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Le premier prix du chien scolaire au Royaume-Uni

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Le Royaume-Uni lance son tout premier prix du chien scolaire de l’année. Ce concours vise à récompenser les écoles qui intègrent des chiens dans leur environnement scolaire pour améliorer le bien-être des élèves et favoriser leur apprentissage.

Ce prix est organisé par le All-Party Parliamentary Dog Advisory Group (APDAWG) et la National School Dog Alliance (NSDA). Toutes les écoles, qu’elles soient maternelles, primaires, secondaires ou spécialisées, peuvent proposer la candidature de leur chien d’école.

Une reconnaissance officielle

La cérémonie de remise des prix aura lieu à l’été 2025 au Palais de Westminster. L’école gagnante recevra un trophée ainsi qu’un coffret de récompenses pour son chien, comprenant des friandises et un programme de formation sur mesure. Les finalistes recevront des sacs cadeaux pour leur école et leur compagnon à quatre pattes.

Un impact positif sur les élèves

L’initiative est soutenue par l’association caritative pour enfants Kidscape, qui lutte contre le harcèlement scolaire. Selon Lucy Black, responsable des partenariats chez Kidscape, les chiens d’école apportent un soutien émotionnel aux élèves et les aident à mieux gérer leur anxiété et leur stress.

Le Dr Helen Lewis, présidente de la NSDA, souligne l’importance de cette reconnaissance : « Ce prix met en avant les méthodes innovantes utilisées par les écoles pour intégrer les chiens dans l’apprentissage et récompense les meilleures pratiques en la matière. »

Un jury composé d’experts et de célébrités

Le jury comprend des professionnels du monde canin et de l’éducation, notamment le vétérinaire Marc Abraham OBE et la rédactrice en chef du magazine Dogs Today. Plusieurs célébrités amoureuses des chiens participent également, comme des présentateurs, ainsi que la star du rugby gallois Duncan Jones.

Comment participer ?

Les écoles peuvent désormais proposer leur chien scolaire en soumettant une candidature via le site officiel de la National School Dog Alliance : www.nationalschooldogalliance.co.uk/competition.

La date limite d’inscription est fixée au 30 avril 2025. Ne manquez pas cette occasion de célébrer l’ami à quatre pattes de votre école.


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Le meurtre de Bruno, chien héros, choque l’Italie

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Un chien pas comme les autres : Bruno était un chien de sept ans de la race Saint-Hubert, reconnu dans toute l’Italie pour son incroyable travail de recherche de personnes disparues. Il a permis de retrouver neuf personnes, dont des enfants et des personnes âgées atteintes de troubles comme Alzheimer. Grâce à son flair exceptionnel, il a sauvé des vies et apporté du réconfort à des familles en détresse.

Ce chien était plus qu’un simple animal : il était un collègue, un sauveteur et un héros. Il travaillait aux côtés d’Arcangelo Caressa, un bénévole engagé dans la protection animale à travers l’association ENDAS. Ensemble, ils intervenaient dans des situations difficiles, notamment contre les combats de chiens clandestins.

Un acte cruel et prémédité

Vendredi matin, Bruno a été retrouvé mort dans son abri, à Tarente, dans le sud de l’Italie. Il avait mangé des morceaux de nourriture piégés avec des clous, lancés dans son chenil. Ces pièges lui ont causé une hémorragie interne, le faisant souffrir pendant des heures avant de mourir.

Selon son dresseur, cet acte n’était pas seulement cruel, il était aussi ciblé. Caressa pense que l’attaque visait à l’atteindre lui personnellement, en représailles à son travail contre les réseaux illégaux. Il affirme avoir reçu des menaces de mort dans les semaines précédentes. Il soupçonne que des personnes liées à ces réseaux voulaient reprendre le contrôle des sauvetages d’animaux, autrefois lucratifs pour certains groupes privés.

Une vague d’indignation nationale

La mort de Bruno a choqué l’Italie entière. La Première ministre Giorgia Meloni a exprimé sa tristesse et son indignation, qualifiant cet acte de « lâche, ignoble et inacceptable ». Elle avait déjà rencontré Bruno lors d’un de ses sauvetages et a tenu à lui rendre hommage : « Merci pour tout ce que tu as fait, Bruno. »

La députée Michela Vittoria Brambilla, engagée pour la cause animale, a porté plainte et demandé que justice soit faite. Elle a rappelé l’entrée en vigueur d’une nouvelle loi, la loi Brambilla, qui punit plus sévèrement les maltraitances animales. Depuis le 1er juillet, tuer ou blesser gravement un animal peut entraîner jusqu’à quatre ans de prison et 60 000 € d’amende, voire davantage si l’acte est filmé ou commis devant des enfants.

