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Un chien brûlé trouve justice : 20 ans de prison

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L’affaire « Justice pour Phoenix » : un chien sauvé et son agresseur condamné : Un homme du Texas, Michael Villanueva, 28 ans, a été condamné à 20 ans de prison pour avoir brûlé et torturé un chien, un acte de cruauté qui a choqué la communauté de Nixon. Ce chien, rebaptisé « Phoenix » après son sauvetage, a survécu à des blessures graves grâce aux soins dévoués d’un refuge pour animaux.

L’attaque brutale contre Phoenix

L’incident s’est produit en février 2024. Villanueva a aspergé Phoenix, un petit chien, d’essence avant de lui mettre le feu. Le pauvre animal, initialement nommé « Cutie », a subi de terribles brûlures en essayant de s’échapper de l’incendie. Il a été retrouvé sur une route par un citoyen inquiet. Phoenix a été pris en charge par le refuge Passion for Paws, puis transféré à 4 Little Paws Rescue pour des soins intensifs. Grâce à des dons généreux de la communauté, plus de 112 000 dollars ont été collectés pour couvrir ses traitements médicaux, y compris des greffes de peau et des chirurgies.

Une communauté unie pour la justice

Lors du procès, Villanueva a plaidé coupable de cruauté envers les animaux, ainsi que d’autres accusations sans rapport. Il a été condamné à la peine maximale de 20 ans de prison. Phoenix, bien qu’absente de la salle d’audience, a été soutenue par de nombreux partisans qui se sont rassemblés autour d’elle à l’extérieur. La directrice de 4 Little Paws Rescue, Ashley Book, a exprimé sa profonde émotion lors de la lecture du verdict, se souvenant du long chemin parcouru depuis le sauvetage de Phoenix.

Un nouveau départ pour Phoenix

Malgré ses souffrances, Phoenix s’est bien rétablie et a retrouvé une grande partie de sa fourrure. Elle a été adoptée par Ashley Book, qui continue de veiller sur elle. L’argent restant des dons sera utilisé pour aider d’autres animaux en détresse, montrant ainsi que, même dans les moments les plus sombres, la solidarité et la compassion peuvent triompher.

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Quand le plus petit chien rencontre le plus grand

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Deux chiens aux records mondiaux : D’un côté, Reggie, un immense dogue allemand de 90 cm au garrot et 66 kilos, détenteur du record du plus grand chien vivant. De l’autre, Pearl, une minuscule chihuahua de seulement 9 cm de haut et un peu plus de 450 grammes, couronnée plus petit chien vivant au monde. Ces deux chiens extraordinaires se sont rencontrés pour la première fois à Idaho Falls, dans la maison de Reggie, en avril dernier. Une rencontre organisée par le Guinness World Records, pour fêter ses 70 ans.

Une rencontre douce malgré les différences

Malgré l’immense différence de taille – plus d’un mètre entre eux – Reggie et Pearl ont tout de suite sympathisé. Pearl, tenue d’abord dans les bras de sa maîtresse Vanesa Semler, a été reniflée avec précaution par Reggie. Très doux, le grand dogue a même tenté de lui faire des bisous. Peu après, les deux chiens se sont installés côte à côte sur le canapé, ont exploré la maison ensemble, couru dans le jardin et partagé un repas. Les maîtres, un peu inquiets au début, ont vite été rassurés : les deux chiens étaient sur la même longueur d’onde.

Des photos qui font fondre

Bien sûr, une séance photo pleine de tendresse a été organisée. Pour montrer la différence impressionnante entre eux (le plus grand et le plus petit), Pearl a été placée dans la gamelle de Reggie, et ses toutes petites pattes ont été comparées à celles, géantes, de son nouvel ami. Malgré leurs tailles opposées, les deux chiens ont des points communs : ils aiment tous deux le poulet, les câlins, les siestes ronflantes, et ils ont chacun une forte personnalité.

Deux parcours étonnants

Reggie est né en 2017 et était le plus petit de sa portée. Cela n’a pas empêché son maître, Sam Johnson Reiss, de l’adopter. Aujourd’hui, il est si grand qu’il boit directement au robinet et atteint sans effort les plans de travail. Pearl, née en 2020, pesait moins de 30 grammes à la naissance. Elle est apparentée à Milly, l’ancienne détentrice du même record, également membre de la famille Semler.

Une amitié inattendue

Même si l’on ne sait pas s’ils se reverront, leurs propriétaires espèrent que cette belle amitié durera dans le temps. Cette rencontre prouve que, malgré les apparences, les chiens peuvent toujours se comprendre et s’aimer, quels que soient leur gabarit, leur force ou leur histoire. Une belle leçon d’amitié canine… version XXL et XXS !

