éviter de tels incidents à l’avenir et garantir un voyage confortable et sûr pour tous.

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Des histoires insolites autour des chiens : Les politiciens américains nous surprennent souvent par des récits étonnants et parfois choquants impliquant des animaux et leur vision de la politique. Récemment, Robert F. Kennedy Jr. a partagé une histoire où il a transporté un bébé ours mort dans son coffre après qu’une femme l’ait accidentellement tué. Il voulait l’écorcher et le manger, mais faute de temps, a abandonné l’ours dans Central Park, posant un vélo dessus pour détourner les soupçons.

Les chiens au centre de récits politiques

Ce n’est pas la première fois que les animaux, en particulier les chiens, sont au centre des histoires racontées par des politiciens. Vanity Fair a récemment publié une photo de Kennedy et d’une femme mangeant ce qui semblait être un chien, bien que Kennedy ait nié en précisant qu’il ne mangerait jamais un chien, un singe ou une personne, et que c’était une chèvre. Cette histoire a soulevé des questions sur les limites et les vérités derrière ces récits.

Un message sous-jacent

Ces histoires ne sont pas seulement des anecdotes. Elles véhiculent un message politique fort. Kristi Noem, la gouverneure du Dakota du Sud, a partagé dans ses mémoires comment elle avait tué un chien et une chèvre en une journée. Son message était clair : elle aime les armes et n’a pas peur de la cruauté si cela prouve sa détermination et sa force.

L’influence des « meatfluencers »

Ces récits s’inscrivent dans une tendance plus large où la consommation de viande devient un symbole de virilité et de résistance. Robert F. Kennedy Jr. et d’autres politiciens utilisent cette image pour renforcer leur stature publique. Jordan Peterson et sa fille Mikhaila, avec leur régime à base de viande, sel et eau, illustrent cette tendance où la viande est synonyme de force et de détermination.

Un risque d’imitation

Ces pratiques pourraient influencer d’autres politiciens, y compris en dehors des États-Unis. Il est à craindre que des figures politiques britanniques imitent ces comportements extrêmes pour attirer l’attention. Les défenseurs des animaux, comme la RSPCA, doivent rester vigilants face à ces potentielles dérives.

En conclusion, les récits de politiciens américains sur la consommation de viande, souvent choquants et controversés, visent à renforcer leur image et à marquer les esprits. Cependant, ces pratiques soulèvent des questions éthiques et montrent à quel point les animaux, y compris les chiens, peuvent devenir des outils dans le jeu politique. Les chiens, souvent utilisés dans ces histoires, illustrent les extrêmes auxquels certains politiciens sont prêts à aller pour capter l’attention et envoyer des messages forts à leurs électeurs.

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Épidémies de grippe aviaire aux États-Unis

Le Service d’inspection de la santé animale et végétale (APHIS) du ministère américain de l’agriculture (USDA) a signalé cinq nouveaux foyers de grippe aviaire H5N1 dans des élevages laitiers situés dans le Colorado, le Michigan et le Texas. Cette situation porte à 145 le nombre total de foyers confirmés dans 12 États.

Propagation aux chats domestiques

L’APHIS a également confirmé la présence du virus H5N1 chez trois chats domestiques, deux dans le Minnesota et un au Michigan, augmentant ainsi le total des cas de chats infectés depuis 2022 à 33. Les deux chats du Minnesota étaient des chats sauvages vivant dans une ferme laitière infectée située dans le comté de Sibley. Les échantillons ont été prélevés le 10 juin. Le chat du Michigan, dont les échantillons ont été collectés le 18 avril, provenait du comté d’Ottawa, une région touchée par plusieurs épidémies de H5N1.

Impact sur les élevages laitiers

Les nouveaux foyers de grippe aviaire comprennent trois fermes laitières au Colorado, une au Michigan et une au Texas. Le Minnesota, en particulier, a signalé huit épidémies de H5N1 dans ses fermes laitières, avec la dernière détection dans le comté de Benton.

Transmission aux animaux sauvages

En plus des chats domestiques, l’APHIS a également détecté le virus H5N1 chez un raton laveur du comté d’Ottawa. Les échantillons avaient été prélevés le même jour que ceux du chat infecté. La propagation du virus aux animaux sauvages et domestiques indique une circulation active du virus dans l’environnement.

Cas de H5N1 chez les oiseaux sauvages

Quatre autres cas de H5N1 ont été confirmés chez des oiseaux sauvages dans les comtés de Plymouth et de Sioux, Iowa. Les oiseaux infectés comprenaient un carouge à épaulettes, un rouge-gorge, un urubu à tête rouge et une hirondelle rustique. Les échantillons ont été prélevés entre la mi-juin et la fin juin.

