Connect with us

Uncategorized

PETA attaque les standards des races de chiens

Publié il y a

Le

Partager

Des chiens rendus malades par l’apparence : L’association de défense des animaux PETA a lancé une action en justice contre l’American Kennel Club (AKC), l’organisme qui fixe les critères physiques des chiens de race aux États-Unis. En particulier, PETA vise les standards imposés à certaines races populaires comme le bouledogue français, le carlin, le teckel ou encore le sharpei.

Selon PETA, ces standards encouragent l’élevage de chiens avec des caractéristiques physiques extrêmes qui nuisent à leur santé : museaux trop courts, têtes trop grosses, corps trop longs ou peau trop plissée. Ces défauts ne sont pas seulement esthétiques : ils causent des douleurs, des troubles respiratoires, des problèmes de peau ou encore des difficultés à accoucher naturellement. PETA estime que ces chiens sont parfois « déformés » pour répondre aux exigences des concours de beauté.

L’AKC défend ses pratiques

De son côté, l’American Kennel Club, une organisation créée en 1884 et très influente dans le monde canin, rejette fermement ces accusations. L’AKC affirme que la santé des chiens est sa priorité et que ses standards sont élaborés avec des vétérinaires et des éleveurs qualifiés. L’organisation rappelle qu’elle finance aussi des recherches vétérinaires et promeut l’élevage responsable.

Chaque race a son propre club qui définit les critères idéaux pour ses membres. L’AKC valide ensuite ces descriptions, utilisées pour les concours et les pedigrees.

Une bataille qui dépasse les concours

Le conflit entre PETA et l’AKC dure depuis des années. PETA s’oppose en général à l’élevage de chiens de race et préfère l’adoption d’animaux abandonnés. Elle accuse les standards de race de privilégier l’apparence au détriment du bien-être animal.

Des pays comme les Pays-Bas ont déjà interdit l’élevage de chiens au museau trop court, comme les carlins ou les bouledogues, pour protéger leur santé. Le Royaume-Uni et la Norvège ont aussi pris des mesures contre certaines races à problèmes. Les recherches montrent que les bouledogues français, très populaires, ont une espérance de vie plus courte et sont plus souvent malades que les autres chiens.

Une question de respect pour les chiens

PETA espère que son procès obligera l’AKC à revoir les standards qui rendent certaines races malades dès la naissance. L’association souhaite qu’on élève les chiens en fonction de leur bien-être, et non pour plaire à un jury de concours. Pour PETA, il est temps de mettre la santé des chiens avant leur apparence.

Cette affaire relance un débat important : à quoi sert un chien ? Doit-il répondre à un idéal visuel ou simplement vivre en bonne santé auprès de ses humains ?

voir également


Partager
Continue la lecture
Publicité

Uncategorized

Voter pour le futur maire félin de Coronado

Publié il y a

Le

Partager

Une élection originale pour une belle cause : À Coronado, l’association PAWS (Pacific Animal Welfare Society) lance une campagne pleine d’humour et de tendresse : élire le prochain directeur félin de la ville des chats. Cet événement amusant est l’occasion parfaite pour renforcer le lien entre les habitants et leurs animaux, tout en soutenant une cause sérieuse : le bien-être animal.

Les candidats sont sept chats, chacun avec une personnalité unique, prêts à assumer leur rôle symbolique dans cette aventure communautaire. Le ou la gagnante deviendra ambassadeur félin aux côtés de Valkyrie, la chienne maire de Coronado, et du Conseil canin local.

Des chats aux talents variés

Voici les candidats au poste de Cat City Manager :

  • Ash : ténébreux et charismatique, il fait équipe avec Frost.
  • Frost : inséparable d’Ash, ils forment un duo dynamique.
  • Cindy Lou : douce et engagée, elle veut fédérer la communauté.
  • Gary : protecteur, il se présente comme le « gardien » du peuple félin.
  • Henri VI : mystérieux et intelligent, il « sait des choses »…
  • Katniss : combative et courageuse, elle veut défendre les droits des chats.
  • Chaton : rêveur et ambitieux, il promet une ville meilleure pour tous.

Voter et soutenir PAWS

Chaque vote est une donation pour soutenir les actions de PAWS of Coronado. En votant pour votre candidat préféré avant le lundi 14 juillet à 19 h, vous contribuez directement à l’adoption, la réhabilitation et la protection des animaux de la ville.

Les fonds récoltés serviront à trouver des foyers aimants pour les chiens et les chats abandonnés, à améliorer les soins vétérinaires, et à sensibiliser la population au respect des animaux.

ne association engagée depuis 2003

Depuis sa fondation par Dorothy « Louise » Shirley, PAWS of Coronado agit pour que chaque animal ait une seconde chance dans un foyer sûr. Grâce à des initiatives créatives comme cette élection, PAWS mobilise la communauté tout en mettant en avant les valeurs de compassion, de respect et de solidarité envers nos compagnons à quatre pattes.