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Australie: Une disparition longue de 529 jours

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Valérie, une petite teckel miniature, a disparu en novembre 2023 lors de vacances en camping avec ses maîtres sur l’île Kangourou, au sud de l’Australie. Effrayée par des inconnus qui tentaient de l’aider, elle s’est enfuie dans les bois et n’a plus donné signe de vie. Ses propriétaires, impuissants malgré leurs recherches, ont fini par rentrer sur le continent, le cœur lourd. Beaucoup pensaient que Valérie avait été victime d’un serpent ou d’un gros varan, des prédateurs bien présents sur l’île.

Une mobilisation exceptionnelle

Mais contre toute attente, des témoins ont commencé à signaler des apparitions de la chienne. L’association Kangala Wildlife Rescue, spécialisée dans la protection des animaux sauvages, a décidé de lancer une grande opération pour retrouver Valérie. Aidés par des bénévoles, ils ont utilisé des caméras 4G, des pièges, des boîtes de nourriture, et même des jouets venant de sa maison. Lorsque les intempéries ont abîmé les équipements, la communauté s’est mobilisée, certains proposant même de contacter Elon Musk pour obtenir un relais Starlink !

L’arme secrète : un vieux t-shirt

Finalement, ce qui a permis de capturer Valérie en douceur, c’est un vieux t-shirt sale appartenant à son maître. Trempé d’odeurs familières, le vêtement a été découpé en morceaux et placé sur le chemin qui menait au piège. Une bénévole, Lisa Karran, s’est installée à l’intérieur de l’enclos avec le t-shirt sur elle. Peu à peu, Valérie s’est approchée, l’a reniflée, et a fini par se calmer… puis s’est blottie sur ses genoux, épuisée mais sereine.

Le retour au calme

Une fois l’enclos refermé, Valérie a tenté brièvement de fuir, puis s’est installée d’elle-même dans la cage aménagée pour elle, comme si elle comprenait que son errance touchait à sa fin. Elle s’est endormie paisiblement. Aujourd’hui, elle est en phase de repos et de « décompression », et retrouvera bientôt ses maîtres pour une vie plus tranquille, bien loin des forêts sauvages.

Une belle leçon de patience et d’amour

Cette histoire montre à quel point l’attachement entre un chien et ses humains peut traverser les épreuves. Grâce à l’odeur d’un simple vêtement, Valérie a retrouvé le chemin de la maison. Un petit chien perdu, une grande aventure humaine… et un final heureux.

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Une forêt achetée pour les chiens du village

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Une forêt menacée de disparition : À Broughtonknowe, en Écosse, un groupe d’habitants passionnés de nature et de chiens a réussi un pari incroyable : acheter une forêt entière pour en faire un lieu de promenade préservé. Cette forêt de 56 hectares, située entre Peebles et Biggar, risquait d’être vendue à une entreprise forestière qui aurait détruit sa biodiversité pour en faire une exploitation commerciale. Cela inquiétait fortement les promeneurs de chiens qui y venaient quotidiennement depuis des années, notamment pendant le confinement.

Une mobilisation pour les chiens et la nature

Devant cette menace, plusieurs promeneurs se sont unis pour créer le groupe Friends of Broughtonknowe. Leur objectif : réunir assez d’argent pour acheter la forêt avant qu’elle ne soit vendue à une entreprise privée. Avec l’aide de dons, du Scottish Land Fund, de SSE Renewables, et d’autres soutiens, ils ont finalement récolté près de 900 000 £. Grâce à cette somme, le groupe a pu créer une association, Broughtonknowe Community Woodland (BCW), qui est aujourd’hui propriétaire officiel du terrain.

Un havre pour les chiens et les habitants

Broughtonknowe est bien plus qu’un simple coin de forêt : c’est un lieu de vie pour les promeneurs de chiens, les amoureux de la nature, les familles, et même certains groupes de yoga ou de bien-être. On y croise souvent des chiens comme Bambi, Robbie ou Tess, qui s’y promènent librement avec leurs maîtres. C’est un espace paisible où la communauté se retrouve, tout en respectant la faune et la flore locales. Le site compte aujourd’hui des sentiers, des étangs pour la faune, des aires de pique-nique, et même une cache pour observer les oiseaux.

Préserver la forêt pour les générations futures

Les nouveaux propriétaires ne comptent pas s’arrêter là. Ils ont déjà planté des arbres fruitiers, installé des ruches, et prévoient de construire un abri et de planter cinquante noisetiers. Leur but est clair : faire de cette forêt un exemple de gestion respectueuse de l’environnement. Ils veulent aussi que d’autres groupes puissent en profiter, tout en gardant la nature comme priorité. « Ce lieu est précieux, pour les chiens comme pour les humains », résume Ian Brook, président du groupe.

