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Races de chiens en péril : Entre extinction et renaissance

Dans un monde où l’extinction menace même nos compagnons à quatre pattes, plusieurs races de chiens font face à un avenir incertain. Souvent, ces races, jadis populaires, sont maintenant menacées par un déclin inquiétant, soulevant des questions sur la diversité génétique et le lien entre l’homme et le meilleur ami de l’homme.
Lorsque l’on parle d’espèces en danger, notre pensée se tourne généralement vers des créatures exotiques dans des jungles lointaines. Mais la réalité est bien différente. Les races de chiens, autrefois populaires, sont maintenant confrontées à l’extinction, les éleveurs se concentrant sur quelques races privilégiées au détriment d’autres.
Le Kennel Club britannique tire la sonnette d’alarme sur le sort de 34 races de chiens. Parmi elles se trouvent des noms familiers, comme le Rough Collie, qui a vu sa population chuter de manière alarmante, ou encore le King Charles Spaniel, éclipsé par une version plus récente de lui-même, le Cavalier King Charles Spaniel.
Le cas du Fox Terrier
Parmi les prochaines races qui risquent de disparaitre l’on a le Fox Terrier. Bien qu’ils sont très beaux, ils aboient trop et c’est l’une des principales raisons pour lesquelles ils ne sont pas choisis comme race à acquérir. Le Fox Terrier est également surnommé le Milou, pour ceux qui ne connaissent pas la race, il s’agit du chien du personnage de bande dessinée Tintin. En 1947, il y avait plus de 8’000 chiots en Angleterre. C’était une race adorée par Albert Einstein et Lucille Ball en plus d’être l’un des chiens de la reine Victoria.

Depuis lors, cependant, année après année, la demande a toujours baissé jusqu’à atteindre aujourd’hui -94%, avec seulement 281 chiots nés en 2023 en Grande-Bretagne. Ce sont des chiens qui aboient trop, sautent et mordent les mollets et ce n’est pas ce que les gens veulent chez un chien.
Raison des chutes en nombre
Des raisons diverses expliquent ce déclin. Parfois, c’est la mode qui dicte les tendances, avec des races populaires à un moment donné qui tombent rapidement dans l’oubli lorsque l’intérêt du public se détourne. Les propriétaires, désireux de chiens qui se comportent davantage comme des membres de la famille, abandonnent les races qui ne correspondent pas à leurs attentes.
Mais ce n’est pas seulement une question de caprices humains. Les changements dans le travail agricole ont également un impact. Les races de chiens autrefois utilisées pour des tâches spécifiques sont désormais délaissées, menant à leur déclin. Un autre cas qui nous laisse perplexes car leur utilité est plus que prouvée, un chien policier, le Bloodhound ou Saint-Hubert ou Limier, qui est connu pour son odorat infaillible, est en danger critique d’extinction.

Du côté des États-Unis
La situation est tout aussi alarmante du côté des races de chiens Aux États-Unis. Des noms comme le Dandie Dinmont Terrier, l’Otterhound ou le Skye Terrier sont en danger critique. Ces races, une fois fièrement élevées pour des tâches spécifiques, sont maintenant en voie de disparition en raison du manque d’intérêt ou de l’évolution des pratiques d’élevage.
Pourtant, il y a de l’espoir. Des efforts de conservation sont en cours pour préserver ces races précieuses. Des organisations telles que l’American Kennel Club et diverses associations de races se battent pour préserver la diversité génétique et promouvoir l’élevage responsable.
Le déclin des races de chiens n’est pas seulement une perte biologique, mais aussi culturelle. Ces chiens ont joué un rôle important dans l’histoire de l’humanité, tant comme partenaires de travail que comme compagnons fidèles. Préserver ces races, c’est préserver notre héritage et notre lien profond avec le monde naturel.
Alors que nous nous tournons vers l’avenir, il est impératif que nous prenions des mesures pour protéger ces races en danger. Qu’il s’agisse de sensibiliser le public, de soutenir les efforts de conservation ou même d’envisager l’adoption d’une race menacée, chacun de nous peut contribuer à assurer un avenir plus sûr pour nos amis à quatre pattes.

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Une chanteuse et des chiens pour L’Eurovision