Participez à cette belle aventure

Prendre part à cet événement unique, voter, partager et soutenir les actions de PAWS ! C’est l’occasion d’unir amusement, engagement citoyen et amour des animaux.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Agir pour les chiens : mettre fin à l’horreur au Vietnam

Publié il y a

Le

Partager

Une réalité insoutenable pour des millions de chiens : Au Vietnam, chaque année, environ 5 millions de chiens sont tués pour leur viande. Cela signifie qu’environ 13 000 chiens meurent chaque jour dans des conditions particulièrement cruelles : battus à mort, pendus, saignés vivants ou ébouillantés. Beaucoup sont des chiens de compagnie volés, enfermés sans eau ni nourriture pendant plusieurs jours, entassés dans des cages rouillées et surchauffées.

Ces pratiques ne sont pas seulement violentes, elles sont aussi profondément choquantes pour le public. Pourtant, elles continuent en toute impunité, malgré l’opposition massive à ce commerce inhumain, tant au Vietnam qu’à l’étranger.

Les chats aussi victimes de ce commerce cruel

Le sort des chats n’est pas plus enviable : environ un million d’entre eux sont également capturés et tués chaque année pour la consommation humaine. Le traitement qu’ils subissent est tout aussi barbare. Ces animaux, souvent des animaux de compagnie, sont condamnés à mourir dans la douleur, pour une pratique que la majorité des Vietnamiens eux-mêmes ne considèrent pas comme faisant partie de leur culture.

Une mobilisation qui stagne à Los Angeles

À Los Angeles, le conseil municipal a adopté en 2019 une résolution s’opposant à la viande de chien. Un projet a même été proposé : jumeler la ville avec Hanoï, à condition que cette dernière interdise la viande de chien et de chat. Ce projet aurait pu être une avancée majeure dans la lutte contre ces pratiques. Mais la maire Karen Bass a bloqué l’initiative, malgré un soutien public très fort : plus de 34 000 signatures, 2 900 commentaires positifs, et l’appui de plusieurs conseils de quartier.

Aucune explication n’a été donnée pour ce blocage. Pendant ce temps, des milliers d’animaux meurent chaque jour.

Un appel à Donald Trump pour agir

Face à l’inaction locale et à l’indifférence du président Biden, des défenseurs des animaux se tournent vers l’ancien président Donald Trump. En tant que signataire de la loi interdisant la viande de chien et de chat aux États-Unis, il est appelé à user de son influence pour exiger que le Vietnam mette fin à ce commerce barbare.

Les demandes sont claires :

  • Appeler le Vietnam à interdire ce commerce ;
  • Inclure le bien-être animal dans les accords commerciaux ;
  • Dénoncer publiquement les élus qui s’opposent à ces mesures.

L’opinion publique vietnamienne soutient le changement

Des sondages récents révèlent que 68 % des Vietnamiens sont favorables à l’interdiction de la viande de chien, et 71 % pour celle du chat. Mieux encore, 95 % affirment que cette pratique n’est pas une partie de leur culture. Le moment est donc propice pour agir et obtenir un vrai changement.

Pour une action rapide et décisive

Chaque jour, 13 000 chiens et 2 700 chats meurent dans l’indifférence. Les défenseurs du bien-être animal demandent à Donald Trump de faire ce que d’autres n’ont pas fait : exiger du Vietnam la fin de ces pratiques inhumaines, et faire de cette cause un symbole de justice, de compassion et d’humanité.

Car sauver les chiens et chats du Vietnam, c’est sauver une part de notre humanité.

Signé : Jeff Mausner

https://www.citywatchla.com/animal-watch/31143-ignored-by-biden-and-bass-a-plea-to-president-trump-to-end-the-dog-cat-cruelty-in-vietnam


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Polémique à Londres : louer un appart… et garder les chats !

Publié il y a

Le

Partager

Un loyer élevé pour une « mission spéciale » : À Londres, une annonce immobilière a fait grand bruit sur les réseaux sociaux, notamment sur Reddit. Publiée sur le site SpareRoom, la proposition concernait un appartement d’une chambre situé dans le quartier de Surrey Quays, avec balcon, bien desservi et décrit comme « moderne et confortable ».

Mais ce qui a réellement choqué les internautes, ce n’est ni le prix de 2 200 £ par mois, ni la taille de l’appartement, mais une clause étonnante dans l’annonce : le locataire devra s’occuper de deux chats pendant toute la durée de son séjour.