Un conte de fées pour les promeneurs de chiens

Ce projet est une belle preuve de ce que peut accomplir une petite communauté unie. Grâce à leur engagement, les chiens du village et leurs propriétaires continueront de profiter de ce lieu magique pendant de nombreuses années. Pour eux, Broughtonknowe n’est pas juste une forêt : c’est un coin de paradis où l’on peut marcher, respirer, et se sentir libre, ensemble.

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Bosnie: Des chiens contre les mines en Ukraine

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Des chiens formés pour sauver des vies : À Butmir, près de Sarajevo en Bosnie, un centre spécialisé forme des chiens pour une mission vitale : détecter les mines. Parmi eux, Mey, un berger belge, s’entraîne avec son maître Kenan Muftic à repérer les explosifs cachés dans les champs. Ensemble, ils parcourent des terrains piégés, franchissent des obstacles et apprennent à repérer le moindre danger. Leur objectif : sauver des vies.

Depuis sa création en 2004, le Centre mondial de formation pour chiens détecteurs de mines a éduqué plus de 500 chiens, utilisés dans des zones à risque comme le Cambodge, l’Irak, le Zimbabwe… et désormais l’Ukraine.

Une mission urgente en Ukraine

Depuis le début de la guerre en 2022, l’Ukraine est devenue le pays le plus miné au monde, selon l’ONU. Face à ce danger, la Norvège a envoyé 26 chiens dressés en Bosnie pour aider au déminage. Ces chiens travaillent dans des zones très touchées, comme Kharkiv ou Mykolaïv, parfois à proximité directe des lignes de front.

Ces mines rendent de vastes terres agricoles inutilisables, bloquent les récoltes et nuisent à l’économie du pays. En 2024, les pertes économiques liées aux mines dépassaient les 11 milliards de dollars de produit intérieur brut (PIB).

L’expérience bosniaque au service des autres

La Bosnie connaît bien ce fléau. Les cicatrices de la guerre des années 1990 sont encore visibles, et environ 15 % de la population vit à proximité de terrains minés. Là aussi, les chiens sont essentiels pour sécuriser les lieux.

Kenan Muftic, expert depuis 27 ans, résume bien l’importance de leur travail :
« Une mine trouvée, c’est une famille sauvée. »

Ces chiens courageux, fidèles et efficaces jouent un rôle silencieux mais crucial. Grâce à leur flair exceptionnel, ils redonnent espoir à des milliers de personnes et permettent un jour, peut-être, de revivre en paix sur des terres libérées du danger.

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Ionia: Un parc pour chiens qui crée du lien

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Une grande fête pour l’ouverture : À Ionia, une petite ville du Michigan, l’ambiance était joyeuse ce vendredi après-midi ensoleillé : le nouveau parc à chiens tant attendu a enfin ouvert ses portes au coin des rues Steele et Adams. Propriétaires de chiens, familles, élus locaux et même quelques toutous célèbres ont assisté à l’inauguration officielle. Le maire John Milewski a coupé le ruban en compagnie d’autres responsables de la ville.

Ce nouveau parc n’est pas seulement un espace pour que les chiens courent : il a été pensé pour renforcer les liens entre les habitants, leurs chiens et la communauté. « Ce parc, c’est un lieu où les gens peuvent se retrouver et profiter ensemble », a déclaré Lynnelle Wilson, de la Chambre de commerce locale.

Un projet pensé pour tous les chiens de Ionia

Le parc a été conçu pour accueillir chiens petits et grands en toute sécurité. Il est divisé en deux zones distinctes selon la taille des chiens. Il propose aussi des jeux d’eau, des parcours d’agilité, un grand sentier en forme d’os, un abri pour l’ombre, des distributeurs de sacs pour ramasser les déjections et une clôture solide de 1,5 mètre de haut.

Sa localisation est idéale : à côté de pistes cyclables et de sentiers très fréquentés, ce qui permet aux promeneurs de s’y arrêter facilement. Un parking en gravier est prévu juste à côté.

Un rêve devenu réalité

Ce parc représente l’aboutissement d’un projet qui a duré plus de dix ans. Les premières idées sont nées après un sondage auprès des habitants. Malgré les difficultés (budget dépassé, travaux retardés par des problèmes techniques), la ville a tenu bon. Au total, le projet a coûté environ 460 000 dollars, financés en grande partie par une subvention de l’État du Michigan.