Une visite pleine d’émotion dans un refuge pour chiens : Emmy, la jeune artiste qui représentera l’Irlande à l’Eurovision 2025, a fait une pause touchante dans sa préparation en visitant un refuge pour chiens à Dublin. Ce n’est pas un refuge comme les autres : il est dirigé par Linda Martin, ancienne gagnante du célèbre concours en 1992. Ce moment, simple et chaleureux, a été l’occasion pour Emmy de recevoir des encouragements, des conseils de scène, mais aussi de passer du temps avec des chiens en attente d’un foyer.
Accompagnée de son frère Erland, Emmy a été accueillie avec gentillesse par Linda Martin et son équipe du Dublin Dog Hub. Ils lui ont offert des fleurs aux couleurs de l’Irlande et l’ont encouragée pour sa prestation à venir. Pour Linda, l’important est de vivre pleinement cette expérience unique : « Profite, ça passe en un éclair », a-t-elle dit avec le sourire.
Une chanson qui parle… d’un chien
Le lien entre Emmy et les chiens ne s’arrête pas à cette visite. Sa chanson pour l’Eurovision s’intitule Laika Party, en hommage à Laïka, le premier chien envoyé dans l’espace par l’Union Soviétique en 1957. Ce titre, à la fois original et émouvant, parle de courage, d’injustice et de mémoire. Écrit en collaboration avec l’auteure irlandaise Larissa Tormey après un atelier en Norvège, le morceau reflète l’amour d’Emmy pour les animaux, en particulier les chiens.
Le fan club irlandais de l’Eurovision a même créé des t-shirts à l’effigie de Laïka pour soutenir Emmy. Tous les bénéfices seront reversés au refuge de Linda Martin, montrant encore une fois le lien fort entre cette aventure musicale et la cause animale.
Des conseils d’une ancienne gagnante
Linda Martin n’a pas seulement ouvert les portes de son refuge, elle a aussi partagé son expérience du concours. Elle a conseillé à Emmy de parler aux médias, d’expliquer sa chanson et de se rendre visible. Mais surtout, elle lui a rappelé que c’est une opportunité rare : « Tu seras regardée par des millions de personnes, des maisons de disques, des producteurs… Il faut tout donner ! »
Elle a terminé en plaisantant : « Si tu gagnes, tu reviens à Dublin. Et je t’embauche au refuge ! »
Chanter pour l’Irlande… et pour les chiens
Emmy ne participe pas à l’Eurovision pour la première fois. Après avoir tenté sa chance dans les sélections norvégiennes, elle représente cette fois-ci l’Irlande, pays où elle a grandi et qu’elle est fière de représenter.
La grande finale aura lieu le 17 mai. En attendant, Emmy continue de faire parler d’elle avec une chanson unique et un cœur tourné vers les chiens. Un beau message d’amour, de musique et de compassion.
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Barkgata : Le Luxe pour Nos Chiens à Farmingdale

Un nouveau havre de paix pour nos compagnons à quatre pattes a ouvert ses portes à Farmingdale (Long Island, New York); le Barkgata Pet Hotel, un hôtel de luxe pour chiens, a inauguré son deuxième établissement le 1er mars, offrant à nos meilleurs amis une expérience de pension unique avec des services de garderie et de spa.
Un Concept Innovant : Le Bien-être Canin
Le Barkgata Pet Hotel, qui a vu le jour à Nesconset en 2022, est l’œuvre de Bianca Caras, une entrepreneuse passionnée par les animaux. Alors qu’elle était étudiante lors du début de la pandémie, Caras a décidé de changer de carrière et de se lancer dans l’aventure d’un hôtel pour chiens. Après un an et demi de démarches administratives, son premier établissement a vu le jour en 2022, et, grâce à son succès, elle a ouvert un second hôtel à Farmingdale en mars 2024.
L’hôtel se distingue par son approche sans cage, où les chiens peuvent se détendre dans un environnement sécurisé et totalement surveillé. Ce concept permet aux animaux de se sentir plus à l’aise, tout en bénéficiant d’un service personnalisé.
Des Services Sur Mesure pour Nos Chiens
Barkgata propose une gamme de services pour répondre à tous les besoins des chiens et de leurs propriétaires. Que ce soit pour une demi-journée de garderie ou un séjour de longue durée, les chiens sont accueillis dans des suites individuelles confortables, dotées de lits orthopédiques et de repas adaptés. Les propriétaires peuvent choisir entre plusieurs types de suites, telles que la suite confort ou la suite impériale, offrant des chambres individuelles à température contrôlée avec une porte vitrée privative.
Les repas servis sont soigneusement sélectionnés, avec des plats de la marque Hill’s Science Diet, mais les propriétaires peuvent également apporter la nourriture de leur choix. Pour les familles possédant plusieurs chiens, une remise de 20 % est offerte pour les animaux partageant la même chambre.
Une Attention Particulière et une Équipe Dévouée
Bianca Caras place la relation client au cœur de son activité. Le personnel de Barkgata est composé de 27 employés répartis entre les deux établissements, mais c’est avant tout une relation de confiance et d’attention qu’elle souhaite offrir. « Vous devez traiter les chiens comme s’ils étaient vos chiens », affirme Caras, soulignant l’importance de connaître chaque chien et de lui offrir une attention particulière.
Les propriétaires peuvent également bénéficier d’une évaluation gratuite du comportement de leur chien lors de son premier jour. Cela permet au personnel de mieux comprendre comment le chien réagit dans ce nouvel environnement et d’adapter les services à ses besoins spécifiques.
Un Spa et un Toilettage de Qualité
Barkgata ne se contente pas d’offrir un hébergement de qualité, mais propose également des services de toilettage avec des produits entièrement naturels. Le système de bain Prima est utilisé pour offrir à chaque chien un soin optimal, contribuant à leur bien-être et leur hygiène.
Une Passion Partagée
Bianca Caras, qui a grandi entourée de chiens, se décrit comme étant particulièrement proche de ses clients à quatre pattes. Possédant actuellement quatre chiens, elle explique qu’elle passe beaucoup de temps avec eux, et que ses liens avec les animaux vont bien au-delà de son rôle de propriétaire d’hôtel. « Je vois probablement les chiens plus souvent que leurs propres propriétaires », confie-t-elle.
Conclusion : Une Nouvelle Vision du Service Canin
Le Barkgata Pet Hotel à Farmingdale offre bien plus qu’un simple hébergement pour chiens. C’est un véritable sanctuaire de luxe, où chaque animal est traité avec le plus grand soin et reçoit une attention personnalisée. Grâce à des services haut de gamme, une équipe dévouée et une gestion passionnée, Barkgata redéfinit ce que signifie offrir à son chien une expérience de pension. Pour les propriétaires soucieux du bien-être de leurs compagnons, cet hôtel de luxe devient un lieu de choix.
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Le chien du roi Charles intrigue le public