Une demande jugée absurde par les habitants de Londres

De nombreux utilisateurs de Reddit ont réagi à cette annonce avec étonnement et ironie. Certains ont résumé la situation ainsi :
« Payez-moi pour garder MES chats ».
Selon eux, ce n’est rien d’autre que faire payer un service de garde d’animaux… à celui qui le rend.

Un internaute a même comparé cela à Airbnb, en disant que ce type de demande n’aurait jamais été accepté sur une plateforme classique de location courte durée. Un autre a estimé que le propriétaire aurait dû proposer une réduction de loyer ou rémunérer directement une personne pour s’occuper de ses animaux.

Et si c’était des chiens ?

Si la même annonce avait concerné des chiens, la réaction aurait probablement été encore plus vive. Les chiens, souvent plus exigeants en attention, promenades et soins quotidiens, demandent un réel investissement. Il serait injuste de faire peser cette responsabilité sur un locataire, sans contrepartie.

Garder un chien implique une organisation quotidienne, une attention constante à son bien-être, et surtout, du temps. Beaucoup de propriétaires paient des dog-sitters pour ces services. Faire l’inverse – faire payer quelqu’un pour s’occuper de son propre chien – paraîtrait totalement incohérent.

Une tendance inquiétante ?

Ce type d’annonce révèle aussi une tendance croissante : les propriétaires cherchent à cumuler les avantages, sans prendre en compte l’effort réel demandé. Que ce soit pour un chat ou un chien, prendre soin d’un animal est un engagement, pas une clause légère à glisser dans un contrat de location.

Les animaux ne sont pas des objets de décoration. Ils méritent des soins, de l’attention, et du respect. Il serait plus logique que le propriétaire cherche un gardien de confiance, ou paie un service adapté, plutôt que de faire passer sa responsabilité sur un locataire… tout en demandant un loyer élevé.

Voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Philippines: Vers une loi plus ferme contre la cruauté animale

Publié il y a

Le

Partager

Un projet de loi pour mieux protéger les animaux : Aux Philippines, un député du Congrès, Brian Poe, s’engage pour la cause animale. Il propose une nouvelle loi pour mieux protéger les animaux, en particulier les chiens, souvent victimes de mauvais traitements. Cette initiative vise à renforcer la législation actuelle, qui date de 1998 et qui, malgré une modification en 2013, reste jugée insuffisante.

Son projet, la loi HB n° 1746, vise à moderniser les règles de protection animale dans tout le pays. Poe souhaite créer un Bureau de la protection des animaux, qui serait rattaché au ministère de l’Agriculture. Ce bureau aurait pour mission de faire appliquer efficacement les lois, de coordonner les interventions et de fixer des normes claires pour le bien-être animal, selon le type d’animal (chien, chat, animaux de ferme, de travail, etc.).

Des sanctions plus sévères pour les actes de cruauté

Le projet de loi prévoit des peines plus lourdes pour ceux qui maltraitent les animaux. Par exemple, les personnes reconnues coupables de cruauté, de torture ou de mauvais traitements pourraient aller jusqu’à quatre ans en prison, et recevoir une amende allant jusqu’à 250 000 pesos philippins.

Ces sanctions visent à dissuader les actes de violence, comme les combats de chiens, le trafic de viande de chien, ou encore l’abandon ou la négligence. Brian Poe insiste : aucune justification culturelle ou économique ne doit servir d’excuse pour faire souffrir un animal.

Une protection spécifique pour les chiens et animaux de compagnie

Le projet de loi interdit clairement de tuer des animaux de compagnie comme les chiens ou les chats. Seuls les animaux élevés pour la consommation (comme les porcs ou les poulets) peuvent être abattus, dans des conditions bien précises. Cette règle met fin à certaines pratiques cruelles encore tolérées, notamment dans le cadre du commerce de viande de chien.

La loi stipule aussi que toute personne doit fournir à son animal de la nourriture, de l’eau, un abri et des soins médicaux, sous peine de sanctions. Cela concerne directement les propriétaires de chiens, qui doivent assurer le bien-être quotidien de leur compagnon.

Une prise de conscience nécessaire

En défendant ce projet, Brian Poe veut montrer que la protection animale est une responsabilité collective. Les chiens, souvent considérés comme des membres à part entière de la famille, méritent un traitement digne et respectueux. Ce projet de loi vise à changer les mentalités, à éduquer le public, et à rappeler que la violence envers un animal est un crime, pas un simple écart de comportement.