« Ce fut long, mais le résultat en vaut la peine », a déclaré le maire Milewski. Même les chiens semblaient le penser, comme Chewie, le petit compagnon d’un conseiller municipal, ou Mangle, un grand danois sauvé au Texas, désormais mascotte du parc.

Un lieu pour tous, à respecter

Maintenant que le parc est ouvert, la ville de Ionia rappelle quelques règles de bon sens : utiliser le parking public, garder les chiens sous surveillance, ramasser leurs crottes et éviter d’amener des animaux agressifs. « Il y a tout ce qu’il faut pour profiter du lieu dans le respect de tous », a rappelé Jeff Petersen, responsable des travaux publics.

Ce nouveau parc à chiens montre que même un petit espace peut avoir un grand impact, en offrant à la fois liberté, rencontres et joie pour les chiens… et leurs humains.

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Combats de chiens : une violence qui persiste

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Un sport cruel encore bien présent : Les combats de chiens, pourtant interdits en Australie, continuent d’exister dans l’ombre. Derrière ces affrontements violents se cache une réalité glaçante où des chiens, souvent maltraités, sont élevés pour se battre jusqu’à la mort. Ce phénomène reste un problème grave, malgré les lois censées le combattre.

L’affaire de Glenn Wilson, un homme de la région de Darling Downs, en est un exemple choquant. En 2019, il a été condamné pour avoir fourni un chien nommé « Pretty Girl » à un combat illégal et pour avoir négligé plusieurs autres chiens. Malgré une peine de six mois de prison et une interdiction à vie de posséder des pitbulls, il reste actif dans des groupes en ligne liés à ce milieu.

Des chiens élevés dans des conditions inhumaines

Lors de l’enquête menée par la RSPCA en 2018, cinq chiens ont été saisis dans la propriété de Wilson. Les animaux vivaient attachés à de lourdes chaînes, sans eau, sans nourriture, ni abri adéquat. Certains souffraient d’infections, d’autres portaient des cicatrices liées à des combats passés. L’environnement était sale, hostile et dangereux pour leur santé.

Parmi eux, « Chico », « Jesus » et « Beetle » vivaient dans des enclos rudimentaires, exposés aux éléments. « Naughty », un autre chien, était retrouvé blessé, incapable de marcher normalement. Ces chiens, loin d’être des compagnons, étaient traités comme des outils de violence.

Une justice trop clémente

Malgré la gravité des faits, les peines infligées aux auteurs restent légères. Glenn Wilson, par exemple, a purgé seulement trois mois. D’autres cas similaires montrent le même laxisme : des peines de quelques mois, parfois même des peines avec sursis ou seulement des amendes. Pour beaucoup, ces sanctions ne suffisent pas à décourager cette activité illégale.

Des experts, comme la professeure Virginia Maxwell, soulignent que ces « tapes sur les doigts » ne servent pas à faire reculer ces pratiques. Aux États-Unis, la législation est plus stricte : posséder du matériel, entraîner un chien pour se battre ou en utiliser un comme appât est interdit, pas seulement l’organisation du combat en lui-même.

Une culture de la violence assumée

Malgré sa condamnation, Wilson continue à publier en ligne. Il se vante d’avoir tué « plus de chiens que le parvovirus » et partage des photos de chiens avec des commentaires provocants. Il nie toutefois participer actuellement à des combats de chiens, affirmant que ses messages ne sont qu’une façade, un personnage en ligne « fait pour choquer ».

Il dit aimer les chiens depuis l’enfance, mais ses actes contredisent ces paroles. Il reconnaît avoir tué des chiens jugés « inutiles » pour la chasse. Pour les associations de défense des animaux, ce genre de comportement n’est pas anodin, il reflète une banalisation inquiétante de la cruauté.

Un réseau bien plus large

L’enquête révèle que l’Australie est aussi liée à un réseau international. Du sperme de chiens de combat australiens est vendu à l’étranger. Des équipements spécifiques comme les « stands de viol » ou les bâtons de séparation sont retrouvés dans plusieurs propriétés lors d’arrestations. Ce commerce clandestin est souvent connecté à d’autres formes de criminalité organisée.

Même si les combats sont devenus plus discrets, les associations comme la RSPCA affirment que leur fréquence ne diminue pas. Les interventions se multiplient, mais les moyens manquent pour vraiment démanteler ces réseaux.

La nécessité d’une législation plus ferme

Pour les défenseurs des animaux, il devient urgent de renforcer les lois. La RSPCA demande des peines plus lourdes, non seulement pour les organisateurs, mais aussi pour ceux qui entraînent, vendent ou possèdent des chiens destinés au combat. Ces mesures visent à dissuader les récidives et à démanteler les réseaux existants.