Roi Charles III: Une race peu connue sous les projecteurs : Les célébrités influencent souvent les tendances, et cela ne se limite pas à la mode ou aux loisirs. Même les races de chiens peuvent gagner en popularité grâce à des personnalités publiques. Pendant des décennies, la reine Élisabeth II a été associée aux corgis, contribuant à leur succès mondial. Aujourd’hui, son fils, le roi Charles III, semble susciter un engouement pour une autre race moins connue.
Depuis que le roi Charles a adopté un nouveau compagnon à quatre pattes, Snuff, les recherches sur cette race ont explosé. Mais de quelle race s’agit-il ? Il s’avère que le nouveau chien royal est un Lagotto Romagnolo, une race italienne encore peu répandue.
Cette nouvelle survient quelques jours seulement après l’annonce de l’adoption par la reine Camilla d’un chien nommé Mole .
Le roi est connu pour être un amoureux des animaux, mais il n’a pas eu d’animal de compagnie depuis 2002, lorsque son bien-aimé Jack Russell Terrier , Tigga, est malheureusement décédé.
Une popularité soudaine
D’après le journal The Times, un site spécialisé dans la recherche de chiots a enregistré une hausse de 723 % des recherches concernant le Lagotto Romagnolo. Lors du célèbre événement canin Crufts, de nombreux visiteurs se sont intéressés à cette race, posant un grand nombre de questions aux experts présents.
Qui est le Lagotto Romagnolo ?
Originaire d’Italie, le Lagotto Romagnolo est avant tout un chien de chasse aux truffes. Doté d’un flair exceptionnel et d’une intelligence remarquable, il excelle dans cette discipline. Mais ce n’est pas son unique atout. Cette race est également très fidèle et affectueuse, ce qui en fait un excellent chien de compagnie.
En termes de longévité, ces chiens vivent en moyenne entre 15 et 17 ans, un âge respectable pour un chien de taille moyenne. Cependant, leur rareté en fait une race onéreuse et difficile à adopter. Les élevages spécialisés sont peu nombreux, et la demande risque d’augmenter avec l’engouement suscité par le roi Charles.
Une rivalité avec les corgis ?
Si le Lagotto Romagnolo commence à séduire un nouveau public, il est encore loin de détrôner les corgis dans le cœur des amateurs de chiens royaux. La reine Élisabeth II a popularisé cette race pendant plus de 70 ans, tandis que le Lagotto Romagnolo reste encore relativement méconnu.
Toutefois, l’intérêt pour cette race pourrait continuer de croître. Le roi Charles, par son influence, pourrait bien en faire le nouveau chien emblématique de la monarchie britannique. Seul l’avenir dira si cette tendance s’inscrira dans la durée ou s’il s’agit d’un simple effet de mode.
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Un chien pour renaître : l’histoire de Peanut