Avec cette proposition, les Philippines pourraient faire un grand pas en avant pour défendre les droits des chiens et des autres animaux contre la cruauté, l’exploitation et l’indifférence.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Singapour, acte obscène sur un chat : choc et mesures

Publié il y a

Le

Partager

Un comportement grave envers un animal sans défense : À Singapour, un jeune homme de 20 ans a été condamné à 18 mois de probation après avoir été surpris en train de commettre un acte obscène sur le chat de son voisin. L’animal, heureusement, n’a pas été blessé, mais l’affaire a profondément choqué l’opinion publique, relançant le débat sur la protection des animaux et la responsabilité morale de chacun envers eux.

Le jeune homme a été filmé par une caméra de vidéosurveillance, dans un espace public près de son immeuble, alors qu’il s’en prenait au chat. L’animal appartenait à un voisin qui le laissait se promener librement dans le quartier. Après la diffusion des images, la police a été alertée et a arrêté le délinquant dans la journée.

Une sanction accompagnée de suivi

La peine de probation impose au jeune homme un couvre-feu nocturne de 22h à 6h et 70 heures de travaux d’intérêt général. De plus, il doit suivre une intervention spécifique liée à son comportement sexuel déviant, encadrée par des professionnels. Sa mère a dû verser une caution de 5 000 dollars singapouriens pour garantir sa bonne conduite pendant la durée de la peine.

En plus de cet acte choquant, le jeune homme a été reconnu coupable d’autres délits, notamment de vol et d’agression, dont l’une visait un camarade de classe souffrant de troubles mentaux. Il l’intimidait à l’école, physiquement et en ligne, sans jamais être dénoncé, tant la victime était effrayée.

Une protection des animaux encore à renforcer

Cet acte ignoble rappelle à quel point les animaux, comme les chats ou les chiens, sont vulnérables face à la violence humaine. Bien qu’aucune blessure physique n’ait été constatée sur le chat, le geste reste d’une extrême cruauté, et souligne l’importance d’une législation ferme et cohérente pour punir et prévenir ce genre de comportement.

À Singapour, les cas de maltraitance animale restent nombreux, malgré le durcissement des lois depuis 2014. Entre 2019 et 2023, environ 1 200 signalements par an ont été recensés. L’affaire récente d’un autre homme ayant tué deux chats a d’ailleurs mené à une peine de prison aggravée, preuve d’une volonté croissante de dissuasion.

Et si c’était un chien ?

Si la victime avait été un chien, la réaction aurait été tout aussi vive. Les chiens, connus pour leur attachement aux humains, souffrent profondément des violences. Un acte obscène envers un chien, au-delà de l’horreur, poserait des enjeux similaires de respect, de soins, et de justice.

Cela montre que tout animal mérite une protection égale, qu’il s’agisse d’un chat, d’un chien ou d’un autre compagnon à quatre pattes. La justice de Singapour ne doit pas seulement punir, mais aussi prévenir, en sensibilisant, en éduquant et en offrant un soutien psychologique aux auteurs pour éviter la récidive.

Voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Cruauté animale : un tournant en Grèce

Publié il y a

Le

Partager

Un acte de violence qui bouleverse l’opinion : À Thessalonique, en Grèce, un homme de 34 ans a choqué tout le pays après avoir brutalement tué un chaton dans la rue. L’homme a été filmé en train de frapper le petit animal, puis de l’écraser volontairement avec sa voiture. Cette scène insupportable a été rapidement diffusée sur les réseaux sociaux, provoquant l’indignation générale et une réaction immédiate des autorités.

Suite à cette vidéo, l’homme a été arrêté et condamné à une amende de 50 000 euros, la plus lourde peine financière jamais infligée pour maltraitance animale en Grèce. Il a cependant été remis en liberté sous caution, ce qui a déclenché une nouvelle vague de colère parmi les défenseurs des animaux.

Une réponse judiciaire controversée

Malgré la gravité des faits, le tribunal a décidé de relâcher le suspect sous conditions : interdiction de quitter le pays, présence obligatoire au commissariat trois fois par mois et versement d’une caution. L’homme, connu des services de police, a également été retrouvé en possession de drogue, d’armes et d’argent liquide, ce qui a aggravé son dossier judiciaire.

Il a tenté de se justifier en affirmant qu’il était toxicodépendant et que la mort du chat était un accident. Mais les images et les témoignages contredisent clairement ses propos. Un témoin a raconté, encore bouleversé : « Il a délibérément tué ce petit être sans défense. C’était cruel, c’était sadique. »

Les défenseurs des animaux réclament des peines plus sévères

Plusieurs associations de protection des animaux ont dénoncé la libération du suspect et demandé un renforcement immédiat des lois contre la cruauté animale. Pour elles, cette affaire prouve que les sanctions existantes sont encore insuffisantes pour dissuader les actes de violence envers les animaux.