Ils insistent aussi sur l’importance de l’éducation : un chien n’est pas un objet ni une arme. C’est un être vivant qui mérite respect, soin et affection. La culture de la violence doit cesser, et cela passe par une action à tous les niveaux, de la justice à la sensibilisation du grand public.

Protéger les chiens avant tout

Les combats de chiens ne sont pas seulement une question de loi. Ils traduisent un manque d’empathie, une volonté de dominer par la force, souvent au détriment de l’animal. Pour en finir avec cette pratique cruelle, il faut non seulement des sanctions sévères, mais aussi un profond changement de mentalité. Les chiens ne sont pas faits pour se battre, mais pour vivre à nos côtés, protégés et aimés.

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Un concours pour les chiens du Parlement

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Jim, le border collie qui fait sensation : Le concours « Chien de l’année de Holyrood », qui se déroule chaque année devant le Parlement écossais à Édimbourg, a couronné Jim, un border collie au passé inattendu. Destiné à devenir un chien de berger, Jim n’a jamais vraiment réussi à guider les moutons… mais il a trouvé une nouvelle vie comme compagnon fidèle et chien de famille.

Inscrit par Jenni Minto, députée du Parti national écossais pour Argyll et Bute, Jim a surpassé 12 autres chiens pour remporter la première place de cette édition 2025. Son histoire montre que chaque chien a une place, même s’il ne correspond pas à ce qu’on attendait de lui au départ.

Un concours pour valoriser les chiens

Ce concours, organisé par le Kennel Club et Dogs Trust, est maintenant dans sa septième année. Il a pour but de mettre en lumière le lien fort entre les élus et leurs chiens, tout en sensibilisant le public aux besoins et au bien-être des chiens.

C’est aussi un moment chaleureux où les responsables politiques, au-delà de leurs idées, partagent leur amour des animaux.

De beaux finalistes aussi

Derrière Jim, la deuxième place revient à Kura San, un retriever à poil plat accompagné de Tess White, députée conservatrice du nord-est de l’Écosse. En troisième position, on retrouve Buster, un chien de sauvetage soutenu par Jamie Halcro Johnston, député des Highlands.

Enfin, le prix du public – ou plutôt le « vote pawblic » – a été remporté par Roma, un labrador retriever qui partage la vie de Craig Hoy, député conservateur pour le sud de l’Écosse.

Des chiens au cœur de la politique

Ce concours amical rappelle que les chiens font partie intégrante de nos vies, même dans les coulisses du pouvoir. Fidèles, affectueux, parfois maladroits ou inattendus, ils unissent les gens bien au-delà de la politique.

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Un médicament pour vivre plus vieux

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Un rêve qui pourrait devenir réalité : Les amoureux des chiens partagent souvent un souhait : pouvoir garder leur compagnon à quatre pattes le plus longtemps possible. Ce rêve pourrait bientôt se concrétiser grâce à une avancée médicale prometteuse. Une start-up de biotechnologie basée à San Francisco, Loyal, a développé un médicament appelé LOY-002, censé ralentir le vieillissement chez les chiens âgés. En février 2025, la FDA (l’agence américaine de contrôle des médicaments) a reconnu que ce traitement avait une « espérance raisonnable d’efficacité », une étape essentielle vers sa mise sur le marché.

Un médicament pas encore disponible

Pour l’instant, ce comprimé n’est pas encore autorisé à la vente, mais il est en bonne voie. Loyal doit encore prouver que le médicament est sans danger, et qu’il peut être fabriqué à grande échelle. Si tout se passe bien, il pourra être prescrit aux chiens de plus de 10 ans et pesant plus de 6,5 kg.

Le traitement est administré sous forme de pilule au goût de bœuf, ce qui facilite son acceptation par les chiens. Loyal mène actuellement des essais cliniques, avec certains chiens recevant le vrai médicament et d’autres un placebo, pour mesurer les effets réels sur la durée et la qualité de vie.

Une solution pour éviter la restriction alimentaire

Il est connu que la restriction calorique (réduction contrôlée de l’alimentation) peut prolonger la vie de certains animaux, y compris les chiens. Mais cette méthode est difficile à mettre en œuvre pour les propriétaires, qui veulent faire plaisir à leur animal. LOY-002 cherche à imiter les effets positifs de cette restriction, mais sans modifier les habitudes alimentaires du chien, ce qui rend la solution plus simple et plus douce.