Un combat qui continue

Caressa continue de coopérer avec les enquêteurs. Il a transmis les noms de deux suspects aux autorités et espère que justice sera rendue. Très ému, il a déclaré sur les réseaux sociaux : « Aujourd’hui, je suis mort avec toi. Tu as aidé des humains toute ta vie, et ce sont eux qui t’ont tué. »

Bruno laisse derrière lui un vide immense, mais aussi une empreinte indélébile. Sa mémoire reste un symbole de courage, de dévouement et de compassion. Son meurtre rappelle à quel point la protection animale est encore un combat à mener, mais aussi à quel point un chien peut devenir un véritable héros.

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Un chien douanier déjoue un trafic de drogue

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Drogue: Un comportement qui intrigue les douaniers : Le 30 juin, au petit matin, un camion venu d’Espagne et se dirigeant vers la Croatie est arrêté par les douanes françaises sur l’autoroute A8, près du péage de Capitou à Fréjus. Le véhicule, immatriculé en Slovénie, transporte soi-disant de la nourriture pour chiens, recouverte d’une bâche. Les documents semblent en règle, mais les agents restent méfiants.

Le doute s’installe quand leur chien renifleur refuse de s’approcher du camion, un comportement très inhabituel pour un animal entraîné à détecter le tabac et l’argent dissimulés. Ce signal pousse les agents à approfondir leur contrôle.

Une découverte cachée dans la fausse cargaison

En fouillant entre les sacs de nourriture, les douaniers trouvent plusieurs sacs de sport et cartons suspects. En les ouvrant, ils découvrent des pains de mie remplis de cocaïne soigneusement emballée. Au total, ce sont 127 kilos de drogue qui sont saisis, une prise importante dans la lutte contre le trafic.

Le conducteur est immédiatement arrêté, remis à la police judiciaire de Toulon, puis jugé. Il est condamné à cinq ans de prison, interdit à vie de revenir en France, et doit verser une amende de plus de 8 millions d’euros.

Le flair d’un chien, un outil essentiel

Grâce à son instinct et sa vigilance, ce chien a permis d’empêcher qu’une énorme quantité de drogue n’atteigne les rues. Ce n’est pas la première fois que des chiens douaniers sauvent la mise aux autorités françaises. En mars, toujours au péage de Capitou, 100 000 euros en liquidités cachées dans des chaussettes avaient été trouvés, soupçonnés d’être liés à un réseau.

Une hausse des saisies inquiétante

Les saisies de cocaïne explosent en France. En 2024, 53 tonnes ont été interceptées, contre 23 tonnes en 2023. Le port de Dunkerque et certains péages routiers deviennent des points chauds du trafic. Face à cette situation, les chiens, avec leur odorat exceptionnel, sont de véritables alliés pour détecter des substances que l’humain ne peut pas percevoir.

Un compagnon à quatre pattes, un héros discret

Cette histoire montre encore une fois que les chiens ne sont pas que des animaux de compagnie. Ils peuvent aussi sauver des vies, empêcher des crimes, et faire la différence là où la technologie ne suffit pas. Leur loyauté, leur flair exceptionnel et leur calme en font des acteurs clés dans la lutte contre la criminalité.

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Un chien sauve 67 personnes d’un glissement de terrain

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Un chiot réveille tout un village : Dans un petit village himalayen du nord de l’Inde, un chien de 5 mois est devenu un véritable héros. Dans la nuit du 30 juin, alors que de fortes pluies tombaient sur la région, le chiot s’est mis à aboyer sans arrêt vers 1 heure du matin. Ses aboiements ont réveillé son maître, un habitant nommé Narendra. En se levant, ce dernier a découvert une fissure inquiétante dans le mur de sa maison, avec de l’eau qui s’infiltrait à l’intérieur.

Comprenant le danger, il a immédiatement fui la maison avec le chien et a commencé à prévenir ses voisins, allant de porte en porte pour les alerter. Grâce à cet acte rapide, 67 personnes ont pu fuir à temps, juste avant que leurs maisons ne soient emportées par un glissement de terrain provoqué par les pluies de mousson. Ces familles ont trouvé refuge dans un temple voisin, échappant ainsi à une tragédie certaine.