L’avocate Anthoula Anasoglou, engagée pour les droits des animaux, a alerté : « Ce genre de comportement est dangereux. Aujourd’hui, c’est un chat, mais demain, qui peut dire qu’il ne s’en prendra pas à une personne ? »

Une avancée pour la défense du bien-être animal

Cette affaire a mis en lumière le manque de protection pour les animaux en Grèce, malgré des lois renforcées ces dernières années. La cruauté envers les animaux est désormais un crime passible de prison, mais dans la réalité, les peines sont rarement appliquées avec rigueur.

Avec plus de 30 infractions signalées récemment à Thessalonique concernant la négligence des animaux, les autorités sont sous pression pour mieux faire respecter les règles. L’amende de 50 000 euros infligée dans ce cas pourrait marquer un tournant important, en envoyant un message fort à ceux qui maltraitent les animaux, y compris les chiens, souvent victimes eux aussi de violences.

Le respect de la vie animale : un devoir collectif

Cette affaire montre que le respect des animaux est un reflet de notre société. Les chiens, tout comme les chats, dépendent de nous pour leur sécurité et leur bien-être. Les violences faites à un animal ne doivent jamais être prises à la légère, car elles révèlent souvent des comportements plus larges et inquiétants. Punir ces actes avec fermeté, c’est protéger les plus vulnérables, qu’ils soient humains ou animaux.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Mako, ce chien élevé par des chats agit comme eux

Publié il y a

Le

Partager

Un chien pas comme les autres : Il existe des chiens qui grandissent dans des environnements un peu particuliers. C’est le cas de Mako, un pitbull élevé uniquement par des chats. Voir la vidéo YouTube Contrairement aux comportements attendus chez un chien, Mako saute sur les comptoirs, les placards et même le haut du réfrigérateur, exactement comme ses compagnons félins. Ce chien semble croire qu’il est un chat, et ses habitudes étonnent autant qu’elles attendrissent. Cette histoire amusante, partagée sur YouTube, montre que le comportement d’un chien dépend largement de son environnement.

Le rôle de l’apprentissage social chez le chien

Les chiens apprennent beaucoup par imitation. Entre 2 et 9 semaines, ils traversent une période clé appelée « période de socialisation ». Durant cette phase, ils observent, imitent et s’adaptent aux comportements des autres êtres vivants autour d’eux. Si un chiot vit entouré de chats pendant cette période, il est probable qu’il les considère comme des modèles à suivre.

Cela explique pourquoi certains chiens, comme Mako, adoptent des comportements typiquement félins : dormir dans des boîtes, se frotter aux meubles ou même tenter d’utiliser une litière. Ces habitudes sont renforcées si le chiot perçoit ces comportements comme positifs et naturels.

Une amitié possible entre chien et chat

Contrairement aux clichés populaires qui présentent chiens et chats comme ennemis, la cohabitation pacifique est tout à fait possible, surtout si elle commence tôt. De nombreux foyers partagent aujourd’hui leur quotidien avec les deux espèces, souvent très complices.

Les études montrent que les chiens élevés avec des chats dès leur plus jeune âge sont plus tolérants et à l’aise avec eux. Cela dépend bien sûr aussi du tempérament du chat, mais une exposition précoce à l’autre espèce facilite largement la cohabitation.

La race ne fait pas tout

Dans cette histoire, le fait que Mako soit un pitbull peut surprendre. Cette race souffre souvent d’une mauvaise réputation liée à des préjugés sur l’agressivité. Pourtant, la race ne détermine pas la personnalité d’un chien. De nombreux pitbulls sont affectueux, doux et très proches des humains comme des autres animaux.

Avec une bonne socialisation et un environnement positif, n’importe quel chien peut devenir un excellent compagnon, même pour un chat. La relation entre Mako et ses amis félins montre bien qu’avec de l’amour et du respect, même les animaux les plus différents peuvent vivre en harmonie.

Une belle leçon d’adaptation

L’histoire de Mako est un bel exemple de l’influence du milieu sur le comportement des animaux. Ce chien prouve qu’en grandissant entouré de chats, il peut adopter leurs habitudes avec naturel. Cela rappelle à quel point il est important de socialiser les chiens dès leur plus jeune âge, et surtout, de ne pas enfermer les animaux dans des stéréotypes.

Chaque chien est unique, et avec un bon environnement, il peut s’épanouir aux côtés d’animaux très différents… même en croyant être un chat !


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Nourrir les chiens errants pour plus de sécurité

Publié il y a

Le

Partager

Un projet inédit pour les chiens sans foyer : À Bengaluru, en Inde, la municipalité (Bruhat Bengaluru Mahanagara Palike BBMP) a lancé une initiative originale : nourrir les chiens errants avec des repas riches et équilibrés. Ce projet, financé à hauteur de 2,88 millions de roupies (335’000 dollars), a pour but d’améliorer la vie des chiens tout en réduisant les comportements agressifs, notamment envers les enfants.