Un marché en pleine croissance

Loyal n’en est pas à son premier essai : l’entreprise travaille aussi sur un traitement injectable pour les grandes races, comme les Dogues allemands. Elle n’est d’ailleurs pas seule sur ce créneau. D’autres sociétés développent également des produits liés à la santé animale, comme des médicaments contre l’obésité canine.

Ce type de recherche attire beaucoup d’argent : les investissements dans la longévité animale et humaine explosent, et les dépenses des familles pour leurs animaux sont en forte hausse. Rien qu’en 2023, les Américains ont dépensé en moyenne 876 usd par an pour leurs animaux, soit presque le double d’il y a dix ans.

Un lien fort entre humains et chiens

Pourquoi un tel engouement ? Parce que pour beaucoup, les chiens font partie de la famille. Une étude a montré que 97 % des propriétaires d’animaux les considèrent comme des proches, et plus de la moitié les traitent comme des êtres humains. Pouvoir prolonger la vie de son chien grâce à une pilule devient donc bien plus qu’un simple progrès scientifique : c’est un espoir émotionnel profond.

Un avenir prometteur mais encore incertain

Même si les résultats sont encourageants, la prudence reste de mise. Les tests sur de nouveaux médicaments peuvent réserver des surprises. Comme le dit un proverbe bien connu, « il est difficile de faire des prédictions, surtout sur l’avenir ». Mais l’idée de pouvoir offrir quelques années de plus à son chien bien-aimé, en bonne santé, est plus proche que jamais. Et cela suffit à faire rêver des millions de familles à travers le monde.

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Une chanteuse et des chiens pour L’Eurovision

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Une visite pleine d’émotion dans un refuge pour chiens : Emmy, la jeune artiste qui représentera l’Irlande à l’Eurovision 2025, a fait une pause touchante dans sa préparation en visitant un refuge pour chiens à Dublin. Ce n’est pas un refuge comme les autres : il est dirigé par Linda Martin, ancienne gagnante du célèbre concours en 1992. Ce moment, simple et chaleureux, a été l’occasion pour Emmy de recevoir des encouragements, des conseils de scène, mais aussi de passer du temps avec des chiens en attente d’un foyer.

Accompagnée de son frère Erland, Emmy a été accueillie avec gentillesse par Linda Martin et son équipe du Dublin Dog Hub. Ils lui ont offert des fleurs aux couleurs de l’Irlande et l’ont encouragée pour sa prestation à venir. Pour Linda, l’important est de vivre pleinement cette expérience unique : « Profite, ça passe en un éclair », a-t-elle dit avec le sourire.

Une chanson qui parle… d’un chien

Le lien entre Emmy et les chiens ne s’arrête pas à cette visite. Sa chanson pour l’Eurovision s’intitule Laika Party, en hommage à Laïka, le premier chien envoyé dans l’espace par l’Union Soviétique en 1957. Ce titre, à la fois original et émouvant, parle de courage, d’injustice et de mémoire. Écrit en collaboration avec l’auteure irlandaise Larissa Tormey après un atelier en Norvège, le morceau reflète l’amour d’Emmy pour les animaux, en particulier les chiens.

Le fan club irlandais de l’Eurovision a même créé des t-shirts à l’effigie de Laïka pour soutenir Emmy. Tous les bénéfices seront reversés au refuge de Linda Martin, montrant encore une fois le lien fort entre cette aventure musicale et la cause animale.

Des conseils d’une ancienne gagnante

Linda Martin n’a pas seulement ouvert les portes de son refuge, elle a aussi partagé son expérience du concours. Elle a conseillé à Emmy de parler aux médias, d’expliquer sa chanson et de se rendre visible. Mais surtout, elle lui a rappelé que c’est une opportunité rare : « Tu seras regardée par des millions de personnes, des maisons de disques, des producteurs… Il faut tout donner ! »

Elle a terminé en plaisantant : « Si tu gagnes, tu reviens à Dublin. Et je t’embauche au refuge ! »

Chanter pour l’Irlande… et pour les chiens

Emmy ne participe pas à l’Eurovision pour la première fois. Après avoir tenté sa chance dans les sélections norvégiennes, elle représente cette fois-ci l’Irlande, pays où elle a grandi et qu’elle est fière de représenter.

La grande finale aura lieu le 17 mai. En attendant, Emmy continue de faire parler d’elle avec une chanson unique et un cœur tourné vers les chiens. Un beau message d’amour, de musique et de compassion.

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Barkgata : Le Luxe pour Nos Chiens à Farmingdale

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Un nouveau havre de paix pour nos compagnons à quatre pattes a ouvert ses portes à Farmingdale (Long Island, New York); le Barkgata Pet Hotel, un hôtel de luxe pour chiens, a inauguré son deuxième établissement le 1er mars, offrant à nos meilleurs amis une expérience de pension unique avec des services de garderie et de spa.