Un héritage inattendu : Lorsque Ally Porter a perdu son père à cause d’un cancer, elle s’est retrouvée avec une dette importante, une lutte contre la dépendance et un petit chien de sept livres, Peanut, un croisement entre un Chihuahua et un Fox Terrier. Cet héritage, qu’elle n’avait pas anticipé, allait pourtant changer sa vie.
Sur Reddit, sous le pseudo u/beanietoes_, Ally a partagé un hommage émouvant à Peanut, expliquant comment ce petit chien l’avait aidée à surmonter l’une des périodes les plus sombres de son existence.
La descente aux enfers
Avant son diagnostic, Kyle Mosher, le père d’Ally, était son roc, l’une des seules personnes à lui avoir témoigné un amour sincère. Lorsqu’il a appris qu’il était atteint d’un cancer du poumon au stade 4, Ally est devenue son aidante principale. Elle l’a accompagné à chaque rendez-vous, gérant ses soins et prenant en charge toutes ses affaires.
Le jour où elle a découvert son corps sans vie, elle a touché le fond. Seule, sans ressources, aux prises avec la dépression et l’anxiété, elle a sombré dans la drogue. « J’ai commencé à consommer des substances plus fortes le jour de son diagnostic », confie-t-elle.
Peanut, un compagnon fidèle
Malgré le chaos de sa vie, Peanut est resté une constante. Ce petit chien courageux était présent lors des derniers instants de son père, allant jusqu’à mordre un ambulancier qui tentait de l’éloigner. À la mort de Kyle, Peanut est devenu le soutien émotionnel d’Ally.
« Il dépend autant de moi que je dépends de lui. Nous formons une équipe parfaite », dit-elle. Lorsque l’anxiété la submerge, Peanut vient immédiatement se blottir contre elle, la distrayant et la réconfortant.
Un nouveau départ
Avec Peanut à ses côtés, Ally a entamé un chemin de guérison : thérapie, désintoxication, réapprentissage de la stabilité. « Il m’a aidée à tenir bon quand tout semblait s’effondrer », avoue-t-elle.
Aujourd’hui, deux ans et demi après la mort de son père, elle continue à avancer. Le deuil reste présent, mais elle trouve du réconfort dans les souvenirs et dans son fidèle compagnon à quatre pattes. « Chaque jour est un nouveau défi, mais je fais de mon mieux pour le rendre fier. »
Parfois, les plus petites créatures peuvent avoir le plus grand impact sur nos vies. Peanut n’était peut-être qu’un chien, mais pour Ally, il était la lumière qui l’a guidée hors de l’obscurité.
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Cadabom Okami Le mythe du chien le plus cher

Un faux conte de fées : Cadabom Okami, un prétendu hybride rare de « chien-loup », a récemment fait la une des journaux. Son prix annoncé ? 50 millions de roupies. Mais rapidement, la supercherie a été dévoilée : ce chien n’existe probablement pas. Derrière ce canular se cache une triste réalité sur le commerce des chiens et les souffrances bien réelles des animaux élevés pour la vente.
Le « propriétaire », président de l’Association des éleveurs indiens, n’a pu fournir aucun document pour prouver la vente. Ce qui aurait dû être une belle histoire de passion pour les animaux révèle en fait de graves problèmes d’éthique dans l’élevage canin.
L’industrie cruelle de l’élevage
Ce scandale n’est pas isolé. Il est le reflet d’un marché gigantesque et cruel. Dans l’ombre des animaleries brillantes et des annonces flatteuses, des millions de chiens vivent un enfer : femelles enfermées, inséminées de force, mâles épuisés par des reproductions incessantes.
Les chiennes reproductrices ne voient souvent jamais la lumière du jour. Elles sont enfermées dans des cages ou des pièces closes, privées d’affection et traitées comme de simples machines à produire des chiots. Leur seule fonction : enfanter encore et encore, jusqu’à l’épuisement.
Quant aux chiots, ils sont parfois séparés de leur mère bien avant l’âge légal, transportés dans des conditions inhumaines, pour finir vendus comme de simples objets à des familles souvent peu préparées.
La dure réalité de l’abandon
Trop souvent, ces adorables boules de poils deviennent des victimes : abandonnées quelques mois plus tard à cause d’un manque de temps, d’argent, ou parce qu’elles présentent des troubles du comportement.
En Inde, une enquête de 2019 a révélé que 50 % des chiens adoptés en ville finissent abandonnés. C’est un drame pour chaque animal, né d’une souffrance, arraché trop tôt à sa mère, puis rejeté dans un environnement hostile.
Derrière tout cela, il y a une industrie florissante, estimée à plus de 10 milliards de dollars, alimentée par la mode, la vanité et le manque de régulation.
Les lois existent, mais sont ignorées
La législation existe pourtant. Les règles de 2017 sur l’élevage et celles de 2018 sur les animaleries ont été instaurées pour protéger les chiens. Mais elles sont très mal appliquées. Pourquoi ? Parce que nous manquons de données : peu d’éleveurs sont enregistrés, peu de transactions sont suivies, et les autorités ferment trop souvent les yeux.
Pour agir efficacement, il faut recenser les éleveurs, les ventes, les naissances, et renforcer les contrôles. Sinon, l’exploitation continuera.
Une remise en question urgente
L’affaire Cadabom Okami doit nous ouvrir les yeux. Alors que 70 millions de chiens errants survivent dans les rues indiennes, comment pouvons-nous encore soutenir ce commerce ?
Chaque chiot mérite mieux qu’une vie de cage ou d’abandon. Ils veulent courir, jouer, aimer et être aimés. Si Cadabom existait, il ne rêverait sans doute pas d’une vitrine luxueuse, mais d’un vaste champ, d’une meute et de liberté.
Il est temps de remettre la compassion au cœur de notre rapport aux chiens. Ne laissons plus leur souffrance invisible nourrir une industrie basée sur l’avidité.
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Les magasins « Anti-Woke » : une réponse à la culture progressiste