Un drame évité grâce à l’instinct du chien

Le chiot, adopté seulement quelques semaines plus tôt, a été salué par tous les survivants comme le sauveur du village. Sans lui, beaucoup auraient été pris au piège dans leur sommeil. Ce geste simple, guidé par l’instinct, a permis de sauver des vies humaines dans une situation extrême.

Les autorités locales ont rapidement réagi en versant une aide d’urgence aux familles sinistrées. Mais sans l’alerte donnée par le chien, le bilan aurait pu être bien plus lourd.

Des pluies de plus en plus violentes

Ce glissement de terrain fait partie d’une série de catastrophes qui touchent l’État indien de l’Himachal Pradesh depuis fin juin. Des pluies torrentielles, des crues soudaines et des glissements de terrain ont causé la mort de dizaines de personnes dans la région. Les routes sont coupées, des maisons détruites et des familles déplacées.

Les scientifiques expliquent que ces phénomènes deviennent plus fréquents à cause du changement climatique. L’air plus chaud retient davantage d’humidité, ce qui entraîne des pluies plus intenses, en particulier dans les zones montagneuses comme les Himalayas.

Un message d’espoir au milieu du chaos

Dans ce contexte de désastre climatique, l’histoire de ce chiot rappelle que même les gestes simples d’un animal peuvent changer le destin de nombreuses vies. Grâce à son courage et à sa vigilance, ce chien a évité un drame à tout un village. Il est la preuve que nos compagnons à quatre pattes ne sont pas seulement des animaux de compagnie, mais parfois de véritables anges gardiens.

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Danger pour les chiens dans un parc de Brooklyn

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Des herbes dangereuses menacent les chiens : Dans un quartier animé de Brooklyn, à New York, les propriétaires de chiens tirent la sonnette d’alarme. Dans le parc Maria Hernandez, situé à Bushwick, une herbe sauvage appelée « queue de renard » envahit l’espace réservé aux chiens. Cette plante, qui semble inoffensive à première vue, représente en réalité un véritable danger pour la santé des chiens.

La queue de renard, aussi connue sous le nom de sétaire verte, produit des graines pointues et dures qui peuvent s’accrocher à la peau des animaux, blesser leurs yeux, s’introduire dans leurs oreilles, voire être inhalées et atteindre les poumons. Dans certains cas, des opérations chirurgicales sont nécessaires pour retirer les épines coincées dans le corps des animaux. Une habitante du quartier, Jasmine Colahan, raconte qu’un barbillon s’est logé dans la paupière de son chien, lui causant une blessure à la cornée.

Les habitants réclament des actions concrètes

Face à cette situation préoccupante, les habitants se sentent abandonnés par la ville. Malgré plusieurs alertes et demandes d’entretien du parc, les mauvaises herbes continuent de pousser, et leur présence augmente. Un bénévole du quartier, actif sur Instagram à travers le compte Maria Hernandez Park Dog Run Pack à Brooklyn, affirme que les autorités ont été prévenues, mais n’ont jamais procédé à un nettoyage complet.

Certaines personnes, comme Brendan Morrison, qui habite depuis trois ans à proximité du parc, soulignent un manque d’information pour les nouveaux arrivants. Il propose que la communauté elle-même s’organise pour poser des panneaux d’avertissement et nettoyer les zones dangereuses, en attendant que les services de la ville agissent.

Une réponse insuffisante des autorités

Du côté des services municipaux, les responsables des parcs assurent qu’ils suivent le problème de près, en tondant régulièrement l’herbe. Ils encouragent les citoyens à signaler les mauvaises herbes via la ligne 311, mais selon les promeneurs de chiens, ces efforts sont loin d’être suffisants.

Depuis le début de l’année 2024, la ville affirme avoir traité 74 plaintes concernant les mauvaises herbes dans le quartier de Bushwick. Cependant, plusieurs visites de journalistes sur place ont révélé que les herbes hautes et les zones non entretenues sont toujours bien visibles, surtout autour de la clôture de l’enclos pour chiens.

D’autres dangers dans le parc

La queue de renard n’est pas la seule source d’inquiétude. Les propriétaires de chiens dénoncent aussi la présence de poison à rats non sécurisé, des toilettes sales et des flaques d’eau stagnante, qui rendent certaines zones du parc impraticables ou même risquées pour les animaux. Kevin, un habitant du quartier, propose d’utiliser du fumier pour étouffer la sétaire verte, même si cela dégage une mauvaise odeur. Pour lui, la sécurité des chiens doit passer avant tout.