En bref

La propagation de la grippe aviaire H5N1 aux chats domestiques et sauvages, ainsi qu’aux élevages laitiers, souligne la nécessité d’une vigilance accrue et de mesures de contrôle strictes. Les autorités continuent de surveiller et d’intervenir pour limiter la propagation de ce virus potentiellement dangereux pour les animaux domestiques et sauvages.

Une apparence unique : Maxwell, un chat au charme unique, a captivé des milliers de personnes grâce à ses oreilles étonnantes. Ses oreilles, ressemblant plus à celles d’un koala qu’à celles d’un chat, sont entourées d’une crinière blanche inhabituelle. Ce phénomène est dû à son patrimoine génétique exceptionnel. Maxwell possède une fourrure grise, soyeuse et épaisse, héritée de ses ancêtres Maine Coon et Perses. Des tests ADN sont en cours pour comprendre précisément son origine.

De chat ordinaire à star des réseaux sociaux

Adopté par Becki Chafee et sa fille auprès de la Best Friends Animal Society, une organisation de protection des animaux basée dans l’Utah, Maxwell ressemblait initialement à un chat au pelage classique. Cependant, sa crinière a commencé à pousser progressivement, devenant de plus en plus imposante et distinctive. Aujourd’hui, il est souvent comparé à Albert Einstein, Gargamel des Schtroumpfs, et au docteur Emmett Brown de « Retour vers le futur » sur les réseaux sociaux, notamment sur TikTok (@maxandhisfloofs).

Un appel à l’adoption

Becki Chafee encourage fortement l’adoption des animaux en refuge, soulignant qu’on peut y trouver des trésors inattendus comme Maxwell. « Quand on adopte un chat, on ne sait jamais quels trésors on peut trouver. Pas besoin d’aller chez un éleveur, il suffit de chercher un refuge : il y en a partout », dit-elle. Son histoire montre comment un chaton sans défense peut devenir un magnifique compagnon.

En bref

Maxwell, avec ses oreilles exceptionnelles et sa crinière majestueuse, est bien plus qu’une star des réseaux sociaux. Il est le symbole de la diversité génétique et de l’importance de l’adoption des animaux en refuge. Son parcours inspire à découvrir et à accueillir les merveilles que l’on peut trouver en donnant une chance aux animaux en difficulté.

Une situation alarmante : à New Delhi, les vagues de chaleur extrêmes (canicule) provoquent de graves problèmes pour les animaux de la rue; les chiens, en particulier, souffrent de stress thermique et de soif. Les chiens errants saignent du nez et halètent sous la chaleur accablante, tandis que les chats et autres animaux montrent des signes évidents de détresse.

L’intervention des organisations

Des organisations de protection animale, comme Yamuna Khimtsang, se mobilisent pour atténuer la souffrance des animaux (chiens), suite à la canicule. Chaque matin, dès sept heures, les membres de l’organisation préparent des repas pour les chiens des rues de New Aruna Nagar (colonie à Dehli), avant que le soleil ne devienne insupportable. Les températures atteignent des niveaux record, rendant les chiens particulièrement vulnérables aux coups de chaleur et aux accidents vasculaires cérébraux.

Mesures prises pour aider les chiens

Yamuna Khimtsang a installé 150 grandes gamelles d’eau en béton dans les plaines inondables de Yamuna, à Majnu ka Tilla. Ces initiatives sont cruciales, car les chiens deviennent léthargiques et irritables à cause de la chaleur. Ils refusent souvent de sortir pour manger, rendant l’accès à l’eau encore plus essentiel.

Témoignages des soigneurs

Shubhankar Singh, de l’ONG Ojaswini, qui nourrit près de 700 chiens errants à Delhi, exprime sa préoccupation face à l’augmentation des cas de coups de chaleur. En seulement 25 jours, cinq chiens qu’ils nourrissent sont morts à cause de la chaleur. Ayesha Christina Benn, de Neighbourhood Woof, a également observé une hausse des cas de coups de chaleur et de fièvre à tiques chez les chiens. Benn souligne que la concrétisation des campus universitaires aggrave la situation en augmentant les températures locales et réduisant les zones d’ombre.