Un Concept Innovant : Le Bien-être Canin

Le Barkgata Pet Hotel, qui a vu le jour à Nesconset en 2022, est l’œuvre de Bianca Caras, une entrepreneuse passionnée par les animaux. Alors qu’elle était étudiante lors du début de la pandémie, Caras a décidé de changer de carrière et de se lancer dans l’aventure d’un hôtel pour chiens. Après un an et demi de démarches administratives, son premier établissement a vu le jour en 2022, et, grâce à son succès, elle a ouvert un second hôtel à Farmingdale en mars 2024.

L’hôtel se distingue par son approche sans cage, où les chiens peuvent se détendre dans un environnement sécurisé et totalement surveillé. Ce concept permet aux animaux de se sentir plus à l’aise, tout en bénéficiant d’un service personnalisé.

Des Services Sur Mesure pour Nos Chiens

Barkgata propose une gamme de services pour répondre à tous les besoins des chiens et de leurs propriétaires. Que ce soit pour une demi-journée de garderie ou un séjour de longue durée, les chiens sont accueillis dans des suites individuelles confortables, dotées de lits orthopédiques et de repas adaptés. Les propriétaires peuvent choisir entre plusieurs types de suites, telles que la suite confort ou la suite impériale, offrant des chambres individuelles à température contrôlée avec une porte vitrée privative.

Les repas servis sont soigneusement sélectionnés, avec des plats de la marque Hill’s Science Diet, mais les propriétaires peuvent également apporter la nourriture de leur choix. Pour les familles possédant plusieurs chiens, une remise de 20 % est offerte pour les animaux partageant la même chambre.

Une Attention Particulière et une Équipe Dévouée

Bianca Caras place la relation client au cœur de son activité. Le personnel de Barkgata est composé de 27 employés répartis entre les deux établissements, mais c’est avant tout une relation de confiance et d’attention qu’elle souhaite offrir. « Vous devez traiter les chiens comme s’ils étaient vos chiens », affirme Caras, soulignant l’importance de connaître chaque chien et de lui offrir une attention particulière.

Les propriétaires peuvent également bénéficier d’une évaluation gratuite du comportement de leur chien lors de son premier jour. Cela permet au personnel de mieux comprendre comment le chien réagit dans ce nouvel environnement et d’adapter les services à ses besoins spécifiques.

Un Spa et un Toilettage de Qualité

Barkgata ne se contente pas d’offrir un hébergement de qualité, mais propose également des services de toilettage avec des produits entièrement naturels. Le système de bain Prima est utilisé pour offrir à chaque chien un soin optimal, contribuant à leur bien-être et leur hygiène.

Une Passion Partagée

Bianca Caras, qui a grandi entourée de chiens, se décrit comme étant particulièrement proche de ses clients à quatre pattes. Possédant actuellement quatre chiens, elle explique qu’elle passe beaucoup de temps avec eux, et que ses liens avec les animaux vont bien au-delà de son rôle de propriétaire d’hôtel. « Je vois probablement les chiens plus souvent que leurs propres propriétaires », confie-t-elle.

Conclusion : Une Nouvelle Vision du Service Canin

Le Barkgata Pet Hotel à Farmingdale offre bien plus qu’un simple hébergement pour chiens. C’est un véritable sanctuaire de luxe, où chaque animal est traité avec le plus grand soin et reçoit une attention personnalisée. Grâce à des services haut de gamme, une équipe dévouée et une gestion passionnée, Barkgata redéfinit ce que signifie offrir à son chien une expérience de pension. Pour les propriétaires soucieux du bien-être de leurs compagnons, cet hôtel de luxe devient un lieu de choix.


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Le chien du roi Charles intrigue le public

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Roi Charles III: Une race peu connue sous les projecteurs : Les célébrités influencent souvent les tendances, et cela ne se limite pas à la mode ou aux loisirs. Même les races de chiens peuvent gagner en popularité grâce à des personnalités publiques. Pendant des décennies, la reine Élisabeth II a été associée aux corgis, contribuant à leur succès mondial. Aujourd’hui, son fils, le roi Charles III, semble susciter un engouement pour une autre race moins connue.

Depuis que le roi Charles a adopté un nouveau compagnon à quatre pattes, Snuff, les recherches sur cette race ont explosé. Mais de quelle race s’agit-il ? Il s’avère que le nouveau chien royal est un Lagotto Romagnolo, une race italienne encore peu répandue.