Un appel à mieux protéger les chiens

À travers cette situation, c’est la santé et la sécurité des chiens qui sont en jeu, mais aussi le bien-être de leurs propriétaires, qui veulent simplement un endroit sûr pour faire courir leurs compagnons. Ce cas met en lumière le besoin d’un entretien régulier des parcs urbains et d’une meilleure écoute des citoyens. Les chiens font partie intégrante de nombreuses familles à New York et Brooklyn, et ils méritent des espaces propres, surveillés et sans danger pour profiter de la ville en toute tranquillité.

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Chien abattu sur l’autoroute : forte émotion

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Un chien en fuite sème le chaos sur l’autoroute : Un chien en liberté a provoqué une vive controverse en Espagne après avoir été abattu par la police locale. Les faits se sont déroulés à Tarragone, sur l’autoroute A-7, le dimanche 4 mai vers 8h30. L’animal, visiblement désorienté et paniqué, a semé le trouble en traversant à plusieurs reprises la route, obligeant les automobilistes à faire des manœuvres dangereuses pour l’éviter. Selon les autorités, cette situation représentait un danger réel pour les conducteurs, mais aussi pour les agents présents sur place.

Une situation difficile à maîtriser

La police municipale, appelée par les Mossos d’Esquadra, est rapidement intervenue. Elle a d’abord essayé de ralentir ou stopper la circulation afin d’éviter un accident. Le chien, affolé, continuait toutefois à changer de direction de manière imprévisible. L’un des agents a tenté de l’attraper à plusieurs reprises, mais l’animal a résisté, allant jusqu’à montrer les dents pour se défendre. Après cinq tentatives infructueuses et une nouvelle traversée de la route, les policiers ont estimé que l’animal représentait un danger imminent pour les conducteurs et les agents. L’un d’eux a donc pris la décision de faire feu avec son arme de service.

Une décision controversée et une enquête ouverte

L’événement sur l’autoroute a déclenché de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux et dans les médias. Beaucoup s’interrogent sur la nécessité de tuer le chien, certains évoquant d’autres moyens d’intervention. En réponse, la Guardia Urbana a exprimé ses regrets, tout en rappelant que sa mission est de protéger la sécurité de tous. Conformément à la procédure, une enquête interne a été ouverte pour analyser les circonstances exactes et vérifier que l’usage de l’arme a respecté la loi.

Une affaire qui relance le débat

Cet incident sur l’autoroute remet en question la gestion des animaux en fuite sur les routes, mais aussi les protocoles d’intervention des forces de l’ordre dans ce type de situations. Il soulève également des émotions fortes chez les amis des animaux, qui demandent plus de formation spécifique pour les agents afin de privilégier des solutions non violentes quand cela est possible.

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Vers un examen pour les maîtres de chiens en Valais

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Des règles plus strictes pour les propriétaires de chiens: Le canton du Valais s’apprête à durcir les règles pour les personnes qui possèdent un chien. Le Grand Conseil a récemment soutenu deux propositions visant à renforcer la formation des maîtres. L’une d’elles prévoit un examen obligatoire à la fin des cours actuels. L’autre demande une révision de la loi pour augmenter les exigences en matière de formation et de surveillance des chiens. Ces décisions montrent que la question des chiens et de leur comportement est prise très au sérieux au niveau politique.

Un projet déjà en route

Ces motions arrivent au bon moment, car le Conseil d’État avait déjà commencé à travailler dans ce sens. Il a validé en janvier 2025 le principe d’une révision législative complète, avec pour objectif principal un renforcement des formations pour les détenteurs de chiens. Le projet comprend aussi la mise en place d’un examen final obligatoire. Une consultation publique devrait avoir lieu à l’automne, avant une présentation du texte au Parlement au printemps 2026.

Un débat divisé, surtout à droite

Lors des discussions, des désaccords sont apparus, notamment au sein des partis de droite. Certains députés ont remis en question l’utilité des cours actuels, affirmant qu’ils n’ont pas permis de faire baisser le nombre de morsures. D’autres ont souligné qu’aucune étude n’a prouvé l’efficacité d’un tel examen. Malgré ces critiques, la majorité des parlementaires ont soutenu les deux motions.