Collaboration avec les Communautés

Les efforts des organisations de protection animale impliquent souvent une collaboration avec les habitants des bidonvilles pour garantir que les ressources, comme les bols d’eau, ne soient pas volées et soient régulièrement remplis. Les enfants de la colonie JJ adjacente aident également à nourrir les chiens de New Aruna Nagar, montrant l’importance de l’engagement communautaire dans ces initiatives.

L’importance de ressources adéquates

Selon Kungsang Tsephel, co-fondateur de Yamuna Khimtsang, les chiens peuvent supporter beaucoup de choses, mais ils ont besoin de ressources essentielles comme de l’eau et de l’ombre. Fournir ces éléments de base est crucial pour leur survie et leur bien-être. Les chiens Delhi ne devraient pas avoir à parcourir de longues distances pour trouver de l’eau, surtout en période de canicule.

En bref

La situation des chiens errants à Delhi est alarmante et nécessite une intervention continue et accrue des organisations de protection animale. La chaleur extrême met en danger la vie des animaux, et il est essentiel de garantir qu’ils aient accès à des ressources vitales pour survivre. Les efforts des bénévoles et des organisations comme Yamuna Khimtsang et Ojaswini sont indispensables pour atténuer la souffrance des animaux de rue pendant les mois d’été brûlants.

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Un incident tragique : Il y a environ deux semaines, dans le camp de réfugiés de Jabaliya à Gaza, un chien de combat de l’unité Oketz de Tsahal a été envoyé pour inspecter un bâtiment suspect. Malheureusement, le chien n’est jamais revenu. Les soldats ont retrouvé son corps et ont découvert qu’il était équipé d’explosifs. Cette prise de conscience rapide a permis d’éviter des pertes humaines parmi les soldats.

Les conséquences de l’attaque

Depuis le 7 octobre, l’unité Oketz a perdu une trentaine de chiens au combat. Cette unité spécialisée, reconnue pour ses compétences opérationnelles, devrait s’agrandir dans les prochaines années pour répondre aux besoins croissants. En effet, l’unité prévoit de tripler ses effectifs dans les cinq ans à venir.

Unité Oketz : histoire et évolution

L’unité Oketz a été renforcée par des acquisitions de nouveaux chiens étrangers spécialisés dans diverses tâches. De plus, pour la première fois, des femmes soldats rejoindront les rangs de cette unité d’élite, servant aux côtés de leurs homologues masculins dans des rôles de combat.

Stratégies et technologies de pointe

Pour améliorer l’efficacité de ses missions, Tsahal a équipé ses chiens de dispositifs de diffusion en direct, permettant aux équipes de suivre les opérations en temps réel. Cette technologie a révolutionné la manière dont les missions sont menées, garantissant une surveillance continue et une réduction des risques pour les soldats.

Défis et réponses

Les attaques du Hamas, comme celle qui a coûté la vie à ce chien, soulignent la brutalité et l’inhumanité des méthodes utilisées par ces groupes. En plus de piéger le corps du chien avec des explosifs, les terroristes ont tendu des pièges mortels pour les soldats, utilisant des armes montées sur des grenades prêtes à exploser.

L’engagement de Tsahal

Tsahal s’efforce de maintenir la sécurité de ses soldats tout en honorant ses chiens de combat. Ces chiens, souvent blessés ou tués en service, sont traités avec le plus grand respect. Ceux qui meurent sont enterrés au cimetière canin de la base d’Oketz, témoignant de l’importance de leur contribution.

Le Futur de l’Unité Oketz

Avec l’intégration de nouvelles technologies et l’augmentation des effectifs, l’unité Oketz se prépare à relever les défis futurs. Entraînant également des réservistes pour des interventions antiterroristes, Tsahal renforce sa capacité à répondre rapidement et efficacement à toute menace.

En bref

L’incident tragique de Jabaliya met en lumière les sacrifices faits par les chiens de combat de Tsahal et l’importance de leur rôle dans la lutte contre le terrorisme. L’engagement continu de Tsahal à renforcer et à moderniser ses unités, tout en honorant ses héros à quatre pattes, est essentiel pour garantir la sécurité et l’efficacité de ses opérations.

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Une condamnation historique : Envigo RMS LLC, une entreprise élevant des animaux à des fins médicales, vient d’être frappée d’une amende record de 35 millions de dollars pour cruauté envers 4 000 beagles sauvés de ses installations en Virginie.

Un jugement sévère

L’amende, la plus élevée jamais imposée sous la loi sur la protection des animaux, reflète la gravité des violations commises par Envigo RMS LLC, selon le ministère américain de la Justice. Christopher Kavanaugh, procureur pour le district ouest de la Virginie, a dénoncé une culture d’entreprise axée sur le profit au détriment du respect de la loi et du bien-être des animaux.