Cette nouvelle survient quelques jours seulement après l’annonce de l’adoption par la reine Camilla d’un chien nommé Mole .

Le roi est connu pour être un amoureux des animaux, mais il n’a pas eu d’animal de compagnie depuis 2002, lorsque son bien-aimé Jack Russell Terrier , Tigga, est malheureusement décédé.

Une popularité soudaine

D’après le journal The Times, un site spécialisé dans la recherche de chiots a enregistré une hausse de 723 % des recherches concernant le Lagotto Romagnolo. Lors du célèbre événement canin Crufts, de nombreux visiteurs se sont intéressés à cette race, posant un grand nombre de questions aux experts présents.

Qui est le Lagotto Romagnolo ?

Originaire d’Italie, le Lagotto Romagnolo est avant tout un chien de chasse aux truffes. Doté d’un flair exceptionnel et d’une intelligence remarquable, il excelle dans cette discipline. Mais ce n’est pas son unique atout. Cette race est également très fidèle et affectueuse, ce qui en fait un excellent chien de compagnie.

En termes de longévité, ces chiens vivent en moyenne entre 15 et 17 ans, un âge respectable pour un chien de taille moyenne. Cependant, leur rareté en fait une race onéreuse et difficile à adopter. Les élevages spécialisés sont peu nombreux, et la demande risque d’augmenter avec l’engouement suscité par le roi Charles.

Une rivalité avec les corgis ?

Si le Lagotto Romagnolo commence à séduire un nouveau public, il est encore loin de détrôner les corgis dans le cœur des amateurs de chiens royaux. La reine Élisabeth II a popularisé cette race pendant plus de 70 ans, tandis que le Lagotto Romagnolo reste encore relativement méconnu.

Toutefois, l’intérêt pour cette race pourrait continuer de croître. Le roi Charles, par son influence, pourrait bien en faire le nouveau chien emblématique de la monarchie britannique. Seul l’avenir dira si cette tendance s’inscrira dans la durée ou s’il s’agit d’un simple effet de mode.


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Un chien pour renaître : l’histoire de Peanut

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Un héritage inattendu : Lorsque Ally Porter a perdu son père à cause d’un cancer, elle s’est retrouvée avec une dette importante, une lutte contre la dépendance et un petit chien de sept livres, Peanut, un croisement entre un Chihuahua et un Fox Terrier. Cet héritage, qu’elle n’avait pas anticipé, allait pourtant changer sa vie.

Sur Reddit, sous le pseudo u/beanietoes_, Ally a partagé un hommage émouvant à Peanut, expliquant comment ce petit chien l’avait aidée à surmonter l’une des périodes les plus sombres de son existence.

La descente aux enfers

Avant son diagnostic, Kyle Mosher, le père d’Ally, était son roc, l’une des seules personnes à lui avoir témoigné un amour sincère. Lorsqu’il a appris qu’il était atteint d’un cancer du poumon au stade 4, Ally est devenue son aidante principale. Elle l’a accompagné à chaque rendez-vous, gérant ses soins et prenant en charge toutes ses affaires.

Le jour où elle a découvert son corps sans vie, elle a touché le fond. Seule, sans ressources, aux prises avec la dépression et l’anxiété, elle a sombré dans la drogue. « J’ai commencé à consommer des substances plus fortes le jour de son diagnostic », confie-t-elle.

Peanut, un compagnon fidèle

Malgré le chaos de sa vie, Peanut est resté une constante. Ce petit chien courageux était présent lors des derniers instants de son père, allant jusqu’à mordre un ambulancier qui tentait de l’éloigner. À la mort de Kyle, Peanut est devenu le soutien émotionnel d’Ally.

« Il dépend autant de moi que je dépends de lui. Nous formons une équipe parfaite », dit-elle. Lorsque l’anxiété la submerge, Peanut vient immédiatement se blottir contre elle, la distrayant et la réconfortant.

Un nouveau départ

Avec Peanut à ses côtés, Ally a entamé un chemin de guérison : thérapie, désintoxication, réapprentissage de la stabilité. « Il m’a aidée à tenir bon quand tout semblait s’effondrer », avoue-t-elle.

Aujourd’hui, deux ans et demi après la mort de son père, elle continue à avancer. Le deuil reste présent, mais elle trouve du réconfort dans les souvenirs et dans son fidèle compagnon à quatre pattes. « Chaque jour est un nouveau défi, mais je fais de mon mieux pour le rendre fier. »

Parfois, les plus petites créatures peuvent avoir le plus grand impact sur nos vies. Peanut n’était peut-être qu’un chien, mais pour Ally, il était la lumière qui l’a guidée hors de l’obscurité.


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