Des emplois supplémentaires pour gérer le suivi

Le Conseil d’État prévoit la création de trois postes à temps plein pour appliquer les nouvelles règles. Aujourd’hui, moins d’un poste est dédié à la gestion des affaires liées aux chiens, ce qui est insuffisant au vu de la hausse du nombre de chiens et d’incidents. Cette proposition a cependant été critiquée, même par ceux qui ont soutenu les motions, notamment à cause du coût humain et financier.

Un enjeu de sécurité et de responsabilité

La question de la responsabilité des maîtres est au cœur de cette réforme. Avoir un chien, c’est aussi en assurer l’éducation, le comportement en société, et la sécurité autour de lui. Avec ces mesures, le Valais souhaite mieux encadrer la détention canine pour éviter les accidents et renforcer la cohabitation entre chiens et humains.

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Pourquoi chiens et chats se ressemblent de plus en plus

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Aujourd’hui, il est de plus en plus courant d’entendre dire que certains chiens ressemblent à des chats… et vice versa. Cette ressemblance n’est pas un hasard. En fait, elle est le résultat direct des choix des humains dans l’élevage d’animaux de compagnie. En cherchant à créer des races mignonnes et attachantes, les éleveurs ont favorisé des caractéristiques similaires chez les chats et les chiens : museau court, grands yeux, petite taille, visage rond… autant de traits qui rappellent les bébés humains.

Selon des chercheurs en biologie de l’évolution, comme Abby Drake de l’université Cornell, les animaux domestiques présentent beaucoup plus de diversité dans la forme de leur crâne que les animaux sauvages. Et parfois, un carlin ressemble davantage à un chat persan qu’à un loup, son ancêtre. Cela montre à quel point la sélection humaine a modifié l’apparence des animaux pour les adapter à nos préférences.

Pourquoi aimons-nous ces traits ?

Les humains sont attirés par les visages ronds, les grands yeux et les traits doux parce qu’ils ressemblent à ceux des bébés. Ces caractéristiques déclenchent chez nous un instinct protecteur et nourricier. Cela s’appelle l’alloparentalité : le fait de prendre soin d’un être vivant qui n’est pas son propre enfant. C’est une des raisons pour lesquelles nous adorons les chiots et les chatons.

Même si les chiots deviennent vite indépendants, leur apparence continue de nous rappeler un nourrisson fragile, ce qui les rend encore plus adorables à nos yeux. Ce lien émotionnel est puissant, et il influence fortement la manière dont les humains élèvent les animaux aujourd’hui.

Une évolution poussée par l’humain

Ce phénomène s’appelle l’évolution convergente : c’est quand des espèces très différentes développent des traits similaires, non pas parce qu’elles sont proches, mais parce qu’elles s’adaptent à un même environnement ou à une même pression extérieure. Ici, c’est le goût humain pour les animaux « bébé-like » qui agit comme cette pression.

Résultat : certaines races de chiens et de chats ont maintenant un museau si court qu’ils ont parfois du mal à respirer, comme les carlins ou les bouledogues. Cela peut poser des problèmes de santé graves. Ces caractéristiques ne sont pas apparues naturellement : elles sont le fruit de générations d’élevage sélectif, uniquement pour satisfaire une idée de beauté.

Attention à la santé avant tout

Même si l’on aime ces animaux aux visages plats et aux grands yeux attendrissants, il est important de garder à l’esprit leur bien-être. En privilégiant uniquement l’apparence, on peut mettre leur santé en danger. Des chiens avec un nez trop court, par exemple, peuvent souffrir de troubles respiratoires et ne peuvent pas voyager en avion sans risque.

À l’inverse, les chiens croisés ou moins « parfaits » selon les standards esthétiques sont souvent plus robustes et en meilleure santé. Ils méritent tout autant notre attention et notre amour.

En résumé

Si les chiens ressemblent de plus en plus à certains chats, ce n’est pas une coïncidence. C’est le résultat de notre tendance à choisir des animaux qui nous rappellent les bébés humains. Cette ressemblance touche notre cœur, mais elle ne doit pas nous faire oublier l’essentiel : leur bien-être.

Avant de choisir un compagnon à quatre pattes, mieux vaut s’intéresser à sa santé, à ses besoins et à son confort plutôt qu’à son apparence. Un chien heureux et en forme, quelle que soit sa tête, est toujours le plus mignon aux yeux de celui qui l’aime.