Répercussions et engagements

La société mère, Inotiv, a accepté de verser une compensation à huit chiffres et de ne pas se livrer à l’élevage de chiens pendant cinq ans. Dans un communiqué, Inotiv a reconnu ses fautes, s’excusant publiquement pour les souffrances infligées aux animaux et les dommages environnementaux causés par ses pratiques.

Des Conditions de vie horribles

Les conditions à l’établissement d’élevage de Cumberland étaient déplorables : les chiens étaient souvent privés de soins vétérinaires élémentaires, nourris avec des aliments contaminés et logés dans des conditions insalubres. Certains animaux ont été négligés au point de mourir de maladies facilement traitables.

Réhabilitation et adoption

Le sauvetage massif des 4 000 beagles en août 2022 a mobilisé des refuges à travers les États-Unis pour trouver de nouveaux foyers aimants à ces animaux traumatisés. L’opération de sauvetage a été une réponse nationale à l’urgence de secourir ces chiens de l’horreur.

Admission de responsabilité

Envigo a plaidé coupable d’avoir conspiré pour violer la loi sur le bien-être des animaux en ne fournissant pas les soins adéquats et les conditions de vie sûres nécessaires aux chiens. L’entreprise sœur, Envigo Global Services Inc, a également admis des violations sous la Clean Water Act pour des pratiques d’élimination des déchets dangereuses.

Conclusions et restitutions

L’accord conclu prévoit un paiement de 22 millions de dollars au gouvernement américain, ainsi que des contributions à des organisations comme la Virginia Animal Fighting Task Force et la Humane Society des États-Unis, qui ont joué un rôle crucial dans le sauvetage des beagles.

Conclusion : vers une protection renforcée

Cette condamnation historique envoie un message fort sur la nécessité de respecter les normes de bien-être animal et environnemental. En punissant sévèrement les violations, les autorités visent à dissuader d’autres entreprises de suivre le même chemin, tout en promouvant une meilleure protection des animaux aux États-Unis.

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Un récent débat a été enflammé par un promeneur de chiens à Sydney, affirmant que jeter le sachet d’excréments de son chien dans les poubelles résidentielles (privé) est une pratique tout à fait acceptable. Mais cela soulève des questions : est-ce légal et quelles sont les implications ?

Une pratique courante divise l’opinion publique

Dans une banlieue chic de Sydney, un propriétaire de chien a déclenché une controverse en expliquant qu’il utilisait les poubelles résidentielles pour se débarrasser des déchets de son chien. Il a partagé son expérience à Bondi (banlieue de Sydney), où un voisin l’a confronté pour cette pratique, suscitant ainsi un débat en ligne sur la légitimité de l’utilisation des poubelles de quartier pour les détritus canins.

La position de la loi à Sydney

Selon les informations fournies par Paul’s Rubbish Removal, une entreprise de gestion des déchets à Sydney, il n’est pas illégal de jeter des déchets dans une poubelle municipale située sur le bord de la route. Cependant, la législation stipule que l’intrusion dans une propriété privée pour jeter des déchets est une violation, passible de sanctions légales.

Qu’en dit la législation de la Nouvelle-Galles du Sud ?

La loi de Nouvelle-Galles du Sud indique que jeter des déchets dans un réceptacle public, comme une poubelle municipale, ne constitue pas une infraction si le conteneur est fourni par le gardien du lieu pour le dépôt des déchets. Ainsi, les poubelles résidentielles placées à l’extérieur pour la collecte par la municipalité peuvent être considérées comme des réceptacles publics.

Débat public et réactions

Le débat en ligne a reflété des points de vue variés. Certains soutiennent que l’utilisation des poubelles de rue est justifiée tant que les déchets sont correctement emballés. D’autres estiment que cela pourrait perturber les résidents propriétaires de ces poubelles, surtout si elles sont utilisées avant la collecte officielle des ordures.

Perspectives et préoccupations

Les propriétaires de chiens responsables se sont exprimés, soulignant l’importance de ramasser les déjections de leurs animaux de compagnie, mais aussi de respecter la propriété privée des autres. Certains ont exprimé leur irritation lorsque des promeneurs de chiens utilisent leurs poubelles résidentielles immédiatement avant ou après la collecte officielle.