Anti-Woke: Aux États-Unis, un nouveau phénomène se développe : des magasins et plateformes qui s’adressent à un public conservateur et anti-progressiste. Ces espaces se sont multipliés ces dernières années, offrant une alternative aux grandes entreprises perçues comme trop progressistes. Par exemple, des produits allant de la nourriture pour chiens « anti-woke » à du rouge à lèvres pro-américain sont désormais proposés à des consommateurs qui cherchent à éviter ce qu’ils appellent la « cancel culture » et les valeurs progressistes.
L’Émergence de Mammoth Nation et PublicSquare
Deux des plus grands acteurs de cette tendance sont Mammoth Nation et PublicSquare, qui proposent des produits fabriqués par des entreprises partageant des valeurs conservatrices. Mammoth Nation se présente comme un service de commerce en ligne similaire à Amazon, mais ne propose que des marques qui, selon eux, soutiennent les valeurs de la droite américaine. Le slogan du site est clair : « Rejoignez Mammoth Nation pour lutter contre les programmes de la gauche radicale. » En revanche, PublicSquare, lancé en 2022, offre une large gamme de produits tout en affichant clairement son soutien aux valeurs républicaines, comme l’opposition à l’avortement et le soutien à la Constitution des États-Unis.
Une Réaction à la « Cancel Culture »
Ces nouvelles plateformes sont une réponse directe à la montée en puissance des initiatives dites « woke » (progressistes) dans les entreprises traditionnelles. De nombreuses marques se sont adaptées aux demandes de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI), un mouvement jugé par certains comme trop orienté politiquement. Mammoth Nation et PublicSquare apparaissent donc comme des alternatives, visant à satisfaire une clientèle qui estime que ses valeurs chrétiennes et conservatrices ne sont plus représentées dans les entreprises classiques.
Le Marché des Produits « Anti-Woke »
Ces entreprises proposent des produits « anti-woke », allant de la nourriture pour chiens à des articles de toilette, en passant par des vêtements. Par exemple, The Daily Wire, un média conservateur, a lancé en 2022 une ligne de rasoirs, se positionnant ainsi comme une alternative à des marques perçues comme progressistes, comme Gillette ou Harry’s. Leur message : « Nous ne sommes pas woke ». Cela répond à une frustration grandissante parmi certains consommateurs, qui se sentent délaissés par les grandes marques qui soutiennent des causes progressistes.
Les plateformes comme Mammoth Nation ne se contentent pas de vendre des produits ; elles se présentent également comme des lieux où les consommateurs peuvent acheter en toute confiance, sachant que leurs achats soutiendront des entreprises qui partagent leurs convictions politiques. Cela s’inscrit dans un désir de créer une « économie parallèle » où les consommateurs peuvent se sentir en harmonie avec leurs valeurs.
L’Impact sur les Grandes Entreprises
Le succès de ces plateformes et produits montre qu’il existe une demande pour des alternatives à la culture dite « woke ». En réponse à cette tendance, certaines grandes entreprises ont commencé à revoir leurs politiques. Par exemple, des géants comme Walmart et Toyota ont retiré certaines initiatives de diversité et d’inclusivité après avoir constaté que leurs politiques ne satisfaisaient pas une partie importante de leur clientèle.
Le phénomène des magasins d’extrême droite, bien qu’encore marginal, pourrait donc continuer à se développer si les grandes entreprises peinent à trouver un équilibre entre les valeurs progressistes et conservatrices. Les consommateurs de droite, déçus par les grandes marques, se tournent de plus en plus vers des entreprises comme Mammoth Nation et PublicSquare, espérant trouver des produits qui respectent leurs convictions.
Conclusion : Un Marché en Croissance
L’essor des plateformes « anti-woke » et des produits qui célèbrent des valeurs conservatrices montre un marché en pleine expansion, répondant à une demande croissante pour des produits en adéquation avec les convictions politiques et culturelles de certains consommateurs. Que ce soit pour des produits pour chiens ou des articles de toilette, ces nouveaux magasins visent à offrir aux Américains de droite une alternative aux grandes entreprises progressistes, tout en capitalisant sur les frustrations liées à la culture « woke » et à la cancel culture.
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Cadabomb Okami : Le chien le plus cher du monde