🔬 1. Une sélection humaine volontaire
Les éleveurs choisissent des traits similaires chez les chiens et les chats :
➡ Museau court
➡ Grands yeux
➡ Visage rond
➡ Petite taille

🧠 Ces traits nous attirent car ils rappellent les bébés humains.

👶 2. Des caractéristiques qui déclenchent notre instinct
Pourquoi ces traits plaisent tant ?
✔ Ils réveillent notre instinct protecteur
✔ Ils nous poussent à « materner » nos animaux
✔ C’est ce qu’on appelle l’alloparentalité

📈 3. Une évolution convergente
Malgré leur origine différente, certains chiens ressemblent plus à certains chats qu’à leurs propres ancêtres !
➡ Carlin ≈ Chat persan
➡ Évolution due au goût humain, pas à la nature

⚠️ 4. Des risques pour la santé
L’apparence a un prix :
❌ Difficultés respiratoires
❌ Problèmes dentaires
❌ Inconfort à long terme

💡 Un chien croisé est souvent plus sain qu’un chien « tendance ».

💚 5. Que retenir ?
✔ Un animal n’est pas un accessoire
✔ Choisissez-le pour sa santé et son caractère
✔ La beauté, c’est aussi être en forme et heureux !


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Un Tamagotchi Snoopy pour les fans de chiens

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Un nouveau Tamagotchi dédié au chien Snoopy : Le célèbre chien Snoopy, héros de la bande dessinée Peanuts, devient la star d’un tout nouveau Tamagotchi. Bandai Namco a annoncé la sortie d’un modèle spécial « Tamagotchi Nano Snoopy », prévu pour le 12 juillet 2025 au Japon. Ce petit appareil, à accrocher comme un porte-clés, permet de s’occuper virtuellement du plus célèbre des beagles.

Pour environ 30 dollars, les fans auront droit à l’appareil classique ainsi qu’à un étui en forme de niche rouge, la maison emblématique de Snoopy. Ce détail rend hommage à l’univers doux et attachant des personnages de Peanuts, très appréciés depuis des décennies.

Un chien virtuel à câliner partout

Dans cette version du Tamagotchi Nano, les joueurs auront la possibilité de prendre soin de Snoopy comme d’un vrai petit chien. Il faudra veiller à le nourrir, le divertir et le garder en bonne santé. L’oiseau Woodstock, fidèle ami de Snoopy, est aussi présent dans l’appareil, ainsi qu’Harriet, un autre oiseau aperçu dans les aventures des Beagle Scouts.

Malgré sa simplicité, le jeu propose trois mini-jeux interactifs et des apparitions surprises d’autres personnages comme Charlie Brown, Lucy ou encore Schroeder. Même si l’écran n’est pas en couleur, l’expérience reste immersive et mignonne.

Un hommage tendre au monde canin

Ce nouveau Tamagotchi met à l’honneur le lien entre l’homme et le chien, en proposant une version numérique de l’animal de compagnie. Snoopy, avec son caractère rêveur et affectueux, représente tout ce qu’on aime chez les chiens : la fidélité, l’humour et l’imaginaire sans fin.

C’est une belle façon pour les plus jeunes de découvrir l’univers des Peanuts tout en apprenant à prendre soin d’un chien virtuel. Et pour les plus grands, c’est une belle dose de nostalgie avec un compagnon numérique à garder près de soi.

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Quand le plus petit chien rencontre le plus grand

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Deux chiens aux records mondiaux : D’un côté, Reggie, un immense dogue allemand de 90 cm au garrot et 66 kilos, détenteur du record du plus grand chien vivant. De l’autre, Pearl, une minuscule chihuahua de seulement 9 cm de haut et un peu plus de 450 grammes, couronnée plus petit chien vivant au monde. Ces deux chiens extraordinaires se sont rencontrés pour la première fois à Idaho Falls, dans la maison de Reggie, en avril dernier. Une rencontre organisée par le Guinness World Records, pour fêter ses 70 ans.

Une rencontre douce malgré les différences

Malgré l’immense différence de taille – plus d’un mètre entre eux – Reggie et Pearl ont tout de suite sympathisé. Pearl, tenue d’abord dans les bras de sa maîtresse Vanesa Semler, a été reniflée avec précaution par Reggie. Très doux, le grand dogue a même tenté de lui faire des bisous. Peu après, les deux chiens se sont installés côte à côte sur le canapé, ont exploré la maison ensemble, couru dans le jardin et partagé un repas. Les maîtres, un peu inquiets au début, ont vite été rassurés : les deux chiens étaient sur la même longueur d’onde.