Ce geste de compassion fait suite à des programmes pilotes réalisés dans certains quartiers. Pendant deux à trois mois, des repas ont été distribués à une centaine de chiens. Les résultats ont été encourageants : moins d’agressivité, plus de calme chez les animaux. Fort de ce succès, le BBMP a décidé d’étendre cette action à l’ensemble des huit zones de la ville.

Des repas adaptés pour les chiens errants

Les chiens errants recevront des plats simples mais nutritifs, comme du riz aux œufs ou au poulet, préparés par des restaurants locaux. Chaque repas apportera entre 700 et 750 calories, une ration suffisante pour garder les animaux en bonne santé. Chaque chien errant recevraa un repas soigneusement préparé par jour, pesant 367 grammes et conçu pour répondre aux besoins nutritionnels d’un chien moyen de 15 kg. Ce repas, d’un cout de 22.42 roupies (0.27 dollars), comprend 150 grammes de poulet, 100 grammes de riz, 100 grammes de légumes et 10 grammes d’huile.

Les prestataires sélectionnés devront nettoyer les lieux après distribution et rendre compte du nombre de chiens nourris. Le BBMP travaille avec des bénévoles pour identifier les zones de distribution les plus appropriées.

Le projet sera lancé pour une durée d’un an, renouvelable selon les résultats et la qualité du service. Seuls les fournisseurs enregistrés auprès de l’autorité indienne de sécurité alimentaire pourront y participer.

Un geste pour les chiens… et pour les humains

Cette décision ne vise pas seulement le bien-être animal, mais aussi la sécurité publique. En réduisant la faim, le BBMP espère limiter les conflits entre humains et chiens errants, souvent causés par des comportements agressifs liés à la survie.

Ce projet, à la fois humain et innovant, pourrait inspirer d’autres villes confrontées à une population canine en forte croissance. Il montre qu’il est possible de gérer les chiens errants avec respect, en les considérant comme des êtres vivants ayant des besoins simples : de la nourriture, de l’attention, et un peu de considération.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Un chien robot apprend à marcher comme un vrai

Publié il y a

Le

Partager

Un robot qui marche comme un chien : Des chercheurs de l’université de Leeds ont mis au point un robot à quatre pattes capable de se déplacer comme un vrai chien, sans avoir besoin d’être programmé pour chaque terrain. Surnommé « Clarence », ce chien robot utilise l’intelligence artificielle pour adapter ses mouvements en fonction du sol, même s’il ne l’a jamais rencontré auparavant. L’étude a été publiée dans la revue Nature Machine Intelligence.

Ce robot peut changer sa façon de marcher, trotter, courir ou même sauter selon ce qu’il ressent sous ses pattes. Ce comportement, encore inédit pour les robots, s’inspire directement des animaux, notamment des chiens, chats et chevaux. Ces animaux ajustent naturellement leurs allures pour économiser leur énergie, garder leur équilibre ou éviter les obstacles. Les chercheurs ont voulu donner au robot cette même intelligence naturelle du mouvement.

Une technologie inspirée des animaux

Au lieu d’apprendre au robot à réaliser une tâche précise, comme grimper ou marcher droit, les chercheurs ont choisi de lui enseigner des stratégies générales, comme le ferait un animal. Grâce à l’apprentissage par renforcement, une méthode utilisée aussi pour entraîner des chiens, le robot a appris en simulation à marcher de façon souple, efficace et adaptable.

Il a été confronté à des terrains variés : des racines, des copeaux de bois, des pierres ou des surfaces irrégulières. Il a aussi été bousculé avec un balai pour tester sa stabilité. Et il a su se relever tout seul, comme un vrai chien.

Ce type de robot pourrait être utile dans des zones dangereuses pour les humains, comme les sites nucléaires, les missions de secours, ou même l’exploration de planètes. Il pourrait aussi servir dans l’agriculture, pour surveiller les cultures sans endommager le sol, ou inspecter des zones difficiles d’accès.

Quand la nature inspire la robotique

Ce chien robot est un bel exemple de biomimétisme, c’est-à-dire l’art de s’inspirer de la nature pour créer de nouvelles technologies. Au lieu de modifier les animaux ou de les mettre en danger dans des lieux risqués, les scientifiques cherchent ici à reproduire leur savoir-faire naturel dans des machines.

Même si pour l’instant ce robot reste un prototype, ses résultats prometteurs montrent que la robotique animale est en pleine évolution. Et surtout, que les chiens, une fois de plus, inspirent l’innovation, même dans les domaines les plus futuristes. Grâce à leur souplesse, leur instinct et leur façon de se déplacer, ils aident à imaginer le monde de demain.

Voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

La scène du chien que personne n’a oubliée

Publié il y a

Le

Partager

Un film marquant, une scène bouleversante : Le film Je suis une légende, sorti en 2007 avec Will Smith, reste gravé dans la mémoire du public. Pourtant, ce n’est pas seulement à cause de son histoire post-apocalyptique ou de ses effets spéciaux impressionnants. C’est surtout la scène où le chien Sam meurt qui a profondément marqué les spectateurs. Akiva Goldsman, le scénariste du film, s’en souvient très bien. Il raconte que lors des premières projections, de nombreuses personnes quittaient la salle dès que le chien mourait.

Un lien fort entre l’homme et le chien

Dans l’histoire, Will Smith incarne Robert Neville, un scientifique et dernier survivant d’un virus qui a transformé la population humaine en monstres. Son seul compagnon est son chien, Sam, un berger allemand fidèle et affectueux. Leur lien est fort, presque familial. Pendant une grande partie du film, Sam représente pour Neville son seul soutien émotionnel, sa seule source de chaleur humaine dans un monde vide.

Mais tout bascule lorsqu’un jour, Sam est attaquée par des chiens infectés. Elle est mordue et tombe malade. Dans une scène tragique, Neville comprend que son chien commence à se transformer. Pour éviter qu’elle ne devienne dangereuse, il est contraint de l’étouffer de ses propres mains, les larmes aux yeux. La scène est filmée de façon intense, centrée sur le visage de l’acteur. On entend les griffes du chien racler le sol, puis plus rien. Le silence est lourd, et le chagrin, immense.

Une scène difficile mais réussie

Les créateurs du film savaient que cette scène allait être difficile à accepter. Même le patron du studio, grand amoureux des chiens, avait exprimé ses doutes. Pourtant, ils ont tenu à montrer cette douleur réelle que peut ressentir un être humain dans une situation extrême. La scène est sobre, mais poignante. On ne voit pas l’acte directement, mais l’émotion de Robert Neville suffit à transmettre toute la tristesse du moment.

Un moment gravé dans le cœur des spectateurs

Encore aujourd’hui, cette scène continue d’émouvoir. Sur YouTube, des milliers de commentaires parlent de leurs larmes, certains la comparant à d’autres grandes scènes de pertes animales dans le cinéma. Elle rappelle que, pour beaucoup, le lien avec un chien est aussi fort qu’avec un humain, et que perdre un compagnon animal est une douleur universelle. Malgré sa brutalité, cette séquence a renforcé l’impact émotionnel du film, et reste l’un de ses souvenirs les plus forts.

voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

Chiens : Faut-il passer trois heures par jour avec eux ?

Publié il y a

Le

Partager

Une nouvelle règle pour le bien-être des chiens : En Australie, dans le Territoire de la capitale (ACT), une nouvelle proposition de réglementation a fait beaucoup parler : elle recommande que chaque chien bénéficie de trois heures de contact humain par jour. Cette initiative part d’un constat simple mais fondamental : les chiens sont des êtres sensibles, capables de ressentir de la joie, de la peur ou de la tristesse.

La mesure vise à améliorer leur bien-être en s’assurant qu’ils ne sont pas laissés seuls trop longtemps. Ce projet fait partie d’un code plus large pour guider les propriétaires et les aider à mieux prendre soin de leurs animaux.

Les chiens ont besoin de nous

Les chiens ne sont pas faits pour rester seuls. Au fil des siècles, les humains les ont élevés pour qu’ils soient proches de nous, au point que certains deviennent anxieux dès qu’ils sont séparés de leur maître. C’est ce que montre le rapport de l’ACT : il rappelle que les chiens sont des animaux sociaux.

On estime que jusqu’à 29 % des chiens souffrent de troubles liés à la séparation. Les signes sont clairs : aboiements excessifs, comportements destructeurs, tentatives de fuite, surpoids ou même dépression. Cela montre à quel point le contact humain est essentiel pour leur équilibre.

Plus que le temps, la qualité du lien

Mais passer trois heures par jour avec son chien ne veut pas dire grand-chose si ce temps n’est pas adapté à ses besoins. Ce qui compte vraiment, c’est la qualité de l’attention. Certains chiens aiment se promener, d’autres préfèrent jouer ou simplement être près de leur humain. Un vieux chien malade n’aura pas les mêmes besoins qu’un chiot plein d’énergie.

Les préférences des humains comptent aussi : certains aiment faire du sport avec leur chien, d’autres préfèrent des moments calmes. Ce qui est sûr, c’est que chaque chien est unique, et que le temps passé ensemble doit être pensé en fonction de lui, et non d’un chiffre précis.