Un éleveur indien a récemment attiré l’attention du monde entier en achetant un chien d’une valeur astronomique; S Sathish, un passionné de chiens, a déboursé pas moins de 5,3 millions d’euros pour acquérir Cadabomb Okami, un chien-loup exceptionnel, faisant de lui le chien le plus cher du monde.
Un chien-loup rare et impressionnant
Cadabomb Okami est un croisement rare entre un loup et un berger du Caucase. À seulement 8 mois, ce chien déjà imposant pèse 75 kg et mesure 30 pouces. Cette rareté, tant sur le plan génétique que physique, explique en grande partie le prix faramineux payé par Sathish. Selon l’éleveur, l’achat de ce chien unique était motivé par sa passion pour les chiens rares et la volonté de les partager avec le public indien. « J’aime posséder des chiens uniques et les présenter en Inde », a-t-il déclaré.
Un collectionneur d’exception
S Sathish n’en est pas à son coup d’essai en matière d’achats extravagants. L’année dernière, il avait déjà fait la une des journaux en acquérant un chow-chow ressemblant à un panda Qinling pour 3 millions d’euros. En plus de ces acquisitions, Sathish possède une collection impressionnante de plus de 150 races de chiens, dont beaucoup sont rares ou exotiques. Il a même aménagé un domaine de sept hectares, où ses chiens peuvent évoluer librement, avec une alimentation soignée à base de nourriture crue, et il emploie une équipe de six gardiens pour veiller sur eux.
Une véritable attraction
Au-delà de sa collection de chiens, Sathish a su transformer sa passion en un véritable business. Ses chiens attirent de grandes foules, et des visiteurs impatients de prendre des selfies avec eux viennent de toute l’Inde. Pour voir ces animaux d’exception, Sathish facture des prestations allant de 2 600 à 10 000 € pour des séances de 30 minutes à 5 heures. Selon lui, l’attention qu’il et ses chiens reçoivent est comparable à celle d’un acteur lors d’une première de film.
En somme, Cadabomb Okami n’est pas seulement un chien rare, il est devenu une véritable star, tout comme son propriétaire, attirant curiosité et fascination.
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Les races de chiens les plus populaires en 2024

Un classement attendu chaque année : L’American Kennel Club (AKC) publie chaque année la liste des races de chiens les plus populaires aux États-Unis. Ce classement est établi en fonction du nombre d’enregistrements de chaque race auprès de l’organisation. Il permet d’observer les tendances et de découvrir quelles races sont en vogue ou en perte de vitesse.
En 2024, certaines tendances se confirment, mais quelques surprises viennent chambouler le classement. Certaines races gagnent en popularité, tandis que d’autres chutent de manière spectaculaire.
Le bouledogue français toujours en tête
Sans surprise, le bouledogue français conserve son titre de chien le plus populaire d’Amérique. Après avoir détrôné le labrador retriever en 2022, il continue de dominer le classement. Son caractère affectueux et son format compact en font un chien idéal pour la vie urbaine.
Le top 10 reste relativement stable avec des classiques comme le golden retriever, le berger allemand et le caniche. Cependant, en dehors de ces places d’honneur, certaines races connaissent des variations importantes.
Des races en perte de vitesse
Certaines grandes races de chiens enregistrent une baisse de popularité en 2024. Parmi elles, le Grand Pyrénéen, autrefois très prisé, tombe de la 64e à la 74e place. Autre déclin notable, le dogue de Naples perd 10 places et se retrouve à la 128e position. Le saluki, une race ancienne et élégante, chute de 21 places pour atteindre la 141e position.
Le black and tan coonhound et le wirehaired vizsla subissent également des baisses marquées. Ces déclassements peuvent être dus à plusieurs facteurs : exigences d’entretien, besoins en espace ou en exercice, ou encore moindres présences dans les médias.
Les races montantes
Si certaines races perdent du terrain, d’autres connaissent une ascension remarquable. Le Kerry Blue Terrier fait un bond de 25 places, passant de la 160e à la 135e. Le Bracco Italiano, un chien d’arrêt puissant et récemment reconnu par l’AKC, gagne 20 places et atteint la 132e position.
Les petites races continuent aussi d’attirer de nouveaux adeptes. Le Lancashire Heeler, une race compacte et dynamique, intègre la liste des races populaires avec une 189e place.
Nouvelles races reconnues
Chaque année, l’AKC enrichit son registre en reconnaissant de nouvelles races. En 2024, le chien de ferme dano-suedois rejoint le classement et fera officiellement partie des races éligibles au palmarès en 2025.
Cette reconnaissance permet de mettre en lumière des races moins connues et de leur donner une chance de gagner en popularité. Il est fort probable que certaines de ces races récentes montent dans le classement dans les prochaines années.
Une évolution constante
Le classement de l’AKC est un bon indicateur des préférences des amoureux des chiens. Si certaines races restent indétrônables, d’autres connaissent des fluctuations notables. Ces changements peuvent être influencés par les tendances sociétales, la médiatisation de certaines races ou encore les besoins des propriétaires en fonction de leur mode de vie.
En attendant le prochain classement, les passionnés de chiens peuvent observer ces tendances et, qui sait, peut-être contribuer à la montée en puissance d’une race encore méconnue !
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L’essor du marché canin en Chine