Des photos qui font fondre

Bien sûr, une séance photo pleine de tendresse a été organisée. Pour montrer la différence impressionnante entre eux (le plus grand et le plus petit), Pearl a été placée dans la gamelle de Reggie, et ses toutes petites pattes ont été comparées à celles, géantes, de son nouvel ami. Malgré leurs tailles opposées, les deux chiens ont des points communs : ils aiment tous deux le poulet, les câlins, les siestes ronflantes, et ils ont chacun une forte personnalité.

Deux parcours étonnants

Reggie est né en 2017 et était le plus petit de sa portée. Cela n’a pas empêché son maître, Sam Johnson Reiss, de l’adopter. Aujourd’hui, il est si grand qu’il boit directement au robinet et atteint sans effort les plans de travail. Pearl, née en 2020, pesait moins de 30 grammes à la naissance. Elle est apparentée à Milly, l’ancienne détentrice du même record, également membre de la famille Semler.

Une amitié inattendue

Même si l’on ne sait pas s’ils se reverront, leurs propriétaires espèrent que cette belle amitié durera dans le temps. Cette rencontre prouve que, malgré les apparences, les chiens peuvent toujours se comprendre et s’aimer, quels que soient leur gabarit, leur force ou leur histoire. Une belle leçon d’amitié canine… version XXL et XXS !

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Australie: Une disparition longue de 529 jours

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Valérie, une petite teckel miniature, a disparu en novembre 2023 lors de vacances en camping avec ses maîtres sur l’île Kangourou, au sud de l’Australie. Effrayée par des inconnus qui tentaient de l’aider, elle s’est enfuie dans les bois et n’a plus donné signe de vie. Ses propriétaires, impuissants malgré leurs recherches, ont fini par rentrer sur le continent, le cœur lourd. Beaucoup pensaient que Valérie avait été victime d’un serpent ou d’un gros varan, des prédateurs bien présents sur l’île.

Une mobilisation exceptionnelle

Mais contre toute attente, des témoins ont commencé à signaler des apparitions de la chienne. L’association Kangala Wildlife Rescue, spécialisée dans la protection des animaux sauvages, a décidé de lancer une grande opération pour retrouver Valérie. Aidés par des bénévoles, ils ont utilisé des caméras 4G, des pièges, des boîtes de nourriture, et même des jouets venant de sa maison. Lorsque les intempéries ont abîmé les équipements, la communauté s’est mobilisée, certains proposant même de contacter Elon Musk pour obtenir un relais Starlink !

L’arme secrète : un vieux t-shirt

Finalement, ce qui a permis de capturer Valérie en douceur, c’est un vieux t-shirt sale appartenant à son maître. Trempé d’odeurs familières, le vêtement a été découpé en morceaux et placé sur le chemin qui menait au piège. Une bénévole, Lisa Karran, s’est installée à l’intérieur de l’enclos avec le t-shirt sur elle. Peu à peu, Valérie s’est approchée, l’a reniflée, et a fini par se calmer… puis s’est blottie sur ses genoux, épuisée mais sereine.

Le retour au calme

Une fois l’enclos refermé, Valérie a tenté brièvement de fuir, puis s’est installée d’elle-même dans la cage aménagée pour elle, comme si elle comprenait que son errance touchait à sa fin. Elle s’est endormie paisiblement. Aujourd’hui, elle est en phase de repos et de « décompression », et retrouvera bientôt ses maîtres pour une vie plus tranquille, bien loin des forêts sauvages.

Une belle leçon de patience et d’amour

Cette histoire montre à quel point l’attachement entre un chien et ses humains peut traverser les épreuves. Grâce à l’odeur d’un simple vêtement, Valérie a retrouvé le chemin de la maison. Un petit chien perdu, une grande aventure humaine… et un final heureux.

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Une forêt achetée pour les chiens du village

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Une forêt menacée de disparition : À Broughtonknowe, en Écosse, un groupe d’habitants passionnés de nature et de chiens a réussi un pari incroyable : acheter une forêt entière pour en faire un lieu de promenade préservé. Cette forêt de 56 hectares, située entre Peebles et Biggar, risquait d’être vendue à une entreprise forestière qui aurait détruit sa biodiversité pour en faire une exploitation commerciale. Cela inquiétait fortement les promeneurs de chiens qui y venaient quotidiennement depuis des années, notamment pendant le confinement.