En bref

En conclusion, bien que jeter des déchets de chien dans une poubelle municipale sur la voie publique ne soit pas illégal à Sydney, il est essentiel de respecter les droits des résidents et de comprendre les préoccupations communautaires. Le débat continue de faire rage, mettant en lumière l’importance de la responsabilité individuelle et du respect mutuel dans la gestion des déchets canins en milieu urbain à Sydney et ailleurs.

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Garry Sutherland, candidat réformiste britannique, a été reconnu coupable de cruauté envers un animal. Le tribunal de première instance de Weymouth l’a condamné pour avoir donné un coup de pied à un chien, causant des souffrances inutiles à un animal protégé. L’incident s’est produit le 24 juillet 2022 dans le village de Chideock, dans l’ouest du Dorset.

Condamnation et sanctions

En août 2023, Sutherland a été condamné à une amende de 2 000 livres et interdit de posséder des animaux pendant deux ans. En plus de cette amende, il doit effectuer 200 heures de travail non rémunéré au cours des 12 prochains mois. Lors de son procès, Sutherland a plaidé non coupable en novembre 2022, mais a finalement été reconnu coupable.

Réactions et justifications

Un porte-parole de Reform UK a confirmé que Sutherland avait donné un coup de pied au chien, mais a justifié son acte en disant qu’il essayait d’empêcher le chien d’attaquer des personnes. Sutherland lui-même a réagi sur les réseaux sociaux, affirmant qu’il avait agi pour protéger une famille d’une attaque de chien. Sur X (anciennement Twitter), il a écrit : « Un titre plus précis serait ‘un ancien démineur sauve une famille d’une attaque de chien’. Mais nous ne devons pas laisser la vérité entraver la campagne électorale. Hein ? »

Réactions en Ligne

La condamnation de Sutherland a suscité de nombreuses réactions en ligne. Des publications sur sa condamnation sont devenues virales, atteignant des dizaines de milliers de vues. Un compte nommé « Brexit Buster » a publié : « On dirait que Garry Sutherland, un agresseur de chiens reconnu coupable et candidat potentiel au parlement de Reform UK Ltd, s’est mis à l’abri après la révélation de son récent procès et de sa condamnation. Des amendes et des frais totalisant près de 2 000 livres, interdit de garder un chien, 200 heures de travaux d’intérêt général »

Contexte et Implications Politiques

Sutherland est candidat pour le parti réformiste britannique dans la circonscription d’Exmouth et Exeter Est. Sa condamnation a mis en lumière son passé et ses prises de position controversées. Le Mirror a découvert qu’il s’était rendu à Londres pour entendre l’ancien député conservateur Andrew Bridgen lier les décès excessifs aux vaccinations contre le COVID-19. Son compte de campagne a également retweeté des messages sceptiques à l’égard des vaccins.

Sutherland s’est précédemment décrit comme un « mari, père et patriote, qui a servi en tant qu’officier de déminage dans l’armée britannique », selon l’Exmouth Journal. Sa condamnation et les réactions qui ont suivi risquent de peser sur sa campagne électorale et sur sa réputation publique. Qui est prêt à parier qu’il ne sera pas élu, dû à cet acte abjecte ?

Le parti politique du candidat

Le leader du parti « Reform UK » est Nigel Farage. Nigel Farage est un homme politique de la droite souverainiste, classé à l’extrême droite. C’est un réformiste.

Farage est un grand opposant à l’Union européenne pour son pays et initiateur du Parti du Brexit. En 2019, craignant un recul sur la question, il fonde donc le Parti du Brexit, qui arrive en tête des élections européennes. Il accepte ensuite de ne pas présenter de candidats de son parti aux élections générales anticipées britanniques face aux députés sortants du Parti conservateur, dont la victoire permet finalement le Brexit.

Le 24 juin 2016, au lendemain de la tenue du référendum, à l’issue duquel les Britanniques expriment leur choix de quitter l’Union européenne (« Brexit »), il parle de « jour de l’indépendance » britannique, déclare qu’il s’agit d’« une victoire pour les gens ordinaires, pour les gens bons, pour les gens honnêtes » et réclame un « gouvernement Brexit » pour le Royaume-Uni.

Au début de l’année 2021, au lendemain du retrait officiel du Royaume-Uni de l’UE, le Parti du Brexit devient Reform UK. Nigel Farage annonce le 3 juin 2024 sa participation aux élections anticipées au Royaume-Uni sous la bannière de Reform UK « en pleine ascension dans les sondages ». Elections qui auront lieu le 4 juillet 2024, l’élection à la chambre des communes (chambre basse) et la désignation du Premier ministre britannique.

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