Une directive qui fait réfléchir

Même si cette règle des trois heures est difficile à appliquer concrètement (il est peu probable que les autorités puissent vérifier ce temps), elle a le mérite de lancer un débat utile. Elle invite chaque propriétaire à se poser une vraie question : est-ce que je passe assez de temps avec mon chien ? Et surtout : est-ce que ce temps est de bonne qualité pour lui ?

Cette discussion pourrait aussi aider ceux qui veulent adopter un chien à réfléchir avant de s’engager. Un chien a besoin de présence, d’attention et d’activités adaptées. Pas juste d’un jardin ou d’un bol de croquettes.

Offrir mieux à son chien, simplement

Pour ceux qui n’ont pas trois heures par jour, il ne faut pas culpabiliser. Ce qui compte, c’est d’être là pleinement quand vous êtes avec lui : un moment de jeu, une caresse, une promenade attentive, sans téléphone à la main. On peut aussi installer une caméra pour voir comment il vit les moments de solitude, et ajuster si besoin.

En fin de compte, cette proposition montre que nos chiens méritent mieux que d’être juste “présents dans nos vies”. Ils méritent d’y avoir une vraie place, avec du temps, de l’attention et de l’amour.

Voir également


Partager
Continue la lecture

Uncategorized

L’Inde face au défi de la rage canine

Publié il y a

Le

Partager

Une menace qui persiste : En Inde, les chiens errants sont devenus un vrai danger pour la population. Malgré un plan national ambitieux pour éliminer la rage (le NAPRE), les morsures de chiens augmentent chaque année. En 2023, plus de 30 lakh (3 millions) de morsures ont été enregistrées, et ce chiffre a encore grimpé en 2024. En janvier 2025 seulement, on comptait déjà plus de 420’000 cas. Cette situation inquiète, d’autant que les chiens errants comme les chiens de compagnie agressifs sont impliqués dans ces attaques.

Des cas récents ont choqué le pays : un joueur de kabaddi est mort après avoir été mordu par un chiot, une femme de 60 ans a été attaquée par deux rottweilers, et une fillette a perdu la vie suite à une attaque de meute. Ces tragédies soulignent l’urgence de la situation.

Des modèles réussis à suivre

D’autres pays ont prouvé qu’il est possible de contrôler la rage canine. Le Mexique, par exemple, a lancé dès les années 1990 une campagne massive de vaccination des chiens, atteignant 80 % de couverture. Depuis 2006, le pays ne recense plus de décès liés à la rage transmise par les chiens.

Le Sri Lanka a suivi une stratégie similaire. Avec plus de 6 millions de chiens sur son territoire, le pays vaccine massivement, stérilise et propose des traitements gratuits aux victimes de morsures. Résultat : le nombre de morts chute chaque année, avec un objectif d’élimination totale d’ici 2026.

La Thaïlande a elle aussi adopté une loi stricte en 1992 obligeant la vaccination annuelle des chiens. Grâce à des campagnes continues, le pays a réduit drastiquement les décès dus à la rage.

Où l’Inde échoue

L’Inde a bien lancé le NAPRE en 2021, mais son application reste faible. Le taux de stérilisation est trop bas, les infrastructures manquent, et le personnel formé est insuffisant. Des villes comme Amritsar ou Tiruchirapalli montrent des écarts énormes entre la population canine et les efforts réels de contrôle.

De plus, les déchets à ciel ouvert nourrissent ces chiens et facilitent leur prolifération. La coordination entre les services publics est mauvaise, et les lois sont peu appliquées. Certaines associations bloquent même les campagnes de retrait ou de stérilisation des chiens errants sous prétexte de protection animale.

Ce que l’Inde doit faire

Pour éradiquer la rage, l’Inde doit changer de stratégie. Il faut :

  • Déclarer la rage comme une urgence de santé publique.
  • Assurer des campagnes de stérilisation et de vaccination financées et gérées par l’État.
  • Mettre en place un suivi national en temps réel avec transparence des données.
  • Sanctionner les personnes qui nourrissent les chiens sans s’assurer qu’ils sont stérilisés et vaccinés.
  • Améliorer la gestion des déchets dans toutes les villes.

Une volonté politique nécessaire

L’Inde a déjà vaincu des maladies graves comme la polio ou la variole. Elle peut aussi venir à bout de la rage, mais cela demande une vraie volonté politique et des actions fermes. Il ne suffit plus d’avoir des lois sur le papier : il faut les appliquer sur le terrain, mobiliser les ressources et surtout protéger les citoyens. La vie de milliers d’Indiens en dépend.

voir également


Partager
Continue la lecture

Actualité