Une mobilisation pour les chiens et la nature

Devant cette menace, plusieurs promeneurs se sont unis pour créer le groupe Friends of Broughtonknowe. Leur objectif : réunir assez d’argent pour acheter la forêt avant qu’elle ne soit vendue à une entreprise privée. Avec l’aide de dons, du Scottish Land Fund, de SSE Renewables, et d’autres soutiens, ils ont finalement récolté près de 900 000 £. Grâce à cette somme, le groupe a pu créer une association, Broughtonknowe Community Woodland (BCW), qui est aujourd’hui propriétaire officiel du terrain.

Un havre pour les chiens et les habitants

Broughtonknowe est bien plus qu’un simple coin de forêt : c’est un lieu de vie pour les promeneurs de chiens, les amoureux de la nature, les familles, et même certains groupes de yoga ou de bien-être. On y croise souvent des chiens comme Bambi, Robbie ou Tess, qui s’y promènent librement avec leurs maîtres. C’est un espace paisible où la communauté se retrouve, tout en respectant la faune et la flore locales. Le site compte aujourd’hui des sentiers, des étangs pour la faune, des aires de pique-nique, et même une cache pour observer les oiseaux.

Préserver la forêt pour les générations futures

Les nouveaux propriétaires ne comptent pas s’arrêter là. Ils ont déjà planté des arbres fruitiers, installé des ruches, et prévoient de construire un abri et de planter cinquante noisetiers. Leur but est clair : faire de cette forêt un exemple de gestion respectueuse de l’environnement. Ils veulent aussi que d’autres groupes puissent en profiter, tout en gardant la nature comme priorité. « Ce lieu est précieux, pour les chiens comme pour les humains », résume Ian Brook, président du groupe.

Un conte de fées pour les promeneurs de chiens

Ce projet est une belle preuve de ce que peut accomplir une petite communauté unie. Grâce à leur engagement, les chiens du village et leurs propriétaires continueront de profiter de ce lieu magique pendant de nombreuses années. Pour eux, Broughtonknowe n’est pas juste une forêt : c’est un coin de paradis où l’on peut marcher, respirer, et se sentir libre, ensemble.

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Bosnie: Des chiens contre les mines en Ukraine

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Des chiens formés pour sauver des vies : À Butmir, près de Sarajevo en Bosnie, un centre spécialisé forme des chiens pour une mission vitale : détecter les mines. Parmi eux, Mey, un berger belge, s’entraîne avec son maître Kenan Muftic à repérer les explosifs cachés dans les champs. Ensemble, ils parcourent des terrains piégés, franchissent des obstacles et apprennent à repérer le moindre danger. Leur objectif : sauver des vies.

Depuis sa création en 2004, le Centre mondial de formation pour chiens détecteurs de mines a éduqué plus de 500 chiens, utilisés dans des zones à risque comme le Cambodge, l’Irak, le Zimbabwe… et désormais l’Ukraine.

Une mission urgente en Ukraine

Depuis le début de la guerre en 2022, l’Ukraine est devenue le pays le plus miné au monde, selon l’ONU. Face à ce danger, la Norvège a envoyé 26 chiens dressés en Bosnie pour aider au déminage. Ces chiens travaillent dans des zones très touchées, comme Kharkiv ou Mykolaïv, parfois à proximité directe des lignes de front.

Ces mines rendent de vastes terres agricoles inutilisables, bloquent les récoltes et nuisent à l’économie du pays. En 2024, les pertes économiques liées aux mines dépassaient les 11 milliards de dollars de produit intérieur brut (PIB).

L’expérience bosniaque au service des autres

La Bosnie connaît bien ce fléau. Les cicatrices de la guerre des années 1990 sont encore visibles, et environ 15 % de la population vit à proximité de terrains minés. Là aussi, les chiens sont essentiels pour sécuriser les lieux.

Kenan Muftic, expert depuis 27 ans, résume bien l’importance de leur travail :
« Une mine trouvée, c’est une famille sauvée. »

Ces chiens courageux, fidèles et efficaces jouent un rôle silencieux mais crucial. Grâce à leur flair exceptionnel, ils redonnent espoir à des milliers de personnes et permettent un jour, peut-être, de revivre en paix sur des terres libérées du danger.

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