Un marché en pleine expansion : En Chine, les chiens occupent une place de plus en plus importante dans la société. Avec le vieillissement de la population et l’augmentation du nombre de personnes vivant seules, les chiens sont devenus des compagnons indispensables. Ils aident à combler la solitude, réduisent le stress et sont considérés comme de véritables membres de la famille. En 2022, le nombre de chiens et de chats urbains en Chine a dépassé les 116 millions, enregistrant une croissance annuelle de 3,7 %.
L’essor de l’industrie de l’alimentation canine
La relation entre les Chinois et leurs chiens s’est encore renforcée pendant la pandémie de COVID-19, les incitant à investir davantage dans leur bien-être. En conséquence, le marché de l’alimentation canine a connu une forte croissance. Selon les estimations, l’industrie chinoise des aliments pour chiens pourrait atteindre 37 milliards de dollars d’ici 2025. Cette évolution est portée par une consommation émotionnelle et compensatoire : les maîtres veulent offrir à leurs chiens une alimentation de meilleure qualité, adaptée à leurs besoins.
Les tendances de consommation chez les propriétaires de chiens
Les jeunes générations chinoises jouent un rôle clé dans cette transformation du marché. Une enquête révèle que 42 % des propriétaires d’animaux de compagnie ont entre 26 et 30 ans, et que 66,9 % d’entre eux appartiennent à des groupes de revenus moyens et élevés. De plus, 61,3 % sont des femmes, qui sont souvent plus attentives à la qualité et à la composition des produits alimentaires pour chiens.
Cette sensibilisation accrue pousse les consommateurs à privilégier des aliments naturels et fonctionnels, offrant des bienfaits ciblés : renforcement des os, santé intestinale, digestion améliorée, etc. Les marques qui mettent en avant la transparence de leurs ingrédients et garantissent la qualité de leurs produits gagnent en crédibilité sur ce marché de plus en plus concurrentiel.
L’importance des canaux de vente en ligne
Les jeunes consommateurs chinois sont très connectés et préfèrent acheter les produits pour leurs chiens via des plateformes en ligne. La COVID-19 a accéléré cette tendance, et les grandes marques d’alimentation canine misent désormais sur des stratégies de commerce électronique pour attirer cette clientèle exigeante. Promotions en ligne, abonnements personnalisés et achats groupés sont devenus des leviers essentiels pour conquérir ce marché en plein boom.
Un avenir prometteur pour le marché canin
Le marché chinois des chiens est en pleine mutation et offre des opportunités considérables aux entreprises capables de répondre aux attentes des consommateurs. La tendance vers une alimentation saine et personnalisée, combinée à la digitalisation des achats, façonne un secteur en pleine croissance. Les acteurs du marché qui sauront s’adapter à ces évolutions ont tout à gagner dans cette nouvelle ère du bien-être canin en Chine.
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Australie : Chiens et nature, trouver le bon équilibre

La Sunshine Coast cherche à concilier les besoins des propriétaires de chiens et la protection de l’environnement. Un projet de plan prévoit d’adapter les espaces dédiés aux chiens tout en protégeant les écosystèmes fragiles.
Un accès élargi pour les chiens
Le projet du Conseil propose plus de 15 km de plages accessibles sans laisse et 18 km en laisse. Ces zones permettront aux chiens de profiter de la nature en toute sécurité. Maria Suarez, conseillère en charge de l’environnement, souligne que l’objectif est de préserver les habitats tout en maintenant un accès généreux aux chiens.
Protéger les écosystèmes côtiers
Les promontoires rocheux de la région abritent une biodiversité unique. Ces habitats servent de nurseries pour de nombreuses espèces marines et terrestres. Contrairement aux humains et aux chiens, ces espèces ne peuvent pas se déplacer ailleurs. La préservation de ces espaces est essentielle pour maintenir l’équilibre écologique.
Les zones intertidales, soumises à des variations climatiques importantes, sont particulièrement vulnérables. L’activité humaine et canine peut perturber ces écosystèmes et causer des dommages irréversibles. Le plan vise donc à limiter l’impact des chiens en réduisant leur présence dans certaines zones sensibles.
Un plan qui prend en compte la communauté
Rosanna Natoli, maire de Sunshine Coast, insiste sur l’importance de trouver un équilibre entre loisirs et conservation. Les plages et les espaces naturels sont essentiels au bien-être de la communauté. Le projet a été élaboré en prenant en compte plusieurs critères : impact environnemental, sécurité publique, accessibilité et patrimoine culturel.
Le Conseil souhaite impliquer les résidents dans ce processus. La consultation communautaire a été prolongée jusqu’au 7 mars pour permettre à chacun de donner son avis.
Des améliorations pour tous
Le projet de plan comprend plusieurs initiatives pour répondre aux besoins des propriétaires de chiens et de la population en général :
- Des espaces mieux adaptés : agrandissement des zones sans laisse, clôtures sécurisées, jeux d’eau et aires sociales.
- Un développement durable : création de nouvelles aires d’exercice pour chiens adaptées à la croissance démographique.
- Protection des ressources naturelles : mise en place de mesures pour préserver les écosystèmes fragiles.
- Éducation et sensibilisation : promotion de la possession responsable et du respect des règles de cohabitation.
Participez à la consultation
Les résidents sont invités à examiner le projet et à partager leurs idées. Le Conseil organise des réunions et met à disposition un sondage en ligne pour recueillir les avis.
Pour en savoir plus et donner votre avis, rendez-vous sur : haveyoursay.sunshinecoast.qld.gov.au.
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Une victoire pour les chiens errants au Pakistan

Une décision historique contre l’abattage : La Haute Cour de Lahore a interdit l’abattage massif des chiens errants à Rawalpindi. Cette décision, prise par le juge Jawad Hassan, marque une avancée majeure pour le bien-être animal au Pakistan. Elle impose des méthodes plus humaines pour gérer la population canine et met en application la politique de contrôle des naissances des animaux de 2021.
Une plainte pour défendre les chiens
L’affaire a été portée devant la justice par l’organisation Environmental and Animal Rights Consultants Pakistan. Les avocats Altamush Saeed et Ahmad Shoaib Ata ont plaidé contre la pratique d’abattage massif des chiens, invoquant des violations de la loi sur la prévention de la cruauté envers les animaux et de la loi sur la santé animale du Pendjab. Ils ont aussi cité l’article 199 de la Constitution pakistanaise pour défendre leur cause.
De nouvelles règles pour protéger les chiens
Désormais, l’euthanasie ne sera autorisée que pour les chiens incurablement malades ou mortellement blessés. Elle devra être pratiquée par des vétérinaires qualifiés et avec des méthodes respectueuses du bien-être animal. Le tribunal interdit aussi les exécutions publiques et impose des procédures d’enterrement appropriées.
En plus de cela, les citoyens pakistanais ont désormais le droit de contester légalement tout acte de cruauté envers les animaux. Cette décision reconnaît officiellement que l’abattage massif des chiens errants est une pratique inhumaine et illégale.
Une alternative plus humaine
Les autorités locales avaient justifié ces abattages en invoquant des risques liés à la rage. Cependant, la Cour a recommandé des alternatives plus éthiques, comme la vaccination et la stérilisation des chiens errants. Ces méthodes permettront de contrôler la population canine sans cruauté.
Un appel à l’action
Les défenseurs des droits des animaux demandent maintenant une application rapide de cette décision. Ils réclament la mise en place de programmes nationaux de stérilisation et des mécanismes de surveillance pour garantir le respect des nouvelles règles.
Cette décision marque un tournant pour le bien-être animal au Pakistan et pourrait inspirer d’autres pays à adopter des politiques similaires pour protéger les chiens errants.
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Un chien robot sur scène : une première au théâtre

Un chien robot dans une pièce Off-Broadway : Le chien robot Go2 d’Unitree fait ses débuts au théâtre Off-Broadway. Ce robot quadrupède est l’une des vedettes de Le robot, l’espion et l’amour de l’IA, une pièce en un acte jouée au Chain Theatre à New York. Cette performance marque une première dans le monde du théâtre : un véritable chien robot intègre la scène aux côtés des comédiens.
Une idée née d’une vidéo
Le dramaturge John Arthur Long a eu l’idée de cette pièce après avoir visionné une vidéo du robot Go2 Pro d’Unitree sur YouTube. Fasciné par son potentiel, il a décidé d’en acheter un et d’intégrer un chien robot comme personnage central de son histoire. « Je ne crois pas qu’il y ait jamais eu un véritable robot sur scène », affirme Long.
Une performance en direct
Go2 ne se contente pas de présence statique. Il interagit avec les acteurs et participe activement aux scènes. Son opération repose sur deux personnes :
- David Rey, qui prête sa voix au robot en direct via un haut-parleur fixé sur son dos.
- Dariel Garcia, qui le manipule en direct à l’aide d’une application et d’une manette.
« J’ai environ 90 % de contrôle sur le robot », explique Garcia. « Certains mouvements, comme les sauts, sont préprogrammés, mais la majorité des actions sont guidées en temps réel. »
L’importance du direct au théâtre
Le metteur en scène Kirk Gostkowski, directeur artistique du Chain Theatre, avait initialement envisagé d’enregistrer les répliques du robot à l’avance. Cependant, il a vite réalisé que la prestation en direct offrait une interaction plus naturelle avec les comédiens et le public.
« Il y a beaucoup de comédie dans cette pièce », explique-t-il. « Un enregistrement ne permettrait pas d’adapter les répliques aux réactions du public. C’est ce qui fait la magie du théâtre vivant. »
Une expérience inédite
La première de Le robot, l’espion et l’amour de l’IA a eu lieu vendredi et les représentations se poursuivent jusqu’au 1er mars dans le cadre du Chain Winter One Act Festival.
Ce projet ouvre une nouvelle voie pour l’intégration de la robotique dans les arts vivants. Avec ce chien robot sur scène, le théâtre explore des horizons inédits et redéfinit la relation entre la technologie et la création artistique.
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